Gare de Nevers — Wikipédia

Nevers
Image illustrative de l’article Gare de Nevers
Le bâtiment voyageurs
et l'entrée de la gare en juillet 2020.
Localisation
Pays France
Commune Nevers
Adresse 10, rue du Chemin-de-Fer
58000 Nevers
Coordonnées géographiques 46° 59′ 14″ nord, 3° 09′ 02″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Code UIC 87696005
Site Internet La gare de Nevers, sur le site officiel de SNCF Gares & Connexions
Services Intercités
TER Bourgogne-Franche-Comté
TER Centre-Val de Loire
Fret
Caractéristiques
Ligne(s) Moret-Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache
Nevers à Chagny
Clamecy à Nevers
Voies 5 (+ voies de service)
Quais 3
Transit annuel 1 022 933 voyageurs (2022)
Altitude 186 m
Historique
Mise en service
Correspondances
Taneo Lignes T1, T2, 3, 4, 5, 10, 11, 13, 14, Noctibus, Tibus, Presto.
Mobigo LR501, LR502, LR503

Carte

La gare de Nevers est une gare ferroviaire française des lignes de Moret-Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache, de Nevers à Chagny et de Clamecy à Nevers. Elle est située rue de la gare, à l'ouest du centre-ville de Nevers (préfecture du département de la Nièvre), en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ouverte en 1850 par la Compagnie du chemin de fer du Centre, elle devient une gare de la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO) avant d'être une gare de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) qui y crée un dépôt et des ateliers. Nevers est une importante gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) desservie par des trains grandes lignes Intercités et des trains express régionaux de Bourgogne-Franche-Comté (TER Bourgogne-Franche-Comté).

Situation ferroviaire[modifier | modifier le code]

Établie à 186 mètres d'altitude, la gare de Nevers est située au point kilométrique (PK) 253,040 de la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache, entre les gares de Vauzelles et de Saincaize[1].

Gare de bifurcation, elle est l'origine au PK 0,00 de la ligne de Nevers à Chagny[1], avant la halte de Nevers-les-Perrières et l'aboutissement au PK 301,810 de la ligne de Clamecy à Nevers, après la halte de Nevers-les-Perrières[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Gare du Centre (1850-1852)[modifier | modifier le code]

L'arrivée du chemin de fer à Nevers se concrétise lorsqu'une loi du prévoit 24 300 000 francs pour la construction de la section de ligne, du Bec d'Allier à Clermont par le Bourbonnais, avec un embranchement sur Nevers. Cette loi vient en complément d'une loi du autorisant un « chemin de fer de Paris vers le centre de la France par Bourges » et d'une loi du organisant le prolongement de cette ligne en deux branches : de Vierzon à Châteauroux puis Limoges et de Bourges à Clermont par le Bec d'Allier. Il est alors prévu que c'est l'État qui gère l'achat des terrains et la réalisation des terrassements ainsi que la construction des ouvrages d'art, des stations, des ateliers et des maisons de garde-barrières, pour une livraison au concessionnaire. Le , la Compagnie des chemins de fer du Centre remporte l'adjudication concernant la pose de la voie et l'exploitation de la ligne[2].

Dans ce cadre, l'embranchement de Nevers est néanmoins une entité particulière dont les modalités sont spécifiées dans une loi du . Par son article 1er, elle autorise le ministre des Travaux publics à le « donner à bail » à la Compagnie du Centre et, par son article 2, elle précise que la station prévue sur la rive droite de l'Allier, selon un cahier des charges de 1844, sera finalement établie dans la ville de Nevers, sur la rive droite de la Loire. Elle précise également que l'État doit faire l'acquisition des terrains nécessaires à la réalisation d'une station à Saincaize, rendue nécessaire pour gérer la jonction des voies vers Bourges et vers Moulins. La convention pour la pose de la voie et l'exploitation de cet embranchement est signée le par l'État et la Compagnie du Centre[3].

