Liste des partis politiques français disparus — Wikipédia

Cette page présente la liste des partis politiques français disparus. Les partis actuellement en activité sont présentés sur la page partis et mouvements politiques français.

Gauche[modifier | modifier le code]

Sous la IIIe République[modifier | modifier le code]

Sous la IVe République[modifier | modifier le code]

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Centre[modifier | modifier le code]

Sous la IIIe République[modifier | modifier le code]

Sous la IVe République[modifier | modifier le code]

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Mouvement gaulliste[modifier | modifier le code]

Sous la IVe République[modifier | modifier le code]

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Démocratie chrétienne[modifier | modifier le code]

Sous la IIIe République[modifier | modifier le code]

Sous la IVe République[modifier | modifier le code]

  • Mouvement républicain populaire : 1944-1966, démocrate-chrétien, successeur du PDP, rassemblant également les partis chrétiens-démocrates d'Alsace-Lorraine (URL et URP) et des groupes chrétiens résistants.

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Droite[modifier | modifier le code]

Sous la IIIe République[modifier | modifier le code]

Sous la IVe République[modifier | modifier le code]

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Extrême droite[modifier | modifier le code]

Sous la IIIe République[modifier | modifier le code]

Sous Vichy et l'Occupation[modifier | modifier le code]

Sous la Ve République[modifier | modifier le code]

Partis régionaux[modifier | modifier le code]

  • Batasuna (« Unité ») : parti indépendantiste du Pays basque Nord d'extrême gauche, fondé en 2001. Proche d'Euskadi ta Askatasuna (ETA, « Pays basque et liberté »). Dissous début 2013.

Autres[modifier | modifier le code]

  • Parti humaniste (PH) : fondé en 1984 en France où son leader est Alain Ducq. Branche politique du Mouvement humaniste. Il apparaissait sur la liste des sectes recensées par le rapport d'enquête parlementaire de 1996, mais retiré du second rapport parlementaire de 1997. Déposé auprès de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques en 1997[1], il est déclaré comme non déposé en 2000 et disparaît depuis de ces rapports[2].
  • Politique de vie (PV) : fondé en 1994 par le sociologue et psychothérapeute Christian Cotten. Vise à provoquer et accompagner les changements (spirituels, culturels, politiques, économiques et sociaux) nécessaires au respect et au développement de la vie de la planète et ses habitants[3]. Il a participé aux élections européennes de 1994, 1999 et 2009 sur la liste du Parti antisioniste.
  • Parti Solidarité - Liberté, Justice et Paix : fondé en , ce parti veut faire exister une voix chrétienne indépendante, inspirée de la doctrine sociale de l'Église catholique. Présidé par Axel de Boer. Présente deux listes aux Européennes de 2009 (0,15 % et 0,16 %) puis La Liste Chrétienne aux régionales de 2010 en Île-de-France (0,85 % des suffrages).
  • Parti du plaisir (PP) : fondé en 2001 par la stripteaseuse Isabelle Laeng (alias Cindy Lee), il se réclame premier parti hédoniste de France.
  • Parti Pied-noir (PPN) : fondé en 1999 en vue de défendre les intérêts des rapatriés d'Afrique du Nord et surtout actif dans le Sud du pays, présidé par Christian Schembré[4].
  • Rassemblement social-démocrate (RSD) : fondé en 2007 par Rachid Nekkaz, il est la continuation du Parti Rachid Nekkaz et du groupe de réflexion Allez France. Il a présenté 58 candidats aux élections législatives de 2007 et a participé aux municipales de 2008 dans certaines villes dont Orly, Denain et Bron.
  • Société nouvelle (SN) : fondé par Christopher Guéna, actif de 2011 à 2012. C'est le premier parti politique d'initiative jeune de France et le premier mouvement néo-luddiste de France.
  • Union française pour la cohésion nationale (UFCN) : mouvement créé en 2003 par Mustapha Lounes et Zinedine Sammari. Il est la continuation de Génération républicaine créé en 1992.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Rapport de la CNCCFP pour 1997.
  2. Rapport de la CNCCFP pour 2000.
  3. Ce parti et son responsable sont parfois désignés par leurs détracteurs, comme proches de la mouvance sectaire. Ce que dément Christian Cotten en dénonçant la collusion des milieux politique et judiciaire et la corruption d'une certaine élite politique.
  4. Marie Muyl, « Parti Pied-Noir : une opportunité européenne », Pôle Sud, no 24, 2006. p. 59-73.

Voir aussi[modifier | modifier le code]