Gignac (Hérault) — Wikipédia

Gignac
Gignac (Hérault)
Site du Castellas à Gignac.
Blason de Gignac
Blason
Gignac (Hérault)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
(siège)
Maire
Mandat
Jean-François Soto
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34114
Démographie
Gentilé Gignacois, Gignacoise
Population
municipale
6 650 hab. (2021 en augmentation de 11,9 % par rapport à 2015)
Densité 223 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 11″ nord, 3° 33′ 07″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 286 m
Superficie 29,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Gignac
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gignac
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Gignac
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Gignac
Liens
Site web ville-gignac.fr

Gignac [ ʒi.ɲak] (en occitan Ginhac [ d͡ʒi.'ɲak]) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, le ruisseau de Gassac, le ruisseau de Lagamas, le ruisseau de l'Avenc, le ruisseau de l'Aurelle, le ruisseau de Valpudèse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges de l'Hérault ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Gignac est une commune urbaine qui compte 6 650 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Gignac et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Gignacois ou Gignacoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Gignac appartient à la topographie régionale du « territoire centre Hérault » composé de reliefs, de domaines de la Garrigue, de la vallée de la Lergue et de l'Hérault[1]. Au nord du territoire se situe les hautes garrigues en direction du plateau du Larzac. À l'Est, le massif de la Taillade constitue le point de séparation entre la vallée de l'Hérault et les garrigues de Montpellier et à l'Ouest est situé le massif du Liausson[1].

Le canal de Gignac, construit vers 1897, a participé au développement rural de la commune en permettant l'irrigation de 1 800 hectares de parcelles consacrées essentiellement à la vigne[2].

Communes limitrophes et proches[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Gignac
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)[3]
Montpeyroux (5.76 / 8,14 km)
Lagamas (3.47 / 5,73 km)
St-Saturnin-de-Lucian (7.91 / 12,51 km)
Jonquières (6.63 / 10,35 km)
St-Félix-de-Lodez (7.59 / 8,49 km)
Saint-Jean-de-Fos
(5.40 / 9,64 km)
Causse-de-la-Selle (18.68 / 26,07 km)
Aniane (5.18 / 5,76 km)
Viols-le-Fort (15.88 / 18,86 km)
Argelliers (11.16 / 15,29 km)
Les Matelles (22.55 / 30,58 km)
La Boissière (7.58 / 11,39 km)
Saint-André-de-Sangonis
(3.96 / 4,32 km)
Gignac Montarnaud
(11.85 / 16,59 km)
Brignac (7.14 / 8,50 km)
Lieuran-Cabrières (13.19 / 21,57 km)
Pouzols (4.96 / 5,34 km)
Tressan (10.06 / 11,18 km)
Popian (3.79 / 5,33 km)
Saint-Bauzille-de-la-Sylve
(3.93 / 6,19 km)
St-Paul-et-Valmalle (10.41 / 15,36 km)
Murviel-lès-Montpellier
(15.88 / 20,02 km)
Pignan (18.69 / 29,34 km)
Cournonterral (17.10 / 28,44 km)
Aumelas (6.62 / 10,49 km)
Vendémian (7.96 / 10,83 km)

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 794 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 2,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-André-de-Sangonis à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « gorges de l'Hérault »[11], d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[13] : la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[14] et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[13] :

  • le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[15] ;
  • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[16] ;
  • les « garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais » (16 219 ha), couvrant 17 communes du département[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gignac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gignac, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 6 200 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,4 %), forêts (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,5 %), zones urbanisées (8 %), mines, décharges et chantiers (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault, le ruisseau de Gassac, le ruisseau de l'Avenc et le ruisseau de Lagamas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1994, 1997, 1999, 2002, 2003, 2011 et 2014[23],[21].

Gignac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gignac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 028 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 028 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].

La commune est en outre située en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 7] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom est attesté sous les formes : ecclesie S. Petri de Giniaco (1026), ad Giniacum (1094), villa de Giniaco (1094), justa Giniacum (1114), castello de Giniaco (1138), castrum de Ginaco (1247), de Ginhac (1471), Gignac (1571).

Le nom de la commune dérive d'un nom de domaine gallo-romain : nom d'homme gaulois Gennius + suffixe -acum[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

Une loge maçonnique existait à Gignac à la fin du XVIIIe siècle[32].

