Divonne-les-Bains — Wikipédia

Divonne-les-Bains
Divonne-les-Bains
Le casino de Divonne-les-Bains.
Blason de Divonne-les-Bains
Blason
Divonne-les-Bains
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Gex
Intercommunalité Pays de Gex Agglo
Maire
Mandat
Vincent Scattolin (DVD)
2020-2026
Code postal 01220
Code commune 01143
Démographie
Gentilé Divonnais
Population
municipale
10 137 hab. (2021 en augmentation de 9,16 % par rapport à 2015)
Densité 299 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 24″ nord, 6° 08′ 34″ est
Altitude Min. 464 m
Max. 1 447 m
Superficie 33,88 km2
Unité urbaine Divonne-les-Bains (partie française)
(ville isolée)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gex
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Divonne-les-Bains
Liens
Site web divonnelesbains.fr

Divonne-les-Bains est une ville thermale française de l'Ain, dans l'arrondissement de Gex et dans le pays de Gex. Divonne se trouve sur la frontière avec la Suisse romande, entre le pied du Jura et le lac Léman. Elle fait aussi partie du Genevois français et du Grand Genève.

Les habitants de Divonne-les-Bains sont les Divonnais et les Divonnaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Divonne est située à l'extrémité du pays de Gex. Frontalière de la Suisse, elle se situe à 20 km de Genève. Plusieurs hameaux sont rattachés à Divonne : Arbère, Crassy, Plan, Vésenex (avant la révolution de 1789, Vésenex était un village de la paroisse de Divonne. Le , la commune de Vésenex-Crassy fut supprimée et réabsorbée par Divonne[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Territoire de Divonne et de Vésenex-Crassy avant leur fusion.
Rose des vents Lajoux (Jura)
Mijoux
Prémanon (Jura),
La Rippe (Drapeau de la Suisse Suisse, Vaud)
Rose des vents
Vesancy N Crassier (Drapeau de la Suisse Suisse, Vaud)
Bogis-Bossey (Drapeau de la Suisse Suisse, Vaud)
O    Divonne-les-Bains    E
S
Grilly
Commugny (Drapeau de la Suisse Suisse, Vaud)
Chavannes-de-Bogis (Drapeau de la Suisse Suisse, Vaud)

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 224 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records DIVONNE ZA (01) - alt : 467m, lat : 46°20'29"N, lon : 6°08'22"E
Records établis sur la période du 01-10-2003 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2 −2,2 0,2 3,8 7,4 11,1 12,6 11,9 8,9 5,8 1,7 −1,4 4,8
Température moyenne (°C) 1,8 2,5 5,9 10,3 13,9 17,9 20 19,1 15,6 11,1 5,9 2,2 10,5
Température maximale moyenne (°C) 5,6 7,1 11,6 16,9 20,3 24,8 27,5 26,3 22,3 16,3 10,2 5,8 16,2
Record de froid (°C)
date du record
−15,5
28.01.05
−16,5
05.02.12
−14,5
01.03.05
−6,9
08.04.21
−2,5
07.05.19
1,5
01.06.06
5
15.07.16
4
26.08.18
0
20.09.12
−6
30.10.12
−14
27.11.05
−15
20.12.09
−16,5
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17
01.01.23
21
23.02.20
23,3
31.03.21
28,5
22.04.18
32
25.05.09
36,5
30.06.19
39,3
19.07.22
39,9
24.08.23
33,5
12.09.18
27,7
02.10.23
23,1
02.11.20
16
31.12.22
39,9
2023
Précipitations (mm) 112,9 80,7 86,5 75,8 98,4 98,4 82,6 93 68,5 103,7 102 127,3 1 129,8
Source : « Fiche 1143002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Habitat[modifier | modifier le code]

Logements[8] Nombre en 2016 % en 2016 nombre en 2011 % en 2011
Total 5 597 100 % 4 789 100 %
Résidences principales 4 193 74,9 % 3 721 77,7 %
→ Dont HLM 417 9,9 % 290 7,8 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
967 17,3 % 754 15,8 %
Logements vacants[Note 1] 436 7,8 % 314 6,6 %
Dont :
→ maisons 1 882 33,6 % 1 761 36,8 %
→ appartements 3 674 65,6 % 2 992 62,5 %

