Domfront (Orne) — Wikipédia

Domfront
Domfront (Orne)
L'hôtel de ville.
Blason de Domfront
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Domfront Tinchebray Interco
Maire délégué Bernard Soul
Code postal 61700
Code commune 61145
Démographie
Gentilé Domfrontais
Population 3 449 hab. (2020)
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 25″ nord, 0° 38′ 25″ ouest
Altitude Min. 117 m
Max. 256 m
Superficie 35,54 km2
Élections
Départementales Domfront (chef-lieu)
Historique
Commune(s) d'intégration Domfront en Poiraie
Localisation
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Domfront
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Domfront

Domfront est une ancienne commune française du Passais, située dans le département de l'Orne en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Domfront en Poiraie[1].

Elle est peuplée de 3 449 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Domfront est située à l'ouest du département de l'Orne, sur les bords de la Varenne, en France.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Une petite partie du territoire, à l'est, est couverte par la forêt d'Andaine.

Roches granitiques sur près de la moitié du territoire de la commune[2].

Sismicité[modifier | modifier le code]

  • Commune située dans une zone de sismicité faible[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

Climat[modifier | modifier le code]

Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Accès et transport[modifier | modifier le code]

Traversée de Domfront via la D 962 puis la D 22.

Domfront était jusqu'après la Seconde Guerre mondiale desservie par deux lignes de chemin de fer. La ligne à double voie allant de Caen à Laval, par la correspondance à Flers, permettait la liaison sur Paris. Une ligne à une voie qui reliait Domfront à Alençon fut fermée dès les années 1950. La gare de Domfront était desservie par la ligne de La Chapelle-Anthenaise à Flers, fermée depuis 1996.

C'est aujourd'hui le réseau de bus de l'Orne Cap'Orne qui assure l'accès par transport en commun par ses lignes 22 (Domfront - La Ferté-Macé - Bagnoles-de-l'Orne), 24 (Domfront - Lonlay-l'Abbaye - Flers) et 25 (Domfront - Saint-Bômer-les-Forges - Flers).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Donnifrontis, Damfrontis vers 1020, Domus Fronto en 1063[6].

L'église catholique, avant d'utiliser sanctus pour honorer les saints, a longtemps utilisé dans ce but le latin dominus (« seigneur »). Dominus aboutit à Dom-[7]. Le personnage vénéré est Front de Passais (Fronto[6]), ermite du VIe siècle.

Le gentilé est Domfrontais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Ruine de la chapelle Saint-Symphorien.

En 1010, Guillaume de Bellême fait construire à la cime du rocher un premier château en bois, le château, formé de « quatre grosses tours avec des fossés profonds taillés dans le roc », dont la « principale issue était au midi ; deux portes en fer et une claie en fermaient l'entrée »[8].

En 1048, Geoffroy II assiégea Domfront et s'en rendit brièvement maître. Guillaume en rentra en possession grâce à l'intervention du duc de Normandie[9].

En 1092, Henri Beauclerc, troisième fils de Guillaume le Conquérant, érige sur l'éperon rocheux un château fort en pierre avec son puissant donjon de forme quadrangulaire et la chapelle Saint-Symphorien, prieuré de l'abbaye de Lonlay[10]. Henri Beauclerc devenu en 1100 roi d'Angleterre, et afin d'éviter une guerre fratricide avec son frère aîné, Robert Courteheuse qui prétend au royaume d'Angleterre, abandonne à ce dernier le Cotentin et toutes ses possessions en Normandie, à l’exception de Domfront[11] qui devient alors une place forte royale. Henri II Plantagenêt et Aliénor d'Aquitaine, sa femme et Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre leurs fils y séjournent. Aliénor d'Aquitaine y tient en particulier une cour qui verra aussi le passage de sa fille Marie de Champagne (protectrice de Chrétien de Troyes qui l'accompagne). Wace fait aussi partie de cette cour, de même que Benoît de Sainte-Maure qui ne la nomme pas, mais fait son éloge dans son Roman de Troie, manière de dédicace[12].

Les deux premiers rattachent Domfront et sa région aux légendes arthuriennes[13],[14].

En , Aliénor d'Aquitaine y accouche d'Aliénor d'Angleterre, future grand mère de Saint Louis[10].

Après la conquête de la Normandie par Philippe Auguste en 1204, la place forte devient capétienne[10].

Pendant la guerre de Cent Ans, le château est occupé par les Anglais de 1356 à 1366 et de 1418 à 1450[10]. Pendant l'été 1450, l'armée royale de Charles VII reprend la place au bout de vingt jours de siège[15].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1574, le chef des huguenot normands, Gabriel Ier de Montgomery, y fait sa reddition lors du siège de la ville après l'arrivée de l'artillerie royale. Catherine de Médicis le fait aussitôt juger par le Parlement de Paris suivi de son exécution par décapitation en place de grève le [16]. En 1608, le château est démantelé sur ordre d'Henri IV[8],[17].

