Marc Aillet — Wikipédia

Marc Aillet
Image illustrative de l’article Marc Aillet
Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron
Biographie
Nom de naissance Marc Marie Max Aillet
Naissance (66 ans)
Parakou (colonie du Dahomey)
Ordination sacerdotale par le
card. Giuseppe Siri
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale
par le card. Jean-Pierre Ricard
Évêque de Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron
Depuis le
Autres fonctions
Fonction religieuse
Membre de l'Alliance des cœurs unis

Blason
« Écoute, Israël » (Dt. 6, 4)
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

Marc Marie Max Aillet, né le à Parakou au Dahomey, devenu le Bénin, est un évêque catholique français, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron depuis 2008.

Biographie[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

Marc Aillet est le fils du capitaine Jacques Aillet, membre de l’Organisation de l'armée secrète connue par son sigle OAS, condamné en 1962 à trois années de prison[1],[2].

Il est passé par les scouts d’Europe[1].

Entré au séminaire de Gênes en Italie au titre de la communauté Saint-Martin[1], il obtient une licence et un doctorat canonique de théologie à l’Université catholique de Fribourg[3].

Principaux ministères[modifier | modifier le code]

Il est ordonné prêtre le en Italie, au sein de la communauté Saint-Martin[1].

Il exerce ensuite son ministère dans le diocèse de Fréjus-Toulon comme aumônier des lycées et collèges de Saint-Raphaël, professeur de théologie morale et directeur spirituel au séminaire diocésain de Fréjus-Toulon à la Castille (commune de la Crau).

Puis, il ouvre l'école de théologie de la communauté Saint-Martin et devient recteur de la maison de formation (à Gênes en Italie puis à Candé-sur-Beuvron dans le diocèse de Blois)[1]. Pressenti pour succéder à l’abbé Guérin, au poste de modérateur général de la communauté, il n'est finalement pas choisi[1].

De 1998 à 2005 il est curé des paroisses de Saint-Raphaël. En 2002, Dominique Rey, évêque du diocèse de Fréjus-Toulon fait de lui son vicaire général[1].

Le , Benoît XVI le nomme évêque de Bayonne, Lescar et Oloron[4], comprenant 69 paroisses réparties dans le département des Pyrénées-Atlantique[5], où il succède à Pierre Molères. Sa consécration épiscopale a lieu le , en la cathédrale Sainte-Marie de Bayonne. Elle est présidée par le cardinal Jean-Pierre Ricard, assisté de Dominique Rey et de Pierre Molères.

Marc Aillet est membre de l'Alliance des cœurs unis[6],[7] et accompagne pastoralement l'association dont les statuts ont été déposés en 2014 auprès de la sous-préfecture de Bayonne[8] et qui revendique 2 700 membres en 2022. Ce groupe est organisé autour de la mystique Gaëtane de Lacoste Lareymondie, dite « Virginie », qui prétend avoir des visions et des révélations surnaturelles que diffuse l'association. Béatrice Bourges et Caroline de Villiers, fille de Philippe de Villiers, en sont membres. La cellule « emprise et dérives sectaires dans l’Église catholique » de l'épiscopat français a reçu plusieurs signalements au sujet de l'Alliance des cœurs unis[9],[10].

Évêque de Bayonne[modifier | modifier le code]

Communication[modifier | modifier le code]

Marc Aillet choisit comme délégué épiscopal à l’information, et responsable de la communication Olivier Drapé, ancien directeur d'Ichtus, proche de l'extrême-droite catholique traditionaliste[1].

En 2012, le diocèse de Bayonne lance une campagne de communication originale, visant à recueillir des fonds pour la campagne annuelle du Denier du culte, en recourant à l'affichage publicitaire et aux réseaux sociaux[11],[12].

En 2021, il reprend par communiqué de presse de nombreux arguments des opposants à la vaccination contre le Covid-19[1]. La même année, il appelle à boycotter le quotidien catholique La Croix à la suite d'une enquête sur un de ses proches Jean-Pierre Cattenoz[1].

Académie Diocésaine pour la Vie[modifier | modifier le code]

Marc Aillet en 2012.

Au sein de son diocèse, Marc Aillet lance officiellement le l'Académie Diocésaine pour la Vie[13].

