Mathieu Amalric — Wikipédia

Mathieu Amalric
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Mathieu Amalric en 2017.
Naissance (58 ans)
Neuilly-sur-Seine (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur, réalisateur
Films notables Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle)
Rois et Reine
Le Scaphandre et le Papillon
Quantum of Solace
Tournée
Séries notables Le Bureau des légendes
L'Agent immobilier

Mathieu Amalric, né le à Neuilly-sur-Seine, est un acteur et réalisateur français.

Comédien éclectique dans ses choix, allant du cinéma d'auteur français aux grosses productions américaines[1], il est récompensé par le César du meilleur espoir masculin en 1997 pour Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle) d’Arnaud Desplechin, puis deux fois le César du meilleur acteur : en 2005 pour Rois et Reine d'Arnaud Desplechin et en 2008 pour Le Scaphandre et le Papillon de Julian Schnabel.

Comme réalisateur — son activité première car il considère être devenu « acteur par accident » — il reçoit également le prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2010 pour Tournée ainsi que le prix Louis-Delluc et le prix Jean-Vigo en 2017 pour Barbara.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Mathieu Amalric est le fils de Jacques Amalric (1938-2021), correspondant à l'étranger du journal Le Monde, éditorialiste à Libération, et de Nicole Zand (1933-2024), critique littéraire au Monde[2], dont la mère était issue d'une famille juive polonaise de Cracovie[3]. Il passe quelques années à Washington où son père est correspondant de 1970 à 1973, puis à Moscou de 1973 à 1977[4], avant de revenir faire sa scolarité secondaire à Paris, au lycée Charlemagne[5].

Il a eu deux fils avec Jeanne Balibar[2] dont il s'est séparé au début des années 2000. Il a été le compagnon durant une dizaine d'années de la metteuse en scène Stéphanie Cléau[6] – rencontrée en 2005 lors de leur travail commun sur la pièce Les Variations Darwin[7] –, avec laquelle il a eu un enfant en 2007[8],[2]. Depuis 2015, il est le compagnon de la soprano et cheffe d'orchestre Barbara Hannigan[9], à qui il a consacré plusieurs documentaires[10].

Formation et débuts dans le monde du cinéma[modifier | modifier le code]

Après un passage en classes préparatoires littéraires[11], Mathieu Amalric échoue en 1985 au concours de l'Idhec[1],[12], mais rencontre Marcelo Novais Teles[13] qui sera à ses côtés pour l'écriture et le mûrissement de nombreux projets de réalisation[14]. Il s'investit dans la réalisation de courts-métrages (notamment avec sa compagne d'alors, l'actrice Nathalie Boutefeu, rencontrée à seize ans et avec laquelle il a vécu durant sept ans[15]), puis travaille sur différents tournages comme accessoiriste, cantinier, ou régisseur, ainsi que dans la société de production de Paulo Branco[16],[12]. Il apparaît comme acteur en 1984 dans Les Favoris de la lune d'Otar Iosseliani[2]. En 1987, il est stagiaire à la mise en scène sur Au revoir les enfants de Louis Malle.

Carrière d'acteur[modifier | modifier le code]

Mathieu Amalric fait la connaissance d'Arnaud Desplechin au Festival Premiers Plans d'Angers, alors qu'il présente son court-métrage Sans rires et Desplechin son long-métrage La Vie des morts[16]. Avec ce dernier, il passe des essais infructueux pour le rôle principal de La Sentinelle, mais y fera tout de même une apparition. Deux films sortis durant le premier semestre 1996 lancent réellement sa carrière[11] : il est tout d'abord remarqué dans Le Journal du séducteur de Danièle Dubroux dans lequel il tient un second-premier rôle ; il interprète ensuite le rôle de Paul Dedalus – dix jours avant le début du tournage Arnaud Desplechin ne savait pas s'il allait lui confier le rôle principal de Paul ou celui de Nathan, qui sera tenu par Emmanuel Salinger[17] – dans Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) d’Arnaud Desplechin qui confirme sa place d'acteur en devenir et pour lequel il reçoit le César du meilleur espoir masculin en 1997. Mathieu Amalric a déclaré à de multiples reprises que c'est Desplechin qui, grâce à ce film, « l'a inventé comme acteur[18] ».

