Groupe Doux — Wikipédia

Doux
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Création 1955
Disparition 2018 : liquidation
Fondateurs Pierre Doux
Personnages clés Pierre Doux
Pierre Jean Doux
Charles Doux
Arnaud Marion
Didier Calmels
Arnauld Delaby
Christophe Couroussé
Maxime Vandoni
[pertinence contestée]
Forme juridique société anonyme
Siège social Châteaulin
Drapeau de la France France
Direction Arnauld Delaby (Directeur Général)
Christophe Couroussé (Président du Directoire)
Maxime Vandoni (Président du Conseil de Surveillance)
Actionnaires Terso 65% (regroupant Terrena 87,5% et Sofiprotéol 12,5%) Almunajem 35%
Activité Industrie agroalimentaire
Produits Transformations alimentaires à base de volaille
Effectif 997 en 2016
SIREN 376080487
Site web www.doux.com

Chiffre d'affaires 316 millions d'euros en 2016
Résultat net 41 millions d'euros (perte en 2016)

Le Groupe Doux, créé en 1955 et basé à Châteaulin (Finistère), est une entreprise française de l'industrie agroalimentaire spécialisée dans les transformations de volaille active de 1955 à 2018. En 2014, Doux est le premier exportateur européen en volume de transformations de volailles, et le 3e au niveau mondial[1]. En 2018, les actifs de la société mise en liquidation sont repris par le consortium Yerr Breizh pour la partie élevage, et par France Poultry, une filiale de l'ancien actionnaire groupe saoudien Almunajem, qui conserve les parties abattage et export ainsi que la marque.

Historique[modifier | modifier le code]

Débuts et industrialisation : 1930 - 1970[modifier | modifier le code]

Dans les années 1930, Pierre Doux démarre un négoce de volailles. En 1955, il ouvre à Port-Launay dans le Finistère son premier abattoir de volailles[2]. Les aviculteurs bretons développent alors l’élevage hors-sol qui consiste à nourrir la volaille avec des intrants, c'est-à-dire des aliments produits en dehors de l’exploitation agricole[3].

Dans les années 1960, la société Doux travaille en étroite collaboration avec l’Institut de Sélection Animale (ISA) afin de retenir les meilleures souches de poule en fonction de leurs attributs physiologiques[2]. Durant cette même période, la société achète ses premières machines de congélation aux États-Unis et initie le développement d’un commerce de carcasses de volailles congelées vers le Moyen-Orient[4].

En 1975, Charles Doux prend la direction de l’entreprise créée par son père[5].

Internationalisation : 1970 - 2003[modifier | modifier le code]

Dans les années 1970, Doux s'internationalise et devient le premier exportateur de carcasses de volailles congelées et transformées vers l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis. Le groupe bénéficie d’une situation portuaire idéale pour acheminer ses transformations dans un pays où le poulet ne fait l’objet d’aucun interdit religieux[3].

En 1991, la société Doux devient propriétaire de la marque Père Dodu, par la reprise des sites Galina du siège historique de la marque, à Malansac, et de Pleucadeuc, et via l'achat en 1998 de la Soprat (à La Vraie-Croix), propriété de Guyomarc'h[6],[7].

Les accords du Gatt signés à Marrakech en 1994 imposent à l'Union européenne de réduire ses aides à l'exportation, et Doux perd alors la moitié de son marché à l'exportation[8].

En 1998, le groupe Doux s'implante au Brésil en achetant Frangosul[2], en s'endettant à hauteur de 200 millions d'euros[9], pays où les coûts d'élevage avicoles sont très bas[10]. Il s'ensuit le développement du protectionnisme au Brésil qui En , ne pouvant vendre ses actifs brésiliens, le groupe Doux cède sa filière brésilienne en location-gérance au groupe d'industrie agroalimentaire brésilien JBS Friboi[11].

Difficultés financières : 2004 - 2011[modifier | modifier le code]

En 2004, la grippe aviaire fait s'effondrer le marché mondial de la volaille. Cette année-là, le groupe Doux affiche une perte de 14 millions d'euros[12]. Entre et , les ventes de Doux chutent de 15 à 20 %, et encore de 25 % à 30 % entre fin février et début [13]. En 2006, Doux enregistre une perte totale de 45,3 millions d’euros, et l’année suivante une perte de 35,3 millions d’euros[14]. Au total, de 2002 à 2008, le chiffre d’affaires de Doux a reculé de 6,7 % à 1,5 milliard d’euros. En 2008, Doux enregistre encore une perte de 7 millions d’euros[15].

