Les Cars — Wikipédia

Les Cars
Les Cars
La mairie.
Blason de Les Cars
Héraldique
Les Cars
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité CC Pays de Nexon Monts de Chalus
Maire
Mandat
Florence Bélair
2022-2026
Code postal 87230
Code commune 87029
Démographie
Population
municipale
618 hab. (2021 en diminution de 2,06 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 52″ nord, 1° 04′ 25″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 544 m
Superficie 16,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Yrieix-la-Perche
Législatives 2e circonscription de la Haute-Vienne
Localisation
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Liens
Site web http://lescars87.fr

Les Cars est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situation de la commune des Cars en Haute-Vienne.

La commune est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Située en plein pays des Feuillardiers, la forêt est constituée principalement de châtaigniers. On peut y voir la restauration du château actuellement en ruine, l'antenne des Cars (relais) et un parc à daims.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes des Cars[1]
Flavignac
Pageas des Cars Rilhac-Lastours
Bussière-Galant

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La source de la Dronne, un sous-affluent de la Dordogne par l'Isle, se trouve dans la commune, qui est également drainée par le Ruisseau de Bosmarèche, l'Arthonnet et d'autres ruisseaux.

Plusieurs étangs et pièces d'eau se trouvent sur le territoire communal

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 144 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Châlus à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 159,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Cars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,7 %), zones agricoles hétérogènes (33,6 %), prairies (24,2 %), zones urbanisées (2,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune des Cars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 354, alors qu'il était de 347 en 2013 et de 329 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 72,4 % étaient des résidences principales, 13,8 % des résidences secondaires et 13,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,2 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements aux Les Cars en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Vienne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,8 %) supérieure à celle du département (7,8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,4 % en 2013), contre 62,2 % pour la Haute-Vienne et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement aux Les Cars en 2018.
Typologie Les Cars[I 1] Haute-Vienne[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 72,4 82,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,8 7,8 9,7
Logements vacants (en %) 13,8 9,7 8,2

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Cars.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 27,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune des Cars est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est dénommée Los Cars en occitan.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

À la fin du XIe siècle, Ramnulphe de Lastours, donne à l'abbaye Saint-Martial de Limoges, la villa de Quadris, (village des Cars), situé dans la partie boisée de la vaste paroisse de Flavignac. Le village paraît déjà doté d'une chapelle Sainte-Marie-Madeleine. L'abbaye y fonde rapidement un prieuré formellement attesté dès les premières années du XIIe siècle.

Vers 1280 s'éteint la famille de Flavignac inféodée aux Lastours depuis le XIe siècle. C'est sans doute ce qui favorise l'apparition et le développement de la seigneurie des Cars. Ce nouveau fief, d'abord aux mains de la famille de Barry, puis de la famille de Pérusse dès le milieu du XIVe siècle, paraît formée au début principalement de territoires de l'ancienne paroisse de Flavignac (communes actuelles de Flavignac et Les Cars). Progressivement, les nouveaux seigneurs émancipent des Lastours (ils finissent même par racheter la seigneurie de Lastours (commune de Rilhac-Lastours). Rapidement, également, les Pérusse prennent le nom de Pérusse des Cars, parfois écrit Pérusse d'Escars, à partir de la Renaissance.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Le château, qui n'est probablement au début qu'une simple maison forte, à quelques centaines de mètres du prieuré de Saint-Martial, est progressivement reconstruit pour devenir une véritable résidence. Geoffroy de Pérusse des Cars (mort en 1534), conseiller-chambellan du roi de Navarre semble avoir considérablement amélioré et enrichi le monument lors de la Première Renaissance. Le site fut ensuite fortifié, lors des guerres de Religion.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le château est pillé et détruit en 1798[20]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

L'émetteur de télévision des Cars est édifié en 1959 et entre en fonction le [21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Limoges du département de la Haute-Vienne.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Châlus[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Yrieix-la-Perche

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Vienne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Les Cars était membre de la communauté de communes des monts de Châlus, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent normalement avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Pays de Nexon-Monts de Châlus, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1983 décembre 2006 Michel Guignard[Note 4] PCF Enseignant
Mort en fonction
décembre 2006 juillet 2022 Stéphane Delautrette[24],[25] PS Ingénieur à l’Ademe
Conseiller départemental (2015 → 2022)
Vice-président du conseil départemental de la Haute-Vienne (2017 → 2022)
Président de la CC Communauté de communes Pays de Nexon-Monts de Châlus (2017 → 2022[26])
Vice-président PNR Périgord Limousin (2021 → 2022)
Président de l'Association des Maires de Haute-Vienne (2020 → 2022)
Député de la Haute-Vienne (2e circ.) (2022 → )
Démissionnaire à la suite de son élection comme député
juillet 2022[27] En cours
(au 30 mars 2023)
Florence Bélair PS Référente autonomie au conseil départemental de Haute-Vienne

