Impuissance sexuelle — Wikipédia

L'impuissance sexuelle de l'homme (en latin scientifique : impotentia sexualis virilis[1]) peut être de deux sortes[2],[3],[4] :

  • l'impotentia coeundi, c'est-à-dire l'impuissance de l'homme à réaliser le coït (impuissance qui peut être due à une dysfonction érectile mais pas nécessairement)
  • et l'impotentia generandi ou impotentia concipiendi, c'est-à-dire l'impuissance de l'homme à générer ou à concevoir, autrement dit la stérilité ou l'infertilité[5] (par exemple, absence de sperme[6]).

Cette distinction avait été déjà opérée par le médecin italien Paolo Zacchias au XVIIe siècle[7].

Références[modifier | modifier le code]

  1. (hr) Dušan M. Jevtić, Sudska psihopatologija, , p. 232
  2. Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, , p. 584
  3. René Dupont, De l'impuissance chez l'homme au point de vue médico-légal, p. 83
  4. Bernard David, L'impuissance est-elle un empêchement de droit naturel ou positif,
  5. Anatomie et physiopathologie en soins infirmiers, (lire en ligne), p. 598
  6. Gabriel Tourdes, Edmond Metzquer, Traité de médecine légale théorique et pratique, p. 181
  7. (en) Joseph Bajada, Sexual Impotence: The Contribution of Paolo Zacchia, 1584-1659, (lire en ligne)