En 2008, face à l’épisode de grippe aviaire, à la flambée du prix du pétrole et donc des céréales, et devant l’impossibilité de répercuter ces augmentations sur les prix de vente dans la grande distribution, le groupe est contraint de revoir en profondeur son organisation industrielle pour renforcer sa compétitivité et pérenniser ainsi sa présence dans le marché du frais en France[16]. Cette réorganisation entraîne la fermeture des sites de transformation de Locminé[17] et du Châtelet[18] pour raisons économiques et permet à Doux un retour aux bénéfices avec 52 millions d’euros enregistrés sur l’année 2009[15].

En 2009, le groupe Doux a été le premier acteur de la filière à exporter directement en Chine depuis ses sites du Brésil qui exportent 50 % des transformations de volaille du groupe vers une centaine de pays. À ce titre, le groupe Doux est le premier bénéficiaire en France des aides à l'exportation de l'Union européenne décidées dans le cadre de la PAC à hauteur de 200 à 300 euros la tonne de produit volailler exportée (ce qui a représenté 63 millions d'aides publiques d' à )[19].

Au Brésil, en , pour tenter de trouver l’équilibre financier dans un marché brésilien porteur mais coûteux en termes de développement pour le groupe, Doux vend sa filiale brésilienne de transformation de dinde au brésilien Marfrig pour 23,6 millions d’euros[20]. À partir de 2011, la politique protectionniste de Dilma Rousseff leste la compétitivité de Doux au Brésil[8]. En , ne pouvant vendre ses actifs brésiliens, le groupe Doux cède sa filière brésilienne en location-gérance au groupe agroalimentaire brésilien JBS Friboi, mais ne parvient pas à se défaire de ses dettes[21].

En , Bruxelles décide de geler les aides à l’exportation de transformations congelées, un coup dur pour Doux qui avait bénéficié de 55 millions d’euros d’aide en 2012[22].

Depuis 2012 : Restructuration et relance[modifier | modifier le code]

Le , le groupe annonce la nomination de Jean-Charles Doux au poste de directeur général délégué pour négocier la crise financière[23].

En , Charles Doux décide de placer son groupe plombé par une dette de 320 millions d’euros en redressement judiciaire[24]. Deux mois plus tard, Doux doit annoncer la suppression de son « pôle frais »[25] (essentiellement composé des usines de sa marque principale Père Dodu[26]), afin de se recentrer sur l'export qui constitue 81 % de son chiffre d'affaires[27]. En octobre de la même année, il fait appel à Arnaud Marion, un expert en gestion de crises dans les situations complexes, à qui il confie la réorganisation de l’entreprise afin d’obtenir la validation d’un plan de continuation[28].

Nommé directeur chargé du redressement du groupe Doux, Arnaud Marion négocie dès son arrivée avec Barclays et Almunajem Group un soutien financier de 30 millions d’euros[29] pour assurer les besoins en trésorerie jusqu’à la fin de la période d’observation et s’opposer à la reprise par le consortium Glon-Sanders (alors encore filiale de Sofiprotéol) / Tilly-Sabco / Terrena des pôles exports et élaborés[30]

En , Arnaud Marion fait entrer la holding D&P de la famille Calmels, dirigée par Didier Calmels, spécialiste de la recapitalisation et du redressement d’entreprise, qui reprend les deux tiers du capital du groupe Doux[31]. Aux côtés d’Arnaud Marion, D&P négocie le rachat de la dette de Barclays et l’incorporation de cette dette au capital, ce qui lui permet de désendetter massivement l’entreprise. Arnaud Marion est alors nommé président du directoire du groupe[32]. Le plan de continuation est alors validé par le tribunal de commerce de Quimper le [32]. Dans le cadre de ce plan, Didier Calmels devient actionnaire majoritaire avec 52,2 % des parts, et le groupe saoudien Al-Munajem prend une participation de 25%[32], confirmée en [33].

