Les Chênes qu'on abat... — Wikipédia

Les chênes qu'on abat...
Image illustrative de l’article Les Chênes qu'on abat...
Philippe Girard & John Arnold dans le Crépuscule, adaptation théâtrale des Chênes qu'on abat

Auteur André Malraux
Pays Drapeau de la France France
Genre Mémoires
Éditeur Gallimard
Collection Blanche
Date de parution
Nombre de pages 240
ISBN 978-2070278114

Les chênes qu'on abat... est un livre d'André Malraux, paru en 1971.

Charles de Gaulle s'est retiré à Colombey-les-Deux-Églises, et André Malraux lui rend visite. Malraux interroge ce premier, et s'ensuit un dialogue, relaté dans ce livre. Le titre fait référence à un vers de Victor Hugo[1].

Malraux regroupera cet ouvrage parmi trois autres ouvrages initialement parus entre 1971 et 1975 dans le deuxième tome de la grande fresque "Le Miroir des limbes". Revus et complétés, ils seront présentés dans une version définitive en six chapitres : I, II, III : Hôtes de passage. IV : Les chênes qu'on abat... V : La tête d'obsidienne. VI : Lazare.

Au théâtre[modifier | modifier le code]

Le Crépuscule de Lionel Courtot d'après les Chênes qu'on abat[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. IV, xxxvi « À Théophile Gautier », Toute la Lyre.
  2. artsmouvants.com