Le Palais-sur-Vienne — Wikipédia

Le Palais-sur-Vienne
Le Palais-sur-Vienne
La mairie du Palais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Ludovic Géraudie
2020-2026
Code postal 87410
Code commune 87113
Démographie
Population
municipale
5 947 hab. (2021 en diminution de 1,6 % par rapport à 2015)
Densité 576 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 54″ nord, 1° 19′ 27″ est
Altitude Min. 221 m
Max. 360 m
Superficie 10,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Limoges
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limoges-5
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Palais-sur-Vienne

Le Palais-sur-Vienne est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'agglomération de Limoges.

Le nom occitan de la commune est Lu Palaiç. Ses habitants sont appelés Palaisiens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le Palais-sur-Vienne est situé à l'est de l'agglomération de Limoges, dans la vallée de la Vienne. Son altitude varie entre 230 et 365 mètres.

Cette ville est desservie par la ligne STCL 8.

Le territoire communal est bordé au sud-est par la rivière la Vienne rejointe sur le territoire communal par son affluent le Palais.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le Palais-sur-Vienne est limitrophe de cinq autres communes.

Carte de la commune de Le Palais-sur-Vienne et de ses proches communes.
Communes limitrophes du Palais-sur-Vienne[2]
Rilhac-Rancon
Limoges du Palais-sur-Vienne Saint-Priest-Taurion
Panazol Saint-Just-le-Martel

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • le Bournazeau
  • le Châtenet
  • le Puy Neige
  • Maison Rouge
  • Ventenat

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 965 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Palais-sur-Vienne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[13] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (38,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41,6 %), forêts (23,6 %), prairies (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), eaux continentales[Note 3] (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), terres arables (3,5 %)[18].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune du Palais-sur-Vienne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses, le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et la Mazelle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2016[21],[19]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vienne du Palais à Beynac », approuvé le [22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Palais-sur-Vienne.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 11,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut : Valdi (activités soumises à autorisation pour le traitement thermique de déchets dangereux)[25],[26].

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune du Palais-sur-Vienne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville du Palais-sur-Vienne tire son nom du palais carolingien de Jocondiac attesté dès 794 par un diplôme du roi d'Aquitaine Louis le Pieux. Il avait cependant déjà disparu en tant que monument au début du XIe siècle. Cette résidence royale dont on ne connaît pas l'emplacement exact fut fréquentée par les souverains carolingiens de la fin du VIIIe siècle jusqu'en 832 au moins.

Histoire[modifier | modifier le code]

Haut Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le palais de Jocondiac apparaît en 794, comme le lieu d'émission du plus ancien diplôme connu de Louis le Pieux dit Louis le Débonnaire, fils de Charlemagne[30], qui ne portait jusqu'en 814 que le titre de Roi d'Aquitaine.

Charlemagne, qui aimait avec passion la chasse et les chevaux et dressait lui-même ses destriers de bataille, récompensait les éleveurs comme les poètes. Lorsque ce grand roi visitait les provinces, les intendants du domaine « étaient tenus d'amener au palais où Charlemagne se trouvait, le jour de la Saint-Martin d'hiver, tous les poulains, de quelqu'âge qu'ils fussent, afin que l'empereur, après avoir entendu la messe, les passât en revue ». Les Capitulaires de Charlemagne nous apprennent en outre que c'était dans sa maison de Jocondiac, près de Limoges, qu'il faisait la revue des poulains des provinces du centre[31].

La résidence fut utilisée après 814 par Pépin Ier, fils de Louis le Pieux (devenu à cette date empereur d'Occident) et son successeur sur le trône d'Aquitaine. À l'automne 832, y fut organisé un grand plaid convoqué par l'empereur Louis le Pieux qui y vint avec son épouse, Judith, et son jeune fils, Charles le Chauve.

L'église date de l'époque romane. Un cippe funéraire gallo-romain se situe devant l'entrée de l'église.

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

L'église du Palais a appartenu aux chanoines réguliers de Saint-Gérald-lès-Limoges au moins jusqu'en 1186[32]. Par la suite et avant 1217, la paroisse parviendra dans le patrimoine des Templiers et ce jusqu'en 1307[33] puis passe à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem jusqu'à la Révolution. La commanderie de Limoges dite aussi du Palais réunit alors plusieurs autres commanderies, appelées membres, sous son autorité au sein du grand prieuré et de la langue d'Auvergne[34]. Le presbytère actuel serait un reste du « château » siège du commandeur.

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dans la nuit du au , Georges Guingouin réussit, au péril de sa vie, à faire sauter les deux fours de l'usine de caoutchouc Wattelez, très importante pour l'économie de guerre allemande. En effet il n'existait en France que deux usines de caoutchouc, l'une au Palais-sur-Vienne, l'autre à Colombes.

