Hal Moore — Wikipédia

Hal Moore
Hal Moore
Hal Moore en 2010.

Surnom Hal, Yellow Hair
Naissance
Bardstown (Kentucky)
Décès (à 94 ans)
Auburn (Alabama)
Allégeance Drapeau des États-Unis États-Unis
Arme United States Army
Grade Lieutenant-général
Années de service 19451977
Commandement 2e bataillon, 23e d'infanterie
1er bataillon, 7e de cavalerie
3e brigade, 1re div. de cav.
7e division d'infanterie
Centre d'entraînement de l'US Army, Fort Ord
Army Military Personnel Center
Conflits Guerre de Corée
Guerre du Viêt Nam
Faits d'armes Bataille de Ia Drang
Distinctions Distinguished Service Cross
Distinguished Service Medal
Legion of Merit (3)
Bronze Star (4)
Air Medal (9)
Famille Julia Compton Moore (en) (épouse)
5 enfants.

Harold Gregory Moore, Jr. dit Hal Moore, né le à Bardstown et mort le à Auburn, est un lieutenant-général des forces armées des États-Unis.

Diplômé de West Point en 1945, Hal Moore rejoint l’infanterie comme second-lieutenant. Il complète sa formation à l'École militaire de parachutage de la 11e division aéroportée à Tokyo et en 1948, il se porte volontaire pour rejoindre une unité spéciale testant des parachutes expérimentaux à la 82e division aéroportée à Fort Bragg. Au cours de sa carrière, il devient expert en parachutisme avec plus de 300 sauts. Après avoir servi en Corée, Moore devient instructeur à West Point. Il occupe ensuite des fonctions dans les états-majors au Pentagone, puis à l'OTAN tout en poussant au développement des équipements et tactiques aéroportés.

En 1965, Moore est envoyé au Viet Nam à la tête du 1er bataillon, 7e de cavalerie et participe notamment à la bataille de Ia Drang pour laquelle il reçoit la Distinguished Service Cross. Cette expérience sert de matière à l’écriture du livre We Were Soldiers Once… And Young (en) en collaboration avec Joseph L. Galloway dont le film Nous étions soldats est inspiré. De retour du Viêt Nam, Moore retourne au Pentagone pour travailler sur la vietnamisation de l'effort de guerre. Il prend ensuite la tête de la 7e division d’infanterie en 1970 avant de travailler à la modernisation de l'armée par sa professionnalisation au sein du project VOLAR (en). Il prend sa retraite le .

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Hal Moore est né le à Bardstown, dans le Kentucky. Il est l'aîné des quatre enfants de Harold Moore Sr. et Mary Moore (née Crume)[1]. Son père est un agent d'assurance dont le territoire couvre l'ouest du Kentucky et sa mère est une femme au foyer[2].

Afin d'obtenir la recommandation nécessaire pour entrer à l'Académie militaire de West Point, Moore décide de quitter le Kentucky à l'âge de dix-sept ans, estimant ses chances meilleures en habitant dans une grande ville. Il déménage donc à Washington et obtient un emploi dans l'entrepôt de livres du Sénat des États-Unis. Moore finit le lycée en étudiant la nuit pendant qu'il travaille de jour. Il est finalement diplômé de la Bethlehem High School (Bardstown, Kentucky) (en) avec la classe de 1940[3]. Moore entre pour deux ans à l'université George Washington tout en continuant à travailler à l'entrepôt[4]. Pendant son temps à l'université, il est initié à la fraternité Kappa Sigma (en).

Après la signature d'une loi par le président Franklin D. Roosevelt autorisant chaque représentant et sénateur à présenter des candidats aux académies militaires et navales, Moore se voit offrir une nomination à l'Académie navale d'Annapolis par le représentant du 4e district du Kentucky Edward W. Creal (en). Moore n'a aucun désir d'aller à l'Académie navale et demande donc à Creal si ce dernier peut trouver un autre membre du Congrès qui pourrait échanger sa nomination à l'Académie navale contre une nomination à West Point. Creal accepte, et Moore obtient la recommandation pour West Point du représentant du 2e district de la Géorgie Edward E. Cox (en), impressionné par la ténacité de Moore[5],[6].

