Fédération française de rugby — Wikipédia

Fédération française de rugby
Image illustrative de l’article Fédération française de rugby

Sigle FFR
Sport(s) représenté(s) Rugby à XV
Rugby à sept
Création
Président Florian Grill
Siège 3-5, rue Jean-de-Montaigu
91 460 Marcoussis
Affiliation World Rugby
Clubs 1 922[F 1]
Licenciés 281 554 (chiffres FFR)[F 1]
191 126 (chiffres World Rugby, en 2021)[1]
Site internet www.ffr.fr

La Fédération française de rugby (FFR) est une association qui a la charge d'organiser et de développer le rugby à XV et le rugby à sept en France.

Depuis 2010, son siège social est situé au Centre national du rugby (3-5, rue Jean de Montaigu à Marcoussis). Son président est Florian Grill depuis le .

Historique[modifier | modifier le code]

Création[modifier | modifier le code]

Le Comité central d'organisation du rugby est fondé le , en prenant la suite du comité rugby de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) (dont les maillots de sélection nationale étaient jusqu'alors ornés de deux anneaux, rouge et bleu, entrelacés, de 1906 à 1910). Il adopte le nom de Fédération française de rugby le , le lendemain de la victoire française de Colombes sur les champions olympiques américains.

La Fédération française de rugby a été reconnue d'utilité publique en 1922. Il faut attendre près de 58 ans pour que la FFR soit définitivement admise à l'IRB en 1978 auprès des Home Unions de traditions anglo-saxonnes.

Le , la FFR devient la première fédération sportive française à inclure les personnes transgenres dans son règlement et à leur permettre de jouer lors des compétitions officielles. Cette décision est prise à l'occasion de la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie[2].

Siège[modifier | modifier le code]

Le 9 rue de Liège, siège de la FFR de 1995 à 2010.

Lors de sa fondation en 1920, la FFR occupe des locaux rue Rossini, dans le 9e arrondissement de Paris, proche de l'Hôtel des ventes à Drouot, avant de déménager deux ans plus tard pour s'installer au 61, rue des Petits-Champs, dans le 1er arrondissement de Paris[F 2].

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la FFR s'installe au 7, cité d'Antin. C'est dans cet hôtel particulier du 9e arrondissement qu'Albert Ferrasse règne sur le rugby français durant tout le temps qu'il passe à la tête de la FFR (juin 1968 à décembre 1991)[F 2].

En 1995, l'avènement du professionnalisme entraîne le déménagement de la FFR. L'homme d'affaires Jean-Claude Darmon, propriétaire d'un hôtel dans le même arrondissement, rue de Liège, et alors chargé de la communication et des droits télé du rugby français, lui trouve un joli immeuble, au 9 de la rue de Liège, entre la Gare Saint-Lazare et la Place de Clichy[F 2].

En 2010, la FFR abandonne ce siège au 9e arrondissement de Paris, pour regrouper ces activités administratives et sportives au Centre national du rugby, 3-5, rue Jean-de-Montaigu à Marcoussis[3].

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Fédération française de rugby hôte de la Coupe du monde de rugby à XV 2007

Lors de son congrès du centenaire, la FFR dévoile son nouveau logo à compter du , décliné en deux versions : le premier à caractère institutionnel pour représenter la fédération, ainsi qu'un second utilisé à des fins de communications commerciales ainsi que pour symboliser les différentes équipes nationales[4].

Dirigeants de la FFR[modifier | modifier le code]

Élections successives[modifier | modifier le code]

De Frantz Reichel à Jean Delbert[modifier | modifier le code]

Octave Léry, premier président de la FFR.

En 1919, au lendemain de la Première Guerre mondiale, Frantz Reichel prend la direction du Comité central d'organisation du rugby, dissident de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques et proclamé indépendant le , pour aider à l'émancipation de son sport[F 2].

Frantz Reichel ne se présente pas à la première élection présidentielle de la FFR, le mardi . Il laisse le vétérinaire toulousain Octave Léry, ancien joueur du Stade toulousain et président du Comité des Pyrénées, se faire élire dans un fauteuil[F 2].

En 1928, après huit ans de bons et loyaux services, Octave Léry passe la main. La succession est assurée par Roger Dantou, fondateur du comité du Périgord. C'est au cours de sa présidence (1928-1939) que l'International Board exclut la France du Tournoi. La maladie emporte Roger Dantou en 1939[F 2].