De 1633 à 1639, six ans durant la peste revient à nouveau à Domfront[18].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Domfront fut chef-lieu du district de Domfront sous la Révolution puis devint chef-lieu de l'arrondissement de Domfront.

En 1863, Domfront (2 909 habitants en 1861) absorbe Saint-Front (2 252 habitants)[19],[20].

Guerre 1914-1918[modifier | modifier le code]

Lors de la Première Guerre mondiale, le 3e bataillon du 130e régiment d'infanterie qui était hébergé dans la caserne Laharpe partit le . L'état-major du 130e régiment d'infanterie était hébergé à Mayenne. Ce régiment, incorporé dans la 7e division d'infanterie, subit des pertes effroyables le sur le front de Belgique autour de Virton et Ethe. Cette division mutée dans différents corps d'armée participa à toutes les grandes batailles de cette guerre.

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Le , à la suite du décret Poincaré, Domfront perd sa sous-préfecture et les cantons sont répartis entre les arrondissements d'Alençon et d'Argentan.

Guerre 1939-1945[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue du 14-juin-1944.

En , les Domfrontais pleurent en regardant le 3e bataillon du 130e RI descendre vers la gare. Ce régiment fut incorporé dans la 8e division d'infanterie, dans la 3e armée, dans le groupe d'armée no 2 sous les ordres du général Prételat. Cette armée, disposée derrière la ligne Maginot ne combattit qu'après la chute de Dunkerque. Le 130e RI fut totalement fait prisonnier.

Sous l'Occupation, trois entités allemandes furent permanentes à Domfront : dans les locaux de la gendarmerie, une représentation de l'administration allemande de l'occupation qui effectuait les réquisitions ; dans la gare, le commandement d'une compagnie du génie qui contrôlait les voies ferrées ; et dans la caserne Laharpe, une unité de territoriaux qui gardait les tirailleurs sénégalais prisonniers de guerre qui y étaient détenus. Les fonctions de police allemande étaient assurées par la section du SD d'Alençon et, pour les affaires graves, par celle de Rouen.

L'occupation se durcit en février 1944 et les Allemands obligent des Domfrontais à construire des ouvrages destinés à renforcer la défense de Domfront en cas de débarquement, et à travailler à l'aménagement d'un parc de munitions et de carburant dans la forêt d'Andaine. Le , un soldat allemand ayant été blessé dans la nuit, le maire M. Gallot, est requis pour désigner des otages. Celui-ci, ayant refusé, fut destitué et des Domfrontais furent pris au hasard dans les rues par des policiers allemands venus d'Alençon. Certains furent déportés en Allemagne[21].

Domfront, située entre le dépôt de munitions de la forêt d'Andaine et Mortain, où eut lieu la grande contre-attaque allemande, et surtout le quartier de la gare (Notre-Dame de nos jours), eurent à subir de nombreuses attaques aériennes alliées[22]. Les bombardements les plus meurtriers furent celui du vendredi en soirée (vingt-quatre avions bimoteurs) sur la gare qui tua huit personnes et un enfant, et celui du sur la ville basse par des bombardiers B17, qui tua 37 personnes et détruisit 494 immeubles[23],[24],[25]. Au total trente-six civils (qui n'étaient pas tous des Domfrontais, chiffre incertain) furent tués lors des vingt-quatre attaques aériennes, principalement sur la gare.

Le , une unité blindée de Waffen-SS venant de Flers traversa le quartier de la gare en direction de Saint-Mars-d'Égrenne pour attaquer vers Mortain. Après la défaite allemande devant Mortain, ce qui restait des unités blindées se replia sur Falaise, et seules des troupes de basse combativité gardèrent Domfront. Le , les forces américaines, échaudées par l'épisode mortenais, tirèrent au canon sur la ville au hasard. Des Domfrontais décidèrent d'aller à leur rencontre pour faire cesser ces tirs et les aider à entrer dans la ville. Le , un pompier réussit à les rallier sur la route de Saint-Mars et guida une colonne (sept véhicules) qui contourna la ville par l'ouest. Elle passa par Saint-Gilles-des-Marais et La Haute-Chapelle où elle captura une compagnie allemande sur le tertre Sainte-Anne (cote 210 sur les cartes d'état-major), puis passa à pied le pont de Caen qui était miné. Elle captura une pièce d'artillerie à la ferme des Balères, puis passa par le Pissot et entra dans Domfront par le nord, par l'escalier qui est juste derrière l'hôtel de ville.

