Lycée Carnot (Paris) — Wikipédia

Lycée Carnot

Description de cette image, également commentée ci-après
Façade du lycée Carnot sur le boulevard Malesherbes.
Histoire et statut
Fondation 1869 ou 1895
Type Établissement public local d'enseignement (EPLE)
Administration
Académie Paris
Proviseur Philippe Beuchot
Études
Population scolaire ~2 200 élèves
Formation Collège
Lycée général
CPGE scientifiques et économiques
Langues anglais, allemand, espagnol, russe, hébreu, chinois, latin, grec
Localisation
Ville 17e arrondissement de Paris
Pays Drapeau de la France France
Site web lyc-carnot.ac-paris.fr
Coordonnées 48° 53′ 04″ nord, 2° 18′ 29″ est
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Lycée Carnot (Paris)

Le lycée Carnot est un établissement français d'enseignement secondaire et supérieur parisien. Le lycée accueille un peu plus de deux mille élèves, en collège, lycée et classes préparatoires. Réputé pour son enseignement, le lycée Carnot a formé des personnalités ayant marqué leur temps : écrivains, peintres, musiciens, personnalités politiques, hauts fonctionnaires ou encore scientifiques.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Situé 145, boulevard Malesherbes à Paris, dans le 17e arrondissement, ce site est desservi par les stations de métro Wagram, Malesherbes et Monceau.

Architecture[modifier | modifier le code]

Cour des sciences et cour Villiers[modifier | modifier le code]

Le hall est flanqué côté Malesherbes de deux petites cours rectangulaires adjacentes. L'une est la cour d'honneur qui permet la sortie vers le boulevard Malesherbes. L'autre, dite « cour des sciences » ou autrefois « cour de chimie », n'a pas d'accès extérieur et abrite les salles-laboratoires de chimie ainsi que quelques grandes salles de classe.

Côté Villiers, le hall donne sur une grande cour polygonale plantée d'arbres qui contient un terrain de handball et un de basket-ball ainsi qu'un gymnase bâti sur pilotis. La cour comportait également deux entrées désormais désaffectées : une petite porte ouvrant sur la rue Cardinet pour l'entrée des petites classes, condamnée à la fermeture de l'école primaire en 1958, et un grand portail à l'angle de l'avenue de Villiers et de la rue Cardinet qui était l'entrée obligatoire des élèves (terminales et classes préparatoires exceptées) jusqu'à la fin des années 1980.

Cour Roger-Bouvet (ou d'honneur)[modifier | modifier le code]

En entrant dans le lycée, on trouve la cour d'honneur, cloître verdoyant pour la salle des professeurs, la salle des conférences, le laboratoire de chimie et quelques logements de fonction. En son centre, le monument aux morts, œuvre de François Cogné (1876-1952). Pendant la Première Guerre mondiale, l'infirmerie est transformée en hôpital franco-belge. 341 noms de professeurs, fonctionnaires et anciens élèves y sont inscrits.

La cour d'honneur avec le monument aux morts du lycée.

Le monument est décrit en ces termes :

« Aux pieds de Pallas Athéné, le Poilu, hier encore élève au lycée, est assis. Dans ce cadre apaisant où le rappelle la nostalgie des jours heureux de son enfance, il est venu chercher l'oubli des souffrances endurées pour la défense du pays. Autour de lui se groupent les jeunes camarades auxquels son courage et son dévouement ont assuré l'avenir; l'arrachant à son rêve ils lui demandent de leur dire son sacrifice. Il y consent et pour eux il raconte la douloureuse et poignante épopée. Avec une attention passionnée, ils en suivent le récit, moins sur les lèvres que sur sa face angoissée. »

Le hall Eiffel du lycée Carnot en 1875 et de nos jours.

