Morne-à-l'Eau — Wikipédia

Morne-à-l'Eau
Morne-à-l'Eau
Le cimetière.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Guadeloupe
Département Guadeloupe
Arrondissement Pointe-à-Pitre
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Nord-Est Grande-Terre
Maire
Mandat
Jean Bardail
2020-2026
Code postal 97111
Code commune 97116
Démographie
Gentilé Mornaliens
Population
municipale
15 898 hab. (2021 en diminution de 8,67 % par rapport à 2015)
Densité 246 hab./km2
Géographie
Coordonnées 16° 19′ 52″ nord, 61° 27′ 28″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 106 m
Superficie 64,5 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Pointe-à-Pitre-Les Abymes
(banlieue)
Aire d'attraction Les Abymes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Morne-à-l'Eau
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-mornealeau.com

Morne-à-l'Eau (en créole guadeloupéen : Mònalo) est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

S'étendant sur 64,5 km2 de superficie totale[1], la commune de Morne-à-l'Eau est située dans l'ouest de Grande-Terre. Elle est longée par la mangrove du Grand Cul-de-sac marin qui occupe près d'un tiers de la superficie totale communale. La commune est un carrefour routier, passage obligé pour les habitants du nord Grande-Terre. Le plan d’eau de Vieux-Bourg est exceptionnel et un grand nombre d’activités aquatiques y sont pratiquées.

Le bourg principal est situé en bordure de la plaine de Grippon, adossé aux Grands Fonds.

Communes limitrophes de Morne-à-l'Eau
Mer des Caraïbes Petit-Canal
Morne-à-l'Eau Le Moule
Les Abymes Les Abymes Le Moule

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est de type tropical.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Morne-à-l'Eau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pointe-à-Pitre-Les Abymes, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[5] et 251 525 habitants en 2021, dont elle fait partie de la banlieue[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Abymes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

La commune, bordée par la mer des Caraïbes à l'ouest, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Béguette, Berlette, Blanchette, Boisvin, Bosrédon, Belle-Espérance, Blain, Blanchet, Bonne-Terre, le Bourg (Grippon), Brion, Dubelloy, Chastel, Chaumette, Chazeau, Chevalier, Chouioutte, Clugny, Cocoyer, Croustère, Dubelloy, Dubisquet, Espérance, Geffrier, Gensolin, Guerard, Lemesle, Lola, Lorger, Jabrun, Jabrun-Saint-Cyr, Labuthie, Lasserre, Lebraire, Marchand, Marieulle, Monpierre, Perrin, Pierrefite, Point-à-Retz, Quirine, Réduit, Rousseau, Richeval, Salette, Sauvia, Vieux-Bourg, et Zabeth.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville est bien desservie par les transports publics, grâce à sa position géographique. Correspondances avec les villes Anse-Bertrand, Port-Louis, Petit-Canal, Le Moule, Les Abymes et Pointe-à-Pitre. La majorité des passagers se rendent à la ville de Pointe-à-Pitre en raison de son dynamisme commercial.

La circulation automobile à Morne-à-l'Eau est difficile. L'essentiel du trafic se fait sur l'axe reliant le bourg et le quartier de Bosrédon. La traversée du bourg est excessivement difficile et lente aux heures de pointe. La ville dispose de très peu de places de stationnement.

Les distances entre Morne-à-l'eau et certaines villes de la Guadeloupe (en voiture) sont :

Villes situés sur l'ile de la Grande Terre
Les Abymes Saint-François Le Moule Petit Canal Sainte-Anne Gosier
11 km 25 km 12 km 8 km 25 km 20 km

Le canal des Rotours pourrait être utilisé comme une ligne de connexion entre la ville et diverses zones. Elle pourrait aussi être à l'usage de la navigation de loisirs.

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'étymologie de Morne-à-l'Eau proviendrait de la présence d'une source d'eau coulant à flanc du morne Grippon[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'abord rattachée au quartier des Abymes, cette étendue de terre est située entre la mangrove, les grands fonds viviers et la plaine cannière. Au cours de son histoire, elle fut dénommée successivement : Case-aux-Lamentins, Vieux-Bourg, Grippon, Bordeaux-Bourg et enfin Morne-à-l'Eau. L'administration de l'époque à longtemps hésité sur l'emplacement définitif du bourg.

L'endroit fut nommé « Case aux Lamentins » par les indiens Caraïbes du fait que ce fut le lieu de prédilection pour la reproduction des lamantins (Trichechus manatus). Vieux-Bourg, aujourd'hui quartier de pêcheurs, point de départ des bateaux pour la découverte du Grand Cul-de-sac marin est durant tout le XVIIIe siècle le centre actif de la paroisse. L'activité économique était essentiellement axée sur la culture de la canne à sucre. En 1827, au lieu-dit Grippon, s'élevait un nouveau bourg – à la suite du creusement du canal des Rotours – dénommé Bordeaux-Bourg en référence à la métropole.