West Point[modifier | modifier le code]

Plan de l'académie de West Point durant la guerre.

Moore reçoit sa nomination pour l'Académie militaire de West Point peu après l'entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. Il arrive à l'académie le , et participe à la formation d'été avant le début officiel de la formation et le début des cours à l'automne[7],[8]. Durant sa formation estivale à Pine Camp, il obtient sa qualification sur le fusil M1 Garand avec le plus haut score de sa compagnie[9]. Bien que Moore soit en réussite dans la plupart des matières, il a tout de même des difficultés en sciences. Il doit redoubler d'efforts dans les domaines de l'ingénierie, de la physique et de la chimie, étudiant deux ou trois heures après l’extinction des lumières, pour mémoriser ses cours[10],[11].

Au cours de l'automne 1942, sa classe apprend qu'en raison de la guerre, elle sera diplômée après trois ans de cursus plutôt qu'après les quatre années habituelles. La première année de Moore est difficile[n. 1] et il doit se consacrer entièrement à l'étude, n'effectuant que très peu d'activités parascolaires[12]. Après un congé de dix jours, il effectue l'entraînement militaire d'été au camp Popolopen[n. 2] où sa compagnie s'exerce avec divers véhicules et un grand nombre d'armes. L'été finit avec des manœuvres effectuées à Pine Camp[13].

Pendant sa deuxième année à l'académie, il étudie des sujets complexes comme le calcul, le génie électrique, la thermodynamique et les campagnes militaires historiques. Les mercredis sont consacrés à regarder les films des combats les plus récents en provenance des fronts pacifiques et européens de la guerre. La formation militaire d'été à la fin de sa deuxième année consiste à visiter les différents centres de formation de l'armée américaine pour étudier les tactiques et les techniques. La dernière année est consacrée à l'étude de l'histoire militaire et à la tactique alors que la guerre touche à sa fin en Europe. Juste avant l'obtention du diplôme, chaque cadet choisit sa branche d'affectation en fonction de son niveau dans la classe et du nombre de places disponibles dans chaque branche. Les résultats de Moore le classe dans les quinze derniers pour cent de sa promotion alors qu'il veut une affectation dans l'infanterie. Mais quand son nom est finalement appelé, il y a encore des places d'infanterie disponibles et obtient son affectation. Moore est diplômé de West Point le et affecté comme second-lieutenant dans l'infanterie[4],[14].

Début de carrière militaire[modifier | modifier le code]

Après l'obtention de son diplôme, Moore suit durant six semaines le cours d'officier d'infanterie à Fort Benning en Géorgie. Pendant cette formation, il demande à rejoindre l'Army Airborne School, cependant, il n'est pas sélectionné et se voit assigné durant trois semaines à l'école militaire de parachutage de la 11e division aéroportée à Tokyo[15]. Sa première affectation hors de l'école est avec le 187e régiment d'infanterie (en) au camp Crawford près de Sapporo au Japon de 1945 à 1948[16]. Après une période de sept mois en tant que commandant de compagnie, il devient officier responsable des travaux de construction à Camp Crawford. En [17], il est affecté à la 82e division aéroportée, à Fort Bragg. Il se porte volontaire pour rejoindre la section d'essai aéroportée, une unité spéciale testant des parachutes expérimentaux. Il effectue le premier des cent cinquante sauts réalisés aux cours des deux années suivantes le [4],[18]. Au cours de sa carrière, il devient expert en parachutisme avec plus de 300 sauts[19].