Il est remplacé par un urologue toulousain, Albert Ginesty, maire éphémère de Toulouse en 1944, juste après qu'il a démissionné de son poste à la tête de la Fédération[F 2]. C'est alors un ancien du SCUF, Alfred Eluère, vice-champion olympique avec l'équipe de France aux Jeux d'Anvers 1920, qui prend la relève. Promoteur immobilier à Soorts-Hossegor, il assure le développement de la station balnéaire landaise dont il sera le maire pendant plus de trente ans[F 2].

Son successeur, René Crabos, faisait partie lui aussi de l'équipe française médaillée d'argent aux JO d'Anvers. Crabos est un théoricien du jeu, à qui l'on doit notamment la technique de la défense glissée[F 2]. Avant d'accéder à la présidence, René Crabos est un brillant trois-quarts centre international (17 sélections)[F 2]. À la tête de la FFR, on lui doit la sélection de toute la ligne de trois-quarts lourdaise en équipe de France et le rappel du deuxième ligne et capitaine de Mazamet, Lucien Mias, pour la tournée historique en Afrique du Sud de 1958[F 2].

Après dix ans de règne, René Crabos passe la main. Le président du Comité des Pyrénées, Jean Delbert, lui succède pendant quatre ans. Le temps pour un groupe de jeunes dirigeants ambitieux, réunis autour du président agenais, Albert Ferrasse, de former une liste d'opposition. Le Congrès de Clermont-Ferrand 1966 lui est fatal, il est désavoué par le comité directeur qui nomme le Graulhétois Marcel Batigne à sa place[F 2].

Présidence de Marcel Batigne puis d'Albert Ferrasse[modifier | modifier le code]

Albert Ferrasse, président de la FFR de 1968 à 1991.

Marcel Batigne est élu à la tête de la FFR, le , au terme du congrès de Clermont-Ferrand, en remplacement de Jean Delbert. Il arrive au pouvoir avec les « gros pardessus », Guy Basquet et Albert Ferrasse à qui il laissera la présidence un an plus tard pour prendre celle de la FIRA[5].

A soixante-treize ans, Albert Ferrasse est réélu pour la 7e fois président de la FFR, le samedi 13 avril 1991, à Paris, à l'issue d'une assemblée générale destinée à élire les trente-cinq membres d'un nouveau comité directeur de la FFR. La liste conduite par l'Agenais en association avec Jean Fabre, l'ancien président du Stade toulousain, a remporté vingt-quatre sièges contre onze à celle emmenée par Robert Paparemborde, le manager général du Racing club de France. Président depuis 1968, Albert Ferrasse se voit donc offrir un septième mandat. Comme convenu, il s'est engagé à céder la place à Jean Fabre à la fin de l'année[6].

Élection surprise de Bernard Lapasset[modifier | modifier le code]

En décembre 1991, Albert Ferrasse quitte donc la présidence et le comité directeur doit élire le nouveau président. Jean Fabre, successeur naturel de Ferrasse propose un vote à main levée. Le comité directeur lui refuse. Aucun autre candidat que Fabre ne se présente. Après un vote secret, le nom de Bernard Lapasset, président du comité d'Île-de-France, sort vainqueur. Les listes de Ferrasse et Paparemborde ont fait alliance contre Jean Fabre. Fabre démissionne sur le champ, imité par Max Guibert et Michel Crauste qui le soutenaient[7].

De 1995 à 2016 : élections sans liste d'opposition[modifier | modifier le code]

Bernard Lapasset est réélu le samedi 14 septembre 1995 au stade Géo-André à Paris avec 95,17 % des votes[8] puis de nouveau le 14 décembre 1996 à la Maison de la chimie à Paris avec 91,58 % des 7 414 voix (sur 9 422 inscrits) à la suite du retrait de la liste « rugby pour tous » menée par Marcel Martin, en raison d'un référé jugé « irrecevable »[9].