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[28].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 618 habitants[Note 5], en diminution de 2,06 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
686841771904857886896945972
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
840856844804832786817855863
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
879883888759755680697636573
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
582571627586551583615627590
2014 2019 2021 - - - - - -
628629618------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'usine des chaussettes Broussaud se trouve aux Cars depuis sa création en 1938.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Sites et monuments[modifier | modifier le code]

Antenne des Cars.
  • Les ruines du château des Cars[32] (XVIe siècle) :
    Ce sont les derniers vestiges d'un château Renaissance détruit à la Révolution française. Une exposition permanente regroupe, dans sa salle lapidaire, les éléments sculptés qui ornaient le chateau[33].
  • Église paroissiale de la Nativité-de-la-Très-Sainte-Vierge :
    Le trésor de l'église comprend une croix-reliquaire à double traverse en forme de fleur de lys[34], composée d’argent partiellement doré et de pierreries de diverses couleurs (rubis, émeraude et améthyste). La croix date du XIIIe siècle, et a été montée sur un pied fabriqué entre 1613 et 1622, portant les armes du comte Charles Pérusse des Cars et celles de son épouse Anne de Bessey. Le trésor inclut aussi un reliquaire de la Vraie-Croix[35] : en 1905, à la suite de la loi de séparation de l’Église et de l’État, les paroissiens inquiets de voir la croix du XIIIe siècle et la relique qu'elle abritait devenir propriétés communales, firent réaliser un nouveau reliquaire qui fut enrichi de nombreux bijoux offerts par les habitants. Il renferme aujourd’hui la relique.
  • Le hameau de Saumur et ses vestiges d'un prieuré de l'Ordre de Grandmont :
    Ce petit monastère, aussi appelé une celle fut fondé vers 1165[36].
  • Émetteur de FM et de télévision :
    Tour hertzienne d'une hauteur de 200 mètres[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Les Cars Blason
De gueules au pal de vair.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. L'école de la commune porte le nom de ce maire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Les Cars et Châlus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chalus_sapc » (commune de Châlus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chalus_sapc » (commune de Châlus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune des Cars », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corèze - Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze (1901) p.573 en ligne par: gallica2.bnf.fr
  21. « Chronique du Centre-Ouest, La vie économique de la Haute-Vienne en 1958 ET 1959 d'après les rapports de la chambre de commerce, Antoine PERRIER, Année 1960, Volume 28, Numéro 28, p. 497 », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  24. « Municipales : Stéphane Delautrette candidat à sa propre succession », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2006, Stéphane Delautrette sollicitera un nouveau mandat en conduisant la liste d'Union de la Gauche « Bien vivre ensemble aux Cars ».
  25. Florence Clavaud-Parant, « Qui est Stéphane Delautrette, l'enfant des Cars devenu député de la 2e circonscription de Haute-Vienne ? », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « La communauté de communes Pays de Nexon-Monts de Châlus a élu son nouveau président : Les élus du Pays de Nexon - Monts de Châlus (CCPNMC) viennent d’élire Emmanuel Dexet président de leur communauté de communes. », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Florence Belair, la nouvelle maire des Cars », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ) « la maire, Florence Belair, était la plus ancienne conseillère municipale, en fonction depuis 1995, elle en est à son 5 e mandat ».
  28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Vestiges de l'ancien château », notice no PA00100263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 12 janvier 2012
  33. (fr)[PDF]Site Inscrit De L'ancien Chateau Des Cars sur www.limousin.ecologie.gouv.fr, consulté le 23 mai 2009
  34. Jean-François Boyer, « La croix-reliquaire de la Vraie Croix de l’église des Cars », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. 122, 1994, p. 67-93 ; « Croix-reliquaire à double traverse », notice no PM87000053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture consulté le 12 janvier 2012
  35. « Reliquaire de la Vraie Croix », notice no PM87000703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture consulté le 12 janvier 2012.
  36. Les ordres religieux en Limousin du XIe au XVIIIe: La celle de Saumur
  37. (fr) « Emetteur des Cars », sur le site, (consulté le ).