Famille de Gontaut — Wikipédia

Famille de Gontaut
Image illustrative de l’article Famille de Gontaut
Armes

Blasonnement Écartelé d'or et de gueules, l'écu en bannière.[1],[2]
Devise Perit sed in armis (Mourir mais avec les armes)
Lignées Badefol et Saint-Geniès
Hautefort
Biron
Branches Saint-Geniès
Cabrères et Gramat
Hautefort
Amos et Salignac
Saint-Blancard et Biron
Période XIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Périgord
Fiefs tenus Biron
Montferrand
Demeures Château de Hautefort
Château de Biron
Château de Saint-Blancard
Château de Montferrand
Charges 2 ambassadeurs du roi,
6 pairs de France,
conseiller d'Etat,
député aux Etats Généraux,
sénateur,
député,
gouvernante des Enfants de France (1826),
chambellan de Napoléon Ier
Fonctions militaires 4 maréchaux de France,
amiral de France,
11 lieutenants généraux,
lieutenant général des armées navales,
grand maître de l'artillerie de France,
brigadier des armées du roi,
gouverneur de Guise,
gouverneur de Saint-Malo
Fonctions ecclésiastiques archevêque, évêque
Récompenses civiles 6 chevaliers de l'Ordre du Saint-Esprit[3],
commandeur de la Légion d'honneur
Récompenses militaires Grand-croix de la Légion d'honneur,
Commandeur de l'ordre de Saint-Louis
Grand-croix de l'Ordre de Saint-Louis[3]
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 1779

La famille de Gontaut est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction chevaleresque, originaire du Périgord[4]. Elle donna quatre maréchaux de France, un amiral de France, onze lieutenants généraux, un lieutenant général des armées navales, des archevêques et évêques, des conseillers d'État, des ambassadeurs et six pairs de France.

Histoire[modifier | modifier le code]

La maison de Gontaut parait avoir tiré son nom de la ville et baronnie de Gontaut ou Gontaud, dans l'ancienne sénéchaussée d'Agen[5].

Elle est citée pour la première fois en 926[6]. La maison de Gontaut prouve sa filiation depuis 1147, année du décès de Vital de Gontaut[4]. Son fils Gaston de Gontaut, seigneur de Badefol, épouse la fille de Guillaume de Biron, dont les terres sont situées en Dordogne.

La châtellenie de Biron était l'une des quatre baronnies du Périgord, érigée deux fois en duché : de 1598 à 1602 et de 1723 à 1798.

De la branche des Guillaume est aussi issue la branche de Biron de Lieutadès que l'on trouve dans le Cantal, par le chevalier Jean de Biron et son fils Guillaume en 1326[7].

Au XVIIIe siècle, la maison de Gontaut fut admise douze fois aux Honneurs de la Cour et sa branche de Hautefort sept fois[8]. La branche de Gontaut, seule subsistante au XXIe siècle, a été admise dès 1934 à l'Association d'entraide de la Noblesse française.

Souche commune[modifier | modifier le code]

  • Gontaldus de Gontaut, cité en 926[9]
  • Vital de Gontaut, son fils, mentionné dans un titre de l'abbaye de Cadouin en 1124
  • jusqu'en 1154 Gaston Ier de Gontaut (+1154), seigneur de Biron et de Badefol (on prononce Badefou[9]), son fils
  • 1154 à 1236 Henri Ier de Gontaut, son fils
  • 1236 à 1251 Gaston II de Gontaut (+1251), son fils
Blason de la branche de Saint-Geniès

Lignée de Badefol et de Saint-Geniès (éteinte)[modifier | modifier le code]

La lignée de Badefol et de Saint-Geniès, dont la filiation prouvée commence en 1423, date du testament de Pierre de Gontaut, seigneur de Badefol et de Saint-Geniez (ou Saint-Geniès), marié avec Jeanne de Bourdeilles. Elle prit le titre de comte de Gontaut Saint-Genièz.

Cette branche s'est éteinte au XIXe siècle.

Lignée de Hautefort (éteinte en 1903)[modifier | modifier le code]

La lignée de Hautefort[10],[11] est une lignée ancienne de la famille de Gontaut[12].

« Cette antique maison sortie de la branche de Badefol est connue depuis Pierre de Gontaut, co-seigneur de Badefol, allié en 1303 à Marguerite de Faye de Born »[13].

