La Pellerine (Maine-et-Loire) — Wikipédia

La Pellerine
La Pellerine (Maine-et-Loire)
L'abside de l'église Saint-Aubin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté de communes Baugeois Vallée
Maire
Mandat
Christian Boitteau
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49237
Démographie
Gentilé Pellerinois
Population
municipale
133 hab. (2021 en diminution de 11,92 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 27′ 42″ nord, 0° 07′ 26″ est
Altitude 98 m
Min. 54 m
Max. 97 m
Superficie 5,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Beaufort-en-Anjou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Pellerine est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au sud de Méon et au nord de Courléon, enclavée au sein de Noyant-Villages.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l’ouest de la France se situe dans l'Est du Baugeois, au sud de Noyant, sur la routeD 142 qui va de Méon (au nord) à Parçay-les-Pins (au sud). Baugé se trouve à 19 km et Saumur à 27 km[1],[2]. Son territoire est essentiellement rural.

Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].

Aux alentours[modifier | modifier le code]

Les communes les plus proches sont Breil (3 km), Linières-Bouton (4 km), Méon (4 km), Parçay-les-Pins (4 km), Noyant (6 km), Meigné-le-Vicomte (7 km), Dénezé-sous-le-Lude (8 km), Mouliherne (8 km), Courléon (8 km) et Auverse (8 km)[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 54 à 97 mètres[4]. Son sous-sol se compose de grès tertiaire et calcaire d'eau douce. On trouve aussi quelques alluvions anciennes au Sud[5].

Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

Son territoire s'étend sur plus de 5 km2 (530 hectares)[4]. Une enclave de la commune se situe sur le territoire de Parçay-les-Pins.

La Pellerine se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[7]. Une partie de la commune est classée en zone Natura 2000, pour le lac de Rillé et les forêts avoisinantes, et en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones des massifs forestiers de la Breille, de Pont Ménard, de la Graine de sapin et zones de transition[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière Le Lathan traverse le territoire de la commune[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Channay-sur-Lathan à 11 km à vol d'oiseau[11], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,7 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Pellerine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2009 on trouvait 94 logements sur la commune de La Pellerine, dont 71 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 76 % des ménages en étaient propriétaires[20]. En 2013, on y trouvait 95 logements, dont 73 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), prairies (10 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (6,9 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Enclave de la Pellerine[modifier | modifier le code]

Une partie de son territoire était quasi enclavée dans la commune voisine de Parçay-les-Pins jusqu'en 2017. Depuis le , à la suite de la fusion des quatorze communes de la communauté de communes du canton de Noyant entourant La Pellerine, c'est l'intégralité de la commune qui s'est vue enclavée dans la commune nouvelle de Noyant-Villages.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Ecclesia in page Andegavo cum villula (...) en 974, Obedientia Preregrina en 1060, La Pelerine vers 1200, La Pellerine aux XVIe et XVIIIe siècles[5].

Origine du nom : La Pellerine était à l'origine un lieu d'étape pour les voyageurs, sans qu'ils effectuent pour autant un pèlerinage[23].

Une autre commune porte le nom de « La Pellerine » : La Pellerine (Mayenne).

Nom des habitants : les Pellerins ou les Pellerinois[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Dès le Xe siècle, La Pellerine est un petit centre (villula), avec des moulins sur le ruisseau, une église et un marché[5].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, de son grenier à sel, et sur le plan religieux du diocèse d'Angers et du doyenné de Bourgueil[5].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Avec la réorganisation administrative sous la Révolution, La Pellerine devient en 1790 une commune du département de Maine-et-Loire. Elle est rattachée successivement au canton de Parçay, puis à celui de Mouliherne en 1791, et enfin à celui de Noyant en 1801[5]. Ce dernier est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[24]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[24]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[25].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 En cours
(au 1er juin 2020)
Christian Boitteau[26],[27]    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune ne comporte pas de jumelage[28].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La Pellerine fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du canton de Noyant. Cette structure intercommunale regroupait les quinze communes du canton, dont Breil, Linières-Bouton, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins[29],[30]. La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

La commune fait, à cette époque, également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l'Est Anjou qui se trouve à Lasse[31], et du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[29].

Le , La Pellerine devient membre de la nouvelle communauté de communes, Baugeois Vallée.

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, La Pellerine fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[32]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[33].

La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 2], en diminution de 11,92 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
120151166194207204221241201
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
194216222227227235220237204
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
198215217180180200183196235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
247226165156143135154157161
2017 2021 - - - - - - -
139133-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 69 hommes pour 66 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
7,0 
75-89 ans
14,7 
31,0 
60-74 ans
23,5 
29,6 
45-59 ans
20,6 
9,9 
30-44 ans
14,7 
14,1 
15-29 ans
13,2 
8,5 
0-14 ans
11,8 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Hormis la mairie, il n'existe pas de services publics sur la commune. Il faut se rendre à la commune voisine de Breil ou bien à Noyant[29].

L’hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[39].

La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du Canton de Noyant[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Commune principalement agricole, en 2009, sur les 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[40]. L'année suivante, en 2010, sur 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, aucun du secteur de la construction, 40 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[20].

Sur 17 établissements présents sur la commune à fin 2013, 24 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 12 % du secteur de l'administration et de la santé[21].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Liste des appellations présentes sur le territoire[41] :

  • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine,
  • IGP Rillettes de Tours, IGP Œufs de Loué,
  • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Bâtiment inscrit aux monuments historiques[42] :

Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[42] :

  • Plusieurs maisons et fermes, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Plusieurs moulins, des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Presbytère du XVIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 124-126.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : N-Z, t. 3, Angers, Lachèse & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 67-68.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b IGN et BRGM, Géoportail La Pellerine (49), consulté le 3 juin 2012.
  2. a et b Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de La Pellerine (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 3 juin 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
  4. a et b IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 - Données consultables sur WikiAnjou.
  5. a b c d et e Célestin Port 1989, p. 124-126.
  6. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
  7. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  8. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 3 juin 2012.
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre La Pellerine et Channay-sur-Lathan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de La Pellerine (49), consultées le 27 janvier 2013.
  21. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de La Pellerine (49), consultées le 23 juiuillet 2016.
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 126.
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
  26. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
  27. « La Pellerine. Réélu, le maire s’entoure de trois adjoints », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  28. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  29. a b et c C. C. Noyant, « Communauté de communes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 3 juin 2012.
  30. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
  31. a et b SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d'Anjou regroupant dix-huit communes.
  32. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de La Pellerine (49), consultée le 21 février 2015.
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  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Pellerine (49237) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  39. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
  40. Insee, Statistiques 2009 du territoire de La Pellerine, consultées le 3 juin 2012.
  41. INAO, Fiche de La Pellerine (49), consultée le 3 juin 2012 - AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
  42. a et b Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 10 février 2011.
  43. « Église Saint-Aubin », notice no PA49000063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.