Nérac — Wikipédia

Nérac
Nérac
Vieux pont sur la Baïse.
Blason de Nérac
Blason
Nérac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
(sous-préfecture)
Arrondissement Nérac
(chef-lieu)
Intercommunalité Albret Communauté
(siège)
Maire
Mandat
Nicolas Lacombe (PS)
2020-2026
Code postal 47600
Code commune 47195
Démographie
Gentilé Néracais
Population
municipale
6 881 hab. (2021 en diminution de 1,26 % par rapport à 2015)
Densité 110 hab./km2
Population
agglomération
11 640 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 08′ 53″ nord, 0° 20′ 42″ est
Altitude 71 m
Min. 38 m
Max. 191 m
Superficie 62,68 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Nérac
(ville-centre)
Aire d'attraction Nérac
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de l'Albret
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Nérac
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Nérac
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Nérac
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Nérac
Liens
Site web www.ville-nerac.fr

Nérac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Néracais et Néracaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ville fleurie située en Gascogne dans les landes de Lot-et-Garonne et le pays d'Albret[1].

C'est le chef-lieu d'un arrondissement couvrant le sud-ouest du département.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Feugarolles, Andiran, Barbaste, Calignac, Espiens, Fieux, Fréchou, Lasserre, Lavardac et Réaup-Lisse.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Baïse, bordée à l'ouest par la Gélise. Ces deux cours d'eau confluent au niveau de Barbaste et Lavardac, puis la Baïse se jette dans la Garonne à une dizaine de kilomètres au nord, à Saint-Léger.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records NERAC - MAN (47) - alt : 80m, lat : 44°06'35"N, lon : 0°18'33"E
Records établis sur la période du 01-01-2008 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,7 1,9 4,3 7 10,2 13,7 15,3 15 11,9 9,2 6,2 3,4 8,4
Température moyenne (°C) 6,3 6,9 9,8 12,9 16,1 19,7 21,8 21,8 18,8 14,9 10,3 7,1 13,9
Température maximale moyenne (°C) 10 12 15,4 18,8 22 25,6 28,3 28,6 25,6 20,6 14,4 10,9 19,4
Record de froid (°C)
date du record
−9,7
19.01.17
−14,5
09.02.12
−6
08.03.10
−2,5
07.04.08
−1
06.05.19
5,5
01.06.11
7,9
15.07.16
5
31.08.10
2,5
25.09.08
−3
30.10.12
−5,8
28.11.13
−8
26.12.10
−14,5
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,7
30.01.13
25,8
27.02.19
26
15.03.12
29,6
17.04.13
32
24.05.10
38,6
29.06.19
40,4
23.07.19
40,5
20.08.11
36,9
12.09.16
31,3
13.10.19
25,1
07.11.15
20
08.12.10
40,5
2011
Précipitations (mm) 65,2 45,9 50,4 69,4 70,8 69 49,7 53,4 60,9 60,3 72,9 67,8 735,7
Source : « Fiche 47195001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Nérac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nérac, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[12] et 11 640 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nérac, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), cultures permanentes (1,3 %), prairies (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %), forêts (0,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Nérac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Baïse, la Gélise et l'Osse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2003, 2009, 2014 et 2021[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nérac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2002, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999, 2009 et 2021[18].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[25] : Sobegal SA (notamment pour l'emploi et le stockage de gaz inflammables liquéfiés et de l'utilisation d'installations de compression et utilisant des gaz inflammables )[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Une villa gallo-romaine située à la Garenne y fut fouillée en 1832 sous la direction du sculpteur-faussaire Maximilien Théodore Chrétin, qui monta la fable d'une ville impériale du temps des Tetricus avec la complicité du Toulousain Du Mège[27].

