Maing — Wikipédia

Maing
Maing
La mairie.
Blason de Maing
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Valenciennes Métropole
Maire
Mandat
Philippe Baudrin
2020-2026
Code postal 59233
Code commune 59369
Démographie
Gentilé Maingeois(e)
Population
municipale
4 004 hab. (2021 en diminution de 1,45 % par rapport à 2015)
Densité 343 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 35″ nord, 3° 29′ 12″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 90 m
Superficie 11,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes
Législatives Dix-neuvième circonscription
Localisation
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Maing
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Maing
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Maing

Maing est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maing est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[10] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), forêts (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes S1, 103, 104 et Illigo 1 du réseau urbain Transvilles.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune apparaît d'origine franque : Maen, Mahen, Maheng pourrait avoir un rapport avec les prairies, ou encore exprimer une notion de domaine.

Après la chute de Bavay capitale des Nerviens, le castellum de Fanum Martis Famars (révélé par de nombreuses fouilles archéologiques) devient préfecture d'Empire et chef-lieu d'un pagus (comté). De grandes voies partent de cette cité, notamment la voie Famars-Arras-Thérouanne. Au long de cet axe, au lieu-dit le « bois de Fontenelle », un cimetière à incinération du IIIe siècle a été fortuitement découvert dans une sablière, au cours des années 1958-1960. Parmi les objets exhumés figurent une fiole en verre ornée d’émaux bleus ou jaunes ainsi qu’un peigne en bronze. Le passage de cette voie sur l'Escaut, à Maing-Trith, a été confirmé par la découverte d'urnes funéraires sur la berge actuelle du canal de l'Escaut. On peut par ailleurs supposer l'existence d'un relais de batellerie en un lieu où le cours d'eau devient navigable.

Une première communauté s'est implantée sur le territoire communal présent vers la fin du VIIe ou du VIIIe siècle, à la lisière -probablement- d'un ancien domaine gallo-romain (proche du castellum antique de Famars). La ligne de sources constitue un indicateur intéressant. Il est raisonnable de supposer la présence de cette villae sur la pente du plateau cambrésien menant à l'Escaut.

Aux confins de la Lotharingie, ce fleuve a constitué un vecteur important, conduisant au portus du domaine royal mérovingien de Valenciennes. Au cours du Haut Moyen Âge, Maing est mentionné vers 1050, dans certaines chroniques et dans les chartes des évêques de Cambrai, titulaires de l'autel paroissial mais qui le confient aux chanoines augustins de Saint-Aubert, qui en assurent le patronage jusqu'à la Révolution de 1789.

La commune suit les destinées du Saint-Empire romain germanique, sous la domination des empereurs ottoniens. Les comtes de Hainaut prennent ensuite sous tutelle la seigneurie personnelle à dater de 1322. Un franc-marché est instauré dès 1329, selon un rythme hebdomadaire dominical. Les coutumes témoignent d'une organisation administrative dès avant la fin du XIVe siècle, jamais remise en cause par les seigneurs personnels (noblesse locale, couronne d'Espagne).

Il est impossible de dissocier l'histoire religieuse de Maing et celle de Valenciennes. La tradition rapporte qu'en 1008, à la faveur d'une terrible épidémie de peste ravageant le Hainaut, La Vierge Marie apparaît à un ermite maingeois (ou berger, selon les versions) nommé Bertholin, priant près d'une petite fontaine (le lieu est dit « Fontenelle »). Elle lui enjoint de porter message auprès des habitants de Valenciennes, qu'elle entend préserver en déroulant un cordon céleste autour de la cité hennuyère, à la condition que ces derniers entrent également en prière. Leur dévotion aurait valu un miracle... Évidemment, même si l'engagement religieux ne saurait être mis en cause, on ne peut raisonnablement prendre pour argent comptant cette légende. Même si l'on assiste toujours annuellement, en septembre, à un fervent pèlerinage, où figurent immanquablement jusqu'aux élus du peuple, tant à Valenciennes qu'à Maing, les racines historiques de cet évènement s'avèrent indiscutablement plus tardives ; le parcours qu'emprunte la procession apparaît à ce propos riche d'enseignement[16].