Par trois fois, les , et , la RAF avait bombardé l’usine de Colombes. Hélas, la population avait été gravement atteinte et le maréchal Pétain, à la radio, avait habilement exploité cette situation (« ce sont encore des morts, des blessés, des foyers détruits »). Conscient de cette répercussion désastreuse, le Haut-État-Major allié avait demandé au mouvement « Combat » de détruire par l’explosif l’usine du Palais, mais cela n’avait pas été possible. Informé, Georges Guingouin, malgré les difficultés de déplacement depuis sa base en forêt de Châteauneuf-la-Forêt, distante de 30 km, décida de faire l’opération. Accompagné de René Duval qui s’était porté volontaire, dans la nuit du , il fit sauter deux chaudières. L'arrêt de cette usine pendant cinq mois fera perdre aux Allemands 1 500 tonnes de caoutchouc. Mais au retour dans leur camp, les deux maquisards tomberont dans une embuscade de la gendarmerie et il s'en faudra de peu qu’ils n’y perdent la vie.

L'après guerre[modifier | modifier le code]

L'usine de caoutchouc Wattelez, abandonnée depuis 1989, est désormais une vaste friche industrielle non dépolluée qui pose des problèmes pour l'environnement. La municipalité se bat pour un nettoyage du site, situé en bord de Vienne, tout près de Limoges. Ce nettoyage est finalement entamé en 2015 mais pourrait durer plusieurs années[35].

La commune est par ailleurs située dans l'emprise du projet de LGV Poitiers - Limoges, source de tensions politiques locales.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries du Palais-sur-Vienne se blasonnent ainsi :

Parti de sinople et de gueules au château couvert et flammé d’argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, brochant et posé sur une champagne d’or chargée de trois burelles ondées aussi de sinople, surmonté d’un besant aussi d’argent chargé d’une croisette pattée au pied fiché aussi de gueules, adextré d’une roue de moulin aussi d’or et senestré d’une roue d’horloge de seize dents du même.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1942   Félix Mitout    
Léon Raynaud    
André Brun PS  
Jean-Claude Cruveilher PS Professeur de mécanique
Conseiller général du canton de Limoges-Le Palais (1985 → 2004)
Isabelle Briquet[37] PS Ancienne assistante parlementaire
Conseillère générale du canton de Limoges-Le Palais (2004 → 2015)
4e vice-présidente du conseil général de la Haute-Vienne (2011 → 2015)
Conseillère départementale du canton de Limoges-5 (2015 → 2021)
Présidente de l’Association des maires de la Haute-Vienne (2014 → 2020)
En cours Ludovic Géraudie PS Attaché territorial
Conseiller départemental du canton de Limoges-5 (2021 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 5 947 habitants[Note 6], en diminution de 1,6 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
330159401424479467532558564
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
547610616692647655629672756
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
7707218851 0431 2631 1701 5131 6002 162
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
2 6213 8635 0386 0855 7265 7385 7386 0736 042
2021 - - - - - - - -
5 947--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste du XIIIe siècle[42], clocher-mur.
  • L’hôtel de ville, de style Art déco.
  • Le moulin du Poudrier.
  • Le barrage du Pas de la Mule construit en 1906.
  • L'usine Wattelez construite en 1921, détruite en 2016.
  • L'usine Renault Trucks (ancien arsenal) située sur la falaise au bord de la Vienne, qui fabrique des véhicules militaires.

Associations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Louis le Pieux dit Louis le Débonnaire serait venu sur ce site en 832, la villa gallo-romaine étant devenue un palais : le palais de Jocondiac.
  • Marcel Guitard (1929-1994), né au Palais-sur-Vienne, coureur cycliste professionnel ayant terminé 2 Tours de France.
  • Damien Chouly, joueur professionnel de rugby à XV. Né à Limoges, il a évolué au sein des équipes jeunes du Rugby-Club Palaisien, avant de découvrir le monde professionnel à Brive en 2004. Il a également évolué cinq saisons sous les couleurs de Perpignan avant de rejoindre l'ASM Clermont Auvergne en 2012.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Arbellot, « Palais de Jocondiac », dans Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, 1874, tome XXIII, p. 161-173 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Le Palais-sur-Vienne et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duLimoges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune du Palais-sur-Vienne », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  22. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  26. « Sites classés Seveso seuil haut dans la Haute-Vienne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. Article R214-112 du code de l’environnement
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  30. Luc Bourgeois, Jean François Boyer, « Les palais carolingiens d’Aquitaine : genèse, implantation et destin », dans L. Bourgeois, C. Rémy (dir.), Demeurer, défendre et paraître, Orientations récentes de l’archéologie des fortifications et des résidences aristocratiques médiévales entre Loire et Pyrénées, Actes du colloque de Chauvigny, 14-, Chauvigny, 2014, p. 67-118.
  31. Commandant Théophile de Saincthorent, Etudes sur les chevaux du Limousin, de l'Auvergne et de la Marche, 1881, p. 16.
  32. « Pouillé historique du diocèse de Limoges : Manuscrit de l'abbé Joseph Nadaud (1775) », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. 53,‎ , p. 344, lire en ligne sur Gallica.
  33. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 535, lire en ligne sur Gallica.
  34. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 107-115, lire en ligne sur Gallica.
  35. Sébastien Dubois, « Le site industriel Wattelez bientôt sécurisé », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
  36. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  37. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Notice no IA87000124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.