Lobbes — Wikipédia

Lobbes
Lobbes
La Sambre et la collégiale Saint-Ursmer.
Drapeau de Lobbes
Drapeau
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Thuin
Bourgmestre Lucien Bauduin (PS)
Majorité PS - LOB2.0 (MR) - ECOLO
Sièges
Ecolo
PS
Les Engagés
LOB2.0 (MR)
17
2
5
5
5
Section Code postal
Lobbes
Mont-Sainte-Geneviève
Sars-la-Buissière
Bienne-lez-Happart
6540
6540
6542
6543
Code INS 56044
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Lobbain(e)[1]
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
5 867 ()
48,95 %
51,05 %
182,2 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
21,04 %
63,78 %
15,18 %
Étrangers 3,66 % ()
Taux de chômage 11,90 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 21 325 €/hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 46″ nord, 4° 15′ 56″ est
Superficie
– Terr. non-bâtis
– Terrains bâtis
– Divers
32,23 km2 (2021)
86,28 %
7,07 %
6,65 %
Localisation
Localisation de Lobbes
Situation de la commune dans l'arrondissement de Thuin et la province de Hainaut
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Lobbes
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Lobbes
Liens
Site officiel lobbes.be

Lobbes est une commune francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut. Elle est située près de la Sambre, un affluent de la Meuse.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Pour certains spécialistes, le nom de Lobbes trouve son origine dans le terme Laubacum signifiant ruisseau, d’autres y voient une origine germanique se rapprochant du terme lauh-baki ou lauha-baki signifiant généralement ruisseau des bois[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Sections de commune[modifier | modifier le code]

# Nom Superf.
(km²)[3]
Habitants
(2020)[3]
Habitants
par km²
Code INS
1 Lobbes 9,29 3.887 418 56044A
2 Sars-la-Buissière 10,07 830 82 56044B
3 Bienne-lez-Happart 3,93 454 115 56044C
4 Mont-Sainte-Geneviève 8,91 647 73 56044D

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Vue vers le hameau d'Heuleu vue de la collégiale Saint-Ursmer.
  • Les Bonniers, hameau qui se situe au nord de la commune.
  • La Grattière, se situe au sud du pont de la Sambre.
  • Le Calvaire, il se situe sur le plateau de l'Entreville.
  • L'Entreville, nom du quartier du carrefour du même nom.

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Heuleu, lieu-dit sur les hauteurs de Lobbes un cimetière militaire de la guerre de 1914-1918 dominé par une tour blanche.
  • Gaux, ce lieu-dit se trouve près du centre de la commune.
  • Champ du Loup, une ferme qui porte le même nom datant du XVIIIe et XIXe siècle[4].
  • Les Quatre Chemins, il se situe entre le Calvaire et les Bonniers.
  • Les Crochets, il se situe sur la pente de la collégiale et la Sambre, une rue porte le nom.
  • Pichotin, près de la collégiale Saint-Ursmer.
  • Bambois, sur la rive droite en remontant la Sambre.
  • Briqueterie, nom donner à ce lieu qui avait une briqueterie.
  • Saint-Nicolèy, sur les hauteurs où se trouve la Portelette.
  • Champ de l'Abbaye.
  • Trou des Loups, entre les Quatre Chemins et les Bonniers.
  • Taille des Chevaux, au nord du quartier des Bonniers.
  • Les Dérodés, dans le quartier des Bonniers.
  • Le Laid Pas, à la limite avec Thuin.
  • Terre du Rœulx, à l'ouest de la commune.

Bois[modifier | modifier le code]

  • Bois de la Houssière, situé au nord-est de la commune à la limite avec Mont-Sainte-Geneviève.
  • Bois de Lobbes, à la limite avec Thuin.
  • Bois du Baron, à la limite ouest de la commune.
  • Bois Gabelle, situé à l'est où se trouve la zone industrielle Lobbes-Thuin.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Pont et la Sambre.
  • La Sambre.
  • Le Laubach, petit ruisseau qui prend sa source à Mont-Sainte-Geneviève et qui passe dans le domaine de l'ancienne abbaye, et se jette dans la Sambre.
  • Etang du Moulin de Mouligneau.
  • Etangs des Viviers qui se situe sur le lit du Laubac avec les étangs de la Brouille et de l'étangs des Peupliers.
  • Le Rabion qui coule à l'ouest et qui se jette dans la Sambre.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Gravure de l'abbaye.