En 1951, pendant la guerre de Corée, il reçoit l'ordre de participer au cours avancé d'officier d'infanterie à Fort Benning, qui doit le préparer à commander une compagnie ou à servir dans l'état-major d'un bataillon[20]. En , Moore est affecté au 17e régiment d'infanterie de la 7e division d'infanterie. En tant que capitaine, il commande une compagnie de mortier lourd au combat. Il sert ensuite comme adjoint au chef d'état-major, opérations et plans. La promotion de Moore au grade de major est mise en attente par la politique du commandant général de la 7e division commandant qui ordonne qu'aucune promotion au grade de major ne soit possible sans avoir tenu le commandement d'une compagnie d'infanterie au combat. Le commandant de division assigne personnellement Moore à une compagnie d'infanterie afin que Moore puisse être promu major et devenir par la suite chef d'état-major adjoint aux opérations de la division[21].

En 1954, Moore retourne à West Point et sert durant trois ans comme instructeur des tactiques d'infanterie. En tant qu'instructeur, Moore enseigne entre autres au cadet Norman Schwarzkopf. Ce dernier cite Moore comme l'un de ses « héros », et celui qui l'a poussé à choisir l'infanterie plutôt qu'une autre branche[4],[22]. Au cours de cette période, Moore prend de l’intérêt pour les batailles entre l'Armée de terre française et le Việt Minh et notamment à la bataille de Diên Biên Phu[23]. En 1956, Moore suit les cours du Command and General Staff College à Fort Leavenworth au Kansas qui préparent aux fonctions d'officier d'état-major pour les unités de la taille de la division et du corps d'armée[24]. Après l'école, Moore fait rapport au Pentagone et au Bureau du chef de la recherche et du développement[n. 3], où son initiative et ses idées veulent pousser au développement des équipements et tactiques aéroportés. Après avoir obtenu un nouveau diplôme au Joint Forces Staff College (en) à Norfolk en Virginie en 1960, Moore est affecté trois ans en tant qu'officier des plans de l'OTAN au quartier général, Allied Forces Northern Europe (en) à Oslo en Norvège[25].

En 1964, alors lieutenant-colonel, Moore complète sa formation au Naval War College[26], tout en obtenant une maîtrise en relations internationales à l'université George Washington. Moore est ensuite transféré à Fort Benning et prend le commandement du 2e bataillon, 23e d'infanterie, intégré par la suite à la 11e division aéroportée[27]. Le , le président Lyndon B. Johnson annonce qu'il envoie la division aéroportée au Vietnam[28]. Ce même mois, la 11e division aéroportée est renommée 1re division de cavalerie et mis en alerte pour un déploiement au Vietnam[28]. Le bataillon de Moore est rebaptisé 1er bataillon, 7e régiment de cavalerie[n. 4], 1re division de cavalerie[28]. La brigade « Garry Owen »[n. 5] quitte Fort Benning le et se rend au Sud-Vietnam par le canal de Panama à bord de l'USS Admiral Hugh Rodman et arrive au camp de base de la division dans le district An Khê (en) un mois plus tard[29].

Guerre du Viêt Nam[modifier | modifier le code]

Le lieutenant-colonel Hal Moore lors de la bataille de Ia Drang en novembre 1965.

À partir du , le lieutenant-colonel Moore mène le 1er bataillon, 7e de cavalerie, 3e brigade, 1re division de Cavalerie dans la bataille de Ia Drang. Dépassé en nombre et encerclé par les forces de l'armée nord-vietnamienne et avec une zone d'atterrissage à la portée de l'ennemi ne permettant pas une évacuation sans risque, Moore réussi à tenir ses positions, pendant que le 2e bataillon du lieutenant-colonel Robert McDade (en), localisé à 4 kilomètres du 1er bataillon, est défait le lendemain. Le commandement courageux et la ténacité de Moore exprimée par son propre dicton selon lequel « il y a toujours une chose que vous pouvez faire pour augmenter vos chances de succès[n. 6] » participent à ce résultat[11]. Moore est surnommé « cheveux jaunes[n. 7] » par ses troupes lors de la bataille de Ia Drang, en raison de ses cheveux blond et en référence au légendaire général George Armstrong Custer, qui, un siècle auparavant à la bataille de Little Bighorn, commandait comme Moore le 7e régiment de cavalerie[30]. Moore reçoit la Distinguished Service Cross pour l'héroïsme extraordinaire à Ia Drang. Après la bataille de la vallée de Ia Drang, Moore est promu colonel et prend le commandement de la 3e brigade[31].

