Marthe Asselin-Vaillancourt — Wikipédia

Marthe Asselin-Vaillancourt (née à Sainte-Flavie[1] le et morte à Jonquière le [2]) est une citoyenne québécoise de nationalité canadienne impliquée socialement .

Biographie[modifier | modifier le code]

Marthe Asselin-Vaillancourt est profondément engagée sur le plan social pendant près de 50 ans entre 1960 à 2010. La championne de plusieurs causes, elle a notamment œuvré à la mise sur pied d’une maison d’hébergement pour femmes victimes de violence, assumé des rôles de premier plan à la Fédération des femmes du Québec et contribué à la mise en place du réseau des centres d’aide aux victimes d’actes criminels au Québec.

Ses efforts en faveur d’une plus grande justice sociale l’ont également amenée à co-présider le Comité canadien sur la violence faite aux femmes et à faire bénéficier de son leadership l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées[3].

Distinction[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Marthe Asselin-Vaillancourt – Ordre national du Québec », sur www.ordre-national.gouv.qc.ca (consulté le )
  2. « La pionnière Marthe Asselin-Vaillancourt s'est éteinte », sur Ici Radio-Canada, (consulté le )
  3. a et b Bureau du secrétaire du gouverneur général, « Le gouverneur général investit 45 récipiendaires au sein de l'Ordre du Canada », sur La gouverneure générale du Canada, (consulté le )
  4. « Lauréates antérieures - Prix du Gouverneur général en commémoration de l’affaire « personne » - Condition féminine Canada », sur Condition féminine Canada (consulté le )