Le hall Eiffel[modifier | modifier le code]

Le cœur du bâtiment est un grand hall de 80 mètres sur 30 couvert d'une verrière monté sur une charpente en métal sur un projet de Gustave Eiffel, appelé successivement « hall Eiffel » et « hall Guy-Môquet », et surnommé « la Marquise ». Il sert de cour de récréation, de salle de sport mais aussi de salle de cérémonie pour les divers événements ponctuant l'année scolaire.

Les salles de cours sont en très grande partie implantées autour dans des bâtiments de brique et pierre de taille de trois niveaux, au style classique. Les salles du rez-de-chaussée et du premier étage donnent sur le hall et l'extérieur du bâtiment, celles du second sur l'extérieur seulement.

Historique[modifier | modifier le code]

L'École Monge 1869 à 1895[modifier | modifier le code]

En 1860 le Paris du baron Haussmann annexe la banlieue située entre le mur des Fermiers généraux et l'enceinte de Thiers achevée en 1845. Le village de Monceau est alors intégré au XVIIe arrondissement du nouveau découpage de la municipalité. Il se compose principalement de cultures maraîchères et du parc de la Folie de Chartres. Le boulevard Malesherbes est percé en 1863, les frères Pereire y font construire de nouveaux immeubles et des familles de la haute société industrielle des hôtels particuliers[1]. En 1869, Aimé Godard (polytechnicien et ancien directeur du collège Sainte-Barbe), fonde une école laïque, baptisée « l'École Monge », en mémoire du mathématicien Gaspard Monge, fondateur de l'École polytechnique. C'est l'origine du lycée Carnot.

D'abord situé rue Chaptal, l'établissement est déplacé au début de la Troisième République sur un grand terrain boulevard Malesherbes, à son emplacement actuel. L'architecte Hector Degeorge et l'ingénieur Gustave Eiffel érigent la nouvelle École Monge entre 1875 et 1877[1]. Elle est prévue pour accueillir 500 élèves (dont la moitié est interne).

Gravure de l'école Monge, devenue par la suite le lycée Carnot.

Les principaux matériaux sont le fer et le verre, la pierre blanche et la brique, ainsi que la faïence. L'entrée principale est au milieu de la façade Malesherbes. Les véhicules hippomobiles entrent dans la cour en observant le sens giratoire et déposent leurs passagers à l'abri d'un auvent de verre, qui court le long du mur.

Au dernier étage se trouve alors l'internat. Il y a 10 dortoirs de 24 à 30 lits. Chaque pensionnaire possède une petite cellule avec un lit, un tabouret, un bureau, une lampe et un miroir. Les toilettes et robinets sont dans une partie centrale. Un bain tous les 15 jours et un lavage des pieds deux fois par semaine minimum est exigé.

Aux sous-sols, une salle de gymnastique, où enseigne durant quelques années Pierre de Coubertin, ainsi qu'une salle d'escrime[2]. Les élèves assistent tous les jours à une demi-heure d'éducation physique. et le réfectoire, avec sa cuisine et réserve réfrigérée.[Quoi ?]

Lors de l'inauguration, Le Monde Illustré décrit l'école Monge comme « révolutionnaire ». Pour le Paris-Parisien elle représente alors « le dernier mot du progrès comme installation et pédagogie »[3]. Sa pédagogie ouverte, inspirée du Saint-simonisme du proviseur Aimé Godart, est en avance pour l'époque.

Le lycée Carnot 1895 à 1945[modifier | modifier le code]

L'École Monge reste une école privée réservée aux familles très aisées. Or, dès 1892, le lycée Janson-de-Sailly lui fait concurrence en proposant un enseignement à moindre coût. L'établissement de l'avenue de Villiers est mis en difficulté financière, sauvé temporairement par l'intervention des actionnaires et des parents influents auprès du gouvernement. Le , le parlement vote le rachat de l'école pour 4 millions 750 000 francs (12 millions d'euros[4],[5]). Cette même année, le , est assassiné le président de la république, Sadi Carnot. En son hommage, mais aussi en l'hommage de son grand-père, général de la Révolution Lazare Carnot, et de son oncle Nicolas Léonard Sadi Carnot, fondateur de la thermodynamique, son nom est donné au lycée.