Colloque International pour la Vie[modifier | modifier le code]

Le « Colloque International pour la Vie » à Biarritz, du au , suscite des réactions : la député Sylviane Alaux considère que celui-ci est « de la provocation pure et simple » . Pour Michelle Berthier du planning familial « on ne se laissera pas voler nos droits à l'IVG, à la contraception, par une minorité contestée au sein même de l'Église ». Elle souligne l'appartenance ou la proximité d'intervenants avec l'Opus Dei, un mouvement « conservateur »[14].

Visites de son ministère[modifier | modifier le code]

Voyage à Moscou[modifier | modifier le code]

En , un mois après l'invasion et l'annexion de la Crimée par la Russie[1], Marc Aillet, accompagné d'une délégation[N 1], se déplace à Moscou pour rencontrer des représentants de l'Église orthodoxe russe et des personnalités politiques, l'État russe défendant une conception traditionnelle de la famille. Ce déplacement a été critiqué par les instances de la Conférence des évêques de France[15],[16].

Voyage en Irak, auprès des réfugiés chrétiens et des autres minorités[modifier | modifier le code]

Marc Aillet auprès des réfugiés d'Irak, à Erbil, octobre 2014.

Du lundi au jeudi , il s’est rendu à Erbil en Irak, auprès des chrétiens et d’autres communautés déplacées en compagnie de Dominique Behnan Aziz, président de l’Association des Chaldéens de Pau. Ils sont reçus par l'êvèque Bashar Matti Warda[17][source insuffisante].

Prises de positions[modifier | modifier le code]

Euthanasie[modifier | modifier le code]

En , à la suite de la mise en examen d'un médecin de Bayonne soupçonné d'avoir provoqué la mort de quatre patients en 5 mois, prend position contre l'euthanasie[18].

Interruption volontaire de grossesse[modifier | modifier le code]

Ses prises de position de 2016 effectuent un parallèle entre l'organisation terroriste islamiste Daech et l'interruption volontaire de grossesse. À la suite de ces propos, la rédaction du magazine catholique Golias lance une pétition demandant sa démission[19]. À l'Assemblée nationale, la députée des Pyrénées-Atlantiques Colette Capdevielle déclare : « Notre pays connaît des attaques sexistes que l'on croyait révolues et d’un autre temps ». En réponse, Marisol Touraine, ministre de la santé et des droits des femmes, indique : « Vous avez raison de souligner que sur les réseaux sociaux pullulent des interpellations contre l'IVG (…) C'est insupportable, inacceptable et irresponsable. ». Devant ces critiques, Aillet réplique : « Je pense que c’est un mauvais procès (…) Je continuerai à tweeter, pas forcément de cette manière. »[20]. Le , en réaction à l'intervention du ministre, sept évêques signent une tribune publiée dans Le Figaro, dans laquelle ils réclament un « droit à l'avis »[21].

Le , un géant à son effigie est brûlé en place publique lors du carnaval de Saint-Jean-de-Luz, alors que les organisateurs de l'association culturelle Donibane Ziburuko Ihauteriak, crient : « San Pantzar ! C'est toi qui veut empêcher les femmes de disposer de leur corps ? Cela t'amuse de comparer l'avortement à Daech ? ». Le chargé de communication du diocèse interpelle alors la mairie, qui a autorisé la tenue du carnaval, et rappelle le sort des chrétiens d'Orient pour dénoncer un acte « qui dans un contexte difficile pour les chrétiens cautionne sous couvert d'humour les persécutions »[21]. La Conférence des évêques de France a apporté son soutien au prélat[22].

SIDA[modifier | modifier le code]

Marc Aillet, à la suite de Jean-Paul II et Benoit XVI, considère que le préservatif n'est pas la principale solution à la lutte contre le SIDA[23].

Homosexualité[modifier | modifier le code]

En 2009, à l'occasion d'une gay-pride organisée à Biarritz, Marc Aillet critique aussi « les revendications tapageuses d’une infime minorité de nos concitoyens » et met en cause les tenues de certains manifestants. Didier Borotra, maire de la ville, réagit à cette prise de position dans une lettre ouverte « Je ne peux vous cacher que j’ai eu honte à la lecture de votre lettre du . De toute évidence, vous ignorez les lois de la République, c’est dommage ! »[24],[1].