La branche de Hautefort commence avec le mariage en 1388 d'Hélie de Gontaut (mort en 1420), fils de Séguin Gontaut, seigneur de Badefol (mort en 1371) et de Marguerite de Bérail (née en 1305), avec Mathe de Born, fille de Bertrand de Born et d'Alix de Calvignac, qui lui apporte la châtellenie de Hautefort dont cette branche prend le nom. Leurs enfants écartèleront les armes des Gontaut avec celles des Hautefort[14].

En juin 1364, Charles Le Mauvais, Roi de Navarre, tenta d'obtenir le soutien de Séguin de Gontaut pour faire la guerre au Roi de France, Charles V. Séguin de Gontaut exigeant des garanties financières intenables pour le Roi de Navarre, ce dernier empoisonna Séguin de Gontaut à sa table[15].

La châtellenie d'Hautefort est érigée en marquisat en 1614 au profit de François de Hautefort (1548-1640), comte de Montignac, seigneur de Thénon, la Mothe, la Borie, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, conseiller aux conseils d'état et privé.

Son petit-fils, Jacques François de Hautefort, deuxième marquis de Hautefort, fait construire, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, l'actuel château de Hautefort et meurt sans postérité. Sa sœur, Marie de Hautefort, maréchale et duchesse de Schomberg, est favorite du Roi Louis XIII.

Au milieu du XVIIe siècle, le mariage de leur frère, Gilles de Hautefort avec Marthe d'Estourmel fait entrer dans la famille la terre de Champien, en Picardie, et un ensemble de seigneuries aux alentours[16]. Leurs descendants se succèdent au château de Hautefort jusqu'en 1890 et au château de Champien[17] jusqu'en 1877.

Leur fils, autre Gilles de Hautefort (1666-1727) est lieutenant-général des armées navales, commandeur de

l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

De 1750 à 1753, son neveu, Emmanuel Dieudonné de Hautefort, 5e marquis de Hautefort, est ambassadeur du Roi Louis XV auprès de la Cour d'Autriche.

A partir de 1816, Adélaïde de Maillé de la Tour Landry (18 décembre 1787 - Paris 7e, 17 avril 1873), mariée en 1805 avec Jean-Louis Gustave, comte de Hautefort (mort le 12 mai 1850), officier supérieur des gardes du corps, gentilhomme de la chambre du Roi, officier de la Légion d'honneur, est dame de compagnie de la duchesse de Berry, jusqu'au départ de celle-ci pour Palerme, en juin 1833[18].

La famille de Hautefort compta aussi plusieurs branches cadettes, toutes éteintes[19].

Le dernier marquis de Hautefort, Armand Alexandre Emmanuel d'Hautefort, meurt en 1903. Il était général de brigade, commandeur de la Légion d'honneur et de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand. Il n'eut qu'une seule fille morte à 27 ans. En 1890 Gabrielle de Hautefort, dernière de cette branche, épouse Fernand Stoffels, qui est autorisé en 1892 par décret présidentiel à prendre le nom "Stoffels d'Hautefort"[20].

Armoiries[modifier | modifier le code]

Les anciennes armes de cette famille étaient celles des Gontaut : écartelé d'or et de gueules (écu en bannière).

La descendance d'Hélie de Gontaut et de Mathe de Born écartela les armes des Gontaut avec celles des Hautefort[21] : d'or à 3 forces de sable(écu en bannière). Leur postérité substitua par la suite ses noms et armes à ceux de Hautefort (écu également en bannière).

Titres[modifier | modifier le code]

Lignée de Biron[modifier | modifier le code]

Branche aînée (éteinte en 1798)[modifier | modifier le code]