Lobbes est une commune dont l’origine remonte au Moyen Âge puisque son histoire se confond avec celle du monastère bénédictin fondé en 654 par Landelin, un brigand converti au christianisme par saint Aubert, évêque de Cambrai. Landelin est un descendant du roi Mérovée et sa précieuse ascendance l'a certainement aidé à édifier le monastère qui deviendra le berceau de la cité que nous connaissons aujourd’hui. À peine deux siècles après sa fondation, le monastère devient non seulement une pépinière de savants et de saints mais aussi le centre d’un immense domaine dont fait mention le fameux polyptyque de Lobbes (un document rédigé par l’évêque de Cambrai à l’initiative de Lothaire II en 868-869). On sait d’ailleurs aujourd’hui que les cent septante-quatre villages qui composaient le domaine a été donnés à l’abbaye par les souverains de l'époque et notamment par le roi des Francs Dagobert et par Pépin de Herstal dit le Vieux. Charlemagne fonde une école à Lobbes en 776, dont la riche bibliothèque valut à la ville d'être surnommée « Lobbes la Savante ». Saint Landelin n'est pas la seule grande figure de l’abbaye de Lobbes : saint Ursmer en assume la charge de 689 à 713 et la collégiale porte aujourd’hui encore son nom. En 888, l'abbaye passe sous l'autorité de l'évêché de Liège.

Au cours des siècles l'abbatiale est détruite à plusieurs reprises, mais l’église funéraire des moines située sur la colline voisine de l'abbaye, d'époque carolingienne, est préservée et devient ensuite collégiale. Lobbes est notamment assiégée par les Normands danois en 882 et les nomades magyars en 955.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au XVe siècle la prospérité de l'abbaye est tellement mise à mal par les guerres que les chanoines sont obligés de quitter l’endroit pour se réfugier à Binche. Toutefois le monastère bénédictin continue sa mission jusqu’au , date à laquelle les troupes républicaines, menées par le général Charbonnier, l’envahissent et y mettent le feu au cours d’un pillage qui dura trois jours. Les moines fuient en Allemagne alors que Napoléon accorde la propriété des biens de l'abbaye à Charbonnier.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le cimetière militaire d'Heuleu.

En août 1914, les envahisseurs allemands mettent à sac le quartier de la Place Communale et du couvent de la Visitation. Puis, sur les hauteurs de Heuleu, ils, livrent un combat acharné aux troupes françaises qui leur barrent la route. Des centaines d'hommes trouvent la mort. Leur corps sont par après rassemblés dans deux cimetières dont un seul, celui des Français, demeure aujourd'hui[5].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le , pendant la bataille de France, un chasseur de la Luftwaffe mitraille des réfugiés sur les routes de Lobbes, faisant 43 tués[6]. Cette année-là et en 1944 la commune eut aussi à subir des bombardements causant d’importants dégâts et faisant de nombreuses victimes.

Après guerre[modifier | modifier le code]

En 1977, Lobbes fusionne avec Bienne-lez-Happart, Mont-Saint-Geneviève et Sars-la-Buissière.

Faits divers[modifier | modifier le code]

Accident de bateau en 1915[modifier | modifier le code]

Le , une crue de la Sambre entraîne une péniche qui emporte le pont-levis, aujourd'hui disparu. On dut faire appel aux soldats allemands pour retirer l'épave de la rivière[7].

Centre Arthur Regniers[8][modifier | modifier le code]

En 2022, le baron Jean-Marie Bogaert (ex-échevin MR de Lobbes), est arrêté et placé sous mandat d'arrêt et est incarcéré à la prison de Jamioulx[9],[10]. Il gère une fondation (la Fondation Baron-Baronne Jean-Marie et Monique Bogaert) et deux asbl (Vestric et Les amis des infirmes moteurs cérébraux). Des réquisitions bancaires ont permis de découvrir des mouvements financiers qui posent question entre les comptes des asbl, de la fondation, et les comptes personnels de Jean-Marie Bogaert[10]. À la suite du scandale, il est suspendu comme membre du Mouvement Réformateur par Denis Ducarme[11].

Lieux publics[modifier | modifier le code]

Lobbes possède deux cimetières : cimetière de Lobbes et la nécropole de Heuleu, cimetière aux soldats tombé pendant la première guerre mondiale. La commune possède une salle polyvalente "Les Blés Verts".

Sports[modifier | modifier le code]

Infrastructures[modifier | modifier le code]

  • Complexe Le "Scavin".
  • Stade de football Roger Langelez.
  • Piscine, rue Paschal sur le site de la Visitation.