À la suite de la déclaration Fiducia supplicans du Dicastère pour la Doctrine de la foi, en décembre 2023, autorisant la bénédiction non-sacramentelle de couples de même sexe, Marc Aillet entend questionner certains éléments de cette déclaration « susceptibles de clarification ». Il demande aux prêtres de son diocèse d'accorder une bénédiction individuelle, en appelant les homosexuels « à la conversion et en les invitant à demander le secours de la grâce que le Seigneur accorde à tous ceux qui le lui demandent pour conformer leur vie à la Volonté de Dieu ». SOS homophobie considère que cet « appel à la conversion » et à se « conformer leur vie à la Volonté de Dieu » comme une validation implicite des thérapies de conversion pourtant interdites en France depuis 2022. Marc Aillet réfute cette analyse et précise que l’Église appelle à la conversion à la foi et non à « son orientation sexuelle ». Il s’agit de mettre en adéquation sa vie avec la « Parole de Dieu »[25].

Mariage pour tous[modifier | modifier le code]

Marc Aillet discutant avec Louis de Bourbon à La Manif pour tous du .

Marc Aillet s'est clairement positionné contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe, participant - et invitant ses fidèles à faire de même - aux différentes mobilisations organisées par le mouvement d'opposition au mariage homosexuel, notamment à la « manif pour tous »[26]. Marc Aillet apporte son soutien au mouvement « Les Veilleurs »[27].

Attitude face à des affaires de pédophilie[modifier | modifier le code]

Informé des faits de pédophilie, dès 2009, commis par Jean-François Sarramagnan, prêtre au sein du diocèse de Bayonne, Marc Aillet signale au procureur les actes délictueux de l'abbé Sarramagnan que le [28]. Toujours en contact avec des enfants, le prêtre anime, le , une journée diocésaine pour des élèves de 4e et 3e. De même en 2012, le prêtre célèbre une messe de rentrée dans un lycée du diocèse, en , il accompagne des enfants de 6e pour un voyage à Lourdes. Pourtant Marc Aillet affirme que Jean-François Sarramagnan n'avait « pas de responsabilité directe auprès des enfants et de jeunes »[29],[30].

Une deuxième affaire est évoquée, dans la paroisse Saint Étienne de Bayonne, avec des attouchements en 2007 sur une adolescente de 16 ou 17 ans, un dossier classé sans suite[28].

Le procureur de la république de Bayonne, Samuel Vuelta Simon, a ouvert une enquête en avril 2016 après la plainte déposée le par la mère du garçon qui avait 12 ans à l'époque du crime. Cette plainte a été transmise par le procureur de Clermont-Ferrand à celui de Bayonne en . Selon Samuel Vuelta Simon, certains des faits délictueux se seraient passés à Hasparren[31]. Suspendu de ces activités ecclésiastiques en , Jean-François Sarramagnan vit depuis au sein de l'Abbaye Notre-Dame de Tournay.

En mars 2017, une enquête de Mediapart relève une liste d’évêques, dont Marc Aillet, qui auraient protégé des prêtres accusés d’abus sexuels en omettant intentionnellement d'alerter les autorités judiciaires[32],[33].

À la publication du rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église (CIASE), le 5 octobre 2021, Jean-Marc Sauvé a annoncé qu'un diocèse et une congrégation religieuse avaient refusé l'accès à leurs archives aux historiens de la CIASE[34]. Mediapart révélera la semaine suivante qu'il s'agissait du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron et de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X[35]. Et ce selon le journaliste Timothée de Rauglaudre, « malgré la mise en place d’une cellule d’écoute, la question des violences sexuelles dans l’Église agace l’évêque et ses affidés »[1].

Critiques[modifier | modifier le code]

Le groupe Baptisés 64, regroupant une « centaine de croyants rattachés ou non à des paroisses des Pyrénées-Atlantiques » dénonce en , les prises de position de Marc Aillet. Les membres du groupe affirment que « beaucoup de chrétiens ne cautionnent pas les interventions de l'évêque »[36].