À la fin des années 1990, il s'impose comme l'un des jeunes acteurs les plus en vue du cinéma d'auteur, incarnant généralement des intellectuels fantasques, exubérants ou dépressifs avec deux premiers rôles marquants en 1999 dans Fin août, début septembre d'Olivier Assayas et Trois ponts sur la rivière de Jean-Claude Biette, tous deux aux côtés de Jeanne Balibar.

En 2005, il reçoit le César du meilleur acteur pour Rois et Reine, un film de son metteur en scène fétiche, Arnaud Desplechin, qui l'utilise comme Ingmar Bergman le faisait avec Erland Josephson[19].

Sa carrière internationale débute en 2005 avec un rôle secondaire sous la direction de Steven Spielberg dans le film Munich qui lui donne pour la première fois la possibilité de travailler dans un film étranger. En 2008, il obtient le second César du meilleur acteur de sa carrière pour son rôle de journaliste atteint du locked-in syndrome dans Le Scaphandre et le Papillon de Julian Schnabel. Il était absent de la cérémonie en raison du tournage du film de la série James Bond Quantum of Solace, dans lequel il incarne l'homme d'affaires crapuleux Dominic Greene. Mathieu Amalric, qui s'est fait représenter lors de la soirée, a déploré que son discours de remerciements ait été en partie coupé, omettant un passage où il critiquait le rôle des multiplexes et le manque de plus en plus flagrant de subventions pour les salles d'art et d'essai[20].

L'année 2012 est principalement marquée par le tournage de Jimmy Picard, le film américain d'Arnaud Desplechin — qui le choisit pour la cinquième fois pour tenir un rôle dans ses films, dont quatre principaux —, où il incarne l'ethnopsychiatre Georges Devereux. Début , alors qu'il continue l'adaptation du Rouge et le Noir, il est contacté par Roman Polanski pour remplacer au dernier moment Louis Garrel qui devait tenir le rôle principal du film La Vénus à la fourrure[21]. À l'issue de la sélection pour le 66e Festival de Cannes, ces deux films, dans lesquels il a les rôles principaux, sont en compétition officielle pour la Palme d'or, situation particulièrement rare pour un acteur. La seconde partie de l'année 2014 est marquée par le tournage de deux films avec d'une part Trois souvenirs de ma jeunesse d'Arnaud Desplechin – constituant une préquelle vingt après à Comment je me suis disputé... – et d'autre part Belles Familles de Jean-Paul Rappeneau.

En , le festival de cinéma de Cork en Irlande lui consacre une rétrospective concernant à la fois sa carrière d'acteur et de réalisateur[22] ; le mois suivant, l'Académie de France à Rome lui donne une carte blanche[23]. En septembre-octobre de la même année, c'est au tour de la Cinémathèque française de lui consacrer un cycle pour l'ensemble de sa carrière cinématographique[24].

En 2018, Mathieu Amalric rejoint la distribution de la quatrième saison de la série Le Bureau des légendes de Canal+ dans laquelle il tient le rôle de JJA, chef de la direction de la sécurité (DSEC) de la DGSE[25]. L'année suivante il interprète le rôle central très remarqué de L'Agent immobilier (2020), la mini-série d'Arte réalisée par l'écrivain Etgar Keret et sa compagne la réalisatrice Shira Geffen[26],[27], dans laquelle son interprétation pleine de « fantaisie » lui vaut d'être en couverture des Inrockuptibles pour son numéro hebdomadaire qui lui consacre un long entretien pour discuter de ses rôles à la télévision et de ses métiers d'acteur et de réalisateur au cinéma[28].