Des moulins sont donnés par l’évêque de Lodève Raymond Guillaume à l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert en 1189 ; une mauvaise lecture d'une archive a fait croire qu'il s'agissait des premiers moulins à papier de France, alors qu’il s’agissait de moulins bladiers[33].

Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en décembre 1791. Après la chute de la monarchie, elle change de nom pour « société des sans-culottes », puis « société républicaine et régénérée ». Elle est très fréquentée, puisqu’elle passe de 150 membres en 1791, à 264 un an plus tard, soit plus de 10 % de la population[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1965 Joseph Réveillon    

1965

mars 1989

Gilbert Sénès[35]

SFIO puis PS
Secrétaire d'association agricole
Député (1967-1968 et 1973-1986)
Conseiller général (1964-1982)
mars 1989 2003 Guy Lassalvy[36] PS Conseiller régional (1998-2004)
2003[37] mars 2014 Jean-Marcel Jover[38] PS Cadre supérieur des Finances publiques, percepteur de Clermont l'Hérault, Maire Honoraire (depuis 2016)
mars 2014 En cours[39] Jean-François Soto DVG Cadre supérieur
Conseiller départemental de l'Hérault

Démographie[modifier | modifier le code]

Au dernier recensement, la commune comptait 6650 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 5002 5342 5702 5892 7792 8352 6692 8162 951
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9202 7782 7762 7672 8472 5822 6232 5312 786
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5382 5512 5632 5352 5202 5872 5562 3002 399
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 5402 7462 8483 2283 6523 9554 8274 9515 271
2014 2019 2021 - - - - - -
5 9056 4806 650------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 2 585 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 6 467 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 220 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]). 38 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (45,8 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 9,9 % 11,6 % 10,6 %
Département[I 10] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 861 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 2 048 emplois en 2018, contre 1 926 en 2013 et 1 643 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 568, soit un indicateur de concentration d'emploi de 79,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,2 %[I 13].

Sur ces 2 568 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 689 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 80,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,2 % les transports en commun, 9,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

607 établissements[Note 11] sont implantés à Gignac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 607 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
40 6,6 % (6,7 %)
Construction 88 14,5 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
146 24,1 % (28 %)
Information et communication 13 2,1 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 19 3,1 % (3,2 %)
Activités immobilières 26 4,3 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
93 15,3 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
120 19,8 % (14,2 %)
Autres activités de services 62 10,2 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,1 % du nombre total d'établissements de la commune (146 sur les 607 entreprises implantées à Gignac), contre 28 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

  • Hilarion, hypermarchés (47 471 k€)
  • Joseph Castan, commerce de gros (commerce interentreprises) non spécialisé (8 190 k€)
  • Fineline France, commerce de gros (commerce interentreprises) d'ordinateurs, d'équipements informatiques périphériques et de logiciels (6 213 k€)
  • Societe Languedocienne D'agregats - Solag, exploitation de gravières et sablières, extraction d'argiles et de kaolin (3 325 k€)
  • Cce&C, activités spécialisées, scientifiques et techniques diverses (610 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 217 153 113 59
SAU[Note 14] (ha) 1 290 1 115 940 609

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 217 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 153 en 2000 puis à 113 en 2010[45] et enfin à 59 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 73 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[46],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1290 ha en 1988 à 609 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 10 ha[45].

Sports[modifier | modifier le code]

Le Tambourin club Gignac défend les couleurs de Gignac en championnat de France de balle au tambourin.

Du au , la 1re coupe du Monde de tambourin s'est déroulée à Gignac.

Chaque année entre 2011 et 2013 a eu lieu le “RIDE ON LR TOUR”. Cette compétition de sports extrêmes (BMX et rollers), réunit les meilleurs riders de France et européens sur les installations du FISE[réf. nécessaire].

Jumelage[modifier | modifier le code]

Gignac est jumelée avec :

Transports et accessibilité[modifier | modifier le code]

Réseau routier et covoiturage[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par l'autoroute A750 sorties 59 et 60. Elle est également traversée par la route nationale 109 ainsi que les routes départementales 9 et 32.

Une aire de covoiturage est présente au niveau de la sortie 59 de l'autoroute A750, d'une capacité de 40 places dont 2 places pour les personnes à mobilité réduite[47].