À Nevers, l'emplacement choisi est celui de l'étang de la Passière, qui est comblé, alors que le ruisseau de l'Aiguillon qui l'alimente est recouvert. La parcelle étant trop étroite, on détruit les maisons situées du côté est de la rue des Excommuniés[a]. Les bâtiments de la gare sont construits sur pilotis[4].

La gare de Nevers est mise en service le [5] par la Compagnie du chemin de fer du Centre, lors de l'ouverture à l'exploitation des 33 km cumulant le tronçon de Nérondes au Guétin et l'embranchement du Guétin à Nevers[6]. Le dimanche [5], a lieu l'inauguration ; deux trains partis de Paris, à h 30 et à h, avec quatre cents voyageurs, arrivent en gare après h de voyage, temps mis pour parcourir les 304 km du trajet. Les canons tonnent à leurs arrivées au milieu d'une foule composée d'habitants venant des cantons du département. Après le discours d'inauguration, l'évêque de Nevers bénit les locomotives, en présence des personnalités parmi lesquelles on remarque : le nivernais André Dupin, ministre des Travaux publics, le préfet du département, Georges Dufaud, président du Conseil général, Gasc, président de la compagnie, Marc, le directeur, et les ingénieurs. Après une visite de la ville, un grand banquet réunit toutes les personnalités avant le feu d'artifice en clôture de cette journée. Un premier train prend le départ à 10 h pour le voyage de retour vers Paris[7].

Tractations entre compagnies (1852-1857)[modifier | modifier le code]

Le , le ministre des Travaux publics approuve le traité du , passé entre la Compagnie du chemin de fer du Centre et la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO), pour la cession du « bail à l'exploitation des lignes d'Orléans à Châteauroux et au Bec d'Allier et Nevers »[4].

En 1855, la Compagnie du PO conclut un traité, avec la Compagnie du chemin de fer de Paris à Lyon et la Compagnie du chemin de fer Grand-Central de France, pour la création de la « Compagnie du Bourbonnais », sous la forme d'une « société en participation ayant pour objet la construction et l'exploitation d'un chemin de fer de Paris à Lyon par Nevers, Corbeil et Moret ». Cette compagnie devient concessionnaire de la section située entre Nevers, Corbeil et Moret, par une convention, conclue entre les compagnies et l'État, approuvée par la loi du [4].

En 1857, le Grand-Central disparait et les compagnies de Paris à Lyon et de Lyon à la Méditerranée fusionnent pour former la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. Celle-ci rachète les parts du Grand-Central et du PO, dans la Compagnie du Bourbonnais ; cet achat est approuvé par une loi du [4].

Gare du PLM (1857-1937)[modifier | modifier le code]

Le tronçon de Montargis à Nevers, élément de la première section de la ligne de Paris à Lyon par le Bourbonnais, est mis en service le par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM)[8].

En 1878, des travaux à exécuter sont approuvés : allongement de la halle couverte du transbordement, ajout d'une voie et de deux plaques tournantes, construction d'un magasin et d'un séchoir[9].

La « gare de Nevers » figure dans la nomenclature 1911 des gares, stations et haltes de la compagnie du PLM[10]. C'est une gare de bifurcation de la ligne de Moret-les-Sablons à Nîmes, située entre la gare de Fourchambault et la gare de Saincaize[11], terminus de la ligne de Laroche à Nevers après la gare d'Urzy[12] et origine de la ligne de Nevers à Chagny par Montchanin, avant la gare d'Imphy[13]. La gare est ouverte à l'expédition et à la réception de dépêches privées[14]. Elle dispose des services complets de la grande vitesse (GV) et de la petite vitesse (PV)[15].