Carrière de réalisateur[modifier | modifier le code]

Mathieu Amalric et les actrices du film Tournée lors du Festival de Cannes en 2010.

Paradoxalement, Mathieu Amalric se considère principalement comme un réalisateur de cinéma. Ses premiers courts métrages sont réalisés de manière quasi-artisanale dans les années 1980, puis avec l'aide notamment du Groupe de recherches et d'essais cinématographiques (GREC) en 1990 pour Sans rires. Cette première œuvre notable est présentée quelques mois plus tard au 9e festival « Tous courts » d’Aix-en-Provence où il obtient le Grand Prix du jury[29], ce qui constitue le tout premier prix cinématographique reçu par Mathieu Amalric, qui n'est pas encore réellement un acteur avant Le Journal du séducteur (1996) de Danièle Dubroux. Il est suivi deux ans plus tard par Les Yeux au plafond. Il est l'année suivante l’auteur d'un premier film autobiographique Mange ta soupe (1997) puis du Stade de Wimbledon (2001) pour lequel il offre le rôle principal à Jeanne Balibar. En 2003, il présente La Chose publique à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes.

En 2004 il est membre du jury du 26e Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand. À la surprise générale, il annonce en tant que porte-parole la décision unanime ne pas remettre le Grand prix de la Compétition française (le prix le plus important pour les films français dans ce festival) cette année-là, notamment à cause du « manque d'inventivité formelle » des films présentés et du danger « d'uniformisation de la culture ». Dans un entretien au journal L'Humanité[30] il s'en explique, reprochant aux films sélectionnés d'avoir cherché à « simplifier le monde, au lieu de puiser, de chercher, de s'interroger sur la complexité de l'être humain », d'être sans inventivité ou fantaisie, et de se contenter de filmer leur scénario. Précisant sa vision de réalisateur, il considère alors qu'un film ne doit pas avoir de « fonction sociale » ou délivrer de message — sans intentions et « surtout pas de bonnes intentions » —, un artiste devant principalement filmer pour le seul désir de filmer.

À partir de 2010, Mathieu Amalric décide de moins jouer en tant qu'acteur afin de mener à bien ses projets de réalisateur de film, carrière vers laquelle il se sent plus attiré depuis de nombreuses années. Il réalise alors son quatrième long métrage, Tournée (dont il joue également le personnage central), pour lequel il remporte le Prix de la mise en scène lors du Festival de Cannes. Ce film et la récompense obtenue auront un impact important auprès des producteurs qui le considèrent désormais comme un metteur en scène à part entière et plus seulement comme un acteur. Ainsi, la même année il répond à une commande de la Comédie-Française pour l'adaptation télévisée de L'Illusion comique de Corneille qu'il transpose dans une version contemporaine remarquée par la critique[31].

En tant qu'artiste invité, il intervient également à la Fémis et au Fresnoy (où, à l'invitation de Dominique Païni, il a notamment réalisé en 2011 une installation reconstituant l'appartement de sa professeur de piano à Moscou dans le cadre de l'exposition « Panorama[32] »).

Mathieu Amalric à la cérémonie des Prix Lumières, en .

En , Mathieu Amalric annonce qu'il travaille au scénario d'une importante adaptation (cinéma et télévision en plusieurs épisodes) de Le Rouge et le Noir[33],[34]. Il continue durant cette période à accepter des rôles plus secondaires dans divers films à l'exception de Jimmy P. (Psychothérapie d'un Indien des Plaines) d'Arnaud Desplechin et de La Vénus à la fourrure de Roman Polanski dont il intègre la distribution au dernier moment et au pied levé. Alors que le projet du Rouge et le Noir, du fait de l'ambition du film, en est toujours au stade de l'adaptation et de la préparation, le producteur Paulo Branco annonce que Mathieu Amalric va se lancer dans la réalisation d'un film dans l'intervalle avec l'adaptation du roman La Chambre bleue de Georges Simenon dont Branco et Amalric ont obtenu les droits[35]. Le tournage de l'adaptation de ce roman noir sentimental, auquel Mathieu Amalric est depuis longtemps attaché, est entrepris en avec le réalisateur dans le rôle principal. Quelques mois plus tard, le film est retenu dans la sélection Un certain regard lors du Festival de Cannes 2014.