Transports Publics[modifier | modifier le code]

Gignac possède une gare routière qui est un point d'arrêt du réseau Hérault Transport. Les lignes s'arrêtant à Gignac sont les suivantes : 661, 662, 663, 665, 668, 685. Ces lignes permettent une liaison sans correspondance avec les villes suivantes : Aniane, Arboras, Bédarieux, Ceyras, Clermont-l'Hérault, Colombières-sur-Orb, Hérépian, Jonquières, La Cavalerie, Lamalou-les-Bains, Le Bosc, Le Caylar, Le Pouget, Le Poujol-sur-Orb, L'Hospitalet-du-Larzac, Lodève, Millau, Mons, Montpellier et le réseau de Transports de l'agglomération de Montpellier, Montpeyroux, Olargues, Popian, Pouzols, Prémian, Riols, Saint-André-de-Sangonis, Saint-Bauzille-de-la-Sylve, Saint-Etienne-d'Albagnan, Saint-Félix-de-Lodez, Saint-Guilhem-le-Désert, Saint-Jean-de-Fos, Saint-Julien, Saint-Martin-de-l'Arçon, Saint-Paul-et-Valmalle, Saint-Pons-de-Thomières, Saint-Saturnin-de-Lucian, Saint-Vincent-d'Olargues, Salasc, Villeneuvette

Gignac a aussi été desservi par train, entre 1894 et 1949, sur la ligne Montpellier - Rabieux des Chemins de fer de l’Hérault.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gignac

Les armes de Gignac se blasonnent ainsi :
« de gueules à une tour d'argent maçonnée de sable, accompagnée en chef de trois fleurs de lys d'or »[48].

L'âne de Gignac[modifier | modifier le code]

La légende veut qu’au jour de l’Ascension de l’an 719, un âne prénommé Martin ait réveillé les Gignacois par ses braiments alors que les Sarrasins étaient prêts à envahir le village. Alertés, les villageois auraient alors repoussé l'invasion en jetant des racines de trantanel (nom occitan de la bourdaine) sur les Sarrasins. Dès lors, il devient l’animal totémique de Gignac. Chaque année, cet évènement est célébré le jour de l’Ascension. L’âne représenté avec une grande armature recouverte d’une robe bleue, surmontée d’une tête dont les mâchoires s’entrechoquent bruyamment, est promené dans les rues de Gignac au son du fifre et du tambour entouré de danseurs costumés. Ce spectacle original et convivial prisé par les Gignacois est une tradition qui se perpétue de génération en génération. La tradition a fêté ses 1300 ans d’histoire en 2019.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Notre-Dame-de-Grâce est installée sur un lieu qui dispose d’une grande variété de traditions et d’histoires. Ainsi, les églises qui se sont succédé à cet endroit auraient été construites à l'emplacement d’un ancien temple romain, dédié à la déesse Vesta, et construit par la VIIe légion romaine. Temple qui serait devenu un édifice chrétien avant d’être détruit au XIIIe siècle. Une chapelle puis l’église telle que nous la connaissons aurait été ensuite construites sur ce vieil emplacement sacré. L’édifice actuel date du XVIIe siècle, sa façade de style florentin est assez unique dans la région. Tout près de l’église, le chemin de croix date de la même époque, même s'il a été récemment remis en état. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1989[49];
  • L'église Saint-Pierre-aux-Liens est située au centre du village. Cette église paroissiale a été reconstruite entre 1635 et 1677, après les guerres de religion. Sa grande façade est de style jésuite, et le reste de son architecture est classique. Sa grande nef à cinq travées se termine par un chevet à sept pans voûtés d’ogives. Le , un dimanche, le clocher de l'église s'est écroulé entraînant la voûte sur les fidèles. Cet accident a provoqué la mort de plus de 100 personnes[50]. Le grand clocher a été reconstruit par Étienne Giral[50], maître des ouvrages royaux de la ville et sénéchaussée de Montpellier, peu après l’effondrement du clocher originel[51][source insuffisante]. La Façade occidentale a été inscrite au titre des monuments historiques en 1963[52]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[52].
  • L'église Saint-Martin de Carcarès. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[53].
  • Chapelle du chemin de croix de Notre-Dame-de-Grâce de Gignac ;
  • La « Tour sarrasine » ou le donjon ;
  • L'hôtel de Laurès appartenait à la famille de éponyme. Il a accueilli au XXe siècle l'office du tourisme. Il est devenu une propriété privée[réf. nécessaire] ;
  • Beffroi communal surmonté d'un campanile de fer abritant une cloche du milieu du XVIIIe siècle réalisée par le maître fondeur montpelliérain Jean Poutingon (classée MH)[réf. nécessaire] ;
  • Pont de Gignac sur l'Hérault (XVIIIe siècle), conçu par Bertrand Garipuy, directeur des travaux publics de la province du Languedoc, entrepris par lui en 1776, puis par son neveu Ducros. Le pont a été achevé en 1810 par Billoin et Fontenay[réf. nécessaire] ;
  • Pont du Languedoc, construit à côté du pont de Gignac. Il permet à l'autoroute A750 de franchir l'Hérault. L'ouvrage a été conçu par Michel Virlogeux et l'architecte Charles Lavigne avec le bureau d'études SECOA pour le ministère de l'Équipement. Le pont a été construit par l'entreprise GFC. Il a été mis en service le [réf. nécessaire].