Au cours de l'année 1966, le colonel Moore, à la tête de la 3e brigade de la 1re division de Cavalerie, participe à plusieurs grandes opérations militaires au Viêt Nam. Il obtient une Bronze Star pour avoir porté secours à des soldats blessés sous le feu ennemi[32].

L'après Viêt Nam[modifier | modifier le code]

Après le Viêt Nam, Moore rejoint le Pentagone comme officier de liaison du secrétaire adjoint aux affaires internationales du sous-secrétaire à la Défense[33]. L'Armée l'envoie ensuite à l'Université Harvard où il obtient une maîtrise en relations internationales en 1968[34]. Après avoir terminé son travail à Harvard, Moore retourne au Pentagone pour travailler avec le sous-chef d'état-major des opérations. Il aide ensuite à élaborer le plan de retour de deux brigades de la 9e division d'infanterie vers les États-Unis dans le cadre de la Vietnamisation de l'effort de guerre[34]. Le , Moore est promu au rang de général de brigade[35].

En , il est affecté comme chef adjoint du personnel, opérations et plans de la 8e armée en Corée du Sud où les tensions sont élevées depuis des incidents le long de la zone démilitarisée et en raison de d'une forte hausse du racisme et de l'usage de drogue parmi les troupes de la 8e armée[36]. Il est ensuite nommé commandant général de la 7e division d'infanterie de la 8e armée. Moore est promu major général en 1970 et déménagent avec sa famille à Camp Casey, South Korea (en). Il est chargé par le général John H. Michaelis (en), commandant des United States Forces Korea, de s'occuper du problème de l'abus de drogues et des conflits raciaux qui touchent la 7e division. Afin de régler le problème, il crée des écoles de leadership pour les officiers supérieurs des compagnies et les Staff sergeant (en)[n. 8]. Il développe également une « Politique d'égalité des chances[n. 9] » et promet de punir ceux qui font preuve de discriminations fondées sur la race, l'origine ethnique ou la croyance. Dans le cadre de la réforme du moral de la division, il établit plusieurs programmes sportifs notamment autour du football, du basket-ball et de la boxe[37].

Entre 1971 et 1973, nommé commandant général du Centre d'instruction de l'Armée de terre à Fort Ord en Californie, il supervise dans le cadre du Project VOLAR (en) des expérimentations approfondies pour adapter la formation individuelle de base et avancée en vue de la fin de la conscription et de la constitution d'une armée moderne, uniquement composé de volontaires[38],[39]. En , Moore est nommé commandant général du Centre du personnel militaire de l'armée américaine [n. 10] et, en 1974, il est nommé chef d'état-major adjoint du personnel du Département de l'Armée des États-Unis ; sa dernière affectation avant de quitter l'armée. Il est chargé des questions de recrutement de l'armée après la fin du projet ainsi que le retrait ordonné des forces américaines après la fin de la guerre du Viêt Nam[40]. Moore est choisi pour de devenir le commandant général de l'United States Army, Japan (en), mais il décide finalement de prendre sa retraite, le après avoir accompli trente deux années de service actif[41].

