Lucq-de-Béarn — Wikipédia

Lucq-de-Béarn
Lucq-de-Béarn
Château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Albert Lasserre-Bisconte
2020-2026
Code postal 64360
Code commune 64359
Démographie
Gentilé Lucquois
Population
municipale
924 hab. (2021 en diminution de 2,84 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 18″ nord, 0° 39′ 27″ ouest
Altitude Min. 136 m
Max. 329 m
Superficie 48,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Lucq-de-Béarn
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Lucq-de-Béarn

Lucq-de-Béarn (en béarnais Luc) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Lucquois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Lucq-de-Béarn se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 14 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Saucède (3,0 km), Aren (3,8 km), Poey-d'Oloron (4,5 km), Ogenne-Camptort (4,5 km), Préchacq-Navarrenx (4,9 km), Préchacq-Josbaig (5,0 km), Lay-Lamidou (5,0 km), Geüs-d'Oloron (5,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Lucq-de-Béarn fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

OpenStreetMap Limite communale

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lucq-de-Béarn.

La commune est drainée par le Laà, l'Auronce, le Geü, le Laüs, le Layoû, un bras du Layoû, le Bounchoun, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 54 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Laà, d'une longueur totale de 29,5 km, prend sa source dans la commune d'Ogenne-Camptort et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Orthez, après avoir traversé 9 communes[9].

L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Saucède, après avoir traversé 10 communes[10].

Le Geü, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 5 communes[11].

Le Laüs, d'une longueur totale de 10,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Navarrenx, après avoir traversé 6 communes[12].

Le Layoû, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Jasses, après avoir traversé 7 communes[13].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 231 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 7 km à vol d'oiseau[17], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Un espace protégé est présent sur la commune : les « Graves du Larus », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 17,3 ha[23].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 2] :

  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[26] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[27] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[28],[Carte 3] : le « vallon du Larus » (58,81 ha), couvrant 2 communes du département[29].

Site du CEN Aquitaine[modifier | modifier le code]

Les graves du Larus forment un site naturel remarquable géré par le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[30] depuis 1999. Ce site offre un paysage et une nature uniques et préservés dans un environnement très agricole. Traversé par le ruisseau du même nom, sa situation en fond de vallon a favorisé le maintien de milieux humides rares à l'origine d'une biodiversité remarquable. En lien avec un circuit local de randonnée, ce site constitue un lieu de découverte naturaliste de grand intérêt. Un livret pédagogique a été réalisé pour agrémenter la balade. Il est disponible dans plusieurs lieux touristiques locaux tels que certains gîtes.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lucq-de-Béarn est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[31],[32],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,3 %), prairies (27,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), terres arables (18,1 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Les Affites ;
  • Auronce ;
  • Bernateix ;
  • Bieilh ;
  • Bordes ;
  • Broucaret ;
  • Cap de Layoû, où naît le Layoû ;
  • Labaigt ;
  • Lamarquette (premier quartier du Lucq en venant de l'ouest) ;
  • Marquemale 'limite dangereuse' ;
  • Marquessouquere ;
  • Parlayoû 'environs du Layoû', vallon au sud de Cap de Layoû ;
  • Saint-Michel.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lucq-de-Béarn est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Geü, le Laâ, l'Auronce, le Layous et le Laüs. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2006, 2008, 2009 et 2018[39],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lucq-de-Béarn.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 97,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[41].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Lucq, du latin lucus 'bois sacré', apparaît sous les formes Villa de Luco, villa quœ vocatur Luc et Sanctus-Vincentius de Sylva-Bona (respectivement Xe[42] et XIe[42] siècles, cartulaire de l'abbaye de Lucq[43]), Lucus (1323[42], censier de Béarn[44]), Sent-Bisentz de Luc et lo mostier de Sent-Vinssentz de Luc (respectivement 1365[42] et 1426[42], notaires de Lucq-de-Béarn[45]).

Il vient du latin lucum, 'bois' ou 'forêt'[46].

Son nom béarnais est Luc.

Les Affites, hameau de Lucq-de-Béarn, apparaît sous les formes La marque de las Afiites (1562, censier de Lucq[47]) et Les Affittes (1691, comptes de l'évêché d'Oloron[48]).

Histoire[modifier | modifier le code]

La ville se développa autour de l´abbaye Saint-Vincent de Lucq. Paul Raymond[42] note que la commune comptait une abbaye de bénédictins fondée au Xe siècle par Guillaume Sanche.

En 1385, Lucq dépendait du bailliage de Navarrenx et comptait 241 feux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Lucq-de-Béarn a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau[49].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
av.1962   André Casabonnet Radical Agriculteur, conseiller général, suppléant du député Guy Ébrard
1995 2001 Joseph Domecq    
2001 2008 Albert Lasserre-Bisconte    
2008 2014 Albert Lasserre-Bisconte    
2014 En cours Albert Lasserre-Bisconte    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de deux structures intercommunales[50] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].

En 2021, la commune comptait 924 habitants[Note 9], en diminution de 2,84 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6432 6392 6852 5432 6072 6132 6072 4222 505
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3472 1752 0642 2082 3022 0611 9621 8541 868
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8491 8821 8921 5651 5681 4881 4441 4071 263
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2201 1001 0211 007933969966974941
2021 - - - - - - - -
924--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn, et de celle de l'Ossau-Iraty.
L'activité principale de la région est l'agro-alimentaire et l'élevage.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

La commune est située sur une voie alternative du chemin du Piedmont pyrénéen (ou el cami deu pé de la coste), itinéraire secondaire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

L'ancienne abbaye date[55] du XIIe siècle et a été classée aux monuments historiques en 1990.

L'église Saint-Vincent-Diacre est également très ancienne[56] (XIe siècle) et a été remaniée plusieurs fois jusqu'au XIXe siècle.

Équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose notamment d'une école primaire, d'une salle de spectacles, et d'une salle multi-sports où réside le Hand-Ball Club Lucq-de-Béarn.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lucq-de-Béarn » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lucq-de-Béarn », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lucq-de-Béarn », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Dictionnaire historique du gave d'Oloron - Alexis Ichas - éditions gascogne 2020.

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lucq-de-Béarn et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lucq-de-Béarn et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Lucq-de-Béarn », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Lucq-de-Béarn », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Laà ».
  10. Sandre, « l'Auronce ».
  11. Sandre, « le Geü ».
  12. Sandre, « le Laüs ».
  13. Sandre, « le Layoû ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Lucq-de-Béarn et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  22. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « les « Graves du Larus » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lucq-de-Béarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « ZNIEFF le « vallon du Larus » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. Le site du CEN Aquitaine
  31. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  33. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Oloron-Sainte-Marie », sur insee.fr (consulté le ).
  35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  37. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lucq-de-Béarn », sur Géorisques (consulté le ).
  38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  39. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  41. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  42. a b c d e et f Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  43. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  44. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  45. Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 195
  47. Manuscrit de 1562 - Archives de la mairie de Lucq-de-Béarn
  48. Manuscrit du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  49. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
  50. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  55. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'ancienne abbaye
  56. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent-Diacre

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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