Montréal-les-Sources — Wikipédia

Montréal-les-Sources
Montréal-les-Sources
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité CC des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Didier Laffitte
2022-2026
Code postal 26510
Code commune 26209
Démographie
Gentilé Montréalais, Montréalaises
Population
municipale
24 hab. (2021 en diminution de 7,69 % par rapport à 2015)
Densité 2,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 08″ nord, 5° 18′ 03″ est
Altitude Min. 427 m
Max. 1 301 m
Superficie 10,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nyons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives 3e circonscription de la Drôme
Localisation
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Liens
Site web https://montreal-les-sources.fr/

Montréal-les-Sources est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ambiance du village.

La commune est située à 20 km à l'est de Nyons, 17 km (par la route, 6 km à vol d'oiseau) de Rémuzat.

Elle fait partie du parc naturel régional des Baronnies provençales.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Arpavon, Le Poët-Sigillat, Sahune et Saint-May.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

  • Col d'Aubonne[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

  • Le ruisseau Montréal est un affluent de l'Eygue. Il parcourt 5,5 km à travers les communes de Sahune et de Montréal. En 1891, sa largeur moyenne était de 11,40 m, sa pente de 109 m, son débit ordinaire de 0,50 m3, extraordinaire de 15 m3[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Remuzat »sur la commune de Rémuzat à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montréal-les-Sources est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), cultures permanentes (5,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Village perché[1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 45, alors qu'il était de 48 en 2013 et de 51 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 25,2 % étaient des résidences principales, 66 % des résidences secondaires et 8,8 % des logements vacants. Ces logements étaient en totalité des maisons individuelles[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montréal-les-Sources en 2018 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (66 %) très supérieure à celle du département (8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 100 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,9 % en 2013), contre 61,9 % pour le Drôme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Montréal-les-Sources en 2018.
Typologie Montréal-les-Sources[I 1] Drôme[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 25,2 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 66 8 9,7
Logements vacants (en %) 8,8 8,6 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon le dictionnaire topographique du département de la Drôme[15], la localité est attestée sous les noms de :

  • 1231 : Castrum de Mons Réal (Inventaire des dauphins, 240).
  • 1284 : Castrum de Monte Regali (Valbonnais, II, 118).
  • 1293 : Castrum Montis Regalis (Valbonnais, I, 35).
  • 1891 : Montréal, commune du canton de Rémuzat.

Le conseil municipal demande en 1918 que le nom de la commune, jusqu'alors Montréal', soit complété par -les-Sources afin d'éviter les errements du courrier à travers les différents Montréal de France[16], ce qui est obtenu en 1920[17].

La première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation ».

Deux hypothèses pour la deuxième partie :

  • de l'ancien français réal « royal » issu du latin regalis[réf. nécessaire].
  • d'un russeal « ruisseau » (1120). Une copie fautive aurait transformé réal puis réalis en régalis souvent traduit par « royal » mais le ru en provençal désigne le ruisseau et la prononciation en langue vernaculaire du village est Monriaou[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Dans les années 1947-1948, a été trouvée une épitaphe datée du Ier siècle (conservée actuellement dans le château de Sahune) qui était dédiée à un Lucius Valerius Cometius, vétéran de la Legio VIII Augusta.

Ce dernier serait venu se retirer vraisemblablement dans son domaine familial après son service. Malgré son nom latin, conforme aux normes de l'époque, il s'agissait probablement d'un Voconce qui jouissait de la citoyenneté romaine. Il avait servi sous les militavit armis antesignanis (« armes précédant les enseignes »), c'est-à-dire dans un peloton d'élite[18],[16].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Montréal était une terre des barons de Sahune ou d'Ancezune.
  • 1201 : les princes d'Orange de la maison de Baux y acquièrent quelques droits.
  • 1282 : la terre est hommagée aux barons de Mévouillon.
  • 1336 : elle passe aux dauphins, héritiers des barons de Mévouillon.
  • 1341 : les dauphins vendent leurs droits aux princes d'Orange.
  • Passe (par mariage) aux Saluces.
  • Recouvrée par les princes d'Orange. Ces derniers la donnent en apanage à un bâtard.
  • Vers 1501 : passe (par héritage) aux Poitiers d'Allan.
  • Vers 1551 : passe (par mariage) aux Pape-Saint-Auban.
  • 1602 : passe (par mariage) aux Caritat.
  • Vendue presque aussitôt aux Fortia.
  • Vers 1730 ; passe (par mariage) aux Galéan de Gadagne, derniers seigneurs.

Avant 1790, Montréal était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Sisteron[15].

Saint-Julien[modifier | modifier le code]

Ancienne chapelle et quartier de la commune de Montréal. La chapelle existait encore en 1792. En 1891, elle est en ruine[19]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Sainte-Jalle. La réorganisation de l'an VIII en fait une commune du canton de Rémuzat[15].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rémuzat[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nyons et Baronnies

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Drôme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Penvénan était membre de la très petite communauté de communes du Pays de Rémuzat, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale, dont est désormais membre la commune.