Vie personnelle[modifier | modifier le code]

Alors qu'il est affecté à Fort Bragg, Moore rencontre Julia Compton Moore (en), fille du colonel Louis J. Compton et étudiante à l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill alors qu'elle rend visite à ses parents à Fort Bragg[18],[42]. Ils se marient à la chapelle du poste principale de Fort Bragg le [42],[43]. Les Moores ont cinq enfants, Greg Moore, Steve Moore, Julie Moore Orlowski, Cécile Moore Rainey et David Moore[44], ainsi que douze petits-enfants[19]. Deux de leurs fils ont été des officiers de carrière de l'armée américaine : un colonel à la retraite et un autre lieutenant-colonel également à la retraite[45].

Après sa retraite en 1977, Moore devient président exécutif de la zone de ski de Crested Butte au Colorado. En , Moore, âgé de 87 ans, assiste à l'ouverture officielle du National Infantry Museum (en) à Columbus en Géorgie. Une des expositions vedette du musée est un diorama de grandeur nature de la L.Z. X-Ray de la bataille de Ia Drang[46],[47]. Moore meurt le , trois jours avant son 95e anniversaire[48],[49].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Joseph L. Galloway en 2009.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Bronze oak leaf cluster
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V
Bronze oak leaf cluster
Bronze oak leaf cluster
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Silver oak leaf cluster
Bronze oak leaf cluster
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Bronze oak leaf cluster
Bronze oak leaf cluster
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Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Bronze star
Badge
Combat Infantryman Badge avec une étoile
1re rangée
Distinguished Service Cross[4]
2e rangée
Army Distinguished Service Medal
Legion of Merit avec deux feuilles de chêne en bronze
Bronze Star avec "V" Device et trois feuilles de chêne en bronze[4]
3e rangée
Air Medal avec une feuilles de chêne en argent et trois en bronze
Joint Service Commendation Medal
Army Commendation Medal avec deux feuilles de chêne en bronze
4e rangée
American Campaign Medal
Asiatic-Pacific Campaign Medal
World War II Victory Medal
5e rangée
Army of Occupation Medal
National Defense Service Medal avec une 316" bronze star
Korean Service Medal avec trois bronze 316" bronze stars
6e rangée
Armed Forces Expeditionary Medal
Vietnam Service Medal avec trois 316" bronze stars
Gallantry Cross (Vietnam) (en) avec trois palmes et une bronze star
7e rangée
Médaille des Nations unies pour la Corée
Republic of Vietnam Campaign Medal avec 1960- device
Korean War Service Medal
Badge
Republic of Vietnam Parachutist Badge
1re rangée
Army Presidential Unit Citation
Presidential Unit Citation (Corée du Sud) (en)
Republic of Vietnam Gallantry Cross Unit Citation avec palme (en) (deux récompenses)
Badge
Combat Service Identification Badge, 1re division de cavalerie
Master Parachutist Badge Basic Army Aviator Badge
Air Assault Badge (en)
Army Staff Identification Badge (en) Office of the Secretary of Defense Identification Badge (en)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Il définit lui-même cette période comme « an academic trip from hell » (« un voyage académique de l'enfer »).
  2. Le nom du camp Popolopen a été changé en Camp Buckner après la Seconde Guerre mondiale pour honorer le général Simon Bolivar Buckner, Jr., qui a été tué en action pendant les derniers jours de la bataille d'Okinawa.
  3. Titre original : « Office, Chief of Research and Development »
  4. Le même régiment que celui du lieutenant-colonel George Armstrong Custer.
  5. La chanson irlandaise « Garry Owen » est adoptée comme air de marche.
  6. Citation originale : « There is always one more thing you can do to increase your odds of success ».
  7. Citation originale : « Yellow Hair »
