Fonds régional d'art contemporain — Wikipédia

Label " Fonds régional d'art contemporain " / " Fonds territorial d'art contemporain"
Histoire
Fondation
  • Circulaire du 3 septembre 1982 : Création du dispositif " Fonds régional d'art contemporain "
  • Circulaire du 28 février 2002 : Première onsolidation
  • Loi 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine : Deuxième consolidation à travers l'ajout du label " Fonds régional d'art contemporain " au code du patrimoine et création du label " Fonds territorial d'art contemporain "
Cadre
Sigle
FRAC / FTAC
Type
Objet social
Acquisition d'œuvres d'art contemporain ; présentation des œuvres au public ; mise en place d'actions de médiation et d'éducation artistique et culturelle.
Domaine d'activité
Pays
Organisation
Effectif
22 institutions labellisées (2024)
Dépend de
Le FRAC Bretagne à Rennes.

Fonds régional d'art contemporain (ou FRAC) et Fonds territorial d'art contemporain (ou FTAC) sont un label officiel français accordé à des institutions culturelles qui constituent des collections d’œuvres d'art visuel contemporain et qui en assurent la présentation au public.

Initié dès 1982 par Jack Lang dans le cadre de la politique de décentralisation mise en place par l’État, les labels FRAC et FTAC reposent sur une coopération financière entre, d'une part, soit les régions, les collectivités d'outre-mer ou les départements et régions d'outre-mer, et, d'autre part, l'État à travers le ministère de la Culture[1].

Les labels FRAC et FTAC sont définis et régis par le code du patrimoine et par le décret du 28 mars 2017 relatif aux labels et au conventionnement dans les domaines du spectacle vivant et des arts plastiques[2].

Organisation[modifier | modifier le code]

Cahier des charges et des missions[modifier | modifier le code]

Le cahier des charges et des missions des labels FRAC et FTAC est défini par l'arrêté du 5 mai 2017[3].

  • Disposer du soutien financier de la région du lieu d'implantation de la structure pour le label FRAC ; de la collectivité d'outre-mer ou du département ou région d'outre-mer du lieu lieu d'implantation de la structure pour le label FTAC[4].
  • Constituer un patrimoine d'art contemporain et soutenir la création par l’action conjuguée d’acquisitions et de commandes d’œuvres d’art. Les structures labellisées FRAC ou FTAC peuvent décider de se spécialiser dans une catégorie particulière d'art contemporain.
  • Diffuser largement le fonds constitué sur le territoire régional en développant des partenariats réguliers. Les institutions culturelles régionales, les collectivités locales et les établissements scolaires sont ainsi concernés.
  • Sensibiliser le public le plus large aux démarches artistiques contemporaines par la mise en place d’actions permanentes de médiation comme des visites commentées, l’accueil des groupes par des animateurs conférenciers, des conférences, des rencontres avec les artistes, d'ateliers avec le jeune public, etc.

Cadre juridique[modifier | modifier le code]

Entrée de l'hôtel Saint-Livier à Metz, qui accueille 49 Nord 6 Est - Fonds régional d'art contemporain Lorraine.

Le label FRAC a été institué par la circulaire du 3 septembre 1982 du Ministre de la Culture relative à la création des Fonds régionaux d'art contemporain, et leurs missions sont régies dans la circulaire no 2002/006 du 28 février 2002[5].

La loi du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine vient consolider le label par la création d'un chapitre dédié dans le code du patrimoine. C'est à travers elle que le label Fonds territorial d'art contemporain est créé[6].

Collections[modifier | modifier le code]

En avril 1986, les structures labellisées FRAC avaient acquis, depuis leur création, un total de 5 438 œuvres provenant de 1 377 artistes différents[7]. En 2000, c'était près de 14 000 œuvres de près de 2 500 artistes[8].

En 2013, les collections des structures labellisées FRAC rassemblent 26 000 œuvres de 4 200 artistes autant français qu’étrangers. Contrairement aux musées ou aux centres d’art, les structures labellisées FRAC ne peuvent être identifiés à un lieu unique d’exposition. Les collections des structures labellisées FRAC voyagent en France et à l’international. Chaque année, un tiers de leurs œuvres sont présentées au public, ce qui fait des structures labellisées FRAC les collections les plus diffusées de France. Ils sont ainsi des acteurs d’une politique d’aménagement culturel du territoire visant à réduire les disparités géographiques, sociales et culturelles et à ainsi faciliter la découverte de l’art contemporain par des publics les plus diversifiés[9].

