Marsannay-la-Côte — Wikipédia

Marsannay-la-Côte
Marsannay-la-Côte
Village de Marsannay-la-Côte.
Blason de Marsannay-la-Côte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Dijon
Intercommunalité Dijon Métropole
Maire
Mandat
Jean-Michel Verpillot
2020-2026
Code postal 21160
Code commune 21390
Démographie
Gentilé Marcenacien(ne)s, Pataras
Population
municipale
5 309 hab. (2021 en augmentation de 2,25 % par rapport à 2015)
Densité 413 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 16′ 17″ nord, 4° 59′ 22″ est
Altitude Min. 238 m
Max. 477 m
Superficie 12,85 km2
Unité urbaine Dijon
(banlieue)
Aire d'attraction Dijon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chenôve
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Marsannay-la-Côte
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Marsannay-la-Côte
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Marsannay-la-Côte
Liens
Site web ville-marsannay-la-cote.fr

Marsannay-la-Côte est une commune française appartenant à Dijon Métropole située dans le canton de Chenôve du département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Marsannay-la-Côte est située aux portes de Dijon (6 km au sud-ouest), à l'extrémité nord de la côte de Nuits et de la route des Grands Crus de Bourgogne. Elle porte 186 ha de vignes, 202 ha de zone agricole et 523 ha de forêt communale.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 803,0 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records MARSANNAY LA COTE (21) - alt : 280m, lat : 47°16'00"N, lon : 4°59'12"E
Records établis sur la période du 01-06-1938 au 31-05-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,2 3,1 5,9 9,9 13,5 15,5 15 11,2 7,6 3,4 0,6 7,1
Température moyenne (°C) 2,8 4 7,8 11,1 15,2 19,1 21,3 20,8 16,6 11,8 6,6 3,5 11,7
Température maximale moyenne (°C) 5,7 7,7 12,6 16,4 20,6 24,7 27,1 26,7 22 16,1 9,8 6,3 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−19,5
09.01.1985
−14
10.02.1986
−11,5
02.03.05
−4,5
12.04.1986
−2
01.05.1939
4
02.06.06
6
04.07.1980
5,5
30.08.1988
1,5
30.09.1995
−4,5
25.10.03
−10,5
27.11.1985
−16
20.12.09
−19,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
16.01.1974
21,5
27.02.19
25,3
31.03.21
28,5
21.04.18
32
25.05.09
39,5
27.06.19
40
31.07.20
40
12.08.03
34
16.09.20
27,5
04.10.11
21,6
07.11.15
17,5
16.12.1989
40
2020
Précipitations (mm) 66,8 53,8 55,9 60,4 75,3 70,5 65 61 60,9 75 84,1 74,3 803
Source : « Fiche 21390001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marsannay-la-Côte est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dijon, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[9] et 245 875 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,3 %), cultures permanentes (17,3 %), terres arables (12,5 %), zones urbanisées (10,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Vignoble[modifier | modifier le code]

Marsannay-la-Côte est un village viticole réputé de Bourgogne et produit les trois variétés de vin de Bourgogne :

  • vin rouge et vin rosé à base de raisins issus du cépage pinot noir
  • vin blanc à base du cépage chardonnay.

Le vignoble est planté sur les pentes douces de la côte qui s'étend sur 80 km de Dijon à Beaune entre 260 et 320 mètres d'altitude orienté est sur des sols crayeux-marneux.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

L'éperon rocheux barré du Gronya signale une ancienne présence humaine cherchant à se protéger sur le territoire de la commune dès la Préhistoire. De même, on note la continuité de cette présence jusqu'à l'Âge du fer avec le tumulus du lieu-dit "les Terrasses".

Antiquité[modifier | modifier le code]

Le territoire de Marsannay est très fréquenté dès la plus haute Antiquité. Un couteau surmonté d'un sanglier d'origine gauloise a ainsi été retrouvé. Le lieu profite en effet de sa situation de "carrefour" entre un axe nord-sud, parallèle à la côte, et un débouché de combe, orienté est-ouest, et permettant l'accès à la vallée de l'Ouche. Adossé à un relief protecteur, le site repose sur une "terrasse", dominant légèrement la plaine dijonnaise au pied de la côte[15].

La présence gallo-romaine est attestée. On a d'ailleurs longtemps cru que l'origine du nom de Marcenay, ancien nom du village, remontait à un certain Marcenus, propriétaire d'un domaine local. Cette explication toponymique est aujourd'hui nuancée[16]. Une nécropole gallo-romaine, avec sépultures à incinération, a aussi été découverte. En tout cas, il est probable que les Romains aient introduit la culture de la vigne qui, depuis, a rythmé la vie du village.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'abbé historien Courtépée[17], qui écrit à la fin du XVIIIe siècle, pense pouvoir affirmer qu'il y avait en 658 un important vignoble dépendant de l'Abbaye Saint-Pierre de Bèze qui comportait douze pièces de vignes. Marsannay est considéré alors comme appartenant au pays d'Oscheret, ou pays d'Ouche.