  8. Appellations originales : « Officer's Leadership Schools » et « NCO Leadership School ».
  9. Citation originale : « Equal Opportunity Policy ».
  10. United States Army Military Personnel Center (MILPERCEN).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Guardia 2013, p. 13.
  2. Guardia 2013, p. 14.
  3. Guardia 2013, p. 15–18.
  4. a b c d e f et g "Harold G. Moore, Jr.", 2003 Distinguished Graduate Award, West Point Association of Graduates
  5. Guardia 2013, p. 18–20.
  6. Moore et Galloway 2008, p. 159–160.
  7. Guardia 2013, p. 20–21.
  8. Moore et Galloway 2008, p. 73.
  9. Guardia 2013, p. 23.
  10. Guardia 2013, p. 24–25.
  11. a et b Moore et Galloway 2008, p. 162.
  12. Guardia 2013, p. 26–27.
  13. Guardia 2013, p. 27.
  14. Guardia 2013, p. 28–30.
  15. Guardia 2013, p. 32–36
  16. Guardia 2013, p. 36
  17. Guardia 2013, p. 40.
  18. a et b Guardia 2013, p. 45–46.
  19. a et b (en) « Gathering of Eagles biography », sur au.af.mil (consulté le ).
  20. Guardia 2013, p. 58–59.
  21. Guardia 2013, p. 77–78.
  22. Guardia 2013, p. 85.
  23. Guardia 2013, p. 86–87.
  24. Guardia 2013, p. 87.
  25. Guardia 2013, p. 92.
  26. (en) « Graduation Exercises », The United States Naval War College, (consulté le ).
  27. (en) « A Soldier Once...and Always », Facebook (consulté le ).
  28. a b et c Guardia 2013, p. 103.
  29. Guardia 2013, p. 105–106.
  30. (en) « Moore, Harold ("Yellow Hair"), LTG », TogetherWeServed, Inc., (consulté le ).
  31. Guardia 2013, p. 141.
  32. (en) « Hal Moore, portrayed by actor Mel Gibson in 'We Were Soldiers,' dies at age 94 », sur militarytimes.com, (consulté le ).
  33. Guardia 2013, p. 159.
  34. a et b Guardia 2013, p. 160–161.
  35. Guardia 2013, p. 162.
  36. Guardia 2013, p. 162–163
  37. Guardia 2013, p. 163–169.
  38. a et b Moore et Tuten 1975, p. 52–59
  39. Guardia 2013, p. 170–175.
  40. Guardia 2013, p. 180–181.
  41. Guardia 2013, p. 181.
  42. a et b Moore et Galloway 2008, p. 217
  43. Guardia 2013, p. 54.
  44. (en) « Julia Compton Moore », Columbus Ledger-Enquirer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Moore et Galloway 2008, p. 220–221.
  46. (en) Chuck Williams, « Infantry Museum's '100 Yards' Exhibit Touches Veterans », Columbus Ledger-Enquirer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. (en) Joseph L. Galloway, « Vietnam story: The word was the Ia Drang would be a walk. The word was wrong », U.S. News & World Report,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. (en) Troy Turner, « We Were Soldiers' hero passes; the celebrated life story of a soldier, a leader, a father », sur oanow.com, .
  49. (en) Johnson Chevel, « Lt. Gen. Hal Moore dies; depicted in film 'We Were Soldiers' », Stars and Stripes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. Moore et Galloway 2008, p. 221–222.
  51. (en) « Webcast Interview at the Pritzker Military Museum & Library », sur pritzkermilitary.org, (consulté le ).
  52. (en) « OSM0203 », Infantry Association, (consulté le ).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • (en) Mike Guardia, Hal Moore, Havertown (Pennsylvanie), Casemate Publishers, (ISBN 978-1-61200-207-1). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Harold G. Moore et Joseph L. Galloway, We Were Soldiers Once...and Young : Ia Drang : the battle that changed the war in Vietnam, New York (New York), Random House, (ISBN 978-0-679-41158-1).
  • (en) Harold G. Moore et Joseph L. Galloway, We Are Soldiers Still : A Journey Back to the Battlefields of Vietnam, New York (New York), Harper, , 248 p. (ISBN 978-0-06-114776-0). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Harold G. Moore et Jeff M. Tuten, Building a Volunteer Army : The Fort Ord Contribution, U.S. Army Center of Military History, , 139 p. (lire en ligne [PDF]). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Ressources numériques[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]