L'apogée de la ville se situe au XVIe siècle[28], lorsque les seigneurs d'Albret, qui s'y étaient installés vers le XIe siècle (venant de Labrit, dans les Landes) deviennent rois de Navarre à la suite du mariage de Jean III d'Albret avec Catherine de Foix en 1484. Peu après, leur fils Henri II d'Albret épouse en 1527 Marguerite d'Angoulême, sœur de François Ier, une des premières écrivaines en langue française (Heptaméron). Elle attire à Nérac des humanistes et des écrivains (Lefèvre d'Etaples, Marot). Sa fille Jeanne d'Albret épouse Antoine de Bourbon (1548) et se convertit à la religion protestante.

Dans les années 1530 et suivantes, sous l’influence de Jeanne d'Albret, la population de Nérac se convertit au protestantisme, pour être entièrement huguenote au début des guerres de Religion[29]. Après Angoulême, Calvin séjourne à Nérac en où il rencontre Jacques Lefèvre d'Étaples avant de rendre visite à Gérard Roussel, abbé de Clairac, et de résigner ses bénéfices le [30].

Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[31].

En 1572, Jeanne d'Albret et Catherine de Médicis, respectivement reine de Navarre (protestante) et reine de France (catholique) marient leurs enfants : Henri de Navarre et Marguerite de Valois. Décédée peu avant, Jeanne n'assiste pas à ces « noces de sang » . Il est possible que Catherine ait ordonné le massacre des chefs protestants le jour de la Saint Barthélemy profitant de leur venue à Paris mais cette hypothèse est sujette à controverse. Après ce funeste événement, elle retient son gendre au Louvre jusqu'en 1576.

Libéré, il rentre à Nérac et y tient en 1578-1579 avec Catherine de Médicis les conférences d'où sortira l'édit de Nérac[32].

Plus tard, Henri de Navarre-Bourbon-Albret devient roi de France sous le nom d'Henri IV, après qu'Henri III est mort sans descendance (1589). Lorsque les portes de Paris s'ouvrirent à Henri, celles de la renommée se refermèrent pour Nérac.

La ville se révolte sous Louis XIII et est prise par Henri de Mayenne en 1621 ; ses fortifications sont rasées[33].

Au XVIIIe siècle, elle connaît une prospérité économique grâce au commerce des farines-minots en direction des « Isles d'Amérique » (Saint-Domingue)[34]. Au XIXe siècle, elle voit les débuts du baron Haussmann qui en est le sous-préfet de 1832 à 1840[35], de l'écrivaine George Sand[36] et d'Armand Fallières qui fut maire, conseiller général et député de Nérac dans les années 1871-1880[37].

Étienne Mondineu, Réception du président Fallières à la sous-préfecture de Nérac, 1909.

Une très importante communauté italienne s'est installée à Nérac à partir des années 1920[38].

Du au , l'amirauté française s'est installée à Nérac[39]. Repliée à Bordeaux avec le gouvernement lors de la débâcle de , elle a cherché à gagner rapidement la zone libre définie dans l'armistice du 22 juin. Or Vichy n'avait pas été encore choisie comme capitale du nouveau régime qui allait porter son nom. L'amirauté stationna donc à Nérac quelques jours. Le bureau de poste fut ainsi réquisitionné par l'amiral Le Luc[39] qui la commandait.

En 1948, la commune voit naître la société Lou Gascoun, productrice de pâtés et de plats cuisinés du sud-ouest[40].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La commanderie d'Argentens fut fondée en 1155, lorsque Arnaud d'Argentens qui, « préférant l'abjection dans la maison du seigneur à l'habitation sous la tente des pécheurs », a fait don de ce qu'il possédait aux Frères du Temple représentés par Augier de Bédeisan, maître en Gascogne, à savoir tous les biens et les droits qu'il possédait dans la ville de Nérac ou à l'extérieur, en particulier le fief qui se trouvait autour de l'église de Sainte-Marie d'Argentens[41]. La commanderie est mentionnée vers 1159[42].

L'établissement templier de Puy Fort Éguille, également désigné Puyfortaiguille, dépendait de la commanderie d'Argentens.

