Jean-Jacques Rouch — Wikipédia

Jean-Jacques Rouch
Image illustrative de l’article Jean-Jacques Rouch

Naissance
Toulouse
Décès (à 65 ans)
Toulouse
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Journaliste
Autres activités Ecrivain
Distinctions honorifiques Commandeur des Palmes académiques,
Chevalier de l'ordre national du Mérite
Médias actuels
Pays France

Jean-Jacques Rouch, né le à Toulouse où il est mort le [1], est un journaliste français depuis 1974, écrivain depuis 2002.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jean-Jacques Rouch fréquente d'abord l'école Pierre-Dupont à Toulouse, puis le Lycée Raymond-Naves. Inscrit en études supérieures à l'Université de Lettres et sciences humaines de Toulouse, il s'oriente vers une Licence d'histoire de l'art, spécialisé dans l'Art musulman médiéval.

Diplômé d'une Maîtrise d'histoire, en histoire de l'Islam occidental médiéval XIIe et XIIIe siècle[2], il entame en 1974 sa carrière de journaliste à La Dépêche du Midi. D'abord Chef de rédaction à Cahors, puis à Montauban, il revient en 1987 à la Rédaction de Toulouse où il est principalement chargé des questions d'éducation, de laïcité et de religion.

Retraité en 2011, il fonde l'association "Amis de Jaurès"[3]. Il entre en 2014 au conseil municipal de Toulouse, où il siège jusqu’à sa mort[4].

Publications[modifier | modifier le code]

  • Les Yeux d'Yzarn, Éditions Privat, 2002
  • La Montreuse d'ours de Manhattan, Éditions Privat, 2004. Prix Mémoire d'Oc, prix de l'Académie du Languedoc
  • Les Fiancés de Bordemalle, Éditions Privat, 2006
  • Le Maître du safran, Éditions Privat, 2010. Prix de prose de l'Académie des Jeux floraux, Grand prix littéraire de la ville de Toulouse (Gourmet des Lettres)
  • Toulouse, ville rose, Éditions Ouest-France, 2005
  • Punis !, Éditions Elytis 2007. Préface de Jack Lang
  • Jean le cagot : Maudit en terre d'oc, Toulouse, Privat, coll. « Roman historique », , 215 p., 22 cm (ISBN 978-2-7089-5903-3). Nommé au Prix du roman historique de Blois
  • Grands sites de Midi-Pyrénées (direction), Éditions Privat, 2012[5]

Décorations[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. https://www.academie-sciences-lettres-toulouse.fr/wp-content/uploads/2017/12/5-R.-Marconis.pdf
  3. « amisdejaures-toulouse.info/17-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  4. « Le conseiller municipal et ancien journaliste, Jean-Jacques Rouch, est décédé à Toulouse / Actu Toulouse », sur actu.fr, (consulté le ).
  5. La Dépêche du Midi, « Saleich. Jean-Jacques Rouch au salon du livre », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. E.H., « Jean-Jacques Rouch nommé commandeur des palmes académiques », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Un auditorium Jean-Jacques Rouch à Toulouse, en hommage à l'ancien conseiller municipal / Actu Toulouse », sur actu.fr, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]