M Telus — Wikipédia

MTELUS
Description de l'image M Telus.jpg.
Type Salle de concert
Lieu 59, rue Sainte-Catherine Est Montréal
Coordonnées 45° 30′ 38″ nord, 73° 33′ 48″ ouest
Architecte Emmanuel Briffa
Inauguration 1884 et 1997
Capacité 2300
Gestionnaire L'Équipe Spectra (Groupe CH)
Site web mtelus.com
logo de MTELUS
Logo de MTELUS.

Carte

Le MTELUS[1], autrefois Métropolis, est une importante salle de spectacle de Montréal au Québec, Canada.

Histoire[modifier | modifier le code]

Théâtre français

L'ouverture de cette salle, connue d'abord sous le nom de Théâtre français, remonte à 1884. Ce fut d'abord une piste de patinage et un théâtre d'été[2]. Vers la fin du XIXe siècle, l'établissement fut complètement ravagé par les flammes et converti en théâtre, puis en salle de cinéma en 1923. Au début des années 1930, l'édifice brûla de nouveau, mais fut rénové et décoré par Emmanuel Briffa, à qui l’on doit aussi la décoration du Théâtre Outremont.

L'établissement redevint un théâtre, puis un cinéma érotique dès 1960. Puis en 1981, il ferma ses portes et fut reconverti en discothèque six ans plus tard. C'est en 1997 que la salle prendra le tournant de la scène musicale qu'on lui connaît, lorsque l'Équipe Spectra acquit la salle et en fit l'une des salles de spectacles les plus appréciées, tant par le public que par les nombreux artistes qui s'y produisent.

En , l'entreprise de télécommunications Telus annonce qu'elle investira la somme 5 millions au cours des dix prochaines années en partenariat avec l'Équipe Spectra pour moderniser le Métropolis[3]. En 2017, le Métropolis est rebaptisé le MTelus[3].

Emplacement[modifier | modifier le code]

Située au 59, rue Sainte-Catherine Est, en plein centre-ville de Montréal, la salle peut accueillir jusqu’à 2300 personnes.

Plusieurs artistes s'y sont produits dont Slash, David Bowie, Prince, Sting, Boy George notamment.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le nouveau nom est souvent écrit sans espace entre le M et le T.
  2. imtl.org
  3. a et b « Le Métropolis deviendra le M Telus | Alain de Repentigny | Musique », La Presse,‎ (lire en ligne, consulté le )