Mello — Wikipédia

Mello
Mello
Mairie et château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Christelle Gauvin
2020-2026
Code postal 60660
Code commune 60393
Démographie
Gentilé Merlouquins
Population
municipale
601 hab. (2021 en diminution de 5,35 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 23″ nord, 2° 21′ 59″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 103 m
Superficie 3,35 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Cires-lès-Mello
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Mello
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Mello
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Mello
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Mello

Mello est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

En 1853, le hameau de Martincourt, dépendant de Saint-Vaast-lès-Mello, est rattaché à Mello.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est baignée par le Thérain.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mello est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cires-lès-Mello, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 4 615 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,7 %), terres arables (17,3 %), eaux continentales[Note 3] (10,5 %), prairies (9 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 646, 647, 648, 6313, 6344 et 6345 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Merloilum en 1039[18].

Probablement composé du latin merula (merle) et du gallois -ialo, ce serait « (la) clairière du merle »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le se déroule à Mello la bataille qui met fin à la Grande Jacquerie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Creil. Celui-ci est alors scindé, et la commune rattachée au canton de Montataire[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend, regroupant désormais 15 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était le siège de la communauté de communes la Ruraloise, qui avait pris la suite du SIVOM du Thelle.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[21],[22].

La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [23].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1843 1856 Médard Reboulet    
1856 1871 Achille Florentin Seillière   Baron
1871 1876 Auguste Millot   Médecin
1876 1886 Raymond Seillière   Baron
1886 1889 Alexandre Mercier    
1889 1900 François Seillière   Baron
1900 1904 M. Lesage    
1904 1908 François Seillière   Baron
1908 1925 Henri Mellotee    
1925 1935 Marcel Bernaert    
1935 1941 Célestin Boulanger    
1941 1944 Etienne Nughes    
1944 1945 Marcel Bernaert    
1945 1971 Jean Pichon   Médecin
1971 1979 Roger Daniel    
1979 1983 Jean Eloy    
1983 1989 Jean Gourdain    
1989 2001 Guy Deroide    
mars 2001 2008 Jean Claude Driancourt    
mars 2008[25] En cours
(au 12 septembre 2014)
Christelle Gauvin   Technicien qualité
Réélue pour le mandat 2014-2020[26]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 601 habitants[Note 4], en diminution de 5,35 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
412403427409492507460419468
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
473561514515540544430411427
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
420459418529509511402451536
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
624567514450411368417407587
2015 2020 2021 - - - - - -
635601601------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 310 hommes pour 316 femmes, soit un taux de 50,48 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
2,3 
75-89 ans
4,0 
11,4 
60-74 ans
13,2 
22,8 
45-59 ans
20,5 
22,8 
30-44 ans
22,8 
18,1 
15-29 ans
15,8 
22,1 
0-14 ans
23,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Mello compte trois monuments historiques sur son territoire. Il s'agit de :

  • Collégiale Notre-Dame
La collégiale Notre-Dame, place de l'Église (classée depuis le [32]), a été édifiée pendant la seconde partie du XIIe siècle pour les deux premiers niveaux, et entre 1210 et 1220 environ pour l'étage des fenêtres hautes, les voûtes et toitures. Bien qu'appartenant clairement à l'architecture gothique, les fenêtres issues de la première campagne de construction sont encore d'inspiration romane. Le XVIe siècle notamment a apporté un nombre de réparations et extensions, qui n'ont que légèrement la physionomie globale de l'édifice, sauf au nord de la nef. Par contre, l'écoulement de l'abside en 1741 laisse ses traces jusqu'à ce jour, n'ayant jamais été reconstruit.
Déjà très compacte, l'église en tient une extension est-ouest ne dépassant pas l'extension nord-sud, ce qui est tout à fait inhabituel pour une église gothique. Avec les dimensions réduites, contrastent l'élévation ambitieuse sur trois étages, avec un triforium présent sur tous les parois à l'intérieur de l'église, ainsi que la portée considérable des voûtes du vaisseau central et du transept. L'intérieur est également assez harmonieux et bien équilibré, ce que le caractère disparait de l'extérieur ne trahit pas[33].
  • Maison
Cette maison Renaissance est située Grande rue / place du Jeu-d'Arc. Sa façade est inscrite à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du [34]. Elle abrite aujourd'hui un hôtel-restaurant. D'après la base Mérimée, la maison aurait été détruite vers 1944 et daterait du XVIIIe siècle[34], ce qui ne cadre pas avec la référence au style Renaissance[35].
Ils surplombent le village à l'ouest. Les façades et toitures de l'ancien château, du château du Second Empire dit petit château, de la chapelle mortuaire des Seillière et de la chapelle Sainte-Anne sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du [36].
Le château fut la propriété successive des familles de Mello, de Nesle, et de Montmorency[37], ils appartiennent aujourd'hui à une société de crédit-bail immobilier, louant les installations hôtelières au groupe Châteauform', qui y exploite 101 chambres, destinées à l'accueil de séminaires.

On peut également noter :

  • Fontaine de la place de l'Église.
  • Fontaine Gabrielle, au début de la Grande rue à l'entrée ouest du village.
  • Le Thérain et ses différentes déviations qui sillonnent tout le village et l'entourent entièrement, formant plusieurs îles.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Mello

Les armes de Mello se blasonnent ainsi :
d'or à deux fasces de gueules accompagnées d'un orle de 9 merlettes.[40]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

wikilien alternatif2

Les coordonnées de cet article :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Mello » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Mello et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Cires-lès-Mello », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Transports en commun à Mello », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. a et b Maurice Lebègue, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 230.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  22. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  23. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
  24. « Les maires de Mello », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. F. N., « Les promoteurs craquent pour le sud de l'Oise », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « En dehors du Bassin creillois, les promoteurs sont de plus en plus présents. (...) Geoxia va presque doubler la population de Mello avec 54 logements quasiment terminés. « Il n'y a plus qu'une douzaine de maisons inoccupées, ce qui ne veut pas dire qu'elles ne sont pas vendues... » détaille prudemment Christelle Gauvin, nouveau maire de Mello ».
  26. « Mello », Cartes de France (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mello (60393) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. « Collégiale Notre-Dame », notice no PA00114743, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis, Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 209-217.
  34. a et b « Maison du 18e siècle », notice no PA00114744, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Voir la mention sur la fiche servant comme support à la photo dans la base Mémoire : Notice no APMH00276213, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  36. « Châteaux », notice no PA00114742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 323 p. (ISBN 2902091389) ; p. 237-242.
  38. « Les figures du Thelle : Le général d’Empire Sahuc est né ici : Brillant militaire de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle, le Louis- Michel- Antoine Sahuc a été maintes fois récompensé par l’Empereur pour lequel il a mené de grandes campagnes », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3487,‎ , p. 22.
  39. Christian Ferault et René Groussard, « 1Louis-Gervais Delamarre,«Ancien homme de loi, propriétaire et cultivateur forestier», : donateur du domaine d’Harcourt à la Société royale et centrale d’Agriculture » [PDF], Notes académiques, sur academie-agriculture.fr (consulté le ).
  40. Blason de la famille de Mello site dechav.free.fr ; consulté le 1 mai 2020