Les œuvres présentes dans les collections sont pour l’essentiel postérieures à 1960 et réalisées par des artistes représentatifs de la création française et internationale. Chaque structure labellisée FRAC compte aujourd’hui entre 200 et 3 000 pièces et dispose d’un budget d’acquisition annuel pour enrichir sa collection. La procédure d’acquisition se déroule ainsi : le directeur de la structure labellisée FRAC impulse l’orientation artistique de la collection avec un « comité technique d'achat » composé d’experts de l’art contemporain, il fait des propositions d’acquisitions qui sont validées par le conseil d’administration de la structure labellisée FRAC.

Les collections des structures labellisées FRAC constituent le troisième ensemble public d'art contemporain en France, après la collection du Centre national des arts plastiques (CNAP) et celle du Musée national d’art moderne[9].

Les structures labellisées FRAC pourraient dans l'avenir rééquilibrer leurs fonds - à l'instar de ce qui s'est fait dans la région Lorraine - en mettant en place une politique de rattrapage de la réelle discrimination, qui existe encore à ce jour en art contemporain vis-à-vis des artistes femmes, largement moins représentées que leurs homologues masculins, alors même que les artistes femmes représentent plus de la moitié des artistes contemporains.[réf. nécessaire]

En 2013 et à l'occasion de leurs 30 ans, un portail d'accès unique aux collections des 22 structures labellisées FRAC, accessible à tous les publics (particuliers, étudiants, chercheurs, artistes, commissaires d’expositions, critiques, enseignants...), est créé[10] et hébergé par la base Videomuseum du réseau des 65 collections publiques d'art moderne et contemporain et de design, en regroupant les près de 26 000 œuvres acquises depuis 1981, au profit des collections régionales. Au , ce portail répertorie 27 856 œuvres sur les plus de 30 000 conservées[11].

Diffusion et fréquentation[modifier | modifier le code]

Leur rôle de diffusion conduit les structures labellisées FRAC à présenter simultanément plusieurs projets dans les régions, soit chaque année, près de 400 expositions et 1 300 actions d’éducation artistique et culturelle. Ils sont ainsi au centre d’un réseau de très nombreux partenaires fidélisés au fil des années : musée des Beaux-Arts, centres d’art ou espaces municipaux, écoles d’art, établissements scolaires ou universités, monuments historiques ou parcs, galeries, associations de quartiers et parfois hôpitaux, etc.

En 2012, leur fréquentation a atteint son plus haut niveau depuis leur création avec 1,5 million de visiteurs et plus de 2 millions avec l’international[12].

42 % de leur diffusion concerne les établissements scolaires, ce qui représente 16,7 % du public scolaire en France.

Les Frac de nouvelle génération[modifier | modifier le code]

Initialement conçues pour être des collections sans lieu de diffusion, les structures labellisées FRAC ont bénéficié du programme dit "FRAC de nouvelle génération" qui marque une étape majeure dans le développement de ces institutions. Ce programme visa en effet à doter les structures labellisées FRAC de conditions optimales à un meilleur exercice de leurs missions de diffusion de l'art contemporain sur leur territoire et de sensibilisation, à travers la création d'équipements performants réunissant sur un même site: des réserves adaptées à la conservation au développement et à une meilleure circulation des collections, des espaces dédiés aux expositions, à la médiation et aux événements. Conçus par des architectes de renommée internationale, ces réalisations le plus souvent implantées dans les capitales régionales, permettront de renforcer la notoriété de ces institutions, l'attractivité des territoires et de conforter leur reconnaissance internationale.[réf. nécessaire]

En 2000, le Fonds régional d'art contemporain des Pays de la Loire est le premier établissement à se doter d'un bâtiment conçu par l'architecte Jean-Claude Pondevie[13].

Grand Large - Fonds régional d'art contemporain Hauts-de-France, Dunkerque.