À la fin du IXe siècle, ou au début du Xe siècle, une chapelle Saint-Urbain est fondée afin d'abriter les reliques du saint qui étaient régulièrement translatées de Dijon à Marsannay. Renforcée en 1142 par le duc Eudes II, elle est ensuite transformée en monastère (mentionné dès 1255). Un colombier toujours visible y est adjoint au XIIIe siècle. Le village viticole a également reçu la protection d'autres abbayes : saint Martial (du petit prieuré d'Époisses), Abbaye Saint-Bénigne de Dijon, saint Étienne (avec un prieuré)...

En , a lieu le tournoi dit du Pas d'Armes. Il se déroule au pied de l'Arbre de Charlemagne, en souvenir d'une prétendue sieste impériale à son ombre, au lieu-dit actuel La Charme. Les festivités durent quarante jours.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1775, Courtépée précise : « ce pays vignoble produit d'assez bons vins[17] ».

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
« Fascé ondé d'or et d'azur de six pièces, au chef de sable chargé de deux cavaliers affrontés d'argent avec leurs lances de tournoi »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie de Marsannay.

Le village s'est longtemps appelé Marcenay-en-Montagne ("Marceniacum in Monte") avant de prendre son nom actuel de Marsannay-la-Côte en 1783. On a longtemps cru que Marcenay dérivait du nom d'un domaine gallo-romain ayant appartenu à un certain "Marcenus". D'autres recherches[16] tendent à rapprocher le toponyme d'une racine celte, "-marco-", qui signifierait "la mare".

Marsannay-la-Côte appartient au canton de Chenôve depuis 1973 après avoir appartenu au canton de Gevrey-Chambertin (1793-1801), de Dijon-Ouest (1801-1907) et de Dijon-Sud (1907-1973).

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1953 Jean Bart    
1953 1959 René Denour    
1959 1965 Henri Jarrot    
1965 1966 André Lambert    
1966 mars 1971 Jean Jouanny    
mars 1971 mars 1983 Paul Goutorbe[18]   Instituteur
mars 1983 mars 2008 Gérard Laborier DVD Ancien directeur de centres de vacances et de loisirs[19]
mars 2008 mars 2014 Jean-François Gondellier DVD Directeur administratif et financier
mars 2014 en cours Jean-Michel Verpillot[20] DVG Retraité de la fonction publique

Jumelages[modifier | modifier le code]

Marsannay-la-Côte est jumelée avec :

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Marsannay-la-Côte se nomment les Pataras et les Patarates, en référence à l'ancien nom du village : "Marceniacum in Monte" puis "Marcenay". Ils sont surnommés les "Pataras", venant du patois bourguignon : "patarou" qui voulait dire en quelques sortes : agité. On peut en déduire que les pataras étaient sans doute très actifs.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 5 309 habitants[Note 3], en augmentation de 2,25 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
617584591619703730761832788
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
783840837825819855892875813
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8087697437577938959149781 124
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 8724 0606 5885 9415 2165 2115 1785 2715 095
2014 2019 2021 - - - - - -
5 2085 3115 309------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Colombier (XIIIe siècle)[modifier | modifier le code]

Colombier Saint-Urbain

Appelé "colombier Saint-Urbain" car il était dans l'enceinte du monastère Saint-Urbain, ce colombier circulaire est situé rue du château sur un domaine privé et contient 889 boulins.

Café du Rocher[modifier | modifier le code]

Créé en 1830, il s'agit d'un des plus anciens cafés de France. Ce lieu mythique serait ainsi le troisième café français encore existant après le célèbre Procope de Paris (1686) et la café de la Table Ronde de Grenoble (1789). À l'origine, il portait le nom de « Relais du soldat de Napoléon » eu égard au grognard tavernier qui l'administrait alors.

Le titre de « Café historique européen » lui a été remis lors d'une cérémonie officielle le [25].

Il possède un ensemble de quatre paysages animés peints dans les années 1830 par un soldat ayant participé aux guerres napoléoniennes[26].

Il a été classé Monument historique par arrêté du [27].

Église Notre-Dame de l'Assomption[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame de l'Assomption

L'église Notre-Dame de l'Assomption a été reconstruite au début du XIXe siècle, entre 1830 et 1839, dans un style architectural néo-classique[28]. Elle ne conserve rien de l'édifice précédent dont le clocher s'était auparavant effondré.

