Géraldine Marchand-Balet — Wikipédia

Géraldine Marchand-Balet
Illustration.
Fonctions
Conseillère nationale

(4 ans et 1 jour)
Législature 50e (2015-2019)
Groupe politique Centre (C-ED)
Commission CEATE et CSEC
Députée au Grand Conseil du canton du Valais

(2 ans, 7 mois et 12 jours)
Présidente de Grimisuat

(10 ans, 11 mois et 30 jours)
Conseillère communale de Grimisuat

(18 ans, 11 mois et 30 jours)
Biographie
Date de naissance (53 ans)
Lieu de naissance Sion (Suisse)
Nationalité Suisse
Parti politique PDC
Profession Cheffe de projet à la HES-SO

Géraldine Marchand-Balet, née le à Sion (originaire de Grimisuat), est une personnalité politique suisse, membre du parti démocrate-chrétien (PDC). Présidente de la commune de Grimisuat de 2008 à 2019, elle est députée du canton du Valais au Conseil national de 2015 à 2019.

Biographie[modifier | modifier le code]

Géraldine Marchand-Balet a présidé un centre médico-social de 2009 à 2012. Depuis 2009, elle préside l’établissement médico-social Les Crêtes, qui regroupe les communes d’Arbaz, d’Ayent et de Grimisuat. Elle préside également depuis 2012 la société Grimsolar SA, société inédite qui permet aux habitants de Grimisuat de participer, en tant qu’actionnaires, au développement des énergies renouvelables, en particulier dans le domaine du solaire[1].

Géraldine Marchand-Balet est mère de deux enfants[2].

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Affiliée au PDCVr, sa carrière politique débute en 2001 en tant que membre du Conseil communal de Grimisuat. Elle est élue à la vice-présidence de la municipalité en 2005, puis à sa présidence en 2009.[réf. nécessaire]

En , Géraldine Marchand-Balet est élue (première du district de Sion) au Grand Conseil et intègre la Commission des finances. Elle annonce sa démission de son mandat cantonal en novembre 2015[3], après son élection au Conseil national, où elle fait son entrée en [4]. Elle y est membre de la Commission de la science, de l'éducation et de la culture (CSEC) de 2015 à 2018 et de la Commission de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de l'énergie (CEATE) de 2018 à 2019.

En , le Tages-Anzeiger la classe dernière de son rating des parlementaires de l'Assemblée fédérale les plus influents[5].

Le , elle annonce officiellement ne pas se représenter au Conseil national et quitter progressivement la vie politique, après 20 ans d'activité[6].


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Parcours - Géraldine Marchand-Balet » (consulté le )
  2. Régine Boichat, « La politique est son hobby », Le Nouvelliste,‎ , p. 26 (lire en ligne)
  3. « Démission de Géraldine Marchand-Balet officialisée au Grand Conseil », sur www.rhonefm.ch, (consulté le )
  4. « Nouveaux élus au Conseil national - http://www.ch.ch » (consulté le )
  5. (de) « Wer hat in Bern am meisten Einfluss », Tages-Anzeiger,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « La PDC Géraldine Marchand-Balet ne se représentera pas au National », sur rts.ch, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]