Ger (Pyrénées-Atlantiques) — Wikipédia

Ger
Ger (Pyrénées-Atlantiques)
La mairie de Ger.
Blason de Ger
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Jean-Michel Patacq
2020-2026
Code postal 64530
Code commune 64238
Démographie
Gentilé Gérois
Population
municipale
2 066 hab. (2021 en augmentation de 9,31 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 15′ 14″ nord, 0° 03′ 02″ ouest
Altitude Min. 332 m
Max. 435 m
Superficie 31,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ger
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ger
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Ger
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Ger
Liens
Site web ger.fr

Ger (prononcé [ʒɛʁ] ; en béarnais Gèr ou Yèr) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Ger se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 28 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 10 km de Pontacq[3], bureau centralisateur du canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Ibos (4,9 km), Pintac (4,9 km), Aast (5,1 km), Gardères (5,5 km), Oroix (5,5 km), Luquet (5,6 km), Azereix (6,1 km), Ponson-Dessus (6,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Ger fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

À l'ouest, Gardères et Luquet sont dans une enclave des Hautes-Pyrénées dans les Pyrénées-Atlantiques.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Ger.

La commune est drainée par le Gabas, le Lys, la Géline, le Carbouère, le ruisseau la barmale, Ariou de Hounrède, le Cassagnet, le Gabastou, Arriou de Tustor, le ruisseau le Lys darré, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Gabas, d'une longueur totale de 116,7 km, prend sa source dans la commune d'Ossun et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Souprosse, après avoir traversé 43 communes[8].

Le Lys, d'une longueur totale de 29,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Échez à Larreule, après avoir traversé 10 communes[9].

La Géline, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune d'Azereix et s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Luzerte à Saint-Lézer, après avoir traversé 12 communes[10].

Le Carbouère, d'une longueur totale de 17,3 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Louet à Bentayou-Sérée, après avoir traversé 10 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 153 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 344,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Statistiques 1991-2020 et records GER (64) - alt : 410m, lat : 43°14'17"N, lon : 0°05'01"O
Records établis sur la période du 01-03-2007 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 0,7 3,2 6,1 9,2 12,6 14,3 14 10,9 7,7 3,9 1,6 7,1
Température moyenne (°C) 5,5 5,9 8,4 11,4 14,1 17,7 19,6 19,7 17 13,6 8,8 6,6 12,4
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 13,6 16,7 19,1 22,9 25 25,3 23 19,4 13,7 11,6 17,6
Record de froid (°C)
date du record
−10,2
09.01.09
−11,2
08.02.12
−6,6
09.03.10
−3,4
05.04.22
−1
02.05.16
4,5
21.06.10
5,7
15.07.16
5,7
31.08.20
0,9
28.09.07
−4,5
16.10.09
−9,3
17.11.07
−9,8
26.12.10
−11,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
22,8
01.01.22
23,8
27.02.19
28,6
29.03.23
28,2
17.04.13
33,5
22.05.22
38,5
18.06.22
38,5
18.07.22
39,6
24.08.23
37,2
12.09.22
33,5
02.10.23
26,5
08.11.15
23
23.12.12
39,6
2023
Précipitations (mm) 151 113,7 121,9 122,3 144,9 101,4 86,5 74,5 69,9 89 157,6 111,8 1 344,5
Source : « Fiche 64238001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18],[Carte 2] : le « bois des collines de l'Ouest tarbais » (3 095,09 ha), couvrant 13 communes dont 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 11 dans les Hautes-Pyrénées[19] et les « landes humides du plateau de Ger » (804,65 ha), couvrant 5 communes dont 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 3 dans les Hautes-Pyrénées[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[18],[Carte 3] : le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » (6 409,37 ha), couvrant 26 communes dont 6 dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), zones urbanisées (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), forêts (6,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones humides intérieures (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,4 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Bourdalé
  • Brune
  • Lahon
  • Lapierre
  • Lescloupé
  • Lussan
  • Marchand
  • Porte
  • quartier Roye ou Pirhourquet
  • Gardia

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route nationale 117 et les départementales 22, 47 et 63.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Ger est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Lys, la Géline, le Lombré, le ruisseau la Barmale, le ruisseau de Carbouère et le Gabas. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2011[30],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ger.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 6,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Ger apparaît sous les formes Geerr (XIIIe siècle[33], fors de Béarn[34]), Yerr (1385[33], censier de Béarn[35]), Jorre (XIVe siècle[33], Jean Froissart, livre IV), Jerre (1429[33], censier de Bigorre[36]), Gerr (1487[33], titres de Béarn[37]) et Gerre (1546[33], réformation de Béarn[38]).