Arrivé à ce stade de sa carrière, Mathieu Amalric reçoit le commentaire élogieux du cinéaste et historien du cinéma Noël Simsolo dans son Dictionnaire de la Nouvelle Vague (2013) :

« L'héritier actuel de la Nouvelle Vague en France : c'est lui, comme acteur et réalisateur [...] car son style de cinéaste, comme son jeu de comédie, privilégie cette attitude de la Nouvelle Vague où rigueur et liberté faisaient un mélange détonant. »

— Dictionnaire de la Nouvelle Vague, Noël Simsolo[12],[36]

Mathieu Amalric (2e en partant de la droite) lors des saluts pour La Collection, au Théâtre de l'Atelier, en .

Renouant avec Jeanne Balibar, il lui confie le rôle de la chanteuse Barbara et se met en scène dans le film Barbara (2017) – présenté dans la section Un certain regard lors du Festival de Cannes 2017 – qui vaut à l'actrice le César de la meilleure actrice en 2018 et au film huit nominations lors des César 2018 (dont celles du meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur scénario). Le film reçoit en 2017 le prix Louis-Delluc et le prix Jean-Vigo. De plus lors du tournage de ce film, les réalisateurs André S. Labarthe et Quentin Mével lui consacrent un numéro de leur série documentaire Cinéma de notre temps, série initiée par le premier en 1964 et qui sera son dernier film avant sa mort[37],[38].

En 2019, Mathieu Amalric réalise son huitième long métrage, intitulé Serre moi fort, en adaptant la pièce de théâtre Je reviens de loin de Claudine Galéa avec Vicky Krieps et Arieh Worthalter dans les rôles principaux[39], dont la sortie, en 2021, a été repoussée en raison de la crise de la Covid-19[40].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Acteur[modifier | modifier le code]

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Courts métrages[modifier | modifier le code]

Réalisateur[modifier | modifier le code]

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Producteur[modifier | modifier le code]

Doublage et narration[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

Théâtre[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Prix[modifier | modifier le code]

Récompense Année Catégorie Film
Festival « Tous courts » d'Aix-en-Provence 1991 Grand Prix du court métrage[29] Sans rires
Césars 1997 Meilleur espoir masculin Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle)
2005 Meilleur acteur Rois et Reine
2008 Le Scaphandre et le Papillon
Prix Lumière 2005 Meilleur acteur Rois et Reine
2008 Le Scaphandre et le Papillon
Étoiles d'or du cinéma français 2005 Meilleur acteur Rois et Reine
2008 Le Scaphandre et le Papillon
Festival de Cannes 2010 Prix de la mise en scène Tournée
Prix FIPRESCI
Prix du syndicat de la critique Prix du film singulier francophone
Festival international du film RiverRun 2011 Prix du meilleur acteur[52]
Festival international du film sur l'art 2011 Prix de la création[53] Joann Sfar (dessins)
Prix Jean-Vigo 2017 Prix du long métrage[54] Barbara
Prix Louis-Delluc Meilleur film

Nominations[modifier | modifier le code]

Nomination Année Catégorie Film / Pièce
Prix Louis-Delluc 2002 Meilleur film[55] Le Stade de Wimbledon
National Society of Film Critics Awards 2006 Meilleur acteur dans un second rôle Munich
Prix Lumière 2011 Meilleur réalisateur Tournée
César du cinéma 2011 Meilleur réalisateur Tournée
Meilleur film
Meilleur scénario
2014 Meilleur acteur La Vénus à la fourrure
2015 Meilleure adaptation La Chambre bleue
2018 Meilleur réalisateur Barbara
Meilleur film
Meilleur scénario
2022 Meilleure adaptation Serre moi fort
Molières 2019 Molière du comédien dans un spectacle de théâtre public La Collection