L'équipe de football de l'Association athlétique de l’École Monge, en 1909.

Mona Ozouf mentionne « une extrême droite qui trouvait bon de "cracher" en passant devant le lycée Carnot »[6][Quand ?]. Dans ses Mémoires, Pierre Vidal-Naquet indique qu'il fut, d'octobre 1944 à juillet 1947, élève au lycée Carnot « devant lequel [son] ami Pierre Chaunu ne peut se retenir de cracher parce qu'il porte le nom d'un membre du grand Comité de Salut public »[7].

M. Frétillier, venu du lycée Voltaire, est nommé proviseur le . On y compte alors les classes primaires, payantes malgré les lois Ferry de 1881-1882. Dès l'âge de 8 ans, les « carnotins » y apprennent une langue étrangère. Il y a aussi des classes secondaires classiques et modernes, et des classes préparatoires à partir de 1901. Les classes préparatoires à l'école des Hautes Études Commerciales sont créées en 1920. À l'époque, les locaux d'HEC sont situés presque en face du lycée Carnot, boulevard Malesherbes.

L'architecture de l'établissement évolue. L'entrée principale est bouchée et reportée à droite de la façade Malesherbes. Dans l'ancienne cour des calèches est bâtie la galerie de physique. Dans les anciennes écuries est aménagée la salle des professeurs.

Lors de la Seconde Guerre mondiale 96 anciens, soldats ou résistants disparaissent. La cour d'honneur est renommée en mémoire du professeur de lettres Roger Bouvet, né en 1898, arrêté pour fait de résistance le et mort en déportation[8].

Le lycée Carnot aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Le lycée Carnot comprend une partie collège et une partie lycée. Il existe également des classes préparatoires aux grandes écoles, en sections économique et commerciales ainsi qu'en sciences (PCSI la première année et PC la seconde année).

Facade du lycée.

L'école primaire disparaît en 1958. De 630 élèves en 1895, le lycée atteint 1 003 en 1903, puis 1 887 en 1938 et dépasse les 2 000 élèves dans les années 1970 (2 130 en 1992) avant de se stabiliser au chiffre actuel d'environ 2 400. La mixité du lycée sera progressivement effective à partir de 1974.

Le , un attentat à la bombe[9] contre la voiture d'un fonctionnaire du consulat d'Israël, au 68 rue Cardinet, en face du lycée, fait 51 blessés légers et provoque des dégâts modérés aux locaux de l'établissement. Les cours ne sont interrompus que quelques jours, mais la cour dite « de chimie » reste fermée pendant les travaux de réhabilitation qui durent plusieurs mois. L'attentat est revendiqué par les Fractions armées révolutionnaires libanaises dans un contexte de terrorisme antisémite et anti-israélien sur le sol français, en écho à la guerre du Liban.

Carnot est le premier lycée français à avoir opté pour un blog dans le cadre des relations entre l'administration, les élèves et les parents d'élèves, dès octobre 2008. La première association de parents d’élèves de l’enseignement public y fut créée en 1906.[réf. nécessaire]

Nouveau bâtiment du lycée Carnot.

La rénovation s'est achevée en 2012, principalement sur les bâtiments de l'avenue de Villiers après avoir été en travaux depuis 2009, sur le projet des architectes Richard & Schoeller. Leur projet crée un bâtiment aligné sur le gabarit de l'ancienne chapelle, aux formes étranges et douces. Il accueille le gymnase et les classes préparatoires aux grandes écoles et leur foyer, ainsi que la nouvelle bibliothèque du lycée[8].

Les élèves du collège, du lycée et des CPGE participent à la vie de leur établissement à travers de nombreux projets. Des collectes sont régulièrement organisées au profit d'associations et organisations à but non-lucratives. Le CVC (Conseil pour la vie collégienne)[10], le CVL (Conseil des délégués pour la vie lycéenne)[11] et le BDE (Bureau des étudiants)[12] jouent un rôle important, proposent et portent les idées des élèves. Chaque élève peut voter et se présenter à l'instance qui le concerne au début de l'année scolaire.