Maing devient française après la prise de Valenciennes par Louis XIV en .

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit l'Hopiteau où s'érige une ferme du même nom, correspond à un fief très ancien qui est déjà attesté en 1257 sous la forme « Fief de Ciply », ainsi que dans le cartulaire de Fontenelle (XIIIe siècle) sous les formes Cepli et l'Ospital. Ce fief relève d'abord de l'ordre des chevaliers du Temple de Jérusalem, c'est-à-dire des Templiers, dont la commanderie dans le Hainaut siège à Ciply (Belgique). Après dissolution de l'ordre, par Philippe IV le Bel, certaines possessions passent à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie s'établit alors à Forchies-Piéton (Belgique).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Maing se blasonnent ainsi : D'argent au lion de sable, couronné d'or, armé et lampassé de gueules
Les armes de Maing se blasonnent ainsi : D'argent au lion de sable, couronné d'or, armé et lampassé de gueules

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : François Deverny[17],[18].

Maire en 1881 : Plichon[19].

L'association de sauvegarde du patrimoine de Maing dresse ainsi la liste des maires[20] :

Titulaires de la fonction de maire de MaingVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Henri Bantegnie (d)
(démission)
33 ans Parti communiste français
Gabriel Devemy (d)15 ans Parti communiste français
Jean-Claude Laurette (d)2 ans Parti communiste français
Philippe Baudrin (d)[21],[22]
(né le )
En cours28 ans et 9 mois Union pour un mouvement populaire
Union des démocrates et indépendants

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Maing relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Jumelages et partenariats de Maing.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Maing.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Hohen Neuendorf[23],[24]Allemagne -

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 4 004 habitants[Note 3], en diminution de 1,45 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 0891 2291 3961 4671 5711 5731 6921 7301 708
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 8731 9481 9822 1362 2452 3522 3912 5282 758
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 8773 0402 6582 8652 9522 9652 8662 9363 354
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
4 2444 4834 4454 1833 8453 9414 0104 0744 004
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 934 hommes pour 2 127 femmes, soit un taux de 52,38 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,7 
6,6 
75-89 ans
11,3 
16,7 
60-74 ans
16,0 
19,0 
45-59 ans
18,3 
21,8 
30-44 ans
18,8 
15,8 
15-29 ans
15,3 
19,3 
0-14 ans
18,7 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Vestiges archéologiques de l'abbatiale cistercienne de Fontenelle : fondée en 1212, l'abbaye de Fontenelle accueille des moniales. Les fouilles réalisées par le Service archéologique de Valenciennes (Vincent Maliet et Philippe Beaussart) permettent de saisir parfaitement le plan au sol de l'église conventuelle. Des pavements de petits carreaux, formant par assemblage des motifs géométriques s'agencent selon les différentes parties : chœur des Dames, avant-chœur, sanctuaire. Les plus anciens datent du XIVe siècle, les plus récents du XVIe siècle[31]. Plusieurs caveaux ont également été mis au jour, tel celui de Jeanne de Valois, de sang royal. Après avoir joué un rôle politique à la mort de son mari, le comte Guillaume, la comtesse douairière de Hainaut se retire en 1337 pour vivre une vie de recluse, songeant à son âme comme il est alors fréquent. D'autres sépultures de princesses de cette famille ont également été exhumées.

Un ensemble de lames funéraires en pierre de Tournai est également découvert lors des investigations menées entre 1977 et 1984.

À fin du XVIe siècle, Adrien de Montigny réalise une intéressante perspective cavalière de l'abbaye, qu'il insère dans les Albums de Croÿ.