Le ministère de la Culture et de la Communication s'est engagé dans la construction de six nouveaux équipements dont l'ouverture s'est s'échelonnée de 2012 à 2015 :

De nouveaux chantiers sont prévus en Bourgogne, Corse, Champagne-Ardenne, Basse-Normandie (Caen, architecte Rudy Ricciotti) et Limousin, consistant en des extensions ou des réhabilitations.[réf. souhaitée]

Platform, regroupement des structures labellisées FRAC[modifier | modifier le code]

Créée en 2005, l’association Platform réunit les 22 structures labellisées FRAC autour de trois objectifs :

  • favoriser une réflexion collective sur les missions et les enjeux des Frac
  • constituer un centre de ressources et d’informations pour ses membres et ses partenaires
  • développer les échanges et les coopérations interrégionales et internationales grâce à des invitations de commissaires étrangers.

Depuis 2003, sous l’impulsion des structures labellisées du Grand Est puis avec la coordination de Platform, des projets ont été menés en Italie et en Pologne (2003), en Espagne et au Royaume-Uni (2004), en Allemagne et en Slovaquie (2005), en Israël et en République tchèque (2006), en Argentine, en Italie et en Roumanie (2007), en Belgique et en Lituanie (2008), en Croatie (2007 et 2012). En 2010, la carte blanche confiée à des commissaires américains a permis d’organiser « Spatial City : An Architecture of Idealism », la première exposition itinérante des collections des Frac aux États-Unis avec des résidences d’artistes conçues pour chacune des étapes du projet à Chicago, Milwaukee et Detroit. Depuis 2011, Platform a engagé la préparation et le portage de la manifestation « Les Pléiades – 30 ans des Frac » pour laquelle les 22 structures ont défini ensemble et mis en œuvre collectivement une série de projets imaginés comme autant de regards distincts sur leurs collections. Ces expositions se déroulent dans chaque région puis donnent lieu à une exposition-synthèse aux Abattoirs Frac-Midi Pyrénées qui est la première présentation à réunir les 23 Frac. Dans le cadre des 30 ans et pour mettre en lumière les mutations importantes accomplies sur les dix dernières années, l’exposition itinérante « Frac - Nouvelles architectures » a été coproduite avec le Centre Pompidou. Au-delà de l’anniversaire, les actions de Platform se poursuivent également à l’international avec une exposition en 2015 conçue en collaboration avec le musée Van Abbe à Eindhoven (Pays-Bas)[9].

We frac en Champagne-Ardenne autour du Grand jeu.

En novembre 2016, Platform a organisé WE frac, journées portes ouvertes dans l'esprit de la Nuit des musées.

Budget et critiques[modifier | modifier le code]

Dans un rapport[14] qu'il a remis à Christine Albanel, ministre de la Culture, le , Jacques Rigaud explique que les Frac n'ont pas de statut réglementé et qu'ils se sont construits de manière empirique, les qualifiant d'« ovnis juridiques ». En effet, en tant qu'associations à but non lucratif (régies par la loi de 1901, ou de 1908 en Alsace-Moselle), il ne s'agit pas d'établissements publics mais d'organismes de droit privé, qui assurent néanmoins des missions de service public. De même, bien que les structures labellisées FRAC n'aient pas le statut de musées, et qu'elles ne soient donc en principe pas soumis à l'interdiction d'aliéner les œuvres de leurs collections, le ministère de la Culture a décidé que cela leur était impossible, au motif que ces œuvres avaient été acquises grâce à des fonds publics.

En 2010, le budget global des structures labellisées FRAC correspond à 24 millions d'euros (État et régions).[réf. nécessaire]

Les procédures d'acquisition des œuvres ont parfois été critiquées: la composition des comité d’acquisition n'est souvent pas détaillée, empêchant de contrôler l'absence de conflits d'intérêts dans les achats. Les critères des choix d'acquisition ne sont pas rendus publics. Sous prétexte de secret commercial, le prix n'est presque jamais communiqué sauf quelques exceptions. Autre critique de fond, dans toutes les régions, « le poids du budget de fonctionnement est en train de l’emporter très largement sur l’investissement »[15].

L'ancien ministre de l'Éducation nationale Luc Ferry est extrêmement sévère vis-à-vis des FRAC, institution selon lui, « plébiscitée par les artistes sans art et sans talent » permettant « d'écouler leurs productions indigentes aux frais du contribuable »[16].

Bernard de Montferrand, président du Frac Aquitaine et de Platform, le Regroupement des Frac, a répondu à cette critique tout d'abord dans la défense de l'art contemporain qui permet de « garder vivante cette flamme de l'esprit de recherche et de curiosité » avant de revenir sur le bilan sans appel des Frac qui « accomplissent une mission de service public de soutien à la création, de démocratisation et de décentralisation culturelle et le font avec un respect scrupuleux des deniers publics »[17].

