Mondher Ben Ammar — Wikipédia

Mondher Ben Ammar
Portrait de Mondher Ben Ammar.
Fonctions
Président
Avenir sportif de La Marsa
-
Président
Avenir sportif de La Marsa
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Président
Avenir sportif de La Marsa
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Ministre du Tourisme
-
Ministre de la Jeunesse et des Sports
-
Azzouz Rebaï (d)
Ministre de la Santé
-
Ministre des Affaires sociales
-
Ambassadeur de Tunisie aux Pays-Bas (d)
- années 1950
Ambassadeur de Tunisie en Allemagne (d)
- années 1950
Ambassadeur de Tunisie en Italie (d)
- années 1950
Biographie
Naissance
Décès
Nationalité
Formation
Faculté de droit et des sciences économiques de Paris (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Enfants
Autres informations
Parti politique
Sport

Mondher Ben Ammar, né le à Tunis et mort en 2004, est un avocat, homme politique et diplomate tunisien.

Biographie[modifier | modifier le code]

Il étudie les sciences juridiques à la faculté de droit et des sciences économiques de Paris et, après l'indépendance, devient avocat. Nommé en juillet 1956 comme ambassadeur de Tunisie en Italie puis en octobre 1957 comme ambassadeur en Allemagne de l'Ouest et aux Pays-Bas, il devient ministre de la Santé (-), ministre des Affaires sociales (-) et ministre de la Jeunesse et des Sports (-). Le , il est nommé ministre du Tourisme et reste en fonction jusqu'au .

Élu en octobre 1964 en tant que membre du comité central du Parti socialiste destourien, il est également élu la même année comme député à l'Assemblée nationale en tant que représentant du gouvernorat de Kairouan ; il est réélu en 1969 et représente dès 1974 le gouvernorat de Tunis.

Mondher Ben Ammar préside l'Avenir sportif de La Marsa à trois reprises (1972-1977, 1979-1980 et 1982-1985). Il est aussi actif dans l'Association tunisienne pour la prévention des accidents de la route fondée en 1962.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Son père, l'avocat Mhamed Ben Ammar, appartient à une branche relativement désargentée[1] d'une famille de la bourgeoisie tunisoise anciennement composée de hauts fonctionnaires et de grands propriétaires terriens. Sa mère, Fatma Dellagi, appartient également à la bourgeoisie de Tunis. Il est également le frère de Wassila Bourguiba, seconde épouse du président Habib Bourguiba.

Marié à Simone Gaggeri, il a trois enfants : Tarak, Hélé et Sadri.

Palmarès[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Samy Ghorbal, « Que reste-t-il des grandes familles ? », sur jeuneafrique.com, (consulté le ).
  2. « Zala raconte : 1936 / 1937, la saison de toutes les folies… », sur ligueclubiste.com, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]