Son nom béarnais est Gèr[39] ou Yèr[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[33] note qu'en 1385, Ger comptait quatre-vingt feux et dépendait du bailliage de Montaner. La notairie de Ger ne comprenait que le village lui-même.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé, au premier et au quatrième de sinople à l'épi de maïs d'or, au second et au troisième d'argent à la branche de bruyère de sinople.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1983 Albert Gougy   Agriculteur
1983 2001 René Lafon-Puyo   Vétérinaire
2001 2017 Jean-Paul Mattei MoDem Notaire
2017 2020 Bernard Poublan   Retraité
2020 En cours Jean-Michel Patacq   Agriculteur

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ger fait partie de trois structures intercommunales[41] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].

En 2021, la commune comptait 2 066 habitants[Note 8], en augmentation de 9,31 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8861 6841 4181 5811 8651 7701 8401 9101 883
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8441 7471 7641 6451 6201 5582 1931 4681 473
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4121 2871 2611 1341 0571 021978939976
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9911 0161 1351 3661 4821 6482 0042 0131 916
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8902 0042 066------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Ger fait partie de l'aire urbaine de Tarbes.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le menhir de Ger (Pyrénées-Atlantiques)

Le menhir[46] de Ger, au quartier Roye ou Pirhourquet, date du Néolithique. Il est le plus imposant des Pyrénées occidentales avec une hauteur de 4,80 mètres (dont 1,80 mètre est enterré), une largeur de 1,70 mètre et une épaisseur de 1,10 mètre. Son poids est estimé à dix-sept tonnes.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre de Ger.

L'église est construite sur les vestiges de l'ancien château de Ger ce qui justifie le fait que son donjon soit décalé par rapport à la nef. Elle fut remise à neuf en 2004-2005.

Festivités[modifier | modifier le code]

Une garbure géante est confectionnée pour tout le village à l'occasion des fêtes dans un chaudron lui aussi géant, construit uniquement pour l'occasion.

Les fêtes de Ger sont organisées tous les ans le dernier week-end du mois de juillet. Des bals réguliers ont lieu à l'initiative du comité des fêtes (1er samedi des vacances de Noël, , Halloween, Saint-Valentin).

La commune participe également au Téléthon avec notamment l'organisation d'un défi crêpes (cuire 4000 crêpes durant le week-end).

Équipements[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Le foyer rural organise toutes les soirées et tous les bals.

Éducation[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire[47]. Elle est installée au centre du village, dans une partie du bâtiment de la mairie. Les élèves peuvent ensuite aller soit au collège de Pontacq soit au collège Paul-Éluard de Tarbes.

Sports et infrastructures sportives[modifier | modifier le code]

L'Union sportive des enclaves et du plateau (USEP) Ger-Séron-Bédeille né de la fusion du Stade Gérois (Ger) et de l'Entente Séron-Bédeille.

La salle des sports accueille un grand nombre d'activités (pala, volley, judo, danse) la plupart étant régies par le FROG (Foyer rural et omnisports de Ger).

Deux stades de rugby (un principal pour les matchs et un autre, plus en retrait, pour les entraînements) sont utilisés par l'USEP (Union sportive des Enclaves du Plateau).

Deux courts de tennis sont situés derrière le stade.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Ger » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Ger », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Ger », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Ger », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Ger et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Ger et Pontacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Ger », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Ger », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Gabas ».
  9. Sandre, « le Lys ».
  10. Sandre, « la Géline ».
  11. Sandre, « le ruisseau de Carbouère ».
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Station Météo-France commune d'Uzein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France commune d'Ger) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Ger », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF le « bois des collines de l'Ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF les « landes humides du plateau de Ger » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Ger », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. a b c d e f et g Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  34. Fors de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xive siècle (lire en ligne)..
  35. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  36. Censier de Bigorre, manuscrit de 1429, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. Titres de la vicomté de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  38. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le menhir
  47. Site de l'école primaire

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :