Gland (Vaud) — Wikipédia

Gland
Gland (Vaud)
Vue aérienne de la ville de Gland.
Blason de Gland
Armoiries
Gland (Vaud)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Canton Drapeau du canton de Vaud Vaud
District Nyon
Communes limitrophes Luins, Dully, Prangins, Vich, Begnins
Syndic
Mandat
Christine Girod-Baumgartner (PLR)
2021-2026
NPA 1196
No OFS 5721
Démographie
Gentilé Glandois
Population
permanente
13 664 hab. (31 décembre 2022)
Densité 1 642 hab./km2
Langue Français
Géographie
Coordonnées 46° 25′ 26″ nord, 6° 15′ 58″ est
Altitude 431 m
Superficie 8,32 km2
Localisation
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Gland
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Voir sur la carte administrative de Suisse
Gland
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Gland
Liens
Site web www.gland.ch
Sources
Référence population suisse[1]
Référence superficie suisse[2]

Gland /ɡlɑ̃/ est une ville et une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Nyon. Elle fait partie de l'agglomération du Grand Genève.

Gland, 1972.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Gland se situe à mi-chemin entre Genève et Lausanne (à environ 30 km de chacune d'entre elles[réf. souhaitée]), à 5 km au nord-nord-est de Nyon, dans une plaine entre les hauteurs de La Côte et le Léman, sur une terrasse modérément inclinée vers le lac et aboutissant à un talus d'érosion d'environ 10 m de haut formé par l'ancien delta de la Promenthouse[3].

Le territoire de Gland s'étend sur 8,32 km2[2]. Lors du relevé de 2013-2018, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient 43,4 % de sa superficie, les surfaces agricoles 42,3 %, les surfaces boisées 14,5 % et les surfaces improductives 0,2 %[4].

Rose des vents Begnins Dully
Luins
Rose des vents
Vich N Léman
O    Gland    E
S
Prangins Léman Léman

Transports[modifier | modifier le code]

La ville possède une gare ferroviaire depuis 1858[5], situé sur la la ligne Lausanne – Genève via la gare de Gland et une ligne de bus interne, le transport urbain de Gland (TUG), exploitée par CarPostal où elle est désignée par le no 831 et où la tarification Mobilis Vaud s'applique[6].

La ville se trouve à la sortie 12 de l'autoroute A1.

Entre 1906 et 1954, un tramway reliait Gland à Begnins[5].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune, qui se prononce /ɡlɑ̃/[7], a la même origine que la région fribourgeoise de la Glâne. Il remonte au mot gaulois glana qui signifie « la limpide ». Comme souvent, le nom de la localité a désigné d’abord celui de la rivière qui la traversait[8]. L'étymologie populaire explique le rapprochement orthographique avec le fruit du chêne[7].

Dans l'Antiquité, les Romains nomment l'endroit Villa Glanis. Glanis désigne en latin une espèce de poisson et une rivière de Campanie[C 1].

La première occurrence écrite du toponyme date de 994 à 1049, sous la forme de Glans[7]. Dès le XIIe siècle est utilisé le toponyme Glant[C 1]. Glans et Glanez sont des erreurs orthographiques[C 1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Les premières traces humaines à Gland remontent à 3 000 ans avant Jésus-Christ[C 2], à l'époque préhistorique des lacustres. Vers 450 avant Jésus-Christ, des Helvètes s'établissent à Gland[C 3].

Quelques siècles plus tard, on y trouve les Romains, comme l'atteste la présence d'une douzaine de sites. Ces derniers nomment la région comprenant Gland Civitas Equestrium, c'est-à-dire le pays des Équestres[C 4]. Pendant l'occupation romaine, les populations résidant à Gland se romanisent[C 5].

Au Ve siècle, les Romains offrent aux Burgondes la possibilité de s'installer à l'ouest du Léman, en terre allobroge, en échange de leur engagement à empêcher des incursions étrangères. Cependant, après l'assassinat de l'empereur Aitius[Qui ?], les Burgondes occupent les terres à l'est du Léman, dont Gland[C 5].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La domination burgonde sur la région comprenant Gland prend fin en 534, quand les Francs envahissent ce territoire[C 6].

Au XIe siècle, la région de Gland se trouve à l'intérieur du comté des Équestres et dépend d'abord de l'archevêque de Besançon. Mais celui-ci décide, vers 1100, de la remettre à Humbert, fils d'Ulrich, de la maison de Cossonay[C 7]. En 1230, Jean de Cossonay partage ses terres entre ses deux fils et Guillaume, le cadet, reçoit les terres de Prangins, qui comprennent le village de Gland. Gland se retrouve alors sous l'autorité des seigneurs de Prangins[C 7].