D'autres troupes américaines étaient déjà entrées dans la ville par le sud et les forces allemandes encore dans la ville se voyant encerclées se rendirent sans combat. Certains soldats allemands, souvent des malgré-nous prélevés du front d'URSS, semblaient plutôt soulagés, mais les officiers étaient très vexés. Il n'y eut aucun tué lors de la libération de la ville.

Le nombre de civils tués, ramené au tonnage de bombes lancées sur Domfront et la gare, fut relativement réduit. Cela fut dû à trois facteurs :

  • les voies de communication ne traversent pas la ville ancienne qui était plus peuplée à l'époque ;
  • la défense passive réussit à convaincre les Domfrontais d'évacuer les abords des voies de communications ;
  • les aviateurs faisaient un passage à blanc sur l'objectif et revenaient bombarder en laissant ainsi un peu de temps aux civils pour s'éloigner, ne serait-ce que d'une ou deux centaines de mètres.

Pendant la bataille de Normandie, les Allemands réquisitionnèrent l'hospice de vieillards et l'orphelinat de Perrou pour y installer un hôpital militaire. À leur arrivée, les Américains installèrent un hôpital entièrement mobile près du manoir de la Guyardière où était replié l'hôpital civil de Domfront.

La commune a été décorée, le 11 novembre 1948, de la Croix de guerre 1939-1945[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1883 1887 Louis Blanchetière (1812-1895)   Conducteur principal des ponts et chaussées, archéologue
1887 1888 Jacques Agapit Debierre    
1888 1909
(décès)
Alfred-Auguste Barrabé Républicain Médecin
Conseiller général de Passais (1892 → 1909)
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1919 1944 Louis Gallot   Médecin
Chevalier de la Légion d'honneur
Les données manquantes sont à compléter.
1945 mars 1959 André Rougeyron (1899-1967)   Expert en automobile
mars 1959 mars 1989 André Rocton (1920-2019) UDR
puis RPR
Libraire
Conseiller général de Domfront (1973 → 1992)
mars 1989 juin 1995 Claude Rugel   Ingénieur
juin 1995[27] mars 2008 Robert Loquet RPR
puis UMP
Artisan peintre
Conseiller général de Domfront (1992 → 2015)
Président de la CC du Domfrontais (2001 → 2008)
mars 2008[28] avril 2014 Didier Leduc DVD Secrétaire administratif
Président de la CC du Domfrontais (2008 → 2014)
avril 2014[29] décembre 2015 Bernard Soul DVD Infirmier libéral
Président de la CC du Domfrontais (2014 → 2016)

Le conseil municipal était composé de vingt-sept membres dont le maire et six adjoints[30].

Budget et fiscalité 2018[modifier | modifier le code]

En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 882 000 , soit 993  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 113 000 , soit 796  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 7 520 000 , soit 192  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 2 026 000 , soit 518  par habitant ;
  • endettement : 1 125 000 , soit 288  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,18 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,76 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 33,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,41 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 14,07 %.

Chiffres clés revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 544 [32].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune comptait 3 449 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Domfront[33]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5331 5481 6651 6701 8692 4172 4632 6662 879
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 8402 9094 8664 4954 6034 8125 0764 9324 966
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 8014 6634 8194 0113 9563 8944 0203 8723 951
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
3 6743 9914 3544 4834 4104 2623 9953 8303 518
2018 - - - - - - - -
3 473--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Tous les deux ans ont lieu les médiévales de Domfront, reflet de l'illustre passé de cette cité.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune est une ville fleurie récompensée de trois fleurs au concours des villes et villages fleuris[35].

Culte[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Le Publicateur libre, hebdomadaire qui parait le jeudi, a son siège à Domfront. Il est diffusé dans l'Ouest de l'Orne (Bocage ornais), le Sud-Manche (Mortainais) et le Nord-Mayenne.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Domfront[44], La Ferrière-aux-Étangs.

Industries[modifier | modifier le code]

  • Lactalis : fabrication des camemberts Président, Le Châtelain et Le Campagne (480 000 pièces par jour par 320 salariés ; date ?).
  • La SAS Moteurs JM est l'héritière des Moteurs Legendre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église romane de Notre-Dame-sur-l'Eau.

La ville qui se dresse sur un promontoire, possède un riche patrimoine : maisons médiévales à colombages, vieux hôtels des XVIIe et XVIIIe siècles, ruelles étroites[45].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Domfront compte cinq édifices protégés au titre des monuments historiques :

La commune comporte également des édifices et sites recensés à l'inventaire général du patrimoine culturel :

Autres lieux et patrimoines :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La statue de saint Front au-dessus du portail de l'église Saint-Front, sculptée par l'abbé Derouet, curé de Saint-Front de 1947 à 1974.

