Jean Nichol — Wikipédia

Jean Nichol
Jean Nichol en 2019, un an avant sa mort.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
Nom de naissance
Louis SimoneauVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités

Jean Nichol, nom de scène de Louis Simoneau, né à Windsor près de Sherbrooke le et mort le [1], est un chanteur, parolier et interprète canadien québécois.

Biographie[modifier | modifier le code]

C'est avec le groupe Les Commanders qu'il se produira dans les salles de danse de 1962 à 1966. Par la suite, il chantera en solo dans les pianos-bars sous le nom de Maxime. C'est en 1968 qu'il sera découvert par Guy Cloutier qui deviendra son gérant et qu'il adoptera le nom de Jean Nichol. L'année suivante, il connaîtra son premier grand succès avec la chanson Oh Lady Mary et participera à la tournée Musicorama. Il enregistrera surtout des versions de chansons anglophones inspirées du style de Tom Jones, l'un de ses artistes préférés, et sera pendant les années suivantes, un habitué des palmarès[réf. nécessaire] avec les titres Lei, lei, lei, Sans toi, Toi qui n'as pas compris pourquoi, Un soir sans toi, Premier Amour, L'amour n'est qu'une chanson, Angélique, et Disons-nous adieu. L'artiste de cabarets qu'il est, fera finalement la Place des Arts de Montréal et le Grand théâtre de Québec en 1976. Sa carrière se poursuivra sur disques durant les années 1980 avec un peu moins de succès.

Discographie[modifier | modifier le code]

  • Jean Nichol sur scène (1970, Nobel, NBL-1)
  • Oh Lady Mary (1970, Nobel, NBL-5701, compilation)
  • Sans toi (1971, Nobel, NBL-5704)
  • Jean Nichol (1971, Trans-World, TWF-9535, compilation)
  • Pour vous (1973, Trans-World, TWF-6503)
  • Angélique (1974, Trans-World, TWK-6508)
  • Cette femme (1976, Trans-World, TWK-6527)
  • Disons-nous adieu (1978, Disques Total, DT-22007, compilation)
  • 16 grands succès (1998, Mérites, 22-7715, compilation)
  • 24 chansons d'amour (1999, Mérites, 22-1110, compilation)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Jean Nichol, le « Tom Jones québécois », n'est plus », sur TVA Nouvelles, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]