Le bourg se développe aussi autour d'un marché où les esclaves d'habitation et les affranchis venaient vendre chaque dimanche les produits vivriers qu'ils cultivaient sur les maigres terres allouées par les maîtres. C'est sous l'impulsion des gouverneurs de Landenoy et du baron des Rotours que Morne-à-l'Eau trouve sa configuration actuelle.

Canal des Rotours[modifier | modifier le code]

Vue du canal des Rotours.

Le gouverneur des Rotours est également le promoteur du percement d'un canal qui porte son nom et qui relie la commune au Grand Cul-de-sac marin sur 6 km. Ce canal est creusé dans le lit d'un précédent petit canal suivant l'extrémité de la Ravine des Coudes. Les travaux de percement du canal s'étendent de 1826 à 1830 et ont coûté la vie à une trentaine d'ouvriers recrutés parmi trois cents hommes libres et esclaves.

C'est avec l'ouverture de ce canal que s'organisa la commune actuel. Le bourg de Grippon s'agrandit sous l'essor économique de la production et du transport du sucre. Emprunté par les chalands, il ne trouve sa réelle utilité qu'à la création de l'Usine centrale de Blanchet ouverte en 1869.

La ravine du Mancenillier prit le nom de canal Faujas et la ravine des Coudes celui de canal des Rotours aboutissant à Grippon (le bourg actuel).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune appartient à l'arrondissement de Pointe-à-Pitre et au canton de Morne-à-l'Eau, dont elle le bureau centralisateur, depuis le redécoupage cantonal de 2014.

Avant cette date, elle était divisée en deux entités :

Pour l'élection des députés, Morne-à-l'Eau fait partie depuis 1988 de la première circonscription de la Guadeloupe.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Morne-à-l'Eau fait partie de la communauté d'agglomération du Nord Grande-Terre, crée en 2014 et qui regroupe cinq communes, dans laquelle elle est représentée par douze conseillers.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Félix Gama    
Les données manquantes sont à compléter.
Gaston Gélan    
Hubert Jean-Louis    
Justin Archimède (1881-1978) Rad.-soc. Boulanger
Conseiller général du canton de Morne-à-l'Eau (1910 → 1945)

(décès)
Pierre Monnerville SFIOFGPS Médecin
Député de la Guadeloupe (1956 → 1958)
Député de la 2e circonscription de la Guadeloupe (1958 → 1967)
Conseiller général du canton de Morne-à-l'Eau-2 (1945 → 1961)
Marie-Émile (Paul) Coco    
Abdon Saman DVDUDF Conseiller général du canton de Morne-à-l'Eau-1 (1973 → 1992)
Favrot Davrain DVDFGPS Professeur
Conseiller général du canton de Morne-à-l'Eau-2 (1994 → 2004)

(démission)
Julien Chovino PCG Médecin
Conseiller général du canton de Morne-à-l'Eau-1 (1992 → 2004)
[13]
(décès)
Jean-Claude Lombion PCGDVG Professeur d'anglais
1er vice-président de la CA du Nord Grande-Terre (? → 2016)
Président de l’Association des maires de Guadeloupe (2014 → 2016)
[14] Philipson Francfort DVG Fonctionnaire
en cours Jean Bardail[15],[16] DVG Conseiller régional de la Guadeloupe (2015 → )
Conseiller général de la Guadeloupe ( → 2016)[17]
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 15 898 habitants[Note 4], en diminution de 8,67 % par rapport à 2015 (Guadeloupe : −3,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
14 59114 92515 03413 72416 04217 15416 70316 76717 288
2021 - - - - - - - -
15 898--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[19] puis à partir de 2006[20])
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête du Crabe

Chaque année, à la Pâques, la commune organise la fête du Crabe, l'un des plus grands rassemblements culinaires de la Guadeloupe. Ses origines remontent à 1993 et elle reçoit de nos jours environ 5000 de visiteurs chaque année. La plupart des manifestations et événements se déroulent sur la place Gerty-Archimède.

Gallodrome

Le pitt à coqs René-Belair est un lieu de combat de coqs situé dans le quartier d'Espérance. Les combats se déroulent les vendredi de la période de janvier-Juillet. Des dégustations et visites touristiques sont proposées les autres jours de la semaine.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Comme toutes les communes de l'archipel de la Guadeloupe, Morne-à-l'Eau est rattaché à l'Académie de la Guadeloupe. La ville possède sur son territoire quatre écoles maternelles (Bazile-Bertaud, Bourg, Édouard-Nelson et Pointe-Retz) et huit écoles primaires (Achille-Labuthie, Bourg, Ernest-Pallas, Félix-Duport, Hyppolite-Cocles, Marie-Ludger, Marcelle-Blanchinet et Marie-Émile-Coco).