Toutefois, le fils de Guillaume de Prangins, Aymon, s'oppose à Amédée V de Savoie. Ce dernier réagit en s'emparant de ses terres, dont Gland, avec l'aide du baron de Vaud, Louis Ier[C 8]. Le territoire de Gland est ensuite administré par des nobles, vassaux de la maison de Savoie : la maison de Gingins, la maison de Gland et la maison de Lucinge[C 9]. Les habitants de Gland doivent leur verser une rente régulière[C 10] et réaliser un certain nombre de corvées (fauche, moisson, charroi, etc.)[C 11].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1536, les troupes bernoises conquièrent le territoire glandois, comme le reste du canton de Vaud[9], alors qu'elles se rendent au secours de Genève, menacée par les armées savoyardes[C 12]. Durant le règne bernois, les habitants de Gland se convertissent à la foi réformée. Dès 1550, Gland possède un premier pasteur, Pierre Chaubert[C 13]. La même année, l'autorité bernoise lève un impôt extraordinaire sur la fortune des chefs de famille glandois et vaudois appelé taille[C 14]. Durant cette période, et pendant deux siècles, il existe à Gland un consistoire, composé du pasteur et de personnalités de la paroisse, chargé d'enquêter et de juger les comportements non conformes aux bonnes mœurs (blasphème, paillardise, abus de danse ou d'alcool, problèmes matrimoniaux, etc.)[C 15].

Au XVIIe et XVIIIe siècles[C 16], la commune est dirigée par un conseil de neuf membres[5], appelés « honorables conseillers et communiers », issus de la bourgeoisie aisée locale, et par deux gouverneurs élus par ce conseil[C 17] parmi eux[C 16]. Durant ce siècle, la population de Gland, d'environ 200 habitants[C 18], connaît une grande pauvreté[C 19] et la paroisse assume alors un rôle d'assistance auprès des plus pauvres[C 20] avec l'aide de la bourse des pauvres[C 21]. Dès 1700, Gland accueille des réfugiés français huguenots fuyant la répression suivant la révocation de l'Édit de Nantes par Louis XIV[C 22]. Enfin, en 1789, les autorités communales créent les armoiries actuelles de Gland[C 23].

Ère contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1798, après l'invasion de la Suisse par les troupes françaises et la fin de la dominion bernoise sur le canton de Vaud, les Glandois, à présent plus de 300[C 24], célèbrent, avec le soutien des communiers, l'indépendance du canton. Le gouverneur de Gland, Louis Cristin, fait retirer le drapeau bernois et hisser celui de Gland, tandis que la population plante un tilleul de la liberté[C 25]. Le 8 février de la même année, la commune de Gland est intégrée au canton du Léman, lui-même rattaché à la République helvétique[C 26]. Cependant, ce sont plus ou moins les mêmes personnes qui continuent de gouverner Gland[C 25] après les élections d'avril 1798[C 27]. L'année suivante, en 1799, le conseil des communiers est toutefois remplacé par une Régie, tandis que la population glandoise élit sa première Municipalité[C 28]. Entre 1799 et 1803, il existe en outre un agent national[C 28].

Cinq ans plus tard, en 1803, après l'Acte de Médiation, Gland élit son premier syndic, Jean-Marc Caboussat[10], arrière-petit-fils d'un réfugié huguenot[C 22]. Seuls les propriétaires ou les bourgeois sont alors éligibles au sein de la Municipalité[C 29] et la Régie est supprimée[C 30]. Et ce alors qu'en ce début du XIXe siècle, les habitants de Gland vivent toujours dans un état de grande pauvreté[C 31]. À partir de 1813, les Glandois commencent à utiliser le droit de pétition[11]. En 1815, un Conseil général est créé. Il se compose des 43 citoyens les plus aisés du village[12].

En 1870, l'éclairage public à pétrole est installé[13]. En 1907, le village de Gland atteint le seuil de 800 habitants. Ce faisant, le Conseil général est remplacé par un Conseil communal[12].

Au XXe siècle, jusque dans les années 1960, Gland est un village d'agriculteurs et de viticulteurs. Dès la construction de l'autoroute A1 Genève-Lausanne, la population à la recherche d'un endroit tranquille, mais tout de même pas trop éloigné des centres urbains que sont Genève et Lausanne, commence à affluer. En 1962, Gland voit apparaître sa première agence bancaire[14]. Dès le milieu des années 1980, Gland commence à construire des centres commerciaux et à développer le commerce local[réf. souhaitée].