À la fin du XIIe siècle, on voit les seigneurs du lieu, Arnaud Sanz [Note 4], Folquet du Puy, Armand d'Arricalau, Guillaume de Miron, Bernard du Puy et Reine sa femme, se dessaisir de leurs droits et du dîmaire sur Puy-Fort-Éguille au profit de la commanderie d'Argentens. En 1260, les droits de la commanderie d'Argentens sur le lieu se sont accrus par la donation des chevaliers Bertrand et Folquet de Savignac faite au commandeur Bernard Guilhem d'Aspet[Note 5]. À cette occasion, le chambrier d'Argentens paie 7 sols morlans pour l'amortissement du fief à Jean de Vaillet, bailli du comte de Poitiers et comte de Toulouse[43].

La juridiction de Puy-Fort-Éguille par les Templiers est contestée par Mathe d'Albret, fille d'Amanieu VI d'Albret, et tutrice de ses nièces, filles de feu Bernard Ezi IV, sire d'Albret entre 1270 et 1281. Le commandeur d'Argentens et maître de l'Agenais, Pierre de Sombrun, y ayant été autorisé, il entame des discussions avec Mathe d'Albret. Un accord de paréage est passé le . Les filles de Bernard-Ezy partagent la juridiction haute, moyenne et basse avec la commanderie d'Argentens[44]. En 1286, Amanieu VII d'Albret reconnaît tenir du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine, le factum Podio fortis acus, Puy-Fort-Éguille[45].

Malgré cet acte de paréage, les seigneurs d'Albret ont continué à avoir des prétentions sur Puy-Fort-Éguille. En 1327, c'est le sénéchal d'Agenais qui fait occuper Puy-Fort-Éguille mais doit le rendre au commandeur hospitalier d'Argentens, car, après la dissolution de l'ordre du Temple, les biens ont été dévolus aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1315.

Nérac devient ville tenue par les protestants au XVIe siècle. Puy-Fort-Éguille a dû subir des attaques car en 1650, dans le procès-verbal de visite, l'établissement est dit en ruines.

En 1563, le roi de France prend un édit ordonnant une aliénation de biens ecclésiastiques pour la somme de 100 000 écus de rente. Pour pouvoir payer sa part, le prieur de Toulouse vend la maison de Puy-Fort-Éguille avec pacte de rachat. Elle est alors achetée par Jeanne de Navarre, mais un an plus tard le commandeur d'Argentens rachète Puy-Fort-Éguille[46].

En 1599, la juridiction de Puy-Fort-Éguille appartient en entier au commandeur d'Argentens.

La commanderie de Puy Fort Éguille, comprenant l'église Saint-Jean-Baptiste, l'ancien logis, le sol de l'ancienne cour intérieure et de l'ancien pigeonnier, a été inscrit au titre des monuments historiques le [47].

En 1650, la commanderie comprend une église, deux maisons, une métairie et ses annexes. L'église a été agrandie au XVIIe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

De 2002 à 2012, Nérac a toujours suivi la tendance nationale générale aux élections présidentielles, législatives, régionales et municipales. Bastion du centre-droit et de la droite républicaine Nérac a été une ville de droite pendant 25 ans (1983-2008) mais depuis 2008 la ville est passée à gauche. La ville a voté « Non » aux référendums européens de 1992 (51,38 %) et de 2005 (57,74 %) mais elle a voté pour le « Oui » pour le référendum constitutionnel de 2000 (73,93 %).