Gare SNCF (depuis 1938)[modifier | modifier le code]

En 1985, c'est l'une des trois gares principales de la ligne, ouverte aux services des voyageurs et des marchandises ; son trafic annuel de voyageurs est de 296 997 billets et de 2 805 abonnements et son trafic de marchandises, notamment des boissons et des produits métallurgiques et des industries mécaniques, représente un total de 43 750 tonnes à la réception et de 40 658 tonnes à l'expédition[16].La gare rénovée, avec notamment son nouveau fronton monumental, est inaugurée par le président de la République François Mitterrand le [17]. La mise sous tension de la ligne entre Moret et Nevers a lieu le [18].

En 2013, l'historique buffet de la gare ferme ses portes[19]. Du au , Réseau ferré de France ouvre un chantier de renouvellement des « constituants de la voie ferrée (rails, traverses, ballast) », s'ajoute des travaux sur les quais. Cela concerne les voies A, B et D pour un coût de 2,7 M€[20]. En 2016, le point presse de l'enseigne Relay est fermé[19] lors des travaux de rénovation et de réhabilitation du bâtiment voyageurs. Extérieurement, l'entrée monumentale des années 1980 est détruite pour remettre en lumière la façade et la toiture du bâtiment d'origine ; intérieurement, les espaces sont totalement rénovés et réhabilités. Le coût, entièrement pris en charge par la SNCF, est de 2 M€[21]. Le chantier ayant rencontré des imprévus était en cours fin novembre 2017. À l'intérieur, le hall d'accueil, l'espace de vente et le réaménagement des toilettes accessibles depuis le hall, sont terminés et ouverts, mais l'espace prévu pour un commerce est resté vide. À l'extérieur, la façade en est aux finitions et le parvis doit être disponible dans sa totalité à la fin de l'année[22].

Le nouveau point presse et snack Relay est ouvert le , après de nombreux rebondissements[23].

Fréquentation[modifier | modifier le code]

De 2015 à 2022, selon les estimations de la SNCF, la fréquentation annuelle de la gare s'élève aux nombres indiqués dans le tableau ci-dessous[24].

Année 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
Voyageurs 875 783 831 561 880 368 818 644 876 999 559 625 771 722 1 022 933
Voyageurs et
non voyageurs
1 094 729 1 039 452 1 100 460 1 023 305 1 096 248 699 532 964 653 1 278 667

Service des voyageurs[modifier | modifier le code]

Accueil[modifier | modifier le code]

La gare dispose d'un bâtiment voyageurs avec guichet, ouvert tous les jours, de distributeurs automatiques de titres de transport et d'un kiosque à journaux. Divers services sont disponibles, notamment l'accueil des personnes en situation de handicap et des jeunes voyageurs. Dans le hall une boutique Relay y est installée[25],[26]. En outre, des consignes sécurisées Amazon sont présentes[27]

Desserte[modifier | modifier le code]

Nevers est desservie par : des trains grandes lignes Intercités, sur les relations Paris-Bercy - Clermont-Ferrand et Nantes - Lyon-Perrache ; mais aussi par des trains TER Bourgogne-Franche-Comté, sur de nombreuses relations, notamment : Paris-Bercy - Nevers, Tours - Lyon-Perrache, Nevers - Dijon-Ville[25].

Intermodalité[modifier | modifier le code]

Un parc pour les vélos et un parking pour les véhicules y sont aménagés. Elle est desservie par des bus du réseau Taneo avec les lignes T1, T2, 3, 4, 5, 10, 13, 14, Noctibus, le service Tibus ainsi que les lignes Presto et scolaires[25].

Service des marchandises[modifier | modifier le code]

Cette gare est ouverte au service du fret[28].

Autres sites des chemins de fer à Nevers[modifier | modifier le code]

Dépôt de Nevers[modifier | modifier le code]

Le premier dépôt, situé à proximité de la gare, est mis en service en 1861 par le PLM. Il comprend notamment une rotonde et un parc de remisage. Saturé au début des années 1910, il nécessite l'aménagement d'un nouveau site hors de la ville. Ce second dépôt est totalement opérationnel en 1931 lors de la fermeture du premier[29],[30].