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Divonne-les-Bains est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Divonne-les-Bains (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 1 commune[12] et 10 137 habitants en 2021, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,2 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (10,6 %), prairies (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), zones humides intérieures (1,2 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %)[17].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies ferrées[modifier | modifier le code]

Divonne était desservie, jusqu'en 1980, par des autorails omnibus Bellegarde-Divonne, via la ligne de Collonges - Fort-l'Écluse à Divonne-les-Bains qui se prolongeait jadis en Suisse par le chemin de fer Nyon-Crassier-Divonne jusqu'à Nyon. Aujourd'hui, la ligne suisse n'existe plus depuis longtemps, et la ligne française est désaffectée, même si un projet de réouverture est envisagé. Le TGV Lyria Paris-Genève est en correspondance à Bellegarde-sur-Valserine avec la ligne 33 des cars Région Express (trajet d'une heure environ vers Divonne).

Routes[modifier | modifier le code]

Divonne est à 2 km de l'autoroute suisse A1 (sortie 10, Coppet).

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Divonne-les-Bains est desservie quotidiennement par plusieurs lignes de bus[18] :

Une voie dédiée aux bus au niveau de l'Avenue de Genève ainsi qu'un parc relais à côté de la douane valorisent la liaison vers Coppet.

Pendant la saison hivernale, des bus permettent de relier Divonne aux stations des Monts Jura (station de sports d'hiver)[19].

Depuis le 15 décembre 2019, à l'occasion de l'entrée en service du Léman Express, le doublement de la ligne Gex-Divonne-Coppet est effectué, ainsi que la création de 2 nouvelles lignes :

  • Nyon-Divonne-Gex (aux heures de pointes, en bus hybrides),
  • Coppet-Divonne-Maconnex (chaque demi-heure aux heures de pointe et chaque heure le reste de la journée ; via Grilly, Sauverny et Versonnex).
Bus TPN de la ligne 814 à l'ancienne gare de Divonne-les-Bains.

Mobilités douces[modifier | modifier le code]

Divonne compte 31 km de pistes cyclables[20]. L'ancienne voie ferrée permet de créer une voie verte Gex-Divonne (via Grilly), et une voie en site propre a été créé entre le lac et Crassier (Vaud).

La ville propose aussi :

  • 50 vélos électriques en libre-service
  • un parking relais au niveau de la douane
  • 5 bornes de recharge pour les véhicules électriques
  • 2 véhicules propres en auto-partage

La ville utilise aussi 7 véhicules électriques pour les services communaux.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom est mentionné anciennement sous les formes Divonae, Divonna et Divona au XIIe siècle, Dyvona et Dyvone au XIVe siècle, Dyvonne au début du siècle suivant et Divonne en 1676[21].

Le toponyme trouverait son origine dans le « théonyme gaulois *Devona, Divona, ayant désigné d'abord une source sacrée[22], peut-être avec le suffixe -onne »[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Habitée dès la Préhistoire, Divonne est particulièrement appréciée des Gallo-romains pour la qualité de son eau. En effet, un aqueduc relie alors Divonne à Nyon pour alimenter cette dernière en eau. Si l’on en croit la légende, Divona signifierait « Eau Divine » en gaulois.

Divonne est définitivement rattachée à la France avec le pays de Gex, dont elle dépend[réf. nécessaire], par le traité de Lyon de 1601. Entre 1798 et 1813, Divonne fait partie de l'arrondissement de Genève du département du Léman[23].

Fréquentée pour ses eaux à partir de 1830, la commune se dote d'une station thermale en 1849, grâce au docteur Paul Vidart. En 1850, les premiers curistes arrivent à Divonne, et la ville devient célèbre en accueillant en 1855 son premier hôte de marque, en la personne de Jérôme Bonaparte. C'est en 1892, par un décret ministériel signé par le président de la République Sadi Carnot, que la commune de Divonne a acquis officiellement la dénomination « Divonne-les-Bains ».

Le , la commune absorbe Vésenex-Crassy peuplée de 200 habitants à l'époque[24].