Déclassification et cession des biens relevant des FRAC[modifier | modifier le code]

La loi du 4 mai 2010, concernant la restitution par la France des têtes maories à la Nouvelle-Zélande et relative à la gestion des collections, autorise dans son article 2 le déclassement et la cession des collections ou partie d'entre elles des FRAC, du FNAC ou de collections confiées à la garde du Centre national des arts plastiques à l'exception des archives et des bibliothèques[18].

Les 22 structures labellisées Fonds régional d'art contemporain[modifier | modifier le code]

Le nombre d'œuvres et d'artistes peut varier d'une année sur l'autre en fonction des dépôts du Centre national des arts plastiques, de même qu'entre le portail des 22 structures labellisées FRAC et ceux particuliers à chaque Frac, selon leurs dates de mise à jour[19].

Région Ville Nom Création Œuvres Artistes
Auvergne-Rhône Alpes Clermont-Ferrand Frac Auvergne 1985 446 260 [20]
Auvergne-Rhône-Alpes Villeurbanne Institut d'art contemporain, Villeurbanne / Rhône-Alpes 1982 1896 813 [21]
Bourgogne-Franche-Comté Besançon Frac Franche-Comté 1982 661 337 [22]
Bourgogne-Franche-Comté Dijon Frac Bourgogne 1982 686 269 [23]
Bretagne Rennes Frac Bretagne 1982 3928 496 [24]
Centre-Val de Loire Orléans Frac Centre-Val de Loire 1982 13424 391 [25]
Corse Corte Frac Corsica 1986 386 254 [26]
Grand Est Metz 49 Nord 6 Est - Frac Lorraine 1983 729 277 [27]
Grand Est Reims Frac Champagne-Ardenne 1984 680 243 [28]
Grand Est Sélestat Frac Alsace 1982 1357 489 [29]
Hauts-de-France Amiens Frac Picardie 1983 1538 223 [30]
Hauts-de-France Dunkerque Frac Grand-Large-Hauts-de-France 1983 1272 512 [31]
Île-de-France Paris, 19e arrondissement Le Plateau / Frac Ile-de-France 1983 1347 552 [32]
Normandie Caen & Sotteville-lès-Rouen Frac Normandie 1983 4237 121 [33]
Nouvelle-Aquitaine Angoulême Frac Poitou-Charentes 1983 761 358 [34]
Nouvelle-Aquitaine Bordeaux Frac Aquitaine 1982 1212 421 [35]
Nouvelle-Aquitaine Limoges Frac-Arthotèque du Limousin 1982 2539 409 [36]
Occitanie Montpellier Frac Occitanie Montpellier 1982 1314 502 [37]
Occitanie Toulouse Les Abattoirs Musée-Frac Occitanie Toulouse 1984[38] 2332 701 [39]
Pays de la Loire Carquefou Frac des Pays de la Loire 1982 1745 593 [40]
Provence-Alpes-Côte d'Azur Marseille Frac Sud - Cité de l'art contemporain 1982 1508 698 [41]
La Réunion Saint-Leu Frac Réunion 1986 355 122 [42]
Total