Patrimoine majeur et curiosités[modifier | modifier le code]

Patrimoine[modifier | modifier le code]

  • La collégiale qui porte le nom de Saint-Ursmer fondée au IXe siècle, la Collégiale Saint-Ursmer de Lobbes relève du Patrimoine majeur de Wallonie. Cette église est considérée comme la plus vieille église de Wallonie. La nef et deux transepts appartiennent à l'époque carolingienne. Dès la fin du xie siècle ou, selon une étude récente, dès la fin du xe siècle période durant laquelle fut installé un chapitre de chanoines, l’église fut modifiée, notamment par l’agrandissement du chœur et par le remaniement de la vaste crypte semi-enterrée toujours conservée[12].
  • Ancienne abbaye. Fondée au VIIe siècle, par Saint-Landelin. Au Xe siècle l'abbaye devint l'un des foyers culturels et les plus importants de la région. Au XVIIIe siècle l'abbaye connut une nouvelle ère de prospérité et d'importantes reconstructions furent entreprises sous l'abbatiat de Théodulphe Barnabé (1728- 1752). L'abbaye fut saccagée pendant la révolution française en 1794 et détruite en 1817. Les matériaux sont été utiliser pour la restauration des fortifications de Charleroi[13].
    • La portelette, qui marque le limite du domaine de l'abbaye qui date de la fin du XVIIe siècle en style baroque, les deux niches abritent les statues de Saint-Ursmer et de Saint-Landelin. La tourelle accolée au mur date du XVIe siècle appartenait au système défensif les murs datent du XIIIe siècle[14]. Une réplique de la portelette se trouve à Valle Hermoso en Argentine[15].
    • Ancienne ferme abbatiale. Construit sous l'abbatiat de Théodulphe Barnabé[13].
  • Chapelle Notre-Dame de Hal, sur le chemin de halage.
  • Chapelle Notre-Dame aux Charmes, elle se situe Lobbes-Bonniers.
  • Chapelle Saint-Roch, se situe sur les hauteurs à l'ouest de la commune.
  • Lobbes est traversée par un tramway touristique qui rejoint Thuin. Cependant la commune a récemment voté une résolution demandant qu'une section importante, et d'un intérêt historique de haut rang, de son parcours soit déferrée pour faciliter le parking d'automobiles, ce qui conduit à s'interroger sur l'intérêt que la commune porte au patrimoine technique et industriel représenté par ce tramway touristique et historique.

Curiosités[modifier | modifier le code]

  • L'ancien pensionnat de la Visitation, rue Paschal. Il a été édifié entre 1874 et 1876[16]. Aujourd'hui le couvent a été démoli sauf la façade qui donne sur la rue. À l'arrière se trouve une maison de retraite et une crèche.
  • La maison communale. Construite par Alexis Dumont en 1923 et 1924 qui remplace l'ancienne détruite pendant la guerre de 1914-1918 par les troupes allemandes[17]. Aujourd'hui elle se trouve entre le pont de la Sambre et le pont du chemin de fer.
  • L'église du Sacré-Cœur. Elevée en 1913, construction en style éclectique due à l'abbé Vanding[18]. L'église fut incendiée le 15 février 1956[19]. Elle se trouve dans le quartier des Bonniers, au nord de Lobbes-Centre.
  • Clinique Saint-Joseph. Construit par l'architecte Hosdain.
  • Le jardin de Folcuin. Créé en 1997 c'est l'héritage des traditions horticoles entretenues par les moines pour contrer famines et épidémies. Ce jardin est géré par des bénévoles, c'est un espace de convivialité, des panneaux didactiques permettent de découvrir l'histoire de ce jardin féodal[20].


Voir aussi la liste du patrimoine immobilier classé de Lobbes.

Culture[modifier | modifier le code]

Réserve centrale du Réseau public de la Lecture (Fédération Wallonie-Bruxelles), rue Rue des Quatre d'Gins 36.

Folklore et traditions[modifier | modifier le code]

Le carnaval de Lobbes est particulier : fondée en 1910[22], les Hottes (costume de grand'mère) transportent dans leur hotte leurs maris. Les Nonancourts groupe folklorique fondé au début du vingtième siècle[23], formant une société de musique originale, tant par son habit revisité que par ses interprétations. Il y a aussi des autres société : les Sorcières lobbaines les Gilles les Paysans etc. Chaque dernier week-end de septembre a lieu à Lobbes la Ducasse 1900[24]. Durant les mois d'été, la tradition de joutes nautiques se maintient au pont de Sambre au travers des deux sociétés lobbaines[25]. Remise à l'honneur par le père Luc en 1995, la procession conduite par la confrérie des archers de sainte Appoline. Elle trouve son origine au XVIIe siècle[26].