Michel Oronos, curé à la retraite du diocèse de Bayonne[37], qualifie Marc Aillet de « traditionaliste » qui se situe dans la « sphère de l'extrême de droite »[38] dans un ouvrage intitulé Enfin don Aillet vint consacré aux quatre premières années de son épiscopat à Bayonne et publié en .

Dans un article datant de , Véronique Fourcade, journaliste à Sud-Ouest Pays basque, relate la division dans l'Église entre les « pour » et les « contre » Marc Aillet[39].

Lors de l'été 2016, une soixantaine de prêtres interpellent Marc Aillet sur son mode de gouvernance[40], sa ligne traditionaliste et sa gestion financière[41]. Les prêtres contestataires citent « des exemples tels que le soutien à une "marche pour la vie" (contre l'avortement), à Vladimir Poutine, Bachar el-Assad ("comme défenseur des minorités"), la remise en cause de la laïcité, "la mise en cause directe de responsables politiques et de l'Etat jugé parfois totalitaire"… »[42].

Distinctions et rang ecclésiastique[modifier | modifier le code]

Ouvrages publiés[modifier | modifier le code]

  • Lire la Bible avec S. Thomas : Le passage de la littera à la res dans la Somme théologique, Fribourg, Éd. universitaires, coll. « Studia Friburgensia » (no 80), , 355 p.
  • Un événement liturgique : ou le sens d'un motu proprio, Perpignan, Tempora, coll. « Les indispensables », , 137 p.
  • Ouvrage collectif, Prêtres pour le salut du monde, Parole et Silence, .
  • La charité du Christ nous presse : lettre pastorale aux prêtres, diacres, consacrés et fidèles du Christ sur l'urgence de la mission dans le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, Perpignan, Artège, , 215 p.
  • L'objection de conscience face à la loi : pharmaciens hors-la-loi ?, Paris, Éd. de l'Homme nouveau, coll. « Hora decima », , 84 p.
  • La liturgie de l'esprit, Perpignan, Artège, , 62 p.
  • Convertissez-vous et croyez à l'Évangile : lettre pastorale aux prêtres, diacres, consacrés et fidèles du Christ pour une Église de disciples missionnaires dans le diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron, Perpignan, Artège, , 109 p.
  • Vatican II, le Concile en questions : entre événement et héritage, Paris-Perpignan, Artège, , 137 p.
  • Embarqués avec Jésus : méditations pour temps d'épreuves, [Nouan-le-Fuzelier], EdB, , 192 p.
  • Le temps des saints : Ne soyons pas des chiens muets, Paris-Perpignan, Artège, , 317 p. (ISBN 979-1-033-61298-8)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Note[modifier | modifier le code]

