Landiras — Wikipédia

Landiras
Landiras
La mairie.
Blason de Landiras
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Jean-Marc Pelletant
2020-2026
Code postal 33720
Code commune 33225
Démographie
Gentilé Landiranais
Population
municipale
2 191 hab. (2021 en diminution de 3,65 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 06″ nord, 0° 24′ 51″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 83 m
Superficie 59,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Landiras
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Landiras
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Landiras
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Landiras
Liens
Site web www.landiras.fr/

Landiras (prononcé [lɑ̃diʁas] ; Landiràs[1], L'Andiran(s) ou Landiran(s)[2] en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Landiranais[3].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique
  4. Carte avec les communes environnantes

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située entre la forêt des Landes (aire boisée de 50000 ha) et le vignoble des Graves (superficie de vignes 300 ha), la commune se trouve, par la route, à 37 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 15 km à l'ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 12 km au sud-sud-ouest de Podensac, ancien chef-lieu de canton[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Illats au nord-est, Pujols-sur-Ciron à l'est, Budos au sud-est, Balizac au sud, Origne à l'extrême sud-ouest, Guillos à l'ouest-sud-ouest, Cabanac-et-Villagrains à l'ouest-nord-ouest, Saint-Morillon à l'extrême nord-ouest sur à peine 500 mètres et Saint-Michel-de-Rieufret au nord.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par le Tursan et l'Arec ainsi que par la Barboue affluent de la Garonne.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Landiras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), cultures permanentes (7,1 %), zones urbanisées (2,9 %), prairies (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée, dans le village, par la route départementale D11 qui mène vers le nord-nord-est à Illats et au-delà à Podensac et vers le sud à Balizac et au-delà à Saint-Symphorien au sud-ouest et à Villandraut au sud-est ainsi que par la route départementale D116 qui mène vers l'ouest-nord-ouest à Cabanac-et-Villagrains et vers l'est à Pujols-sur-Ciron et au-delà à Langon. La petite route départementale D125 qui commence au sud du village mène vers le sud-ouest à Guillos.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 2 Podensac distante de 7 km vers le nord-est.
L'accès Sortie 1 Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 25 km vers le sud-est.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 13 km vers le nord-est, de Barsac sur la Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Celle de Langon, offrant plus de trafic, se trouve à 15 km vers l'est.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Landiras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1995, 1999, 2009 et 2020[20],[18].

Landiras est exposée au risque de feu de forêt. Un incendie important s'est notamment produit en 2022. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[21]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[22],[23].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Landiras.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 003 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 986 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Landiras étant dans le domaine nord-gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Arnauton, le Pichou, Larrigade, lou Haougueyrot, les Courraous, Brocas, Junqueyre, l'Agréou, la Mouliasse, la Suscouze, Couyala, les Courrèges[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pour la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[28].

À la Révolution, la paroisse Saint-Martin de Landiras forme la commune de Landiras. En l'an IX (1800-1801), la commune de Guillos est rattachée à celle de Landiras qui devient Landiras-et-Guillos. En 1850, la commune de Landiras est rétablie par démembrement de celle de Landiras-et-Guillos[29].

En juillet 2022, la commune est touchée par un incendie de grande ampleur. Au 18 juillet la préfecture annonce près de 9 500 hectares de forêt brûlée, la propagation rapide du feu pousse les autorités à évacuer toute la population de Landiras à cause des risques trop élevés pour la santé et la sécurité des habitants[30]. Un mois plus tard, à la mi-août, plus 21 200 hectares ont brûlé lors ce cet incendie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Landiras appartient à l'arrondissement de Langon et au canton des Landes des Graves depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Podensac.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Sophie Mette (LREM-MoDem).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

De 2003 à 2016, Landiras faisait partie de la communauté de communes de Podensac. Lors de la dissolution de cette dernière, la commune a intégré la communauté de communes Convergence Garonne.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de dix-neuf[31].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? Roger Dagut    
René Redon DVD Employé de banque retraité
Réélu en 1977 et 1983
Louis Gertoux   Ancien ingénieur, président des AITF[32] (1981 → 1987)
Réélu en 1995
Étienne Dupin PS[33]  
En cours Jean-Marc Pelletant[34] MoDem Retraité de la fonction publique
Vice-président de la CC Convergence Garonne (2017 → )
Réélu en 2014[35]
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau du Luxembourg Dippach (Luxembourg) depuis 1973[36]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 2 191 habitants[Note 3], en diminution de 3,65 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6711 7072 0342 1832 3212 3292 3362 4221 950
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8461 9221 9421 7851 7351 8301 8091 6991 771
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6531 6921 6051 3901 3971 3401 2981 1601 158
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1261 1321 0891 2301 4181 5061 8621 9692 206
2018 2021 - - - - - - -
2 1972 191-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

NB : la chute de la population entre les recensements de 1846 et 1851 est due à la création (ou plutôt recréation) de la commune de Guillos en 1850.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2019, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (35,9 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,4 %) est inférieur au taux départemental (24,9 %).