Cette restructuration va s’accompagner d’une progression forte des résultats commerciaux. En , le groupe annonce tabler sur un résultat d'exploitation de 25 millions d'euros. Il annonce également une centaine de recrutements en 2015, notamment grâce à une progression de ses ventes au Moyen-Orient[34]. Ces deux annonces sont marquées par la visite du site industriel par le ministre de l’économie, Emmanuel Macron[35].

2016-2018 : le démarrage d'une nouvelle ère de développement[modifier | modifier le code]

Depuis 2016, le Groupe Doux est devenu la Business Unit Export de Galliance, le pôle volaille du groupe coopératif Terrena, le 2e groupe coopératif le plus important en France et l’un des acteurs majeurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Le capital de Doux, filiale de Galliance, est détenu à 65% par Terso (regroupant Terrena 87,5% et Sofiprotéol 12,5%) et à 35 % par l’actionnaire Saoudien Almunajem.

Depuis 2018 : aggravation des difficultés financières[modifier | modifier le code]

En , le groupe breton est à nouveau proche de la liquidation judiciaire en raison de pertes d'argent importantes depuis deux ans. Le groupe agroalimentaire ukrainien Myronivskyi Hliboprodukt (abrégé MHP) est candidat à la reprise du volailler français numéro 3 mais sous de strictes conditions, ce qui pourrait déboucher sur des pertes d'emplois nombreuses[36].

Le groupe est placé en liquidation judiciaire avec poursuite de l'activité jusqu'au à compter du .

Le , le tribunal de commerce de Rennes a retenu les offres de reprise du groupe Doux par LDC, le Saoudien Al Munajen, Terrena, Société des volailles de Plouray, Saria et Yer Breizh. Ce plan de reprise prévoit, à l’horizon 2020, la construction par LDC d’un nouveau site industriel d’abattage et de découpe de volailles à Châteaulin (55 M€), dédié aux marchés de l’agroalimentaire et de la restauration. Le site aura une capacité d’abattage de 400 000 poulets par semaine. Ce projet s’inscrit dans la stratégie du groupe LDC de reconquérir des parts de marché en France[37].

La société qui a repris les actifs de la partie élevage porte le nom de Yer Breizh. Elle a été immatriculée le . Elle est dirigée par les co-présidents Gilles Huttepain et Pascal le Floch[38] . La société France Poultry, filiale du groupe saoudien Al Munajem, a repris le volet export[39] ainsi que la partie abattage[40].

Chronologie[modifier | modifier le code]

Activité[modifier | modifier le code]

Marché[modifier | modifier le code]

Le groupe Doux est présent dans l'ensemble des segments du marché de la volaille (poulet et dinde) : produits congelés, entiers, produits panés (cordons bleus, nuggets, burgers de poulet), plats cuisinés. Des sites de transformation sont dévolus à différentes étapes : sites d'abattage de volailles destinées à être congelées entières et sites de transformations élaborées[41].

Les principaux clients du groupe sont :

  • la grande distribution alimentaire et le commerce de proximité ;
  • la restauration hors domicile, commerciale ou collective ;
  • l'industrie agroalimentaire[42].

Modèle économique[modifier | modifier le code]

Le groupe Doux est un transformateur travaillant par contrats avec des agriculteurs spécialisés dans le naissage et l'élevage de reproducteurs (28 fermes et 170 bâtiments), dans le couvage (130 millions de poussins chaque année), dans l'élevage et l'engraissement (300 éleveurs en contrat et 200 éleveurs de coopératives externes). Doux possède des usines d’aliment (450 000 tonnes de transformation annuelle[1]), des abattoirs (3 sites abattant 180 millions de poulets chaque année, soit 180 000 tonnes), une usine de transformation (volume annuel de 20 000 tonnes), en Bretagne et dans les Pays de la Loire[1]. Il dispose de 8 sites en France dont 3 abattoirs, 1 site de transformation en produits agroalimentaires élaborés, 2 couvoirs[43].