Musée[modifier | modifier le code]

Lobbes possède un musée sur le miel, rue de la Fontaine Pépin.

Démographie[modifier | modifier le code]

Démographie: Avant la fusion des communes[modifier | modifier le code]

  • Bron:NIS - Opm:1831 t/m 1970=volkstellingen; 1976= inwoneraantal op 31 december

Démographie : Commune fusionnée[modifier | modifier le code]

Elle comptait, au , 5 962 habitants (2 913 hommes et 3 049 femmes) [27], soit une densité de 184,98 habitants/km² pour une superficie de 32,23 km²[28].

En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante[29],[30] :


Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

  • Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier

Liste des bourgmestres de 1830 à aujourd'hui[modifier | modifier le code]

  • Louis Bernard, (1921 à 1926 et de 1939 à 1958) (POB-PSB).
  • André Levacq, (1988-19??).
  • André Bondroit, (2001 à 2006) (CDH).
  • Marcel Basile, (2006-2018), (CDH)
  • Steven Royez, (2018-2020) (CDH).
  • Lucien Baudouin, (2020-Aujourd'hui) (PS).

Économie[modifier | modifier le code]

Le développement économique de Lobbes repose alors principalement sur l'exploitation de carrières de grès que l'on acheminait vers la gare par wagonnets. Jusqu'au début du XXe siècle, la Sambre attire aussi des fonderies et un chantier de construction de bateaux. Sur l'autre rive, le long de l'actuelle rue de la Saline, un quartier de petites industries saline, savonnerie, brasserie et briqueterie s'était développé le long de l'eau[32]. Aujourd’hui c’est la qualité de vie de l’endroit qui y attire non seulement une population avide de calme et d’air sain mais aussi des touristes épris par la beauté de ses sites naturels et architecturaux de la Thudinie.

Tourisme[modifier | modifier le code]

L'office du tourisme.

Lobbes est composée de circuits de randonnées à travers la commune. Visite guidée de la collégiale Saint-Ursmer et des activités pendent l'année. Le syndicat d'initiative se trouve au no 17 place Communale.

Entreprises[modifier | modifier le code]

La plupart des entreprise sont situés dans le zoning Lobbes-Thuin crée dans les années 70.

  • Bidfood, service de distribution de nourritures pour maisons de repos, hôpitaux, écoles et entreprises.
  • Drinks Distri Boissons Lobbes.
  • Full Mazout.
  • Intérieur et Chaleur, entreprise de chauffage.
  • Multi-Service Découpe SA.
  • Full Logistic Thuin SA (service de transport).
  • Acos-Visoderm (laboratoire de cosmétique).

Commerces[modifier | modifier le code]

Lobbes possède des petits commerces dans le centre et dans le quartier des Bonniers, comme par exemple (Cafés, friteries, épicerie etc).

Brasserie[modifier | modifier le code]

Brasserie du Val de Sambre qui se situe dans le Zoning Lobbes-Thuin.

Produits du terroir[modifier | modifier le code]

Domaine de la Portelette, vignes. Ferme du Champ du Loup.

Transport et communication[modifier | modifier le code]

La gare de Lobbes.

Position centrale par rapport aux axes de mobilité (N59, N40 et N55, entre autres : à 5 minutes d’Anderlues et de Thuin, 20 minutes de Charleroi et de Binche, et 40 minutes de Mons)[33]. Par train la gare de Lobbes.

Par bus[modifier | modifier le code]

Terminus Jours de service
21 Estinnes-au-Mont - Binche Me
91 Montigny-le-Tilleul - Anderlues Lu Ma Me Je Ve
119 Anderlues - Beaumont Lu Ma Me Je Ve

Services[modifier | modifier le code]

La clinique Saint-Joseph.
  • La clinique Saint-Joseph faisant partie du Centre hospitalier de Jolimont-Lobbes, aujourd'hui Helora.
  • La Visitation, Maison de repos et de soins, rue Paschal.
  • Une résidence-service ouvert au début de 2023[34].
  • Zone de police Lobbes, place communale.
  • Crèche, "Les Petits Canailles", à côté de la Visitation.

Vie associative[modifier | modifier le code]

Patro Jean XXIII Sainte-Agnès de Lobbes.

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École communale du Centre.
  • École communale des Bonniers.
  • École libre de Lobbes.