  • L'église paroissiale Saint-Géry : édifiée en grès, cet édifice cultuel comporte une façade du XIVe siècle, greffée sur une nef plus ancienne, qui date pour l'essentiel des XIVe et XVIIe siècles (avec présence d'un glyptographe de 1612 portant le nom de Pasquier de Lourches) mais incluant quelques éléments de piliers du XIIe siècle. Vers la fin du XVIe siècle, l'un des seigneurs fait construire une chapelle privée qui devient le croisillon gauche. Une peinture murale du XVIe représentant une Pieta avec donateurs et saints-patrons en témoignait encore au début en 1916. Comme constaté en 1999, elle est malheureusement aujourd'hui effacée et ne subsiste plus qu'à travers une photographie du fonds douaisien d'Augustin Boutique.

Le chœur et le transept droit sont achevés vers 1740. Une partie du mobilier religieux est inscrit à l'inventaire supplémentaire des MH.

Une lame funéraire en pierre de Tournai, d'une exceptionnelle qualité, est à découvrir dans cette église, dans le bas-côté droit : elle présente les effigies des cinq membres de la famille Bruniaux (1353-1355) (classée monument historique). Elle provient de l'abbaye de Fontenelle, comme deux autres grandes pierres, celle de l'abbesse Loïse de Barbaize, et celle du chevalier Jakemes.

  • La mairie : La « maison d'école et de mairie » fut construite en 1847, à la suite des lois Guizot sur l'instruction publique. La façade est caractéristique de la période du Second Empire ; intégrant une école, elle est l'œuvre de l'architecte Jean-Baptiste Bernard, également auteur, en 1840, de la loge maçonnique de Valenciennes (rue des Canonniers).

Dans le domaine du patrimoine rural, la commune possède encore de grandes fermes en rouges barres, alternant rangs de briques et de pierres. Les bâtiments s'agencent autour d’une cour carrée avec un porche–pigeonnier ouvrant sur l'extérieur. Quelques fabriques en lien avec le traitement des produits agricoles étaient encore visibles dans le courant du XXe siècle : râperies de betteraves, moulin à vent, scierie, sucrerie (rue Pierre-Vanderbecq), brasseries...

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Activités associatives, culturelles, festives et sportives[modifier | modifier le code]

Tiot Mitt avec sa clé et son écharpe tricolore.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Maing et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. cf. Valentiana n° 20 : La procession du Saint-Cordon à Valenciennes, article sous la plume de William Maufroy
  17. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
  18. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 140-141 (images 170-171)..
  19. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
  20. Jean-Marie Conreur, « La mairie », sur maing-aspm.com, Association de sauvegarde du patrimoine de Maing.
  21. « Un maire du Nord menacé par un homme à la tronçonneuse », L'Express,  : « Philippe Baudrin, maire de Maing, a porté plainte contre son agresseur mardi. »
  22. M. R., « Le maire de Maing menacé à la tronçonneuse alors qu’il s’opposait à un campement sauvage », La Voix du Nord,  : « Philippe Baudrin a porté plainte ce mardi pour agression et menace de mort. Il voulait empêcher l’installation d’un campement sauvage de gens du voyage et des dégradations de mobiliers urbains. »
  23. « Maing : retour vers le passé avec l’association de sauvegarde du patrimoine », La Voix du Nord,  : « La venue d’élus allemands de Hohen-Neuendorf. »
  24. « Partnerstädte »,  : « Zwischen 1992 und 2017 bestand darüber hinaus mit der französischen Stadt Maing ebenfalls eine Städtepartnerschaft. Leider fand sich nach dem Wegfall der ursprünglich aktiven Kräfte niemand, der die Partnerschaft mit neuem Leben hätte füllen können. In beiderseitigem Einvernehmen wurde diese Städtepartnerschaft 2017 daher aufgehoben und eine neue französische Partnerstadt gesucht und gefunden. »
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maing (59369) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  31. BEAUSSART (Ph.) & MALIET (V.), « Les pavements de l’abbatiale de Fontenelle à Maing », Revue du Nord, t. 65, 1983, p. 123-147.
  32. « Castel des Prés », notice no PA00107734, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Brasserie Plichon, puis Union de Maing », notice no IA59000086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Page "associations" du site municipal officiel
  35. "La Voix du Nord", 17 septembre 2010