En 1998, la FFR est ensuite contraint de revoir le mode de scrutin pour les élections fédérales. Le scrutin plurinominal avec possibilité de panachage succède au système dit des "listes bloquées". Cette modification permet l'existence d'une opposition au sein du comité directeur de la FFR, voire l'émergence d'une nouvelle majorité[10]. Il faudra cependant attendre jusqu'en 2016 pour voir plusieurs listes s'affronter aux élections fédérales et ainsi permettre un panachage au sein du comité directeur.

En 2000, Jacques Fouroux et Robert Paparemborde tentent de monter une liste d'opposition à l'équipe en place[11],[12] mais se retirent finalement laissant Lapasset gagner l'élection avec 98 % des suffrages[13]. Le bureau est néanmoins renouvelé : le secrétaire général Jacques Laurans laisse sa place à Alain Doucet et René Hourquet remplace le trésorier Jacques Dubois[14].

Bernard Lapasset reste ainsi 17 ans à la présidence avant de démissionner en juillet 2008 pour prendre ses fonctions de président de l'International Rugby Board. Il remet sa démission à l'assemblée générale de Vannes, le 12 juillet 2008[15].

Le , Pierre Camou succède en effet à Bernard Lapasset, élu par le Comité Directeur à l’unanimité (94,70 % des voix), alors qu’il occupait déjà ses fonctions de président par intérim (après le départ de Lapasset à la présidence de l’IRB). Pierre Camou a été auparavant président du comité Côte basque Landes de 1996 à 2008, trésorier-adjoint de la FFR de 1996 à 2000 puis vice-président de 2000 à juillet 2008, responsable du Centre national du rugby de Linas-Marcoussis[15]. Le , sa réélection constitue un nouveau cavalier seul (89,76 % des voix). Serge Blanco devient alors le vice-président de la FFR.

Les deux mandats de Pierre Camou sont marqués par la croissance du rugby hexagonal : + 10 % de clubs, + 24 % de licenciés masculins et surtout + 102 % de licenciées féminines. Pierre Camou œuvre en gestionnaire d’une entreprise lucrative, la FFR se hissant parmi les plus riches fédérations sportives françaises[16].

Élection fédérale de 2016[modifier | modifier le code]

Le , Bernard Laporte annonce sa candidature pour l'élection du président de la FFR en , et choisit Serge Simon comme directeur de campagne[17]. Pierre Camou annonce en décembre 2015 qu'il est de nouveau candidat pour la présidence de la FFR, pour un troisième mandat[18]. Alain Doucet, secrétaire général de la FFR, est lui aussi candidat à la présidence[19]. Pierre Salviac, initialement candidat, retire sa candidature le 23 septembre 2016[20]. Les candidats Laporte et Doucet demandent le vote décentralisé afin que les présidents n'aient pas à se déplacer au Centre national du rugby pour voter[16]. Cependant, l'équipe en place refuse de le mettre en place.

Pierre Camou souhaite poursuivre le projet de grand stade de la Fédération française de rugby à XV tandis que ses opposants y sont tous les deux opposés[16].

Lors de l'assemblée générale élective du , la liste menée par Bernard Laporte obtient 52,6 % des voix, soit 29 sièges, contre 35,28 % des voix pour Pierre Camou (6 sièges) et 12,16 % pour Alain Doucet (2 sièges). Bernard Laporte est élu à la présidence de la FFR[21]. Serge Simon est alors nommé premier vice-président, manager des équipes de France et chargé la communication et du marketing[22]. Pascal Papé, Philippe Rougé-Thomas, Fabrice Estebanez, Bernard Viviès, Annick Hayraud, Pierre Camou, Serge Blanco, Sandrine Agricole, Fabien Pelous et Alain Doucet sont également membres du nouveau comité directeur[21].

Réélection puis démission de Bernard Laporte[modifier | modifier le code]

En 2019, Florian Grill, ancien soutien de Pierre Camou et président de la ligue régionale Île-de-France de rugby, présente sa candidature à la présidence de la fédération face à Bernard Laporte pour l'élection qui a lieu le [23]. Il est le premier à dévoiler sa liste complète. Jean-Marc Lhermet, Jean-Claude Skrela, Serge Blanco, Éric Champ, Sylvain Deroeux, Fabien Pelous, Abdelatif Benazzi, Julien Pierre, Didier Mené et Jean-François Contant, président de la ligue régionale Bourgogne-Franche-Comté de rugby, sont également candidats pour intégrer le comité directeur à ses côtés[24].