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Article R116-2 - Code du patrimoine - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  2. Décret n° 2017-432 du 28 mars 2017 relatif aux labels et au conventionnement dans les domaines du spectacle vivant et des arts plastiques, (lire en ligne)
  3. Arrêté du 5 mai 2017 fixant le cahier des missions et des charges relatif au label « Fonds régional d'art contemporain » (lire en ligne)
  4. « LIVRE VII : DISPOSITIONS RELATIVES À L'OUTRE-MER (Articles R710-1 à R790-19) - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  5. Ministère de la Culture et de la Communication.
  6. « Article 117 - LOI n° 2016-925 du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine (1) - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  7. Ève Chiapello, Artistes versus managers : Le management culturel face à la critique artiste, Paris, Métailié, coll. « Leçons de choses », , 257 p. (ISBN 2-86424-285-0), p. 207–208.
  8. Hortense Volle, La promotion de l'art africain contemporain et les N.T.I.C., Paris/Budapest/Torino, L'Harmattan, coll. « Les arts d'ailleurs », , 197 p. (ISBN 2-7475-7885-2), p. 81.
  9. a b et c www.frac-platform.com
  10. site Les collections des Frac
  11. Les collections des fonds régionaux d'art contemporain, site lescollectionsdesfrac.fr.
  12. « Qu'est-ce qu'un Frac? », sur www.frac-platform.com (consulté le ).
  13. Première construction pour une collection nomade : l'architecture du Fonds régional d'art contemporain des Pays de la Loire, 2000-2012, Carquefou, Frac des Pays de la Loire, , 119 p. (ISBN 978-2-917855-40-9).
  14. Jacques Rigaud, « Réflexion sur la possibilité pour les opérateurs publics d'aliéner des œuvres de leurs collections », 2008, sur le site du ministère de la Culture, 3e partie, II.4, p. 42.
  15. Art contemporain des collections publiques à fonds perdus, Société Civile, no 134, avril 2013.
  16. Fric-frac : des impostures de l'art contemporain, Luc Ferry, lefigaro.fr, 15 mai 2013.
  17. La noble tâche des Fonds régionaux d'art contemporain, Bernard de Montferrand, lefigaro.fr, 20 juin 2013.
  18. Texte adopté no 455, Assemblée nationale, session ordinaire 2009-2010 du 4 mai 2010.
  19. « Les Collections des FRAC », sur www.lescollectionsdesfrac.fr (consulté le ).
  20. Collection FRAC Auvergne, consulté le 22 mai 2011.
  21. « La collection de l'IAC, sur Navigart, au 26 mars 2017. », sur www.navigart.fr (consulté le ).
  22. frac Franche-Comté, « frac Franche-Comté », sur Navigart.fr, (consulté le ).
  23. « Née dans l'Hexagone - DijonArt.com », sur www.dijonart.com (consulté le ).
  24. Collection du Frac Bretagne, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  25. Collection du Frac Centre.
  26. Collection du Frac Corse, sur Navigart, au 27 janvier 2019.
  27. Collection du FRAC Lorraine.
  28. Collection du Frac Champagne-Ardenne, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  29. Collection du Frac Alsace, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  30. Collection du Frac Picardie, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  31. Collection du Frac Nord-Pas-de-Calais, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  32. Collection du Frac Île-de-France, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  33. Frac Normandie, « Frac Normandie », sur Navigart.fr, (consulté le )
  34. « Rechercher et voir les oeuvres », sur www.lescollectionsdesfrac.fr (consulté le ).
  35. « La collection du Frac Aquitaine, sur Navigart, au 1er janvier 2019. », sur www.navigart.fr (consulté le ).
  36. Collection du Frac Limousin, sur Videomuseum, au 9 février 2020.
  37. Collection du Frac Languedoc-Roussillon, sur Navigart, au 11 février 2022.
  38. Labellisation Fonds régional d'art contemporain en 1984. Fusion en 2000 avec le Musée d'art moderne de Toulouse au sein de la nouvelle structure des Abattoirs. Labellisation Musée de France en 2002 (loi relative aux Musées de France du 4 janvier 2002).
  39. Collection du Frac Midi-Pyrénées / Les Abattoirs, sur Navigart, au 26 mars 2017.
  40. « La collection du Frac Pays de la Loire, sur Navigart, au 1er janvier 2019. », sur www.navigart.fr (consulté le ).
  41. FRAC PACA, « Rapport d'activité 2021 » [PDF], sur www.frac-provence-alpes-cotedazur.org, (consulté le ).
  42. « Rechercher et voir les oeuvres », sur www.lescollectionsdesfrac.fr (consulté le ).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Yves-Michel Bernard, Origine et création des Fonds régionaux d'art contemporain : les années militantes, 1981-1986, Saint-Denis, Ter'la, , 255 p. (ISBN 979-10-94352-03-8, lire en ligne).
  • Philippe Urfalino et Catherine Vilkas, Les Fonds régionaux d'art contemporain : La délégation du jugement esthétique, Paris, L'Harmattan, coll. « Logiques politiques », , 204 p. (ISBN 2-7384-3984-5).
  • collectif, Les Pléiades, 30 ans de création dans les fonds régionaux d’art contemporain, Flammarion, 256 pages.
  • Aude de Kerros, Marie Sallantin et Pierre-Marie Ziegler, 1983-2013, années noires de la peinture, Pierre-Guillaume de Roux, 210 pages.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]