En 2019, la commune comptait 1 079 hommes pour 1 116 femmes, soit un taux de 50,84 % de femmes, inférieur au taux départemental (52,06 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2019 en pourcentage[I 1]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,3 
4,5 
75-89 ans
6,9 
17,7 
60-74 ans
17,6 
21,2 
45-59 ans
20,3 
20,4 
30-44 ans
22,8 
13,7 
15-29 ans
11,1 
21,7 
0-14 ans
19,9 
Pyramide des âges du département de la Gironde en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,9 
6,5 
75-89 ans
8,7 
15,6 
60-74 ans
16,7 
19,9 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
19,2 
19,5 
15-29 ans
18,3 
17,9 
0-14 ans
15,8 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le logis a été restauré au XVIIe siècle par l’adjonction de cheminées et le percement de nouvelles ouvertures. Un nouvel logis était construit au XIXe siècle à l'extérieur des vestiges.
  • Monument aux morts[44] : Le monument, érigé en 1921, est l’œuvre du sculpteur bordelais M. Lagrange. Sur chacune des quatre faces, une volée droite donne accès au soubassement. Sur la face antérieure du dé du piédestal une plaque en saillie porte l'inscription AUX / MORTS / POUR LA / PATRIE ; la guirlande qui la surmonte retombe de chaque côté.
Les dates 1914-1918 et 1939-1945 sont gravées verticalement de part et d'autre. Les noms des soldats sont inscrits sur deux plaques de marbre apposées sur les faces latérales du dé du piédestal (Guerre 1914-1918), sur une plaque de marbre sur la base du piédestal (Guerre 1939-1945) et sur une plaque de marbre sur le côté gauche du soubassement (Guerre d'Algérie).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Landiras se blasonnent ainsi :

Écartelé, au premier et au quatrième de gueules aux quatre pals d'or, à la bordure de sable chargée de douze besants d'argent, au deuxième et au troisième d'argent à la croix de gueules chargée de cinq étoiles d'or ; sur le tout, d'azur au lion d'or à la queue léopardée armé et lampassé de gueules.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Il s'agit d'un château aujourd'hui en ruine, situé à proximité de l'ancienne chapelle de Brax (XIIIe siècle, elle-même en désuétude, dans une forêt sur la route de Cabanac-et-Villagrains.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. Insee, « Évolution et structure de la population en 2019 - Commune de Landiras (33225) », (consulté le ).

Autres sites[modifier | modifier le code]

  1. Landiras sur Toponimiaoc.webs.com, consulté le 19 mars 2012.
  2. Landiras sur Gasconha.com, consulté le 9 février 2010.
  3. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 17 mars 2012.
  4. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 33,2 km pour Bordeaux, 13,2 km pour Langon et 10,5 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 19 mars 2012.
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Orthodromie entre Landiras et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Landiras », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Landiras », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Lòcs / Lieux-dits gascons de Landiras - Gasconha.com »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur gasconha.com (consulté le ).
  28. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XXXII, pages 204-208 et pages 128-131
  29. Historique des communes, p. 28, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 11 avril 2013.
  30. Arnaud Dejeans, « Incendies en Gironde : à Landiras, « Les pompiers se battent avec acharnement » », Sud Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
  31. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  32. Décès de Louis Gertoux, président national de 1981 à 1987, sur aitf.fr
  33. Annuaire des Mairies de Gironde (33)
  34. Commune de Landiras sur le site de l'des Maires de France, consulté le 18 mars 2012.
  35. « Jean-Marc Pelletant se succède à lui-même », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  36. Jumelage sur le site officiel de la commune, consulté le 19 mars 2012.
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
  42. « Classement et inscription de l'église Saint-Martin », notice no PA00083142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 19 mars 2012.
  43. « Eglise paroissiale Saint-Martin dite église Saint-Martin de Lassats », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  44. « Description du monument aux morts », notice no IA33001058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. paroissepodensac.free.fr Sainte Jeanne de Lestonnac.
  46. « Originaire de Landiras, Jules Koundé fait partie de la liste de Didier Deschamps pour l'Euro 2020 », sur actu.fr (consulté le ).