Chiffres de 2014[modifier | modifier le code]

  • Doux est le premier distributeur français d’œufs avec un volume de 170 millions d’œufs achetés par contrat aux agriculteurs et revendus.
  • Le groupe emploie près de 2 200 personnes[44].
  • L’entreprise est classée 600e française et 15e employeur breton[45].
  • Le groupe Doux, troisième transformateur mondial derrière les brésiliens JBS Friboi (55 milliards de dollars de chiffre d’affaires) et BRF (10 milliards de dollars de chiffre d’affaires), est le chef de file européen représentant 90 % de la transformation agroalimentaire avicole à l’exportation en Europe et en France[1].

Certification halal[modifier | modifier le code]

Le groupe pratique l’abattage rituel halal depuis plus de 50 ans pour sa marque Doux, exclusivement halal. C'était en 2018 une de ses principales sources de revenus[46]. Doux exporte chaque année 170 000 tonnes de volaille halal au Moyen Orient[47].

Résultats financiers[modifier | modifier le code]

Données financières en millions d'euros
Années 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Chiffre d'affaires 1 517 1 719 1 369 1 400 850 500 475
bénéfices -14 -45,3 -35,3 -7 52

Controverses et condamnations[modifier | modifier le code]

En , l'association de protection animale L214 publie une enquête dénonçant les conditions d'élevage du modèle agricole Doux chez les agriculteurs en contrat avec le groupe. Les images, tournées entre avril et mai 2017 dans un établissement vendéen, montrent 35 000 poulets confinés dans 1 200 m2 (une densité par ailleurs légale), et relève « une masse musculaire surdéveloppée par rapport au reste du corps » et « un déplacement du poids du corps vers l'avant » pour produire davantage de viande de poitrine (blancs de poulet). L'association dénonce également la mortalité des poulets due notamment à leur poids et à la surpopulation qui les empêche d'accéder aux mangeoires. De nombreux poulets seraient ainsi atteints de problèmes cardiaques ou pulmonaires, et leur faible mobilité causerait des infections de la peau[48].