  • 1236 à 1251 Gaston II de Gontaut (+1251)
  • 1251 à 1297 Gaston III de Gontaut (+1297), son fils
  • 1297 à 1344 Pierre Ier de Gontaut (+1344), son fils
  • 1344 à 1350 Pierre II de Gontaut (+1350), son fils
  • 1350 à 1369 Pierre III de Gontaut, son fils
  • 1369 à 1394 Gaston IV de Gontaut (+1394), son frère
  • 1394 à 1399 Amalric de Gontaut (+1399), son fils
  • 1399 à 1460 Gaston V de Gontaut, son frère
  • 1460 à 1481 Gaston VI de Gontaut (1414-1481), son fils
  • 1481 à 1524 Pons de Gontaut (+1524), son fils
  • 1524 à 1557 Jean Ier de Gontaut (1502-1557), son fils
  • 1557 à 1592 Armand Ier de Gontaut (1524-1592), maréchal de France, Grand Maître de l'Artillerie de France, son fils
  • 1592 à 1602 Charles de Gontaut (1562-1602), son fils, 1er duc de Biron, maréchal de France, célèbre par l'amitié que lui portait Henri IV et par sa trahison
  • 1602 à 1636 Jean II de Gontaut (+1636), marquis de Biron, son frère
  • en 1636 Henri-Charles de Gontaut (1620-1636), marquis de Biron, son fils
  • 1636 à 1700 François Ier de Gontaut (1629-1700), marquis de Biron, son frère
  • 1700 à 1733 Charles-Armand de Gontaut-Biron (1663-1756), 2e duc de Biron, maréchal de France, son fils
  • 1733 à 1736 François-Armand de Gontaut (1689-1736), 3e duc de Biron, son fils
  • 1736 à 1739 Antoine-Charles de Gontaut (1717-1739), 4e duc de Biron, son fils
  • en 1739 Jean-Louis de Gontaut (1692-1772), 5e duc de Biron, abbé de Moissac, son oncle
  • 1739 à 1788 Louis-Antoine de Gontaut (1701-1788), 6e duc de Biron, maréchal de France et colonel du régiment des Gardes-Françaises, son frère
  • en 1788 Charles-Antoine de Gontaut (1708-1798), 7e duc de Biron, 1re duc de Gontaut en 1758, son frère
  • 1788 à 1793 Armand-Louis de Gontaut Biron (1747-1793), 8e duc de Biron, duc de Lauzun, général, son fils
  • 1793 à 1798 Charles-Antoine, duc de Gontaut, redevient héritier du titre à la mort de son fils.

Branche cadette de Saint-Blancard (subsistante)[modifier | modifier le code]

  • 1798 à 1817 Jean Armand-Louis-Alexandre de Gontaut (1746-1826), marquis de Saint-Blancard, puis de Biron, comte de l'Empire par lettres patentes du , son cousin descendant d'Armand Ier de Gontaut-Biron (1524-1592) ; en , Joséphine de Montaut, alors veuve de son frère Charles-Michel de Gontaut-Biron (1751-1826), gouvernante du duc de Bordeaux et de sa sœur, Louise d'Artois, reçut du roi Charles X le titre personnel de duchesse de Gontaut. Elle ne laissa que deux filles ;
  • 1817 à 1851 Armand II de Gontaut (1771-1851), marquis de Saint-Blancard et de Biron, marquis-pair héréditaire par ordonnance du roi Louis XVIII, le [23], son fils
  • 1851 à 1883 Henri II de Gontaut (1802-1883), marquis de Saint-Blancard et de Biron dit marquis de Biron, son fils
  • 1883 à 1939 Guillaume de Gontaut (1859-1939), marquis de Saint-Blancard et de Biron dit le marquis de Biron, son neveu (dernier possesseur du château de Biron)
  • 1939 à 1970 Armand III de Gontaut (1893-1970), marquis de Saint-Blancard et de Biron, son cousin
  • 1970 à 1985 Arnaud de Gontaut (1897-1985), marquis de Saint-Blancard et de Biron dit marquis de Gontaut-Biron, son frère
  • 1985 à 2015 François II de Gontaut, (1927-2015), marquis de Saint-Blancard et de Biron dit marquis de Gontaut-Biron, son fils ;
  • depuis 2015, Anne-Charles de Gontaut, né en 1963, marquis de Saint-Blancard et de Biron, dit marquis de Gontaut-Biron, son fils.

Personnalités[modifier | modifier le code]


Principaux titres[modifier | modifier le code]