Héraldique[modifier | modifier le code]

On retrouve le blason sur les plaques d'égouts de la ville comme ici.
Armes de Domfront

Les armes de la commune de Domfront se blasonnent ainsi :
De gueules au château de trois tours d'argent, ouvert et ajouré du champ, maçonné de sable, posé sur une terrasse de sinople.[73],[74]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]


  • La bataille de Normandie, récits de témoins, éd. de notre temps ; 1947. Tome 1 pages 316 et suivantes.
  • À l'occasion du quarantième anniversaire de la Libération, le journal Le Publicateur libre de Domfront, publia une série de témoignages sur ces événements : de larges extraits du livre de Germaine Renard, A Domfront sous les bombes, des extraits du journal de sœur Jeanne, religieuse de l'Institution de l'Ange gardien, et une archive de la municipalité concernant l’hôpital de Domfront qui, étant en bordure de la voie ferrée, fut évacué après le bombardement du vendredi 2 juin 1944 au manoir de la Guyardière qui est sur la commune de la Haute Chapelle. Il y restera jusqu'au 26 juillet 1945.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2020, légale en 2023.
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « recueil des actes administratifs de l'Orne ».
  2. Carte géologique de la France, Domfront, par le BRGM.
  3. Didacticiel de la règlementation parasismique.
  4. Table climatique.
  5. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  6. a et b Toponymie générale de la France, Ernest Nègre, page 415.
  7. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 159.
  8. a et b Grégoire-Jacques Lange, Éphémérides normandes, ou, Recueil chronologique, historique et monumental sur la Normandie, Caen, 1833.
  9. Jean François René Caillebotte, Essai sur l'histoire et les antiquités de la ville et arrondissement de Domfront. Troisième édition, (lire en ligne).
  10. a b c et d Panneau explicatif à l'entrée du parc du château.
  11. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 31.
  12. Jean Flori, op. cit., p. 408-410.
  13. Georges Bertin, « La quête de René Bansard aux marches du Maine », (consulté le ).
  14. « Lancelot du Lac et la quête du graal aux marches du Maine », sur calameo.com (consulté le ).
  15. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 89.
  16. Beck 1986, p. 91.
  17. Hippolyte Sauvage : Domfront, son siège de 1574 et sa capitulation.
  18. Serge Van Den Broucke, « L'aître Saint-Maclou de Rouen : La renaissance d'un site historique exceptionnel », Patrimoine normand, no 119,‎ octobre-novembre-décembre 2021, p. 13 (ISSN 1271-6006).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Front », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  21. La bataille de Normandie, Récits de témoins, tome 1, pages 317 et suivantes.
  22. La ville de Domfront détruite après les bombardements des alliés.
  23. « 70ème anniversaire de la libération de Domfront. », sur ac-caen.fr (consulté le ).
  24. « Photos de la bataille de Normandie : Domfront », sur dday-overlord.com (consulté le ).
  25. Plaque de rue du-14 juin-1944.
  26. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 .
  27. « Domfront. La page Loquet tournée », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. « Didier Leduc, élu maire, succède à Robert Loquet », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. « Bernard Soul est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. « Domfront (61700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. Les comptes de la commune.
  32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
  33. Date du prochain recensement à Domfront, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  35. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  36. [1]
  37. Paroisse Saint Sauveur en Domfrontais.
  38. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Ste S. St Georges Domfront » (consulté le ).
  39. Producteurs : Agriculteurs, éleveurs.
  40. Producteur de Poiré.
  41. Tourisme Où manger où dormir.
  42. Hôtel.
  43. Camping municipal.
  44. Commerces et services de proximité.
  45. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 123.
  46. a et b Notice no PA00110791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no PA00110793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Enceinte de la Ville : Remparts.
  49. Histoire du prieuré de Notre-Dame-sous-Eau.
  50. Notice no PA00110792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. L'ancien prieuré Sainte Marie de Domfront, autrefois dénommé Notre Dame sous l'eau.
  52. Association Les Amis de l'église Saint Julien de Domfront [2].
  53. Notice no PA00125312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  54. Fonds Hennebique - église Saint-Julien [3].
  55. Notice no PA00125312, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. Notice explicative des travaux dans l'église.
  57. Orgue de l'église Saint-Julien.
  58. Notice no PA00110794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. Chapelle Saint-Symphorien.
  60. Notice no IA61002757, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Notice no IA00061203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Vallée de la Varenne.
  63. La Varenne et le donjon de Domfront; Lavoir.
  64. Lavoir.
  65. Notice no IA61002756, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  66. Les vitrines virtuelles.
  67. Vieux lavoir.
  68. Monument aux morts.
  69. Louis Foisil.
  70. Fiche biographique sur le site de l'Ordre de la Libération [4].
  71. Discographie de Victor Vivier.
  72. « Portrait. La nouvelle vie d’Omar, fils de Ben Laden, en Normandie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  73. « GASO, la banque du blason - Domfont Orne » (consulté le ).
  74. Site officiel de la ville.