Classement du lycée[modifier | modifier le code]

En 2015, le lycée se classe 31e sur 109 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 289e au niveau national[13]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la « valeur ajoutée » (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[14].

Classements des CPGE[modifier | modifier le code]

Le classement national des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) se fait en fonction du taux d'admission des élèves dans les grandes écoles.

Le magazine L'Étudiant donne une moyenne d'admission sur cinq ans en 2020[15] :

Filière Élèves admis* Taux
d'admission*
Taux moyen
sur 5 ans
ECE* 48 / 75 élèves 64 % 62.8 %
ECS* 58 / 80 élèves 72.5 % 68.7 %
PC / PC* 0 / 34 élèves 0 % 0 %
Source : Classement 2020 des prépas - L'Étudiant (moyenne sur 5 ans).
* le taux d'admission dépend des grandes écoles retenues par l'étude.

Le Figaro Étudiant classe les classes préparatoires du lycée Carnot au rang de 25e[16] en 2020 pour les trois meilleures écoles de commerce (HEC, ESSEC et ESCP Business School).

Utilisation pour le cinéma et la mode[modifier | modifier le code]

Le lycée a servi de lieu de tournage à certaines scènes de films, en particulier :

Le lycée a également accueilli de nombreux défilés de mode, en particulier :

Direction du lycée[modifier | modifier le code]

Nom Entrée en fonction Cessation de fonctions
M. Aimé Godard 1869 1895
M. Frétillier 1895 1909
Informations manquantes 1966 monsieur Pépin 1909 197?
M. Fontanel 197? 1981
M. Roger Bensoussan 1981 1991
M. Bernard Majou 1991 1998
M. Jean-Louis Nicolini 1998 2008
M. Philippe Guittet 2008 2014
M. Jean-Claude Devaux 2014 2022
M. Philippe Beuchot 2022 -

Personnalités liées au lycée[modifier | modifier le code]

Anciens élèves[modifier | modifier le code]

  • Résistants de la Seconde Guerre mondiale
    • Roger Bouvet (1898-1944) agrégé des lettres, résistant, arrêté le , torturé, mort en déportation ;
    • Georges Deleuze, ancien de Corniche. Résistant, déporté et mort en camp de concentration ;
    • Guy Môquet (1924-1941), fusillé à Châteaubriant, il avait 17 ans ;
    • Bernard Normier (1927-1944), fusillé sans jugement en  ;
    • Jean et Michel Reberteau, engagés comme médecins dans la résistance, arrêtés en et fusillés en forêt de Lisle-Adam (95).
    • Gilles de Souza (1922-1944) résistant, abattu dans un champ ;
    • Jean Stetten-Bernard (1913-2008) : il crée en région lyonnaise un atelier de fabrication de faux papiers au service des résistants, des Juifs et des réfractaires au STO ; jusqu'à la Libération, il en aura produit plus de 100 000.
  • Sportifs :
    • Lucien Gaudin (1886-1934), escrimeur, quatre fois champion olympique

Anciens professeurs[modifier | modifier le code]

Nom Matière
Sylviane Agacinski Philosophie
Raphaël Barquissau Histoire
Jean Le Gac Arts plastiques
Jacques Marseille Histoire
Maurice Merleau-Ponty Philosophie
Jean Maugüe Philosophie
Pierre de Coubertin Gymnastique
Gilles Sandier Français