Branche aînée (éteinte en 1798)[modifier | modifier le code]
  • baron de Biron (depuis le XIIe siècle)
  • 1er baron du Périgord (depuis le XIIe siècle)
  • ducs de Biron (de 1598 à 1602 et 1723 à 1793)
  • ducs de Gontaut (de 1758 à 1798)
  • ducs de Lauzun (de 1766 à 1793)
  • marquis de Brizembourg
  • marquis de Moy
  • marquis de Lanzac
  • marquis de Chateauneuf ; etc.
Branche cadette (subsistante)[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, , 204 p. (ISBN 2-86377-140-X)
  2. Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
  3. a et b Théophraste Renaudot, Gazette de France, 1767, volume 2, page 219 à 221
  4. a et b Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, volume 4, page 178
  5. Louis de La Roque, Bulletin de la société héraldique et généalogique de France, 1878, page 659.
  6. sur un acte de donation à l’évêque de Carcassonne, et dans les chartes
    Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, volume 4, page 178
  7. Actes royaux du Poitou CXXI CXXII, fol. 255, t.1 (1302-1333)
  8. François Bluche, Les honneurs de la Cour, tome II, Paris, Les Cahiers nobles n° 11,
  9. a et b J.-B. de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume, et des Maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la Maison de France, 1822, volume 2
  10. Ludovic Lalanne, Dictionnaire historique de la France, Hachette, 1872
  11. J.-B. de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, desgrands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume, et des Maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la Maison de France, 1826, volume 7, page 68.
  12. [Marie de Cumont], Généalogie de la Maison d'Hautefort, Niort, L. Clouzot, , 246 p. (lire en ligne), p. 77-87
  13. Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, volume 4, page 281
  14. Simon Arbello, Hautefort : notice historique et descriptive, Monographies des châteaux de France, A. Barry, 1962, page 6
  15. Georges Martin, Histoire et généalogie des Maisons de Gontaut Biron et d'Hautefort, Lyon, l'auteur, , 251 p., p. 112
  16. [Marie de Cumont], Généalogie de la Maison d'Hautefort, Niort, L. Clouzot, , 246 p. (lire en ligne), p. 149-150
  17. CH. Duhamel-Decéjean, La Picardie historique et monumentale, tome 2, arrondissement de Montdidier, canton de Roye, Amiens & Paris, Yvert & Tellier et Picard, 1900-1903 (lire en ligne), p. 158-160
  18. F. Uzureau, « La duchesse de Berry à Blaye - Journal de la comtesse d'Hautefort, sa compagne de captivité », Revue historique de la Révolution française,‎ , p. 5-50 (lire en ligne)
  19. Georges Martin, Histoire et généalogie des Maisons de Gontaut Biron et d'Hautefort, Lyon, l'auteur, , 251 p., p. 157-192
  20. Nicolas-Philippe Piot, "Noms-dits..." (Philippe du Puy éditeur, Paris, 2009)
  21. Simon Arbellot, Hautefort: notice historique et descriptive Monographies des châteaux de France, A. Barry, 1962
  22. Georges Martin, Histoire et généalogie des Maisons de Gontaut-Biron et d'Hautefort, Lyon, l'auteur, , 251 p., p. 125-201
  23. Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, tome 3, Paris, Librairie Honoré Champion, rééd. 1974 (lire en ligne), p. 195-199.
  24. Vicomte Albert Révérend, Titres, anoblissements et pairies de la Restauration, tome 3, Paris, Librairie Honoré champion, rééd. 1974 (lire en ligne), p. 199-200
  25. Georges Martin, Histoire et généalogie des Maisons de Gontaut-Biron et d'Hautefort, Lyon, l'auteur, , 251 p., p. 17-124

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Théophraste Renaudot, Gazette de France, 1767, volume 2, page 219 à 221
  • Dictionnaire de la Noblesse François-Alexandre Aubert de La Chenaye-Desbois, tome VII, Paris, 1774. Google Livres
  • Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume, et des Maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la Maison de France, 1822 (vol.2) et 1826 (vol. 7), page 68, lire en ligne
  • Ludovic Lalanne, Dictionnaire historique de la France, Hachette, 1872
  • Abbé Goustat, « De la sépulture des Gontauts-Biron à Cadouin, à Biron et Badefol », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1882, tome 9, p. 139-162 (lire en ligne)
  • [Marie de Cumont], Généalogie de la Maison d'Hautefort, en Périgord, Limousin, Picardie et Vivarais, 1898, Niort, L. Clouzot, 246 pages, lire en ligne ;
  • J. du Teilhet de Lamotte, Jean-Baptiste Champeval, Correspondance de François Marie d'Hautefort et de Marie-Françoise de Pompadour, marquis et marquise de Pompadour, avec Messieurs, Maitres Pierre et François de Bigorie, leurs agents d'affaires en Limousin, 1684 à 1695 - 1716 à 1747, 1905, Bruxelles, H. Lamertin, 511 pages, lire en ligne ;
  • R. Villepelet, « Cinq seigneuries périgourdines de la famille de Gontaut-Biron au XVIIIe siècle », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1939, tome 66, p. 582-589 (lire en ligne)
  • Simon Arbellot, Hautefort: notice historique et descriptive, Monographies des châteaux de France, A. Barry, 1962
  • Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, volume 4, 1949, pages 178-179 et 281-282 ;
  • Georges Martin, Histoire et généalogie des Maisons de Gontaut-Biron et d'Hautefort, 1995, Lyon, l'auteur, 251 p. ;
  • Élisée Cérou, Bernard Carpentier, Biron, dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, no 14, 2005, p. 1-55 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]