  • Résultats :

Présidentielles 2002 1er tour : Jean-Marie Le Pen 18,69 % Jacques Chirac 18,66 % Lionel Jospin 14,72 % Jean Saint Josse 8,81 % François Bayrou 7,17 % Robert Hue 5,36 % Arlette Laguillier 4,40 % Noël Mamére 4,24 % Jean-Pierre Chevènement 3,99 % Olivier Besancenot 3,75 % Alain Madelin 2,98 % Bruno Mégret 2,79 % Christiane Taubira 1,97 % Christine Boutin 1,50 % Corinne Lepage 1,34 % Daniel Gluckstein 0,22 %
2nd Tour: Jacques Chirac 79,19 % Jean-Marie Le Pen 20,81 %

Présidentielles 2007 1er tour : Nicolas Sarkozy 27,15 % Ségolène Royal 24,48 % François Bayrou 21,67 % Jean-Marie Le Pen 11,31 % Olivier Besancenot 3,89 % Marie-Georges Buffet 3,76 % Frédéric Nihous 2,07 % Philippe de Villiers 1,07 % José Bové 1,39 % Dominique Voynet 1,20 % Arlette Laguillier 0,89 % Gérard Schivardi 0,48 %
2d tour: Nicolas Sarkozy 52,30 % Ségolène Royal 47,70 %

Présidentielles 2012 1er tour : François Hollande 27,80 % Nicolas Sarkozy 26,33 % Marine Le Pen 17,93 % Jean-Luc Melenchon 13,79 % François Bayrou 9,25 % Éva Joly 1,90 % Nicolas Dupont-Aignan 1,33 % Philippe Poutou 0,92 % Nathalie Arthaud 0,48 % Jacques Cheminade 0,27 %
2d tour : François Hollande 52,91 % Nicolas Sarkozy 47,09 %

Législatives 2002 1er tour : Alain Veyret 28,10 % Jean Dionis du Séjour 26,64 % Jean-Marie Simon 13,52 % Christine Bondifanti-Dossat 12,92 % Joëlle Ferrer 5,98 % Alain Bouderet 2,32 % Jean-Michel Feyte 2,24 % Francis Fuchs 2,01 % Gilles Boyer 1,72 % Jocelyne Veillon 1,58 % Eddy Marsan 0,75 % Jules Bambaggi 0,69 % Didier Gusse 0,62 % Claire Delyfer 0,52 % Bernard Simonti 0,46 % Jean-Luc Granet 0,29 % Mario Rizzo 0,06 % Michel Soudieux 0,00 %
2d tour : Jean Dionis du Séjour 54,68 % Alain Veyret 45,32 %

Législatives 2007 1er tour : Jean Dionis du Séjour 47,79 % Christian Dezalos 24,86 % Andrés Maziére 9,74 % Richard Sanchis 4,51 % Rose-Marie Schmitt 3,12 % Édouard Delorme 2,46 % Bruno Imhaus 2,40 % Dominique Lapaillerie 1,99 % Gabriel Carrere 1,42 % Jean-Louis Delestrae 0,95 % Jules Bambaggi 0,75 %
2d tour : Jean Dionis du Séjour 56,12 % Christian Dezalos 43,88 %

Législatives 2012 1er tour : Jean Dionis du Séjour 32,12 % Patrice Dufau 19,85 % Lucette Lousteau 18,02 % Hélène Collet 12,97 % Alain Veyret 09,45 % Christine Bondifanti-Dossat 2,72 % Maryse Combres 2,26 % Bruno Dubos 1,41 % Daniel Soulignac 0,70 % Fanny Quandalle 0,31 % Vladimir Belmon 0,18 %
2d tour : Lucette Lousteau 51,22 % Jean Dionis du Séjour 48,78 %

Référendum européen 1992 : Non 51,38 % Oui 48,02 %

Référendum constitutionnel 2000 : Oui 73,93 % Non 26,07 %

Référendum européen 2005 : Non 57,76 % Oui 42,26 %

Régionales 2004 1er Tour : Liste Alain Rousset 29,73 % Liste Jacques Colombier 18,43 % Liste François Bayrou 17,71 % Liste Xavier Darcos 16,44 % Liste Jean Saint Josse 6,63 % Liste Annie Guilhammet 6,57 % Liste Martine Mailfert 4,49 %
2d tour : Liste Alain Rousset 46,26 % Liste Xavier Darcos 34,74 % Liste Jacques Colombier 19,00 %