Liste des Maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
an VIII   Joseph Buix    
1834   Siffren Bouchet    
1865   Jean Cornillac    
1873   Adrien Armand    
1878   Ferdinand Gras    
1882   Xavier Laugier    
1888   Fabien Gras    
1892   Auguste Armand    
1896   Hypolite Armand    
1904   Joseph Gras    
1911   Hypolite Armand    
1912   Ferdinand Gras    
1919   Louis Armand    
1929   Charles Jouffrey SFIO  
         
1965   René Gras[21] DVG  
    Raoul Jouffrey PS  
avant avril 1992[22] juin 1995 Carole Lhomme[23] DVD  
juin 1995 mars 2008 Christian Jévaudan[23] DVD  
mars 2008 mai 2022[24] Christian Bartheye[25] DVD Agriculteur retraité
Grand maître de la confrérie de l’Olive de Nyons
Commandeur de l’Ordre du Mérite agricole[26]
Mort en fonction.
juillet 2022[27] En cours
(au 16 décembre 2022)
Didier Laffitte    

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[28]. La deuxième fleur est obtenue en novembre 2019. Le village est alors la plus petite commune de France à recevoir ce label[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 24 habitants[Note 3], en diminution de 7,69 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
200211190173230220225215210
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
170178172177158163163154146
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1331201079810599837542
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
343521373322282930
2017 2021 - - - - - - -
2324-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : premier dimanche de septembre[1].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Randonnées : sentiers pédestres vers le Poët-Sigillat et Rémuzat[1].

Économie[modifier | modifier le code]

En 1992 : bois, pâturages (ovins), abricotiers[1].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Fontaine des Nayses[1].
  • La chapelle Saint-Julien, chapelle rurale de style roman[1].
    Au XIe siècle, cette chapelle payait une redevance à l'évêque de Sisteron. Par charte du pape Innocent II, la chapelle devient une possession bénédictine[réf. nécessaire].
    Cette chapelle surplombe le torrent dit de Saint-Julien à un kilomètre environ au sud-est du village. De ce monument il ne reste plus que l'abside ronde et voûtée, la nef a été détruite. Les offices réguliers étant tenus dans l'église du village, elle a été délaissée. Les travaux d'aménagement du nouveau cimetière ont permis de découvrir des vestiges funéraires confirmant que ce lieu avait déjà servi de sépulture[réf. nécessaire].
    En 1850, le chanoine Isnard, ancien curé de Lemps, fait de la chapelle une description romantique : « combe » "Ce petit sanctuaire est aujourd'hui totalement abandonné. Sa porte vermoulue est arrachée de ses gonds, et gît sur la pelouse. L'extrados de sa voûte se montre dépouillée d'une partie de sa couverture en tuiles creuses. Tandis que la pluie du ciel dégrade le faîte du monument, les eaux furieuses qui descendent de la montagne viennent battre et ruiner ses fondations ; déjà les premières assises sont entamées. Ruinées par la base, elles perdent chaque jour de leur cohésion, elles se désagrègent une à une, et glissent dans le ravin à six mètres de profondeur.
    Si l'édilité de Montréal, si peu soucieuse de son histoire, ne porte pas un prompt remède à cet état de choses, bientôt la masse de l'édifice aura perdu son équilibre, il s'écroulera en quartiers de murs et descendra comme une avalanche dans l’abîme sur lequel il est suspendu, pour ensevelir l'histoire de son passé dans un éternel oubli. »[réf. nécessaire].
    Depuis des travaux de restauration ont permis à l'édifice de retrouver son aspect d'antan[réf. nécessaire].
  • Grottes et Bois du Seigneur[1].
  • Col d’Ambonne

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montréal-les-Sources.
  2. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 234 (ruisseau).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Montréal-les-Sources et Rémuzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 234 (commune).
  16. a et b « Histoire », sur montreal-les-sources.fr (consulté le ).
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. M. Desaye, dans la revue Terres d'Eygues, numéro 44
  19. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 344 (Saint-Julien).
  20. « Les maires de Montréal-les-Sources », sur francegenweb.org (consulté le ).
  21. « Montréal les Sources / Mariage », sur memoire-drome.com, (consulté le ) « es habitants du village de Montréal les Sources invités à l'occasion du mariage d'un couple belge : [...] René Gras, maire (en haut) ».
  22. « Montréal les Sources / Carole Lhomme : Carole Lhomme (âgée de 25 ans), maire de Montréal les Sources (l'un des plus jeunes maires de France). », sur memoire-drome.com, (consulté le ).
  23. a et b « Montréal les Sources / Fête des Montréals de France : Les élus des différentes communes des "Montréal de France" lors du rassemblement à Montréal les Sources : de gauche à droite, Christian Jevaudan, Carole Lhomme, maire de Montréal les Sources et Gérard Besseras, maire de Montréal (Gers) », sur memoire-drome.com, (consulté le ).
  24. Z.B., « Christian Bartheye, maire de Montréal-les-Sources, est décédé », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Deuxième mandat pour Christian Bartheye », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Le ministre Didier Guillaume en visite « par pure amitié » », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Didier Laffitte est le nouveau maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  29. « Accueil », sur montreal-les-sources.fr (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.