Durant le XXe siècle, Divonne va améliorer la qualité de ses thermes, ce qui fera venir un nombre encore plus important de curistes. Le parcours de golf date de 1931. En 1945 Marcel Anthonioz devient maire de Divonne-les-Bains. De nombreux équipements vont être construits : le casino (1954), nouveaux thermes, hippodrome, lac artificiel, centre nautique, voies de communication, etc. Le collège de Divonne, construit en 1976, porte le nom de M. Anthonioz, décédé à Divonne la même année.

En octobre 2022, la régie municipale des thermes de Divonne-les-Bains prend la décision de suspendre les cures thermales à compter du 1er janvier 2023 et jusqu'à reprise de l'établissement par un repreneur spécialisé[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Hôtel de ville.

La commune a absorbé en 1965 celle de Vésenex-Crassy[26].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1933 dans l'arrondissement de Gex du département de l'Ain. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de l'Ain.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Gex[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 11 à 7 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La ville est membre de la communauté d'agglomération du Pays de Gex, en abrégé Pays de Gex Agglo, créée en 1996 sous le statut de communauté de communes, transformée en communauté d'agglomération en 2019.

Tendances politiques et résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Résultat des élections municipales du 15 mars 2020[27],[28]
Liste Tête de liste Nombre de voix Résultat Nombre d'élus municipaux dont communautaires
Divonne-les-Bains, naturellement Vincent Scattolin 1.617 65,04 % 24 5
Unis pour Divonne-les-Bains Jean di Stefano 705 28,36 % 4 0
Divonne pour vous ! Jean-Louis Yguel 164 6,6 % 1 0

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
1879 1888 Charles Vidart   Père de René Vidart et fils de Paul Vidart[30]
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1976 Marcel Anthonioz RI Chef d'entreprise
Secrétaire d'État (1969 → 1972)
Député de l'Ain (1951 → 1976)
Conseiller général de Gex (1945 → 1976)
1976 1989 Jean Prost UDF-PR Kinésithérapeute
Conseiller général de Gex (1976 → 1988)
1989 1990 Jean-Claude Pruvost Professeur
1991 février 2019[31] Étienne Blanc[32] UDF
puis DL
puis
UMPLR
Avocat
Député de l'Ain (3e circ.) (2002 → 2016)
Conseiller régional de Rhône-Alpes (1992 → 2002)
Conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes (2015 →)
Vice-président du conseil régional (2015 → )
Président de la CC du Pays de Gex (1996 → 2014)
Démissionnaire
février 2019[33],[34] En cours Vincent Scattolin DVD Urbaniste
Vice-président de la CA Pays de Gex Agglo (2014 → )
Vice-président du Pôle métropolitain du Genevois français (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[35],[36]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 10 137 habitants[Note 5], en augmentation de 9,16 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1851 2751 3451 3011 3351 4171 5001 3851 653
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4171 3561 4101 4721 4271 4631 6251 5601 624
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6651 6251 7101 6101 7211 8941 8301 7211 644
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 5163 2764 2384 7835 5806 1717 4007 5728 615
2017 2021 - - - - - - -
9 64410 137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 23,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 572 hommes pour 5 215 femmes, soit un taux de 46,72 % d'hommes, légèrement inférieur au taux départemental (49,33 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,2 
0,0 
75-89 ans
7,2 
12,1 
60-74 ans
13,6 
20,6 
45-59 ans
20,5 
24,8 
30-44 ans
23,8 
13,3 
15-29 ans
12,6 
23,4 
0-14 ans
21,2 
Pyramide des âges du département de l'Ain en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,6 
75-89 ans
15,4 
60-74 ans
16 
21 
45-59 ans
20,5 
19,8 
30-44 ans
19,7 
16,6 
15-29 ans
15,2 
20,6 
0-14 ans
19 

Immigration[modifier | modifier le code]

Selon l'Insee, la ville comptait 2 390 immigrés (nés étrangers à l'étranger) sur une population totale de 9 787 en 2018 soit un quart de la population totale[43].