Régionales 2010 1er tour : Liste Alain Rousset 29,76 % Liste Xavier Darcos 24,36 % Liste Jacques Colombier 11,31 % Liste Monique de Marco 10,49 % Liste Gérard Boulanger 9,79 % Liste Jean Lassalle 9,05 % Liste Philippe Poutou 2,33 % Liste Michel Chrétien 2,18 % Liste Nelly Malaty 0,74 % Liste Xavier-Philippe Larrale 0,00 % Liste Jean Tellechea 0,00 %
2d tour : Liste Alain Rousset 53,18 % Liste Xavier Darcos 32,40 % Liste Jean Lassalle 14,42 %

Municipales 2008 1er tour : Liste Nicolas Lacombes 50,91 % Liste Gabriel Chazallon 44,25 % Liste Sylvie Navarrete 4,44 %

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau des jumelages de Nérac.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[48].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 6 881 habitants[Note 6], en diminution de 1,26 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 2785 5875 7695 9576 3276 6037 1537 1667 194
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7 2547 2837 7177 9197 5867 4297 8266 9096 683
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6 4356 3186 2795 9935 8275 8215 9295 9896 255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6 4177 0617 1566 8287 0156 7876 8856 8777 086
2017 2021 - - - - - - -
6 8276 881-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • un club de rugby à XV, l'Union sportive néracaise (USN) aux couleurs noir et jaune, évoluant dans le championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale pour la saison 2019/2020 ;
  • un club de football amateur évoluant en Promotion d'Honneur (Football Club Nérac Albret (FCNA) (vert et blanc)) ;
  • un club d'athlétisme, l'Athlétic club des jeunes de Nérac ;
  • un club de badminton, Les Volants d'Albret ;
  • un club de handball (Nérac handball Club (NHBC)).

Loisirs[modifier | modifier le code]

Marque de bière fabriquée à Nérac dans les années 1920 (affiche de Georges Ripart, Musée du château de Pau).
  • Piscine couverte
  • Parc Aquatique Lud'O Parc
  • Marché nocturne Saveurs et Guinguettes (seulement de juillet à septembre les mardis soir à partir de 19 h)
  • Promenade sur la Baïse ("Les Croisières du Prince Henry")
  • Marché de Nérac (Toute l'année les samedis de 8 h à 13 h)
  • Fête foraine (du premier vendredi du mois de mai au premier lundi du mois de mai) avec des diverses animations telle que les courses landaises, le lâcher de vachettes etc.
  • Fête des fleurs (deuxième fin de semaine du mois de mai).
  • Visite nocturne de la ville de Nérac avec Janouille la Fripouille (seulement l'été (juillet et août) le mercredi soir de 21 h à 23 h) pour tous public (parents, enfants et personnes âgées).
  • La Garenne Partie (différentes activités) début avril.
  • Grande fête du terroir de l'Albret(fêtes du terroir sur le thème du vin et de la gastronomie avec des bandas, des repas dans le centre-ville (restaurants), des buvettes et jeux de tonneau sur la Baïse (la première fin de semaine du mois août)).
  • Foire du neuf et l'occasion (Foire d'automne)(dernier vendredi, samedi et dimanche du mois de septembre).
  • Vide-grenier (variable).