En juillet 2020, la société a été condamnée par la cour administrative d'appel de Nantes à rembourser 80 millions d'euros de subventions européennes perçues de 2010 à 2013 et à payer une amende de 2 millions d'euros. Ces subventions constituaient une aide à l'exportation de poulets congelés, mais ceux-ci comportaient une teneur en eau supérieure aux normes européennes, ce qui leur interdisait l'accès aux subventions en question[49],[50].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Arnaud Marion (Groupe Doux) : « Stéphane Le Foll nous a soutenus envers et …contre tous » », sur Actu éco,
  2. a b et c Jacqueline Coignard, « La brève histoire d'un poulet standard. Premier transformateur européen, Doux revendique sa méthode industrielle », sur Libération.fr,
  3. a et b « Bretagne : la descente aux enfers du poulet », sur Le Point,
  4. « Doux affine sa stratégie mondiale », sur Pointsdevente.fr,
  5. « L'ancien pdg du groupe Doux, Charles Doux, est mort », sur L'Express,
  6. « Père Dodu entièrement contrôlé par Doux », sur LSA-Conso,
  7. « Le groupe Doux rachète les produits panés de Père Dodu », sur Les Echos,
  8. a et b « Le volailler français Doux plombé par sa filiale brésilienne », sur rfi.fr,
  9. « Course contre la montre pour sauver Doux », sur Le Figaro,
  10. D. Boussier et al, « 7 ans d’accords du Gatt pour les viandes », Viandes Prod. Carnés, vol. 23, no 3,‎ , p. 81-86
  11. « Doux cède la gestion de sa filiale brésilienne à JBS », sur La France Agricole,
  12. « Grippe aviaire : Doux envisage des mesures de chômage partiel », sur Les Echos,
  13. « Grippe aviaire : la filière avicole a du plomb dans l'aile », sur LCI,
  14. « Les temps sont durs pour les poulets Doux », sur Capital,
  15. a et b « Doux récolte le fruit de sa restructuration », sur L'usine nouvelle,
  16. Nathalie Bougeard, « La filière avicole bretonne en restructuration », sur Le Figaro,
  17. « Locminé. Résignation face à la fermeture de Doux 7 septembre 2008 », sur Le Télégramme,
  18. « L'entreprise Doux du Châtelet ferme : 300 emplois touchés », sur L'écho du Berry,
  19. Erwan Seznec, « La revanche du capitalisme familial » dans Histoire secrète du patronat : de 1945 à nos jours, sous la direction de Benoît Collombat et David Servenay, La Découverte, 2009, p. 648.
  20. « Volaille – Doux cède une filiale brésilienne », sur La Dépêche,
  21. « Volailles : Doux quitte le Brésil mais garde ses dettes », sur Les Echos,
  22. « Doux et Tilly-Sabco privés de subventions européennes », sur Les Echos,
  23. Stanislas du Guerny, « Le groupe Doux change de directeur pour tenter de surmonter la crise », sur L'usine nouvelle,
  24. Jacky Hamard, « Le groupe de 3.400 salariés placé en redressement judiciaire », sur Le Télégramme,
  25. « Groupe Doux : le pôle frais, qui emploie 1 800 personnes, est liquidé », sur Le Monde,
  26. Cummins, Père Dodu, Alkopharm : l'emploi menacé | Doux-Père Dodu : la crise, jusqu'où ? Dans la tourmente qui frappe le groupe Doux (dont le pôle frais a été liquidé), l'usine Père Dodu de Quimper a jusqu'ici évité le pire. Implantée depuis 1991, l'unité est spécialisée dans les produits élaborés à base de poulet (saucisses, escalopes...). Le transfert de 30 postes vers d'autres sites a été annoncé. On ne connaît pas les conditions matérielles de ces transferts. Lundi dernier, les syndicats ont soulevé ce point. Sans obtenir, pour le moment, de réponse de la direction. Père Dodu Quimper en 2002, 450 salariés environ. Aujourd'hui, 230 salariés.
  27. Keren Lentschner, « Doux veut de nouveau croire en l'avenir », sur Le Figaro,
  28. Stanislas du Guerny, « Quand le volailler Doux reprend son envol », sur Les Echos,
  29. « Doux, le match en faveur de Charles Doux », sur Le Journal des Entreprises,
  30. « Le plan de Charles Doux pour garder un pied dans son groupe », sur Le Figaro=,
  31. Timothée L'Angevin, « Didier Calmels va reprendre les deux tiers du capital de Doux », sur Usine Nouvelle,
  32. a b et c « Le volailler Doux va revoler de ses propres ailes 18 mois après sa chute », sur Libération.fr,
  33. Keren Lentschner, « Un investisseur saoudien entre au capital du volailler Doux », sur Le Figaro,
  34. « Bénéficiaire, le volailler Doux accélère ses recrutements », sur Les Echos,
  35. « Macron en Bretagne. Emplois chez Doux, excuses chez Gad », sur Le Télégramme,
  36. « Le volailler Doux au bord de la faillite : "C'est une hécatombe qui s'annonce" », sur Europe 1, (consulté le )
  37. Isabelle Lejas, « Un nouveau départ pour les éleveurs Doux », La France Agricole,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. « YER BREIZH (CHATEAULIN) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 839473378 », sur www.societe.com (consulté le )
  39. « Un an après la fin du groupe volailler Doux, où en est on aujourd'hui ? », sur France 3 Bretagne (consulté le )
  40. Carole Tymen, « « On subit les hausses de partout » : Les aviculteurs de France Poultry disent leur galère », sur Ouest-France,
  41. Nos activités, sur le site du groupe Doux.
  42. Nos clients, sur le site du groupe Doux.
  43. « Chiffres-clés », sur Doux.com.
  44. Stanislas du Guerny, « Un an après son redémarrage, Doux retrouve de l’oxygène », sur Les Échos, .
  45. Guillaume Bouniol, « Agroalimentaire. Doux a réussi à redresser la barre », sur Ouest France, .
  46. « Le halal, un marché juteux qui fait des envieux », sur Usine Nouvelle, .
  47. « Halal. Un sérieux manque de transparence », sur Le Télégramme, .
  48. « La vie misérable des poulets d'élevage chez Doux, filmée par L214 », sur nouvelobs.com,
  49. « Doux condamné en appel à rembourser 80 millions d'euros de subventions indues », sur Challenges (consulté le )
  50. « Doux condamné à rembourser 80 millions d'euros de subventions », sur Les Echos, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]