Le , Bernard Laporte annonce qu'il est également candidat à un deuxième mandat à la présidence de la FFR[25]. Il est notamment accompagné sur sa liste par Serge Simon, Wanda Noury et Pascal Papé ainsi que de nombreux présidents de ligues régionales : Alain Doucet (Occitanie), candidat à la présidence en 2016, Henri Mondino (Provence Alpes Côte d'Azur), Michel Macary (Nouvelle-Aquitaine), Dominique Coquelet (Pays de la Loire), André Prigent (Centre-Val de Loire), Jacques Vimbert (Normandie) et Jean-Simon Savelli (Corse)[F 3].

Pour la première fois, l'élection du comité directeur se déroule sous forme d'un scrutin électronique et décentralisé[26].

En , la liste d'opposition demande le report des élections de quelques mois après l'interruption de la campagne en raison de la pandémie de Covid-19 en France. Le comité fédéral d'éthique et de déontologie de la FFR estime aussi qu'il serait préférable de décaler le scrutin de deux mois. La gouvernance en place choisit tout de même de maintenir l'assemblée élective le 3 octobre car le ministère des Sports autorise le report mais ne l'impose pas[27]. Saisi en qualité que conciliateur par la liste d'opposition, le Comité national olympique et sportif français recommande aussi de reporter de deux mois les élections prévues le 3 octobre[28]. Cependant, face à l'appel du Conseil scientifique Covid-19 à se préparer à une deuxième vague à l'automne et afin de ne pas remettre en cause le calendrier général validé lors du comité directeur du (incluant les élections des ligues le 7 novembre et des comités départementaux le 5 décembre), la FFR confirme le maintien de l'assemblée générale fédérale élective à la date du 3 octobre 2020[F 4].

En septembre, la campagne de Bernard Laporte est perturbée par une mise en garde à vue pendant 48 heures par le parquet national financier, à seulement 10 jours de l'élection fédérale, dans l'enquête sur ses liens avec le groupe Altrad, propriétaire du club de rugby de Montpellier et sponsor de l’équipe de France, et des soupçons favoritisme au profit du club de Montpellier[29].

À l'issue du scrutin, les résultats donnent une faible avance à la liste menée par Bernard Laporte avec 51,47 % des voix. Ce dernier est réélu président de la fédération. Serge Simon, Alain Doucet, Wanda Noury, Pascal Papé, Florian Grill, Jean-Marc Lhermet, Jean-Claude Skrela, Serge Blanco, Éric Champ et Sylvain Deroeux sont notamment élus au comité directeur[F 5].

Après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris en première instance, Bernard Laporte se met en retrait de la présidence de la FFR pour se conformer à la demande du Comité d'éthique du rugby français et du Ministère des Sports. Il garde le poste de président de la Fédération mais délègue toutes ces prérogatives à un président délégué. Il désigne Patrick Buisson le et se met immédiatement en retrait[F 6]. Cette nomination doit être approuvée par les clubs mais seul 49 % de ces derniers votent en sa faveur. Le vendredi , Bernard Laporte, lors d'un comité directeur en présence de la ministre des sports Amélie Oudéa-Castéra, présente sa démission. Elle entraîne une vacance et un processus électoral ; avec d'abord la nomination d'un président intérimaire parmi les membres du bureau (via un vote du comité directeur) jusqu'à la prochaine assemblée générale (du 29 juin au 1er juillet 2023 à Lille) où les clubs seront appelés à élire un nouveau président[30]. Lors de cette réunion, les neuf élus de l'opposition (Ovale Ensemble)[Note 1], emmenée par Florian Grill[31], décident de quitter le comité directeur[32], démission suivie par celle des représentants de la LNR (René Bouscatel, président, et Didier Lacroix, président du Stade toulousain)[33]. Le , Alexandre Martinez, trésorier général depuis 2016, est nommé président par intérim par le comité directeur[34].

Élection de Florian Grill[modifier | modifier le code]

Après ces démissions, une élection est organisée pour renouveler les 12 sièges vacants du comité directeur et pour élire le nouveau président de la fédération. En mai 2023, l'opposition Ovale Ensemble remporte 11 des sièges tandis que Guilhem Guirado, ancien capitaine du XV de France, est le seul élu au sein des soutiens de la majorité en place[35]. Florian Grill, Jean-Marc Lhermet, Abdelatif Benazzi et Sylvain Deroeux sont notamment élus.