Économie[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame de Nérac

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

Mosaïques romaines de Nérac.
Château de Nérac, cour de la maison d'Albret.
Église Saint-Nicolas.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Gastronomie[modifier | modifier le code]

  • Invention de la recette moderne du foie gras[75].
  • Spécialité : le melon et un gâteau nommé « le Soleil ».
  • terrine de Nérac (pâté au gibier)

Cinéma[modifier | modifier le code]

Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Nérac Blason
D'azur au soleil d'or[76]
Devise
"Sol justitiæ Christus" (Christ, soleil de justice)
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Les seigneurs d'Armendaritz sont connus depuis Garcia, en 1170. Arnaud-Sanz est cité en 1228; Arnaud d'Armendaritz suivit saint Louis et Thibaut II, roi de Navarre, à la huitième croisade.
  5. « B. W. d'Aspet » ⇒ Bernardus Willelmus d'Aspet, maître de l'Agenais (1248/49-1262), cf. (fr + la) Jacques Clemens, « La rumeur agenaise de l'enfermement templier au début du XIVe siècle », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 124, no 1,‎ , p. 23-40 (présentation en ligne), p. 26,28 .
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nerac - Man » (commune de Nérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Nérac », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nérac », sur Géorisques (consulté le ).
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  29. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p. 245.
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  33. Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Nérac » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource).
  34. Hubert Delpont, Deux siècles d'économie en Albret (1685-1900), Agen, 1983.
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  36. Hubert Delpont, La naissance de George Sand, 1994, Nérac, 220 p. ; Sand J., Rose et Blanche, Nérac, 1993, 500 p.
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  40. « Présentation | Lou Gascoun », sur lou-gascoun.fr (consulté le ).
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  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. Site officiel de la Médiathèque de la ville de Nérac
  54. « Inventaire général : hôtel des Présidents », notice no IA47000180, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Inventaire général : Maison », notice no IA47000230, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « Inventaire général : Couvent de frères mineurs Saint-François dit couvent des Cordeliers », notice no IA47000231, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « Inventaire général : Hôtel », notice no IA47000188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  59. « Inventaire général : Collège, Tribunal, Sous-Préfecture, Mairie », notice no IA47000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  63. « Inventaire général : Hôtel de ville », notice no IA47000160, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. « Inventaire général : Gare », notice no IA47000306, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « Inventaire général : Monument de Jacques de Romas », notice no IA47000156, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. « Inventaire général : moulin à blé, puis minoterie de Nérac », notice no IA47001946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. « Eglise Saint-Nicolas », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  68. a et b « Inventaire général : Eglise paroissiale Notre-Dame », notice no IA47000150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. « Inventaire général : Temple de Protestants », notice no IA47000151, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. Jean-Pierre Koscielniak, De la foudre aux lumières, Jacques de Romas et le XVIIIe siècle néracais, 2010, Nérac, 238 p.
  71. Notice d'autorité personne, BNF
  72. http://www.organ-biography.info/index.php?id=R
  73. Hubert Delpont, Darlan, l'ambition perdue, 1998, Nérac, 360 p.
  74. Hubert Delpont, Victor Griffuelhes, un lot-et-garonnais fondateur de la CGT, 1983, Nérac, 40 p.
  75. La recette moderne du foie gras est née en 1769 à Nérac
  76. Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47

Sources[modifier | modifier le code]

  • Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , p. 390-393 , lire en ligne sur Gallica

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hubert Delpont le Pays d'Albret Nérac, 1987, 90 p.
  • Hubert Delpont Deux siècles d'économie en Albret, 1685-1900 Agen, 1983, 140 p.
  • Hubert Delpont Fallières, la république aux champs Nérac, 1987, 1996, 210 p.
  • Hubert Delpont, H.Y. Sanchez-Calzadilla Haussmann d'Albret Nérac, 1993, 250 p.
  • Hubert Delpont Darlan, l'ambition perdue Nérac, 1998, 300 p.
  • Hubert Delpont M.Th. Chrétin et l'Empire de Tétricus Nérac, 2006, 220 p.
  • Patrick Tachouzin Henri de Navarre à Nérac, les marches du trône, Nérac, 1989, 264 p.
  • Lebègue, Les églises et les couvents de Nérac à travers les âges, p. -11, Revue de l'Agenais, 1932, tome 59 (lire en ligne)
  • Gabriel Karnay, Alain Turq, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Nérac, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1996, (ISBN 2-7159-1901-8)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]