Le cul de four du chœur de l'église actuelle est décoré par une peinture murale réalisée en 1942-1943 par Mauméjean, avec l'aide des peintres Berasaluce, Durgeat et Hildenbrand. Sur une hauteur de cinq mètres, sont représentés des figures bibliques (Assomption, Saint-Esprit, colombe, angelot) mais aussi un vigneron, un soldat, une religieuse, etc. Des inscriptions complètent la fresque[29].

Un groupe en bois sculpté du XVIe siècle représente la charité de saint Martin[30]. On peut également remarquer une statue de saint Maur du XVe siècle et une chaire du XVIe siècle ou XVIIe siècle aux panneaux ornés de cariatides.

L'église est dotée d'un orgue numérique Allen.

Lavoirs (XIXe siècle)[modifier | modifier le code]

Lavoir de l'Ormichal, au Rocher

Marsannay-la-Côte possède deux lavoirs : le lavoir de l'Ormichal, un édifice à ciel ouvert comportant un bassin rectangulaire en pierre de taille, récemment restauré [31] et un édifice plus classique[32].

Maison des sociétés (XIXe - XXe siècles)[modifier | modifier le code]

Maison des sociétés

C'est une maison bourgeoise de 300 m2 habitables sur trois niveaux, située dans un vaste parc de 4 900 m2[33] . Elle comprend un corps principal de bâtiment du XVIIIe siècle et deux ailes du XIXe siècle. Cette propriété appartenait à monsieur et madame Moncorget. Tous deux décédés (lui en 1954, elle en 1978), c'est leur fille unique qui en héritait.

Celle-ci mit en vente la propriété qui fut acquise par la commune en et qui est devenue un lieu public d'expositions et d'animations culturelles. Dans le parc arboré se trouve le Sophora Burgonde, un arbre totem sculpté en 2004 par François Cannet, Jean Decologne et Claude Maillard.

Maison de Marsannay (XXe siècle)[modifier | modifier le code]

Construction communale inaugurée en 1982, à vocation culturelle et sportive avec salles de spectacles, de banquets et associatives et aire de loisirs à proximité.

Protection de l'environnement[modifier | modifier le code]

La côte et l'arrière-côte de Dijon, sur le territoire de la commune de Marsannay, est une zone protégée classée Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type II. La Combe de Gouville est classée ZNIEFF de type I.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alphonse Favier, dit "Monseigneur Favier", né à Marsannay-la-Côte le , mort à Pékin le , vicaire apostolique responsable du Pé-Tang lors de la Révolte des Boxers (juin-août 1900), chevalier de la Légion d'honneur.
  • le colonel Charles Flamand, ancien des Forces aériennes françaises libres, grand-croix de la Légion d'honneur, qui résidait à Marsannay-la-Cote jusqu'à sa mort (). Cité douze fois dont quatre à l'ordre de l'armée aérienne, il avait terminé sa carrière sur la base aérienne 102 de Dijon[34].

Marsannay-la-Côte compte d'autres natifs titulaires de la Légion d'honneur :

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Marsannay la Cote » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Marsannay la Cote » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Dijon », sur insee.fr (consulté le ).
  10. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Cette configuration est d'ailleurs identique à celle de la ville voisine de Gevrey-Chambertin.
  16. a et b TAVERDET (Gérard), Noms de lieux de Bourgogne.
  17. a et b COURTEPEE (Abbé) et BEGUILLET, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, (écrit vers 1775), 3e édition, Avallon, 1967.
  18. « La très vieille origine de la rue des Écoles », Le Bien Public,‎ (lire en ligne)
    « Paul Goutorbe, maire de 1971 à 1983 ».
  19. « Gérard Laborier est le nouveau président de la Fedosad », Le Bien Public,‎ (lire en ligne).
  20. Fiche de M. Jean-Michel VERPILLOT, sur lesbiographies.com
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Premier café historique de Bourgogne
  26. Ministère de la culture - palissy
  27. « Café du Rocher », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Maître d'œuvre : Saint-Père.
  29. Ministère de la culture - palissy
  30. Ministère de la culture - palissy
  31. Notice no IA21003235, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Notice no IA21000661, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Descriptif (Base Mérimée du Ministère de la Culture)
  34. Article « Le colonel Flamand, héros de la France libre », journal L'Union du jeudi 9 mai 2019.
  35. « Cote LH/246/82 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  36. « Cote LH/2250/56 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  37. « Cote LH/1880/5 », base Léonore, ministère français de la Culture.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]