Un mois plus tard, le , Florian Grill est élu président de la FFR face à Patrick Buisson, représentant du camp pro-Laporte (58,57 % contre 41,43 %). Il souhaite rassembler les forces de bonne volonté pour gouverner la fédération malgré qu'une majorité du comité directeur reste issu de la liste de Bernard Laporte[36]. Les représentants de la LNR réintègrent alors aussi le comité directeur. Serge Simon, premier vice-président de Bernard Laporte, décide lui de démissionner de toutes ses fonctions à la FFR et du comité directeur[37].

Liste des présidents[modifier | modifier le code]

Nom Dates du mandat Autres fonctions
Frantz Reichel
(1 an, 4 mois et 29 jours)
Octave Léry
(7 ans, 7 mois et 1 jour)
Président du Comité des Pyrénées
Roger Dantou
(11 ans)
Introducteur du rugby à Périgueux en 1897 et créateur du Club athlétique périgourdin en 1901
Fondateur et président du Comité régional du Périgord
Créateur (1934) et président de la FIRA
Albert Ginesty
(3 ans, 11 mois et 20 jours)
Président du Comité des Pyrénées de 1925 à 1935
Président du Stade toulousain de 1935 à 1938
Maire de Toulouse du 9 juin 1944 au 20 août 1944
Alfred Eluère
(9 ans)
Maire de Soorts-Hossegor de 1935 à 1972
Président du Comité national des sports de 1947 à 1967
René Crabos
(9 ans et 10 mois)
Jean Delbert
(4 ans)
Président du comité des Pyrénées
Président de la FIRA
Marcel Batigne
(1 an, 6 mois et 10 jours)
Président du SC graulhetois de 1954 à 1971
Président de la FIRA de 1968 à 1989
Albert Ferrasse
(23 ans et 6 mois)
Président du SU Agen de 1963 à 1985
Président du comité Périgord-Agenais de 1966 à 1968
Président de l'International Rugby Board entre 1980 et 1987
Président de la FIRA de 1989 à 1997
Bernard Lapasset
(16 ans, 6 mois et 28 jours)
Président du comité d'Île-de-France de 1988 à 1991
Président de l'International Rugby Board de 2008 à 2016
Vice-président du Comité national olympique et sportif français de 1992 à 2009
Co-président du comité de candidature Paris 2024.
Pierre Camou
(8 ans, 4 mois et 21 jours)
Fondateur (en 1963) et président de l'US Garazi
Président du comité Côte basque Landes de 1996 à 2008
Trésorier-adjoint de la FFR de 1996 à 2000
Vice-président de la FFR, responsable du Centre national du rugby de Linas-Marcoussis, de 2000 à 2008
Bernard Laporte
(7 ans, 4 mois et 24 jours)
Manager du Stade français de 1995 à 1999
Sélectionneur du XV de France de 1999 à 2007
Secrétaire d'État chargé des Sports de 2007 à 2009
Manager du RC Toulon de 2011 à 2016
Vice-président de World Rugby de 2020 à 2022
Alexandre Martinez (intérim)
(4 mois et 11 jours)
Président de l'ASV Lavaur de 2009 à 2017
Trésorier général de la FFR de 2016 à 2023
Florian Grill en cours
(9 mois et 30 jours)
Président de l'AC Boulogne-Billancourt de 2009 à 2012
Président de la Ligue régionale Île-de-France de rugby de 2017 à 2023

Bureau fédéral et comité directeur[modifier | modifier le code]

Directeurs généraux[modifier | modifier le code]

Directeurs techniques nationaux[modifier | modifier le code]

Didier Retière, directeur technique national de à .

La direction technique nationale de la FFR est créé en 1972. Le premier DTN, Fernand Cazenave, est nommé en 1972 par le ministère des Sports sous le gouvernement de Pierre Messmer[F 11].