Population et société[modifier | modifier le code]

Gentilé et surnom[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune se nomment les Glandois[15] (Glandoises au féminin).

Ils sont surnommés les Croque-Raves (les raves étant cultivées dans la région)[16],[17].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population[modifier | modifier le code]

Gland compte 13 664 habitants au 31 décembre 2022 pour une densité de population de 1 642 hab/km2[1]. Sur la période 2010-2019, sa population a augmenté de 13,3 % (canton : 12,9 % ; Suisse : 9,4 %)[2].

Évolution de la population de Gland entre 1850 et 2020[18],[1]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2020, le taux de personnes de moins de 30 ans s'élève à 36,4 %, au-dessus de la valeur cantonale (35 %). Le taux de personnes de plus de 60 ans est quant à lui de 17,5 %, alors qu'il est de 21,9 % au niveau cantonal[19].

La même année, la commune compte 6 465 hommes pour 6 793 femmes, soit un taux de 47,3 % d'hommes, inférieur à celui du canton (48,2 %)[19].

Pyramide des âges de Gland en 2020 (%)[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ans ou +
0,8 
4,5 
75 à 89 ans
5,5 
11,2 
60 à 74 ans
12,5 
22,8 
45 à 59 ans
22,9 
23,6 
30 à 44 ans
23,1 
18,8 
15 à 29 ans
17,7 
18,7 
- de 14 ans
17,5 
Pyramide des âges dans le canton de Vaud en 2020 (%)[19]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
1,4 
6,1 
75 à 89 ans
8,2 
13,3 
60 à 74 ans
14,3 
21,5 
45 à 59 ans
21,2 
22,0 
30 à 44 ans
21,4 
19,6 
15 à 29 ans
18,0 
16,9 
- de 14 ans
15,5 

En 2015, Gland était la ville de Suisse comptant le moins d'habitants de plus de 64 ans[20].

En 2023, 31% de la population a moins de 25 ans, tandis que des ressortissants de 105 nationalités différentes résident sur le territoire communal[21].

Politique[modifier | modifier le code]

Partis politiques[modifier | modifier le code]

Sur les six principaux partis politiques suisses[22], quatre sont présents à Gland : le Parti socialiste (PS) depuis 1956[23], Les Verts, le Parti libéral-radical (PLR) et l'Union démocratique du centre (UDC). Les deux principaux partis politiques suisses absents sont le Centre et les Vert'libéraux, tout comme l'extrême gauche. Gland possède par contre un parti communal, la Gens de Gland (GdG) fondé en 1973[24]. En 1981, Gland a aussi compté un Groupe des démocrates de Gland et un Parti socialiste autonome[25].

Conseil communal[modifier | modifier le code]

Depuis 1907, le pouvoir législatif est incarné à Gland par un conseil communal[12] composé de 75 membres, élus tous les cinq ans lors d'un scrutin proportionnel. Le scrutin de 2021 a donné une majorité relative au GdG, suivi du PS et des Verts avec 19 sièges, du PLR avec 17 sièges et de l'UDC avec 7 sièges. Le président du Conseil communal est Sébastien Bertherin (GdG)[26].

Le conseil communal se réunit généralement en plénière huit fois dans l'année et ses membres se réunissent régulièrement au sein de commissions[27]. L'ancêtre du conseil communal était, entre 1815 et 1907, le conseil général[12].

Municipalité[modifier | modifier le code]

Le pouvoir exécutif est exercé par la Municipalité, un conseil de sept membres élu lui aussi tous les cinq ans[28].

Sur les sept membres de l'exécutif, cinq sont des représentants de la Gens de Gland et deux du Parti libéral-radical lors de la législature 2021-2026[29]. Lors de la précédente législature, la gauche détenait un siège au sein de l'exécutif, par le biais du socialiste Michael Rohrer[30].