Décorations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Nicolas Houguet, « Mathieu Amalric : artiste exigeant et éclectique », TF1, 13 mai 2010.
  2. a b c et d Sabrina Champenois, « Toupie or not to be », Libération, 24 octobre 2011.
  3. Conférence de presse de La Vénus à la fourrure, site officiel du festival de Cannes 2013.
  4. Laurent Rigoulet, « Mathieu Amalric : Comment j’ai tourné cinéaste… », Télérama, 30 juin 2010.
  5. « Parcours d'artiste #33 : Mathieu Amalric, l’impatient », Télérama, 24 décembre 2010.
  6. Lætitia Martini, Mathieu Amalric : « Barbara ne mérite pas qu'on la déterre pour l'embaumer dans de la naphtaline », Corse-matin, 31 juillet 2017.
  7. Sabrina Champenois, « Mathieu Amalric et Stéphanie Cléau : tournez ménage », Libération, 15 mai 2014.
  8. Ils apparaissent ensemble avec leur enfant dans une scène du film de Bruno Podalydès, Bancs publics (Versailles Rive-Droite).
  9. Laurent Amalric, « Mathieu Amalric dans le Var: ses histoires d'amour avec les Barbara », Var matin, 15 novembre 2017.
  10. Renaud Machart, « Rêve de Hongrie : Barbara Hannigan, sculptrice du silence », Le Monde, 12 août 2020.
  11. a et b « Mathieu Amalric en 10 films », Les Inrocks, 19 août 2009.
  12. a b et c Noël Simsolo, Dictionnaire de la Nouvelle Vague, éditions Flammarion, 2013, (ISBN 9782081332058), p. 26.
  13. Raphaëlle Valbrune, Marcelo Novais Teles, nommés pour le César 2011 du Meilleur Scénario Original pour Tournée entretien des nommés pour les César 2011.
  14. Marcos Uzal, « La cuisine intime d’un "Exilé" », Libération, 11 décembre 2018.
  15. [vidéo] WebTV Zibeline – Entretien avec Marcelo Novais Teles à l'occasion de la sortie de son film documentaire L'Exilé (2017).
  16. a et b Entretien Mathieu Amalric - Un cinéaste contrarié, Les Inrocks, 12 juin 2007.
  17. Gilles Médioni, « Arnaud Desplechin, la frayeur de l'âge adulte... », L'Express, 13 juin 1996.
  18. Mathilde Blottière, « Mathieu Amalric vu par Arnaud Desplechin », Télérama, 12 septembre 2013.
  19. « Mathieu Amalric: "Pour Tournée, j'ai été comme un vampire qui a pris l'énergie, la joie des stripteaseuses" », L'Express, 2 juillet 2010.
  20. César 2008 : Mathieu Amalric se plaint d’avoir été censuré, le 25 février 2008.
  21. « Mathieu Amalric soumis à Emmanuelle Seigner dans la comédie SM de Polanski », Première, 15 janvier 2013.
  22. (en) Marjorie Brennan, « Cork enjoys French connection as Mathieu Amalric returns to Leeside », Irish Examiner, 23 février 2015.
  23. Rendez-vous – avril 2015 sur le site de l'Académie de France à Rome.
  24. Bernard Benoliel, « Mathieu Amalric, du 9 septembre au 25 octobre 2015 », Cinémathèque française, septembre-octobre 2015.
  25. « Le Bureau des légendes saison 4: Qui était le vrai "JJA", qui a inspiré le personnage de Mathieu Amalric », Le HuffPost,‎ (lire en ligne).
  26. Olivier Joyard, « La folie douce d’un Agent immobilier au bout du rouleau sur Arte », Les Inrocks, 4 mai 2020.
  27. Baudouin Eschapasse, « L'Agent immobilier : quand Mathieu Amalric « déménage » sur Arte », Le Point, 30 avril 2020.
  28. Olivier Joyard, « Bureau des légendes, L'Agent immobilier : Mathieu Amalric raconte », Les Inrockuptibles, 4 mai 2020.