Direction de l'arbitrage[modifier | modifier le code]

Président de la commission centrale des arbitres (Jusqu'en décembre 2016)
Directeur national de l'arbitrage (Poste créé en décembre 2016)

Organisation de compétitions[modifier | modifier le code]

La FFR délègue à la Ligue nationale de rugby la gestion du rugby à XV professionnel (Top 14 et Pro D2), mais la ligue, fondée en 1998, reste sous l'autorité de la fédération. La FFR organise également toutes les autres compétitions à caractère national :

Compétitions masculines de rugby à XV
Compétitions féminines de rugby à XV

À l'échelon régional et départemental, les ligues régionales prennent le relais de la FFR, mais toujours sous l'autorité de cette dernière.

Organisation territoriale[modifier | modifier le code]

1919-2018 : Organisation en comités territoriaux[modifier | modifier le code]

Les représentants de la FFR sur le territoire sont organisés en 26 comités territoriaux métropolitains, 102 comités départementaux et 7 comités d'outre-mer.

Transformation en ligues régionales[modifier | modifier le code]

Conséquence de la réforme territoriale des régions, le ministère de la Jeunesse et des Sports impose à la FFR de calquer son organisation territoriale sur celle des nouvelles régions. Le , les comités territoriaux sont alors remplacés par 13 ligues régionales métropolitaines calquées sur les régions françaises.

Initialement, une 14e ligue, la ligue d'Outremer de rugby, devait être créée mais la FFR renonce finalement à ce projet. Elle constate que cette ligue n'avait pas de raison d'être compte tenu des spécificités de chaque région ultramarine[61].

Ligue régionale Président Nombre de licenciés (au 30 juin 2017) Nombre de clubs (au 31 mai 2021)[F 12]
Occitanie Alain Doucet 67 808 430
Nouvelle-Aquitaine Michel Macary 62 948 369
Auvergne-Rhône-Alpes Thierry Tonnelier 51 886 274
Île-de-France Thierry Alliesse 33 916 149
Provence-Alpes Côte d'Azur Sébastien Rizza 22 352 128
Bourgogne-Franche-Comté Jean-François Contant 12 057 87
Hauts-de-France Claude Codron 10 111 59
Centre-Val de Loire Rodolphe Estève 9 918 68
Grand Est Armando Cutone 9 693 62
Bretagne Fabrice Quénéhervé 9 212 69
Pays de la Loire Dominique Coquelet 7 977 56
Normandie Sandrine Romagné 7 974 52
Corse Jean-Simon Savelli 1 061 12
Comités territoriaux d'Outre-mer Président Nombre de licenciés Nombre de clubs
La Réunion Daniel Blondy 1 800 13
Guadeloupe Frédéric Rouillon 1 284 11
Nouvelle-Calédonie Marc Perinet 1 123 9
Martinique Sébastien Bottin 1 110 8
Guyane Dominique Castella 864 7
Wallis-et-Futuna Etuato Mulikihaamea 713 6
Mayotte Eric Landmann 516 7

Palmarès des équipes de France[modifier | modifier le code]

Il existe en France un total de sept équipes nationales différentes, reconnues et dirigées par la FFR.

Équipe de France de rugby à XV[modifier | modifier le code]

Équipe de France féminine[modifier | modifier le code]

Équipe de France des amateurs[modifier | modifier le code]

Équipe de France universitaires masculins[modifier | modifier le code]

Équipe de France des juniors[modifier | modifier le code]

Participation aux Jeux méditerranéens[modifier | modifier le code]

Participation aux Jeux olympiques[modifier | modifier le code]

  • Championne olympique en 1900 (au mois d'octobre, au vélodrome municipal de Vincennes dans le cadre de l’Exposition universelle - trois équipes)
  • Vice-championne olympique en 1920 (deux équipes seulement participaient) et en 1924 (trois équipes)

Statistiques[modifier | modifier le code]

Statistiques de la FFR
Année Nombre de clubs Nombre de licenciés Moyenne
1920 173 clubs
1924 894 clubs
1936 588 clubs
1952 759 clubs
1966 812 clubs 59 000 licenciés 72,6
1972 1 350 clubs 110 000 licenciés 81,5
1999 1436 clubs 255 314 licenciés 177,8
2000 ? 223 692 licenciés
2004 ? 201 276 licenciés
2005 ? 205 535 licenciés
2006 ? 212 059 licenciés
2007 1 687 clubs[F 13] 278 634 licenciés[63] 165,1
2008 ? 363 073 licenciés[Note 3],[F 14]
2009 1 734 clubs[F 15] 347 563 licenciés 200,4
2010 ? 371 000 licenciés
2011 1 830 clubs 326 368 licenciés[64]
2012 ? 311 601 licenciés[65]
2015 ? 438 144 licenciés
2016 1 921 clubs 328 344 licenciés[64]
2018 ? 335 000 licenciés[66]
2019 1 922 clubs 281 554 licenciés 146,5
2020 - -
2021 - 244 043 licenciés[67]
2022
2023
Evolution du nombre de licenciés (en milliers)

