Montpensier — Wikipédia

Montpensier
Montpensier
Place de l'église de Montpensier en août 2023.
Blason de Montpensier
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Plaine Limagne
Maire
Mandat
David Despax
2020-2026
Code postal 63260
Code commune 63240
Démographie
Gentilé Montpensierois
Population
municipale
466 hab. (2021 en augmentation de 4,95 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 10″ nord, 3° 13′ 14″ est
Altitude Min. 346 m
Max. 436 m
Superficie 7,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aigueperse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montpensier
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Montpensier

Montpensier est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Montpensier est situé au nord du département du Puy-de-Dôme[1], à 20 km au nord de Riom, à 35 km de la préfecture départementale Clermont-Ferrand, à 8 km de Gannat et à 65 km de Moulins par la route départementale 2009 et à 25 km de Vichy par la route départementale 984.

Cinq communes sont limitrophes[2] :

Communes limitrophes de Montpensier
Vensat Saint-Genès-du-Retz
Montpensier Effiat
Aigueperse Bussières-et-Pruns

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le village est établi sur une butte calcaire au sommet de laquelle fut édifié le château de Montpensier dominant un vaste panorama.

Transports[modifier | modifier le code]

Le village est traversé à l'ouest par la route départementale 2009 (ancienne route nationale 9) et la RD 51 (liaison d'Aigueperse à Effiat). La RD 984 (ancienne route nationale 684) passe au sud à la frontière avec Aigueperse et Bussières-et-Pruns[2].

La ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac passe par cette commune, où circulent sans s'arrêter des trains TER Auvergne. La gare la plus proche est située à Aigueperse.

À la suite de la refonte du réseau de transports interurbains du département (Transdôme), aucune ligne ne dessert la commune[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montpensier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,2 %), zones urbanisées (10,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Carte linguistique du Puy-de-Dôme (Atlas sonore des langues régionales, CNRS). En bleu clair : les parlers du Croissant ; en marron : le nord-occitan ; en vert : l'arpitan.

Montpensier est une des premières communes au sud du Croissant[16], espace linguistique où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl[17]. Son nom lui vient directement du parler local : Montpansier.

Histoire[modifier | modifier le code]

La colline de Montpensier occupe une position stratégique au nord de l'Auvergne qui lui a permis d'être le théâtre d’événements historiques importants. C'est probablement de cette butte qu'en 52 av. J.-C., Jules César a vu arriver les troupes éduennes pendant le siège de Gergovie[18].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La période carolingienne[modifier | modifier le code]

En 892, a lieu une bataille entre le duc d'Aquitaine Guillaume le Pieux, dont la capitale est Clermont, et le roi des Francs Eudes[19].

La seigneurie de Montpensier (à partir du XIe siècle)[modifier | modifier le code]

Louis VIII mourant au château de Montpensier
Louis VIII mourant au château de Montpensier, Boucher.

À partir du XIe siècle, Montpensier est le centre d'une seigneurie, qui passe de la maison de Thiers à la maison de Beaujeu en 1176[réf. souhaitée].

Le 8 novembre 1226, le roi de France Louis VIII meurt au château de Montpensier à la suite de fièvres contractées lors de la croisade contre les Albigeois[20].

En 1308, la seigneurie de Montpensier passe à la maison de Dreux, puis est vendue en 1384 au duc Jean de Berry. Elle est alors érigée en comté[réf. souhaitée].

Pendant la guerre de Cent Ans, après la bataille de Brignais (4 avril 1362), 1 200 Tard-Venus ravagent l'Auvergne sous les ordres du capitaine Le Bour de Breteuil[21]. Le , ils sont taillés en pièces à Montpensier par 400 soldats castillans sous les ordres d'Henri de Trastamare[réf. souhaitée].

Le comté de Montpensier (à partir de 1434)[modifier | modifier le code]

En 1434, à la mort de Marie de Berry, dont Montpensier est la dot lors de son mariage avec Jean Ier de Bourbon, le comté passe à la maison de Bourbon, précisément à Louis Ier de Montpensier, son second fils. La maison de Montpensier constitue dès lors une branche cadette de la maison de Bourbon[réf. souhaitée].