  29. a et b 20 ans de Grands Prix : rétrospective des films primés lors du 20e festival « Tous courts » d’Aix-en-Provence sur le site www.commeaucinema.com.
  30. Muriel Steinmetz, « Coup de théatre et appel à la vigilance », L'Humanité,‎ (lire en ligne).
  31. Voir réception critique sur l'article L'Illusion comique.
  32. Christian Vincent, « Mathieu Amalric a été artiste invité du Fresnoy durant un an pour enseigner », La Voix du Nord, 11 juin 2011.
  33. « Mathieu Amalric va adapter "Le Rouge et le Noir" », Télérama, 24 mai 2012.
  34. Marie-Noëlle Tranchant, « Mathieu Amalric, celui par qui Stendhal arrive », Le Figaro, 24 octobre 2012.
  35. Mathieu Amalric adapte « La Chambre bleue » de Simenon, Les Inrockuptibles, 29 avril 2013.
  36. Jean-François Pluijgers, « Chronique livre : Dictionnaire de la Nouvelle Vague », Le Vif, 12 décembre 2013.
  37. Mathieu Amalric, l'art et la matière (2017), Centre national du cinéma, consulté le 2 juin 2020.
  38. Marilou Duponchel, « Mathieu Amalric, l’art et la matière, un cinéaste à l’œuvre », Les Inrockuptibles, 2 juin 2020.
  39. Bruno Deruisseau, Ludovic Béot, Marilou Duponchel et Jean-Baptiste Morain, « Ce qu'il ne faudra pas rater au cinéma en 2020 », Les Inrocks, 7 janvier 2020.
  40. Olivier Lebrun, « Mathieu Amalric rêve de revenir au cinéma : "On n'en peut plus de voir des films sur petit écran" », France Bleu, 5 mars 2021.
  41. Abismo, sur le site du festival Côté Court.
  42. Fortune clippé par Mathieu Amalric dans Les Inrocks du 12 avril 2011.
  43. Hopper vu par... Mathieu Amalric sur le site d'Arte le 11 octobre 2012.
  44. Renaud Machart, « TV : « Premières répétitions : Barbara Hannigan vue par Mathieu Amalric », Le Monde, 13 juillet 2017.
  45. « Révolution école, 1918-1939 (Joanna Grudzinska, 2016) - La Cinémathèque française », sur www.cinematheque.fr (consulté le ).
  46. Avec Denis Podalydès, Isabelle Huppert, Catherine Deneuve et Jeanne Balibar.
  47. Christophe Kechroud-Gibassier, « Charlie Chaplin, le génie de la liberté : le premier portrait de Charlot tout en archives », France Télévision, 4 janvier 2021.
  48. Alain Constant, « Les Damnés de la Commune, sur Arte : Victorine Brocher, une héroïne méconnue », Le Monde, 23 mars 2021.
  49. Fiche de la pièce sur le site du théâtre de la Bastille.
  50. Jean-Francois Lixon, « La collection d'Harold Pinter au Théâtre national de Bretagne : quand l'ombre du doute hante deux couples », Culturebox, France Télévision, 17 janvier 2019.
  51. « On a vu : une fascinante « Collection » avec Mathieu Amalric au Quartz à Brest », Le Télégramme, 15 octobre 2020.
  52. (en) « 2011 Award Winners »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) sur le site du Festival international du film RiverRun.
  53. Joann Sfar (dessins) sur le site film-documentaire.fr.
  54. Palmarès 2017 du prix Jean-Vigo sur le site officiel le 12 juin 2017.
  55. Prix Louis Delluc 2002 : sélection finale le 29 novembre 2002 sur www.allocine.fr.
  56. « Nomination ou promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres janvier 2011 ».

Liens externes[modifier | modifier le code]

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