Dans le détail, Christine Girod-Baumgartner (PLR) est syndique et responsable du développement durable, Gérald Cretegny (GdG) est à la tête de la sécurité publique et des transports publics, Isabelle Monney (GdG) dirige les affaires sociales, la culture, la politique sanitaire et la politique de soutien aux personnes âgées, Gilles Davoine (GdG) administre les finances et le sport, Thierry Genoud (GdG) s'occupe de la gestion des bâtiments et de l'urbanisme, Jeannette Weber (PLR) de l'accueil de l'enfance et de la jeunesse et des écoles, et Christelle Giraud-Nydegger (GdG) des espaces verts, de la voirie, des équipements et des forêts[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Administration[modifier | modifier le code]

L'administration communale est composée de six services : le service des bâtiments et de l'urbanisme, le service des infrastructures et de l'environnement, le service des finances et de l'économie, le service de la population, le service de la culture et des affaires sociales et le service de l'enfance et de la jeunesse[32]. Elle possède en outre un secrétariat divisé en quatre offices : l'office de la communication, l'office informatique, l'office des ressources humaines et l'office du développement durable[33].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Gland héberge environ 1 000 entreprises, pour un total d'approximativement 5 500 emplois[34], et notamment le siège de la banque Swissquote, de l'entreprise de biotechnologie Vivent[35] et de l'usine électrique des Avouillons, propriété de la Société électrique intercommunale de la CôteDepuis 1983[36]. Il existe par ailleurs une Association Économique de Gland et Région qui regroupe 150 membres[37]. Cette association a vu le jour en 1981 sous le nom Groupement d'animation de Gland, avant d'être renommée Association Commercial de Gland en 1992[38].

Organisations internationales et organisations non gouvernementales[modifier | modifier le code]

Le Centre de la conservation de l'UICN à Gland.

Depuis 2010, plusieurs organisations internationales et organisations non gouvernementales partagent des locaux dans le Centre de la conservation de l'Union internationale pour la conservation de la nature[39]. Il s'agit du Fonds mondial pour la nature (WWF) de la Convention de Ramsar, traité international pour la conservation et l'utilisation durable des zones humides, de l'African Wildlife Foundation[40], de l'Association mondiale des zoos et des aquariums, de l'Association internationale des éducateurs de zoo et du réseau chrétien international de défense de l'environnement A Rocha.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le « sentier des Toblerones », qui suit la ligne des Toblerones, est une ligne de fortifications datant de la Seconde Guerre mondiale qui se trouve en partie sur le territoire de la commune.

Le sentier historique relie le château de Prangins au domaine de La Lignière.

La Rajada, villa construite par les frères Jakob et Christian Hunziker et par Robert Frei entre 1960 et 1962, est classée avec ses dépendances et ses environs, comme biens culturels suisses d'importance nationale[41].

Au bord du lac il y a une petite plage communale, nommée plage de la Falaise[42].

Le Léman à Gland.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

La commune de Gland possède un théâtre, le Théâtre de Grand-Champ[43], qui fait aussi office de cinéma[44] et de salle de concert[45], une bibliothèque[46], et, depuis 1909, une fanfare[47].

Médias[modifier | modifier le code]

L'Association Économique de Gland et Région a publié de 1983 à 1996 un journal intitulé Gland Éco[14]. Dès 1996, elle publie un nouveau journal nommé Gland Cité tiré à plus de 11 500 exemplaires[48]. Par ailleurs, un journal communal paraît six fois par année, encarté au sein du journal Gland Cité[49].

Patrimoine[modifier | modifier le code]

On compte notamment au patrimoine de la ville de Gland, l’église protestante Saint-Paul (Grand-Rue 36), bâtie entre 1968-1969 par les architectes Claude et Anne Raccoursier[50], la villa Rajada et l’église catholique Saint-Jean-Baptiste, bâtie entre 2020-2022 selon le projet architectural du bureau Coretra et consacrée le 13 février 2022 par l’évêque Charles Morerod[51].

Archives[modifier | modifier le code]