En ce qui concerne l'enseignement secondaire, la ville accueille le collège Charles-de-Gaulle à Richeval et les lycées d'enseignement général Faustin-Fléret à Espérance et d'enseignement professionnel Gerty-Archimède à Richeval.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Le principal équipement sportif de la commune est le stade Pierre-Monnerville. Les clubs de la ville sont :

  • L'Étoile de Morne-à-l'Eau, football, handball, athlétisme, volley-ball
  • Olympic de Morne-à-l'Eau, football
  • Zénith de Vieux-Bourg, football
  • Indomptable de Berlette, football
  • Pédale du centre (PDC), cyclisme
  • Zayen la, handball
  • École mornalienne de karaté d'Oyama (EMKO), karaté

Par ailleurs, le mémorial Denis-Manette est l'une des plus importantes courses à étape de la Guadeloupe. Elle est organisée au mois de mars par le club cycliste de la commune, la Pédale du centre (PDC) et réunit des coureurs de classe nationale. Les éditions 2009 et 2010 furent annulées faute de financements.

Économie[modifier | modifier le code]

Commerce mornalien

La section de Vieux-Bourg vit beaucoup de la pêche alors que dans les terres et dans les Grands-Fonds, la culture de la canne, l’élevage, ainsi que les cultures vivrières sont importantes.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame-de-Pontmain de Vieux-Bourg.
  • Église Notre-Dame-de-Belle-Espérance de Morne-à-l'Eau.

Église Saint André[modifier | modifier le code]

L’église paroissiale Saint-André a été conçue en 1930 par l’architecte parisien Ali Georges Tur (1889-1977) — dont l'ensemble constitue l'une de ses plus importantes réalisations sur l'île. Elle fut reconstruite sur les ruines de la précédente chapelle détruite par le passage de l'ouragan Okeechobee le . Ali Tur opta pour une mise en œuvre en béton, matériau peu employé jusque-là et qui en se généralisant marqua le déclin des constructions en bois. L’église domine le parvis sur lequel ouvre le presbytère, lui aussi dessiné par Ali Tur tout comme le clocher[21]. Elle adopte un plan basilical dont l’imposant vaisseau central atteint 13 m de haut et est éclairé par de grandes baies verticales, favorisant la bonne ventilation de l’édifice et créant des jeux de lumières.

Les baies étaient autrefois fermées par des lames verticales qui créaient des contrastes de lumière. L’emploi de claustras moulés en béton pour fermer les murs de la tribune et le plafond de la nef répond au même parti et permet des effets de clair-obscur. La décoration intérieure a été confiée à Antoine Marius Gianelli (1896-1983), artiste peintre marseillais installé en Guadeloupe.

Cimetière de Morne-à-l-Eau[modifier | modifier le code]

Cimetière de Morne-à-l'Eau.

C'est l'un des cimetières les plus visités en Guadeloupe. Son attrait provient des motifs en damier noir et blanc qui ornent la majorité des sépultures, donnant à l'ensemble des airs de grand échiquier. L'immense majorité des caveaux sont construits en ciment et surtout en carrelage de faïence. Beaucoup de tombes ressemblent à de petites maisons, avec pour certaines des toits en pente comme les cases créoles.

La plus ancienne sépulture semble dater de 1847 (vingt ans après la fondation de la commune) et appartenait sans doute à des Békés. À cette époque, la majorité des morts étaient enterrés sur les plantations, et seuls les plus riches, les familles nobles, avaient les moyens de s'offrir une belle sépulture. Même dans les cimetières, on ne mélangeait pas les maîtres et les esclaves.

Aujourd'hui, toutes les couches de la société sont représentées, de la famille de planteurs békés au plus modeste des agriculteurs.

Autres lieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Chiffres clés de la commune de Morne-à-l'Eau (97116), INSEE, 21 avril 2021.
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Pointe-à-Pitre-Les Abymes », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. Olivier Lancien, « Décès de Jean-Claude Lombion, maire de Morne-à-l'Eau », sur Guadeloupe La Première, .
  14. « Philipson Francfort est le nouveau maire de Morne-à-l'Eau »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur RCI, .
  15. « Résultats Municipales 2020 : Jean Bardail remporte l'élection municipale à Morne-à-L'Eau », Guadeloupe La 1re, 28 juin 2020.
  16. « Les conseils municipaux élus le 28 juin dernier choisissent leurs édiles », Guadeloupe La 1re, 4 juillet 2020.
  17. « Jean Bardail n'est plus conseiller départemental », Guadeloupe La 1re, 1er février 2016.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  20. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  21. Michèle Robin-Clerc, Note descriptive de l’œuvre d’Ali Tur, Basse-Terre, Conseil régional de Guadeloupe, (lire en ligne), p. 7-8.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]