  1. La délégation à Moscou était composée de lui-même, son chargé des questions relatives à la famille et à la vie, Guillaume d’Alançon ; Aymeric Pourbaix, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire Famille chrétienne ; Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, à Strasbourg ; Thierry de la Villejégu, secrétaire général de la Fondation Jérôme-Lejeune ; Caroline Roux, secrétaire générale d’Alliance VITA, principale structure d’organisation de la Manif pour tous.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l et m Timothée de Rauglaudre, « Monseigneur Aillet, droitier non contrarié », sur Les Jours, (consulté le ).
  2. J.P., « JUGEMENT DANS L'AFFAIRE DU RÉSEAU O.A.S. DE L'OUEST • Savelli et Renault : treize ans de réclusion • Vingt-cinq autres condamnations dont dix avec sursis • Dix acquittements », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. (it) Salle de presse du Saint-Siège, « Rinunce e nomine », sur press.vatican.va, (consulté le ).
  4. Sa nomination sur le site des évêques de France.
  5. Jean Weber, « Mgr Aillet : visite en Pays charnègue », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  6. Ludovica Eugenio, « L'Alliance des cœurs unis : divagation mystique ou instrument de manipulation ? », sur adista.it, (consulté le )
  7. (it) Ludovica Eugenio, « Di spade, corone, rose e monarchia : l’humus dell’estrema destra cattolica in Francia : Visioni "mistiche" e visione politica » [« D'épées, de couronnes, de roses et de monarchie : l'humus de l'extrême droite catholique en France : visions « mystiques » et vision politique »], Adista (it), no 6673,‎ , p. 4-9
  8. « L’Alliance des cœurs unis », sur Aide aux victimes des dérives de mouvements religieux en Europe et à leurs familles, (consulté le )
  9. Mikael Corre, « Virginie, la voyante et la mystérieuse Alliance des cœurs unis », La Croix,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Didier Deniel, « "Je la reconnais, c’est Marie, Mère de l’Église" : les visions de Virginie racontées dans plusieurs livres », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « L'évêque de Bayonne s'affiche sur des panneaux publicitaires », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  12. Philippe Campa, « Pyrénées-Atlantiques : un évêque en haut de l'affiche », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  13. Nicolas Cesar, « L'évêque de Bayonne crée une Académie diocésaine pour la vie », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  14. « Un colloque «pro-vie» controversé organisé à Biarritz », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  15. Mikael Corre, « Interrogations autour d’une délégation catholique française en Russie », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  16. Reçue à Moscou, la Manif pour tous en voie de poutinisation Rue89, 29 mars 2014.
  17. « Le diocèse de Bayonne prie pour les chrétiens irakiens », sur eglise.catholique.fr, (consulté le ).
  18. « L'évêque réagit à l'affaire d'euthanasie », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  19. Olivier Auradou, « IVG : les propos polémiques de l'évêque de Bayonne continuent de faire des vagues », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  20. Pierre Wolf-Mandroux, « Critiques à l’Assemblée après des tweets de Mgr Aillet », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  21. a et b Eugénie Bastié, « L'effigie de l'évêque de Bayonne brûlée en place publique lors d'un carnaval », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  22. Sixtine Fourneraut, « La Conférence des évêques apporte son soutien à l’évêque de Bayonne », sur la-croix.com, (consulté le ).
  23. S. Pruvot, E. Pellat et M. Guillier, « Sidaction : Mgr Marc Aillet critique la stratégie du « tout-préservatif » », sur Famille Chrétienne, (consulté le ).
  24. Romano Libero Biarritz : la sortie du maire contre l’évêque Golias, 2 juillet 2009.
  25. Alice d’Oléon, « Bénédiction des couples homosexuels : Mgr Aillet réfute « appeler à la mise en œuvre de thérapies de conversion » », sur La Croix, (consulté le ).
  26. Nicolas Rebière, « Des prières contre le mariage pour tous », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  27. Veiller dans la paix pour la famille.
  28. a et b « Le diocèse de Bayonne se débat dans une affaire de pédophilie », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  29. « Un prêtre visé par une enquête préliminaire pour pédophilie à Bayonne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Pédophilie à Bayonne: le prêtre a animé une journée avec des adolescents », sur Le Point, (consulté le ).
  31. « Soupçon de pédophilie : le parquet ouvre une enquête sur le prêtre de Bayonne », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  32. Daphné Gastaldi, Mathieu Martinière, Mathieu Périsse (We Report), Donatien Huet, « Vingt-cinq évêques ont couvert des abus sexuels », sur Mediapart (consulté le ).
  33. « 25 évêques français auraient couvert des prêtres, selon Mediapart », sur Capital.fr, (consulté le ).
  34. Christophe Henning, « Rapport Sauvé : des décennies d’abus sexuels dans les archives de l’Église », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  35. Antton Rouget et Mathieu Périsse, « Pédocriminalité : l’incurie des évêques », sur mediapart.fr, (consulté le ).
  36. Arnaud Dejeans, « Chrétiens rebelles », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  37. Michel Oronos collabore au magazine Golias.
  38. Pierre Penin, « Mgr Aillet vilipendé », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  39. Véronique Fourcade, « Le croisé de Bayonne », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  40. « Evêché de Bayonne. Une soixantaine de prêtres interpellent l’évêque conservateur », sur Paris-Normandie (consulté le ).
  41. Axelle Labbé, « Des prêtres des Pyrénées-Atlantiques mettent en cause les méthodes de Monseigneur Aillet », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  42. P.P, « Pyrénées-Atlantiques : 60 prêtres demandent des comptes à l'évêque », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le ).
  43. donc au moins la dignité de doyen.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]