Julien Peyrelongue — Wikipédia

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Julien Peyrelongue
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Julien Peyrelongue le .
Fiche d'identité
Naissance (43 ans)
Bayonne (France)
Taille 1,88 m (6′ 2″)
Surnom Pesquit[1]
Poste demi d'ouverture
Carrière en junior
PériodeÉquipe 
1987-2000 Peyrehorade sports
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
2000-2014
2014-2016		 Biarritz olympique
US Dax		 361 (608)[2]
047 0(55)[2]
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
2000
2004		 France -19
France
6 (3)[3]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 22 mai 2016.

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Julien Peyrelongue, né le à Bayonne, est un joueur français de rugby à XV qui évolue au poste de demi d'ouverture. Il compte 6 sélections en équipe de France. Formé au Peyrehorade sports, il évolue notamment en club au Biarritz olympique pendant 14 saisons.

Biographie[modifier | modifier le code]

Né à Bayonne, Julien Peyrelongue grandit dans le Pays d'Orthe et commence le rugby dès l'âge de six ans sous les couleurs du Peyrehorade sports[4]. Il y est sacré champion de France avec les cadets du club au terme de la saison 1996-1997 face à Grenoble au parc des Princes[5],[6],[7].

Au mois d', il dispute et remporte avec l'équipe de France des moins de 19 ans le championnat du monde junior[8]. L'année suivante, il porte à nouveau le maillot de l'équipe de France junior, cette fois-ci en catégorie des moins de 21 ans, pour des rencontres amicales[9].

Peyrelongue entame sa carrière professionnelle en 2000, repéré par le Biarritz olympique[4], où il évoluera pendant 14 ans[10].

En , il est invité avec les Barbarians français pour jouer un match contre le Canada à Victoria[11]. Les Baa-Baas l'emportent 17 à 7[12].

En , il retrouve les Barbarians français pour jouer un match contre le XV du président, sélection de joueurs étrangers évoluant en France, au stade Ernest-Wallon à Toulouse[13]. Les Baa-Baas s'inclinent 26 à 33[14].

En , il joue de nouveau avec les Barbarians français contre un XV de l'Europe FIRA-AER au stade Roi Baudouin à Bruxelles[15]. Ce match est organisé à l'occasion du 75e anniversaire de la FIRA – Association européenne de rugby. Les Baa-Baas l'emportent 26 à 39[16].

Durant la saison 2011-2012, le Biarritz olympique atteint la finale du Challenge européen. Pour cette rencontre face au RC Toulon, il est titulaire et le BO l'emporte 21-18[17],[18].

Après des contacts avancés avec l'US Dax en pour rallier les rangs dacquois en tant que joker médical[19], il n’obtient pas de bon de sortie et achève sa saison avec le club basque. Il signe néanmoins l'année suivante, pour deux saisons plus une optionnelle, avec le club landais en Pro D2[10],[1], alors que son ancien club, relégué, le rejoint en deuxième division.

Au terme de ces deux saisons, son option n'étant pas levée et n'étant pas reconduit[20], il met un terme à sa carrière de joueur en 2016.

Après la fin de sa carrière professionnelle de joueur, il crée une société de maîtrise d'œuvre et d'économie de la construction à Biarritz. En parallèle, il prend en charge les moins de 14 ans de l'école de rugby du Biarritz olympique en compagnie de Laurent Mazas[21].

Palmarès[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

En équipe nationale[modifier | modifier le code]

Tournoi des Six Nations
Édition Rang Résultats France Résultats Peyrelongue Matchs Peyrelongue
Six Nations 2004 1 2 v, 0 n, 0 d 5 v, 0 n, 0 d 2/5

Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite ; la ligne est en gras quand il y a Grand Chelem.

Statistiques en équipe nationale[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a et b Benjamin Ferret, « US Dax : Peyrelongue a signé », Sud Ouest, (consulté le ).
  2. ↑ a et b « Julien Peyrelongue : Fiche joueur et statistiques », sur itsrugby.fr (consulté le ).
  3. ↑ (en) « Julien Peyrelongue », sur en.espn.co.uk (consulté le ).
  4. ↑ a et b Serge Loupien, « Julien Peyrelongue, l'esprit d'ouverture », Libération, (consulté le ).
  5. ↑ Laborde 2015, p. 522.
  6. ↑ Maïté Labeyriotte, « Les champions de 1997 se sont retrouvés », Sud Ouest, (consulté le ).
  7. ↑ « 1997 : Les Cadets champion de France », sur psrugby.clubeo.com (consulté le ).
  8. ↑ R. M., « Ces juniors français qui dominent le monde », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  9. ↑ « La vie en rose pour Milhères et Glas », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  10. ↑ a et b Éric Becquet, « Peyrelongue « à Dax l'an prochain » », Sud Ouest, (consulté le ).
  11. ↑ « Le groupe des Barbarians », sur rugbyrama.fr, (consulté le )
  12. ↑ « Canada vs Barbarian Rugby Club », sur barbarianrugbyclub.com, (consulté le )
  13. ↑ « Match de Gala le 22 mars. Onze joueurs toulousains retenus », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  14. ↑ « Barbarian Rugby Club vs XV du Président », sur barbarianrugbyclub.com, (consulté le ).
  15. ↑ « Les Barbarians français ont vu Bruxelles », sur sportkipik.be, (consulté le ).
  16. ↑ « Barbarian Rugby Club vs Tonga », sur barbarianrugbyclub.com, (consulté le ).
  17. ↑ « Feuille de match finale Challenge européen 2012 : RC Toulon - Biarritz olympique », sur itsrugby.fr,
  18. ↑ « Biarritz, empereur d'Europe », sur rugbyrama.fr, (consulté le )
  19. ↑ « Peyrelongue à Dax ? Réponse ce début de semaine », Sud Ouest, (consulté le ).
  20. ↑ Olivier Bonnefon, « US Dax : stabilité et complicité », Sud Ouest, (consulté le ).
  21. ↑ Guillaume Paco, « Actu Rugby a retrouvé... Julien Peyrelongue : « En 2001, j’ai tué une douzaine de taupes en butant ! » », sur actu.fr, (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [Laborde 2015] Gérard Laborde, Les coqs landais, France Libris, , 534 p. (ISBN 978-2-9510061-4-0) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes[modifier | modifier le code]

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