Le petit-fils de Louis Ier, Charles III de Bourbon, connétable de France de 1515 à 1523, duc de Bourbon par son mariage avec l'héritière du duché en 1505, estimant avoir été spolié par François Ier, passe en 1523 au service de Charles Quint, ennemi de la France au cours des guerres d'Italie. Toutes ses possessions sont confisquées, mais le comté de Montpensier sera rendu en 1539 à sa sœur Louise et érigé en duché[réf. souhaitée].

Malgré ces seigneurs prestigieux, le village de Montpensier reste modeste en raison de la proximité de la ville d'Aigueperse[22].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Le duché de Montpensier (à partir de 1534)[modifier | modifier le code]

Mariage de Marie de Bourbon et Gaston de France en 1626
Mariage de Marie de Bourbon et Gaston de France en 1626, Estampe.

Louise de Montpensier épouse Louis de Bourbon-Vendôme, prince de La Roche-sur-Yon, issu d'une branche plus éloignée des Bourbons[réf. souhaitée].

En 1566, leur petit-fils François de Montpensier épouse Renée d'Anjou-Mézière, héroïne de la nouvelle La Princesse de Montpensier de Madame de La Fayette (1662) et du film de Bertrand Tavernier (2010) qui en a été tiré[réf. souhaitée].

Les Montpensier jouent un rôle notable durant les guerres de Religion, du côté des catholiques, voire de la Ligue. C'est notamment le cas de la « duchesse de Montpensier », à l'origine Catherine de Lorraine, épouse de Louis III de Montpensier[réf. souhaitée].

En 1627, le duché passe à la maison d'Orléans après la mort de Marie de Bourbon-Montpensier, épouse de Gaston de France, duc d'Orléans, frère de Louis XIII.[réf. souhaitée]

1765 : un sacrilège dans l'église[modifier | modifier le code]

En octobre 1765, le curé de Montpensier notifia sur les registres paroissiaux, d'ordinaire dévolus à l'état civil, cette assez longue note[réf. souhaitée] :

« Ce mardi vingt-deux octobre mil sept cent soixante-cinq, sur les dix et onze heures du soir tombant sur le mercredi du vingt-trois dudit mois des voleurs inconnus ont forcé et rompu avec une règle de fer appartenant à Quintien Chaput sacristain de notre église les grandes portes de ladite église de Montpensier, ont allumé des cierges et ont porté leurs mains sacrilèges sur le tabernacle duquel ils ont emporté le ciboire et le visoire {ostensoir ?} et ont répandu les hosties renfermés dans le ciboire sur la nappe du maître autel à droite et à gauche, et l'hostie renfermée dans le visoire ils l'ont remportée sur le couvercle des fonts baptismaux ; plus, ils ont forcé les deux armoires et brisé les serrures et ont répandu les chasubles et autres ornements qui y étaient renfermés sur le pavé, et après les onze heures dudit jour j'ai été averti de ce grand scandale et de cet horrible sacrilège.

Je me suis levé de mon lit et j'ai renfermé les saintes hosties dans le petit porte-dieu dans le buffet qui est à main gauche où était aussi renfermé le calice et à l'instant j'en ai donné avis aux juges de Montpensier afin qu'ils prissent les mesures que requiert leur ministère, et n'ont fait leur procès verbal que le vingt quatre dudit mois (tournez le feuillet).

Ce vingt-huit octobre 1765 messieurs les juges de Riom se sont transportés dans ladite église de Montpensier et ont dressé leur procès verbal de cet horrible sacrilège. »

On ne sait pas quelles ont été les suites de l'enquête.

L'époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Lorsque les communes sont créées en 1790, en même temps que les départements, Montpensier est incluse dans la commune d'Aigueperse. Ce n'est qu'en 1823 qu'une commune de Montpensier est créée[réf. souhaitée].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Entrée du village, route menant au centre du village au second plan
Entrée depuis la route départementale 2009.