Récompenses[modifier | modifier le code]

Chaque année, les médailles de la FFR sont décernées pour honorer les réalisations exceptionnelles dans le rugby français. Le comité directeur[F 16] de la FFR décerne annuellement des récompenses honorifiques aux dirigeants, arbitres, éducateurs ou joueurs qui auront rendu des services éminents, ainsi qu’aux membres du personnel fédéral. Ces récompenses sont constituées par des médailles d’Honneur, et comportent quatre échelons : Bronze, Argent, Vermeil et Or. Des conditions particulières s'appliquent pour l'attribution de ces distinctions :

  • nul ne peut postuler la médaille de Bronze s'il ne compte au minimum dix années d’activité dans le rugby français ;
  • nul ne peut postuler la médaille d’Argent s'il ne compte au minimum quinze années d’activité et n'est pas titulaire de la médaille de Bronze depuis cinq ans au moins ;
  • nul ne peut postuler la médaille de Vermeil s'il ne compte au minimum vingt ans d’activité et n'est pas titulaire de la médaille d’Argent depuis sept ans au moins ;
  • nul ne peut postuler la médaille d’Or s'il n'est pas titulaire de la médaille de Vermeil depuis dix ans au moins.

Ces dispositions ne sont pas applicables :

  • au président de la F.F.R. qui sera, de droit, l'objet d'une promotion de médaille d’Or s'il n'est pas déjà titulaire de cette haute distinction ;
  • aux capitaines ou joueurs de l'équipe nationale et aux arbitres internationaux ainsi qu’à des membres à titre exceptionnel sans condition d'ancienneté.

Les propositions de récompenses sont établies par les comités territoriaux et le bureau fédéral de la F.F.R[F 17], avant le 15 novembre de chaque année. La liste des récompenses décernées par la F.F.R. est conservée au siège.

Projet de Grand Stade de la FFR[modifier | modifier le code]

La Fédération ne voulant plus dépendre du Consortium du Stade de France, elle souhaite en parallèle aboutir à une indépendance financière afin de gérer directement ses ressources et la répartition des fonds pour le développement du rugby français.

En novembre 2010, Pierre Camou, président de la FFR et Serge Blanco, membre du comité directeur de la FFR, présentent au public leur projet de stade de la Fédération française de rugby, un stade de 82 000 places avec pelouse et toit rétractable[F 18].

Malgré la position du ministère des Sports, par l'intermédiaire de David Douillet qui voit d'un œil peu favorable[68] le désengagement de la FFR du Stade de France, le choix définitif du site s'est effectué fin juin 2012 au congrès de la FFR à La Baule et s'est porté sur celui d'Evry centre Essonne[69]. Candidat à la présidence de la FFR en 2016, Bernard Laporte est opposé à la construction de ce Grand Stade de 80.000 places. Il est élu le 3 décembre. Dès lors, le projet est en passe d'être abandonné[70].

Le 14 décembre 2016, le projet est effectivement officiellement abandonné à l'issue de la première réunion du nouveau comité directeur[71].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les 9 élus d'Ovale Ensemble au Comité Directeur de la FFR : Florian Grill, Jean-Marc Lhermet, Sylvain Deroeux, Claude Hélias, Pascale Mercier, Jean-Claude Skrela, Serge Blanco, Marion Kellin, Éric Champ.
  2. Florian Grill est élu le 14 juin 2023 par les clubs.
  3. En mars 2008, le nombre de licenciés dépasse les 354 000.

Références[modifier | modifier le code]

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Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Lafitte 2002] Jean-Louis Lafitte, 80 ans de la Fédération française de rugby, Paris, Avignon, Editions A. Barthelemy, , 464 p. (ISBN 2-87923-154-X, BNF 39012620)

Liens externes[modifier | modifier le code]