Technicentre Industriel Nevers Languedoc[modifier | modifier le code]

La Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM) ouvre en 1912 le chantier de construction de l'Atelier du matériel de Nevers. Retardé par le début de la Première Guerre mondiale, le chantier est néanmoins suffisamment avancé pour qu'une partie des futures installations, « le bâtiment d'administration, le réfectoire et quatre logements », soit aménagée en hôpital provisoire, de 90 places, par la Croix Rouge anglaise, à partir du . Les autres installations — magasin, atelier de forges, atelier de roues — achevées au cours de l'année 1914 et au début de 1915 sont réquisitionnées pour les besoins de la défense nationale. Les grands ateliers en béton armé, terminés au début de 1918, sont « mis à disposition de l'armée américaine pour le montage et la réparation des locomotives amenées par le corps expéditionnaire ». C'est le 19th Grand Division Transportation Corps qui réalise l'aménagement intérieur de ces locaux[31].

Le PLM récupère ses installations, après la fin du conflit, le et, en 1920, il en confie la gestion à la Compagnie générale de construction et d'entretien du matériel de chemin de fer (CGEM). Le , la SNCF reprend l'exploitation du site à son compte sous la dénomination Ateliers de Nevers-Machines[18]. Renommés Technicentre en 2008, ils prennent leur nom actuel en 2019[32].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La rue des Excommuniés a été renommée rue de la Rotonde avant 1925[4].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français, vol. 2 : lignes 601 à 990, Paris, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-44-0), « [750/2] Cosne-S/Loire - Moulins », p. 95.
  2. Desforges 1925, p. 114.
  3. Desforges 1925, p. 114-115.
  4. a b c d et e Desforges 1925, p. 116.
  5. a et b Desforges 1925, p. 115.
  6. François et Maguy Palau, Le rail en France : Les 80 premières lignes, 1828-1851, F. et M. Palau (réimpr. 2003) (1re éd. 1995), 217 p. (ISBN 2-950-9421-0-5, BNF 35772084).
  7. Paulin, « Chemin de fer du Centre : inauguration de la section de Nevers », L'illustration, journal universel,‎ , p. 267-269 (lire en ligne, consulté le ).
  8. François et Maguy Palau, Le rail en France : Le second Empire, t. 2 : 1858-1863, Paris, Palau, , 223 p. (ISBN 2-950-94212-1, BNF 37658881).
  9. « Travaux », Bulletin des lois de la République française,‎ , p. 1030 (lire en ligne, consulté le ).
  10. PLM 1911, p. 32.
  11. PLM 1911, p. 89.
  12. PLM 1911, p. 94.
  13. PLM 1911, p. 100.
  14. PLM 1911, p. 32 et 5.
  15. PLM 1911, p. 32, 50 et 64.
  16. Rasserie 1988, p. 55.
  17. « Allocution de M. François Mitterrand, Président de la République, à l'occasion de l'inauguration de la gare de Nevers, vendredi 14 février 1986. », sur elysee.fr, (consulté le ).
  18. a et b Rasserie 1988, p. 5.
  19. a et b Lara Payet, « Le point presse Relay va (enfin) s'installer en gare de Nevers : ouverture en janvier 2022 », Le Journal du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Travaux en gare de Nevers : trafic modifié pendant un mois à partir du 24 février », sur deplacementspros.com, (consulté le ).
  21. Alain Gavriloff, « Un nouveau lifting pour la gare SNCF de Nevers ! », lejdc.fr, (consulté le ).
  22. Lison Lagroy, « Presque un an de retard pour les travaux de la gare SNCF de Nevers », Le Journal du Centre, (consulté le ).
  23. « Le Relay, le point presse de la gare de Nevers, ouvrira enfin mardi 1er mars », lejdc.fr, (consulté le ).