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Unité urbaine 2020 de Gignac » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gignac » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gignac » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gignac » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gignac » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. P. Carrière, « Le canal de Gignac », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, Montpellier, GéoProdig, vol. 14, nos 2-3,‎ , p. 325-341 (présentation en ligne)
  3. Distances vers : Saint-Jean-de-Fos, Causse-de-la-Selle, Aniane, Viols-le-Fort, Argelliers, Les Matelles, La Boissière, Montarnaud, Saint-Paul-et-Valmalle, Murviel-lès-Montpellier, Pignan, Cournonterral, Aumelas, Vendémian, Saint-Bauzille-de-la-Sylve, Popian, Tressan, Pouzols, Lieuran-Cabrières, Brignac, Saint-André-de-Sangonis, Saint-Félix-de-Lodez, Jonquières, Saint-Saturnin-de-Lucian, Lagamas et Montpeyroux, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Gignac et Saint-André-de-Sangonis », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « St Andre De Sangonis » (commune de Saint-André-de-Sangonis) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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  12. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Gignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  33. Marie-Ange Doizy, Pascal Fulacher, Papiers et moulins des origines à nos jours, Paris : Arts et métiers du livre éditions, 1997, (ISBN 2-911071-03-4), p. 52.
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  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. « Entreprises à Gignac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  43. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  44. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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  47. https://www.francebleu.fr/infos/transports/le-co-voiturage-une-affaire-qui-roule-dans-l-herault-1537097064%7Csite=France Bleu Hérault
  48. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 44.
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  51. Découverte 34 + registre paroissial.
  52. a et b « Eglise Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  53. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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  56. midilibre.fr

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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  • Audrey Almes, Étude sur Gignac à partir du compoix de 1462, S.l., s.n., , 137 p.
  • Jacques Basset, « Le barrage de la Meuse à Gignac (Hérault) 1860-1964 : un exemple d'équipement hydraulique en Languedoc », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 10,‎ , p. 97-106 (lire en ligne)
  • Gilbert Gilland, Histoire de Gignac : de son origine à nos jours, Lattes, Paysans du midi, , 124 p.
  • Claude-Daniel (de) Laurès, Mémoires pour servir l'histoire de la ville de Gignac et de ses environs : par Claude-Daniel de Laurès (1701-1776), conseiller à la Cour des Comptes, Aides et Finances de Montpellier, Montpellier, Arts et traditions rurales, , 396 p.
  • Jacques Mestre, Histoire de la ville de Gignac et des communes de son canton des origines à 1900, Millau, Arts et traditions rurales, , 299 p.
  • Hélène Palouzié-Gouedar, Gignac : un canton de la moyenne vallée de l'Hérault, Montpellier, Association pour la connaissance du patrimoine en Languedoc Roussillon, coll. « Images du patrimoine » (no 104), , 96 p.
  • Marie-Thérèse Pralus, Gignac au XVIIIe siècle : recherches démographiques, économiques et sociales, [s.l.], [s.n.], , 162 p.
  • Marie-Thérèse Pralus, Étude de quelques textes du cartulaire de Maguelone relatifs à Gigean au XIIe siècle : institution de la viguerie de Gignac au XIVe siècle, [s.l.], [s.n.], [1960-1970], 24 p.
  • Jean-Claude Richard, « De Bédarieux à Gignac : deux villes fortes protestantes réduites en 1622 par l'armée de Louis XIII », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 11,‎ , p. 119-123

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]