Les archives communales[52], placées sous la responsabilité du secrétariat communal[53], conservent des fonds qui remontent jusqu'en 1574[54].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jérôme Napoléon, cousin germain de Napoléon III, a résidé entre 1886 et 1891 à Gland à la Villa Prangins[C 32].
  • Oscar Wilde a résidé en 1899 à Gland dans la villa Le Rêve (démolie dans les années 1940)[55]
  • Ignace Paderewski, compositeur virtuose polonais, a vécu entre 1905 et 1928 dans la propriété des Avouillons[C 33].
  • Charles Ier, dernier empereur de l'empire austro-hongrois[56], résida à Gland en 1920[10].
  • Marie-Thérèse Porchet, personnage fictif humoristique, imaginé par les Suisses Pierre Naftule et Pascal Bernheim, interprété par le comédien Joseph Gorgoni. Elle habiterait la ville qui, en 2002, a même renommé une de ses places « square Marie-Thérèse Porchet née Bertholet »[57].
  • Michael Schumacher, septuple champion du monde de Formule 1, réside à Gland.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gland Blason
D’argent au chêne de sinople englanté d’or, mouvant d’un mont du second[58].
Détails
Les armoiries des communes vaudoises sont soumises à l'approbation du Conseil d'État.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  • Gland, origine et histoire d'un village
  1. a b et c Caboussat 2000, p. 69.
  2. Caboussat 2000, p. 9.
  3. Caboussat 2000, p. 17-18.
  4. Caboussat 2000, p. 19.
  5. a et b Caboussat 2000, p. 22.
  6. Caboussat 2000, p. 24.
  7. a et b Caboussat 2000, p. 25.
  8. Caboussat 2000, p. 25-26.
  9. Caboussat 2000, p. 26.
  10. Caboussat 2000, p. 28.
  11. Caboussat 2000, p. 30.
  12. Caboussat 2000, p. 39.
  13. Caboussat 2000, p. 40.
  14. Caboussat 2000, p. 41.
  15. Caboussat 2000, p. 43.
  16. a et b Caboussat 2000, p. 52.
  17. Caboussat 2000, p. 49.
  18. Caboussat 2000, p. 62.
  19. Caboussat 2000, p. 45.
  20. Caboussat 2000, p. 46.
  21. Caboussat 2000, p. 59.
  22. a et b Caboussat 2000, p. 48.
  23. Caboussat 2000, p. 35.
  24. Caboussat 2000, p. 68.
  25. a et b Caboussat 2000, p. 64.
  26. Caboussat 2000, p. 63.
  27. Caboussat 2000, p. 64-65.
  28. a et b Caboussat 2000, p. 66.
  29. Caboussat 2000, p. 79.
  30. Caboussat 2000, p. 80.
  31. Caboussat 2000, p. 81.
  32. Caboussat 2000, p. 72.
  33. Caboussat 2000, p. 71.

Autres références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes » Accès libre [xls], sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
  3. Charles Knapp (dir.), Dictionnaire géographique de la Suisse, vol. 2 : Engadine Alpes d' - Langenberg, Neuchâtel, Victor Attinger, 1902-1910 (lire en ligne Accès libre), p. 287 [détail des éditions]
  4. Office fédéral de la statistique, « Statistique de la superficie standard - Communes selon 4 domaines principaux » Accès libre [xls], sur www.bfs.admin.ch, (consulté le ).
  5. a b et c « Gland », sur hls-dhs-dss.ch (consulté le )
  6. « Transport urbain de Gland (TUG) » [archive du ], sur gland.ch (consulté le )
  7. a b et c Wulf Müller, Nicolas Pépin et Andres Kristol, « Gland (Vaud) » Accès libre, sur toponymes.ch (consulté le ).
  8. Albin Jaques, « L’origine des noms de rivières », Passé simple, mensuel romand d’histoire et d’archéologie,‎ , p. 2-12.
  9. « Histoire vaudoise, époque moderne | svha - Société Vaudoise d'histoire et d'archéologie », sur svha-vd.ch (consulté le )
  10. a et b « Histoire et patrimoine », sur Commune de Gland - Site officiel (consulté le )
  11. Caboussat, 2000, p. 80-81.
  12. a b c et d Caboussat, 2000, p. 81.
  13. Caboussat 2000, p. 86.
  14. a et b Würgler 2000, p. 70.
  15. Paul Fehlmann, Ethniques, surnoms et sobriquets des villes et villages en Suisse romande, Haute-Savoie et alentour, dans la vallée d'Aoste et au Tessin, Genève, Jullien, , 274 p. (ISBN 2-88412-000-9), p. 59
  16. Charles Roux, Noms et sobriquets des Vaudois, Yens-sur-Morges, Cabédita, , 129 p. (ISBN 2-88295-339-9), p. 49
  17. « UCV - Annuaire - Recherche et carte - Gland », sur www.ucv.ch (consulté le )
  18. « Évolution de la population des communes 1850-2000 » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique, (consulté le ).
  19. a b c et d « Population résidante permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, la nationalité (catégorie), le lieu de naissance, le sexe et la classe d'âge » Accès libre, sur Office fédéral de la statistique (consulté le ).
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  40. (en) « 60 Years of Visionary Conservation Leadership », sur African Wildlife Foundation, (consulté le )
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Éric Caboussat, Gland, origine et histoire d'un village, Morges, Éditions Cabédita, .
  • Gonin Adolphe et Wuergler André, Gland, Du village à la ville, Éditions Cabédita, 2006.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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