  24. « Fréquentation en gares : Nevers », sur SNCF Open Data, traitement du [cf. l'onglet des informations] (consulté le ).
  25. a b et c « Gare de Nevers », sur ter.sncf.com/bourgogne-franche-comte (consulté le ).
  26. « Nevers », sur garesetconnexions.sncf (consulté le ).
  27. « Amazon Hub Locker - Louka : Point colis disponible à en gare de Nevers », sur point-colis.fr (consulté le ).
  28. « Document de référence du réseau - Horaire de service 2022 : Liste des cours marchandises immédiatement accessibles » [PDF], sur sncf-reseau.com, (consulté le ), page 2/11.
  29. Richon (ingénieur en chef PLM), « Le nouveau dépôt PLM de Nevers », Revue générale des chemins de fer, vol. 51e Année, no 2,‎ , p. 111-127 (lire en ligne).
  30. André Rasserie, Le Bourbonnais 150 ans d'histoire, Grenoble, Presses et éditions ferroviaires, , 65 p. (ISBN 2-905447-05-2), « Le Dépôt de Nevers », p. 33-34.
  31. Rasserie 1988, p. 47.
  32. « SNCF Technicentre industriel Nevers Languedoc », sur stage-academie.com, (consulté le ).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Ad. Thibault (directeur de publication), « Notice sur l'embranchement de Nevers au chemin de fer du Centre, suivi de : Inauguration de la section de Nevers », Almanach agricole de la Nièvre, no 1,‎ , p. 405 (lire en ligne, consulté le ).
  • Jutier (ingénieur des mines), « Note 13 : sur l'organisation de signaux de diverses couleurs dans la gare de Nevers », dans Édouard Brame, Étude sur les signaux de chemins de fer à double voie, Paris, Dunod, (lire en ligne), p. 247-248.
  • PLM, Chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée : Nomenclature des gares stations et haltes, Paris, Impr. Maulde, Doumenc, , 173 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Pouillon (ingénieur principal du matériel), « Les nouveaux ateliers de machines de la Compagnie Paris-Lyon -Méditerranée, à Nevers », Revue générale des chemins de fer et des tramways, vol. 43e année, no 3,‎ , p. 159-171 (lire en ligne).
  • « Les nouveaux ateliers de machines de la Compagnie Paris-Lyon-Méditerranée à Nevers », Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères,‎ , p. 454-455 (lire en ligne, consulté le ).
  • A. Desforges, « Historique des chemins de fer Nivernais », Mémoires de la Société académique du Nivernais,‎ , p. 114-118 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Richon (ingénieur en chef PLM), « Le nouveau dépôt PLM de Nevers », Revue générale des chemins de fer, vol. 51e Année, no 2,‎ , p. 111-127 (lire en ligne).
  • M. Abélès, « Inauguration en gare de Nevers et pèlerinage à Solutré », Les temps modernes, no 488,‎ , p. 75-97.
  • André Rasserie, Le Bourbonnais 150 ans d'histoire, Grenoble, Presses et éditions ferroviaires, , 65 p. (ISBN 2-905447-05-2). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Nantes Bourges Intercités Moulins-sur-Allier Lyon-Perrache
Paris-Bercy Fourchambault TER Bourgogne-Franche-Comté Terminus Terminus
Tours Bourges TER Centre-Val de Loire Moulins-sur-Allier Lyon-Perrache
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Imphy Dijon-Ville
Moulins-sur-Allier
ou Terminus
Saincaize
ou Terminus
TER Bourgogne-Franche-Comté Nevers-les-Perrières
ou Imphy
Decize
ou Autun
Cosne-sur-Loire Vauzelles TER Bourgogne-Franche-Comté Terminus
ou Nevers-les-Perrières
Terminus
ou Nevers-le-Banlay
Terminus Terminus TER Bourgogne-Franche-Comté Saincaize
ou Saint-Pierre-le-Moûtier
ou Moulins-sur-Allier
Moulins-sur-Allier
ou Lyon-Perrache
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TER Centre-Val de Loire Terminus Terminus