La commune de Montpensier est membre de la communauté de communes Plaine Limagne[23], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aigueperse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24]. Jusqu'au , elle faisait partie de la communauté de communes Nord Limagne[25].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[23].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aigueperse pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[23], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[26].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Montpensier, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[27] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[28]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-deux candidats en lice, dix sont élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 67,33 %. Le conseiller restant à élire est élu au second tour, qui se tient le du fait de la pandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 39,83 %[29].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 mars 2014 Bernard Combes    
mars 2014 juillet 2020 Gisèle Boissier[30]    
juillet 2020 En cours
(au )
David Despax[31]   Sapeur-pompier professionnel[32]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 466 habitants[Note 3], en augmentation de 4,95 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
638660640615599565529490451
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
464451468433430392388353324
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
323309297300265231235231255
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
327315355423445466---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Montpensier dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[37].

Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Diderot d'Aigueperse[38] puis dans les lycées de Riom (Virlogeux ou Pierre-Joël-Bonté)[39].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Butte de Montpensier, en haut de laquelle s'élevait le château de Montpensier.
  • Église Notre-Dame-de-Septembre (XIIe et XIXe siècles), inscrite au titre des monuments historiques le [40]. La porte occidentale, en fer forgé (XIIe siècle), est classée aux monuments historiques au titre objet le [41].
  • L'église et le Monument aux Morts
    L'église et le Monument aux Morts
  • Église Notre-Dame-de-Septembre
    Église Notre-Dame-de-Septembre

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Louis VIII, roi de France, est mort à Montpensier le 8 novembre 1226.
  • Charles III de Bourbon, connétable de France, est né à Montpensier le 17 février 1490 (et mort à Rome en 1527).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montpensier Blason
D'azur au château d'argent posé sur un mont d'or, accompagné en chef de deux fleurs de lys du même et en pointe d'un lion de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

  • Les Ducs de Montpensier, Gabriel Depeyre, 1891, disponible à la Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LM3-2124.
  • Le grand dictionnaire historique, ou Le mêlange curieux de l'histoire sacrée, Louis Moreri, 1740, dix-huitième édition.
  • Table d'orientation de la butte de Montpensier.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Montpensier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Lion 1906.
  2. a et b Carte de Montpensier sur Géoportail.
  3. « Horaires TRANSDÔME 2017/2018 », Conseil départemental du Puy-de-Dôme, (consulté le ). Rechercher « Montpensier » dans le champ « Communes de départs ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Montpensier et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, Paris, L'Harmattan,‎ (ISBN 978-2-343-23050-4, lire en ligne).
  17. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  18. Guerre des Gaules, Jules César, chapitre XI.
  19. Christian Lauranson-Rosaz, L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIIIe au XIe siècle : la fin du monde antique ?, thèse de doctorat soutenue en 1984, Le Puy-en-Velay, Les Cahiers de la Haute-Loire, 1987, 494 p. (lire en ligne).
  20. Chronique de Guillaume de Nangis/Règne de Louis VIII (édition J.-L.-J. Brière, Paris, 1825).
  21. Voir page anglaise Bour de Breteuil.
  22. Josiane Teyssot et Romain Pommier, « Les bourgs castraux en Auvergne médiévale », dans André Chédeville et Daniel Pichot (dir.), Des villes à l'ombre des châteaux. Naissance et essor des agglomérations castrales en France au Moyen Âge, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Archéologie & Culture », , 239 p. (ISBN 978-2-7535-1144-6), p. 111-121
  23. a b et c « Commune de Montpensier (63240) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. « CC Plaine Limagne (No SIREN : 200071199) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  25. « CC de Nord Limagne (No SIREN : 246301006) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  26. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  27. Article L. 252 du Code électoral.
  28. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  31. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 5.
  32. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 30 (édition du Puy-de-Dôme).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  38. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « MOTNPENSIER » dans le formulaire de saisie.
  39. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 9.
  40. « Église Notre-Dame-de-Septembre », notice no PA00092206, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Pentures de la porte occidentale », notice no PM63000596, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.