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Etablissements de Paris - L'histoire de la cité scolaire Carnot depuis 1860 », sur www.ac-paris.fr (consulté le )
  2. « Etablissements de Paris - L'histoire de la cité scolaire Carnot depuis 1860 », sur www.ac-paris.fr (consulté le )
  3. Paris-Parisien, Ollendorff, , p. 202
  4. « Etablissements de Paris - L'histoire de la cité scolaire Carnot depuis 1860 », sur www.ac-paris.fr (consulté le )
  5. « convertisseur euro », sur www.figer.com (consulté le )
  6. Mona Ozouf, De Révolution en République les chemins de la France, Paris, 2015, éd. Gallimard Quarto, p. 62.
  7. Mémoires - La brisure et l'attente 1930-1955, t. 1, Paris, Seuil/La Découverte, 1995, p. 178.
  8. a et b « Etablissements de Paris - La cité scolaire en images », sur www.ac-paris.fr (consulté le )
  9. « AFVT - Attentat du lycée Carnot », sur www.afvt.org (consulté le )
  10. « Le conseil de la vie collégienne et le conseil des délégués pour la vie lycéenne », sur éduscol | Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports - Direction générale de l'enseignement scolaire (consulté le )
  11. « Elections du CVL 2020/2021 : RESULTATS », sur Etablissements de Paris (consulté le )
  12. « site internet des CPGE du Lycée Carnot », sur cpge-carnot.fr
  13. Classement Départemental et National des lycées français
  14. Méthodologie du classement national des lycées français
  15. « Lycée Carnot - Classement 2020 des prépas », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  16. « Classement des prépas ECS école de commerce », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
  17. « Thomas Astruc : «Avec Miraculous, nous savons où nous voulons aller» », sur tvmag.lefigaro.fr, (consulté le )
  18. Condé Nast, « Cette tendance pantalon typique des années 2000 sera partout en 2023 », sur Vogue France, (consulté le )
  19. Prisma Média, « PHOTOS – Justin Timberlake et Jessica Biel, Cruz Beckham… : pluie de stars au défilé Kenzo - Gala », sur Gala.fr (consulté le )
  20. « PHOTOS - Défilé Off-White™, collection automne-hiver 2021-2022 (baptisée Laboratory Of Fun) au Lycée Carnot à Paris, le 4 juillet 2021. », sur www.purepeople.com (consulté le )
  21. « Défilé Issey Miyake automne-hiver 2019-2020 Prêt-à-porter », sur Madame Figaro, (consulté le )
  22. « PHOTOS - Défilé Lacoste, collection prêt-à-porter automne-hiver 2018 au Lycée Carnot. Paris, le 28 février 2018. », sur www.purepeople.com (consulté le )
  23. « Fashion Week homme de Paris: plage et imprimés chez Paul Smith », sur LExpress.fr, (consulté le )
  24. « PHOTOS - Défilé de mode John Galliano, collection prêt-à-porter rintemps-été 2017 au lycée Carnot. Paris, le 2 octobre 2016. », sur www.purepeople.com (consulté le )
  25. « Défilé Alexander Mcqueen Prêt à porter Printemps-Été 2016 - Paris - Elle », sur elle.fr (consulté le )
  26. « Fashion Week de Paris: Chloé dans le désert », sur LExpress.fr, (consulté le )
  27. « PHOTOS - Défilé Givenchy prêt-à-porter printemps-été 2013 au lycée Carnot. Paris, le 30 septembre 2012. », sur www.purepeople.com (consulté le )
  28. « Défilé Kenzo Printemps-été 2011 Homme », sur Madame Figaro, (consulté le )
  29. a et b Ludovic Perrin, « Qui a tué Téléphone ? L'histoire secrète du plus grand groupe français », GQ n°98, mai 2016, pages, 124-131.
  30. Anne Fulda, « Amanda Sthers, écrivain people », in Le Figaro, vendredi 15 février 2013, p. 16.
  31. Catherine Hodeir, Stratégies d'empire : Le grand patronat colonial face à la décolonisation, Paris, Belin, coll. « Temps présents », , 319 p. (ISBN 2-7011-3150-2, lire en ligne), p. 56.
  32. Philippe Bouvard, « J’ai découvert la lutte des classes dans la cour de récréation », rubrique « Le bloc-notes », in Le Figaro Magazine, semaine du 17 mai 2013, page 138.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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