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 39.
  2. (nl) A. Carnoy, « Het woord beek vóór, in en buiten het Germaans », Verslagen en mededelingen, Koninklijke Vlaamse Academie voor Taal- en Letterkunde,‎ , p. 213
  3. a et b https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  4. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 10, t. 1 et 2, p. 541.
  5. Foulon 1973, p. 38.
  6. Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 301
  7. Foulon 1973, p. 16.
  8. Qui se situe sur le territoire de Bienne-lez-Happart.
  9. DH Les Sports+, « Suspicions de détournement à la Province: Jean-Marie Bogaert en prison et exclu de son parti », sur DH Les Sports +, (consulté le )
  10. a et b « #Investigation sur les provinces : le baron Jean-Marie Bogaert en prison », sur RTBF (consulté le )
  11. Anthony Cujas, « Arthur Regniers : le directeur Jean-Marie Bogaert en prison », sur Télésambre (consulté le )
  12. « Collégiale Saint-Ursmer de Lobbes », sur www.connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le )
  13. a et b Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 10, t. 2, p. 535.
  14. Bioul 2017, p. 34.
  15. « Une portelette à Buenos Aires », Haut Pays de Sambre, no 54,‎ , p. 8-24 (lire en ligne [PDF])
  16. « 1851-1969 La Visitation de Lobbes 118 années d’enseignement », Haut Pays de Sambre, no 5,‎ , p. 10-19 (lire en ligne [PDF])
  17. Celle de la place est devenue un poste de police et une salle d'expositions.
  18. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 10, t. 2, p. 547.
  19. « L’église du Sacré-Coeur de Lobbes-Bonniers », Haut Pays de Sambre, no 82,‎ , p. 10-28 (lire en ligne [PDF])
  20. Bioul 2017, p. 32 et 33.
  21. Foulon 1973, p. 4.
  22. Foulon 1973, p. 24.
  23. Foulon 1973, p. 27.
  24. « La ducasse 1900. », sur Lobbes.be
  25. « Les joutes nautiques », sur Lobbes.be
  26. « Procession Sainte-Apoline », sur Lobbes.be
  27. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
  28. Ces chiffres reprennent toutes les personnes inscrites dans la commune le premier jour du mois écoulé, quel que soit le registre dans lequel elles sont reprises (registre de la population, registre des étrangers ou registre d'attente).
  29. https://www.ibz.rrn.fgov.be/fr/population/statistiques-de-population/
  30. Ces chiffres reprennent toutes les personnes inscrites dans la commune le premier janvier écoulé, dans le registre de la population ou le registre des étrangers sans le registre d'attente.
  31. https://view.officeapps.live.com/op/view.aspx?src=https%3A%2F%2Fstatbel.fgov.be%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Ffiles%2Fdocuments%2Fbevolking%2F5.1%2520Structuur%2520van%2520de%2520bevolking%2FPopulation_par_commune.xlsx&wdOrigin=BROWSELINK
  32. Bioul 2017, p. 32.
  33. « Lobbes », sur www.charleroi-metropole.be (consulté le )
  34. Laura Gentile, « Lobbes: une nouvelle résidence-services ouvrira ses portes le 2 janvier », sur www.telesambre.be, (consulté le )
  35. Jean Deroubaix, Le dictionnaire du Hainaut, Mouscron, Imprim'tout Editions, , 782 p., p. 406

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 10, t. 1 et 2 : Province de Hainaut, Arrondissement de Thuin, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 447 p. (ISBN 2-8021-0045-9)
  • Pierre-Jean Foulon, Lobbes en cartes postales anciennes, Zaltbommel, Bibliothèque Européenne, , 38 p.
  • Roger Foulon, La Thudinie, Mons, Imprimerie Provinciale du Hainaut, , 102 p.
  • Simon Brigode, Les anciennes abbatiales et l'église carolingienne Saint-Ursmer de Lobbes, Marcinelle, Imprimerie de la Sambre, , 51 p.
  • Anne-Catherine Bioul et al., Le patrimoine du Val de Sambre : De Landelies à Erquelinnes, Institut du Patrimoine wallon, coll. « Carnets du Patrimoine » (no 144), , 60 p. (ISBN 978-2-87522-022-6)
  • Roger Foulon, Ma Thudinie, Paul Legrain, éditeur, , 137 p.
  • Colette Piérard, La Sambre, chronique d'une normalisation, Éditions Met, , 220 p. (ISBN 2-930148-11-X)

Liens externes[modifier | modifier le code]