Travailleurs frontaliers[modifier | modifier le code]

Fin 2014, la commune comptait 1 183 frontaliers (titulaires d'un permis G) travaillant dans le canton de Genève[44],[45] et a reçu une rétrocession financière de 2,282 millions d'euros de la part du canton (chaque année, depuis 1973, Genève reverse une partie de l'impôt perçu sur le revenu des frontaliers aux communes françaises avoisinantes). Cette même année, le montant de la compensation genevoise dépasse les 232 millions d'euros répartis entre l'Ain et la Haute-Savoie, en fonction du nombre de frontaliers travaillant à Genève et résidant dans chacun des deux départements[46],[47].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La ville possède une école maternelle située au centre-ville, à proximité de l'école primaire du centre. Dans les hameaux d'Arbère, Villard et Vesenex, sont présentes trois écoles primaires. Les écoles de Villard et Vesenex sont regroupées au sein de l'école des Hameaux. À la rentrée 2019, la ville comptait 1170 écoliers parmi les 43 classes des écoles maternelles et primaires[48].

Une nouvelle école, dénommée Guy-de-Maupassant, regroupant un centre de loisirs et les cuisines municipales a ouvert en 2013[49].

Depuis la rentrée 2019, la totalité des classes est équipées de tableaux interactifs, dans le cadre du plan informatique de la commune.

Un vaste plan de rénovation énergétique des écoles est adopté en 2022.

Divonne-les-Bains compte aussi un collège d'enseignement général, le collège Marcel-Anthonioz construit en 1976. À la suite de l'incendie du réfectoire du 19 novembre 2014, celui-ci est reconstruit et modernisé en 2015.

Culture[modifier | modifier le code]

Salles de spectacles[modifier | modifier le code]

  • L'espace Charles-Aznavour, dévolu à la chanson, propriété du Domaine de Divonne (casino de Divonne) ; il est utilisé occasionnellement pour la venue d'artistes de renommée nationale ou internationale ;
  • Le cinéma-théâtre André-Dussollier, construit au XIXe siècle, appartenant également au Domaine de Divonne ; le cinéma est actuellement exploité (2021 - aujourd'hui), mais la programmation théâtrale ne propose que quelques dates dans l'année. Une rénovation du cinéma-théâtre est engagée à la rentrée 2019 afin de relancer les activités dans ce lieu et de le valoriser.
  • La salle de spectacle située à l'Esplanade du Lac, offrant 498 places assises, dévolue au théâtre et à la danse, propriété de la commune de Divonne-les-Bains ; la saison culturelle comprend une trentaine de spectacles[50]. Les estivales du lac s'y déroulent en juillet et en août et comprennent diverses animations (séances de cinéma en plein air, spectacles de danse, ateliers créatifs...).

Sports[modifier | modifier le code]

  • La ville de Divonne possède un gymnase avec une salle d'escalade, deux salles de combat, deux salles de danse, une salle d'agrès et une salle multisports.
  • Il y a aussi 8 courts de tennis, dont deux couverts en terre battue depuis 2011.
  • La ville possède aussi un golf de dix-huit trous, un neuf trous, un centre nautique olympique (architecte Maurice Novarina), une plage surveillée, un hippodrome accueillant des courses de trot et de galop, quatre terrains de football dont un synthétique, un city stade et un skatepark. Des sports nautiques sont aussi exercés dans le lac.
  • L’équipe de France de football (menée par Raymond Kopa) a effectué son stage de préparation de la Coupe du monde 1954 à Divonne-les-Bains.
  • Le Tour de France 1969 , le Tour de France 1973 et le Tour de France 1976 ont eu comme ville-étape Divonne-les-Bains.
  • Divonne a accueilli pendant plusieurs années le championnat du monde de Dragon Boat (discipline) au lac.
  • L'équipe de rugby de l'agglomération du Pays de Gex (Union Sportive du Pays de Gex) évolue en championnat Honneur[51].
  • L'équipe de football de Divonne-les-Bains (U.S Divonne) évolue en division régionale[52].
  • La pratique du sport est favorisée par la ville à la suite de l'obtention des labels « Terre de Jeux 2024 » et « Centre de préparation aux Jeux ».

Social[modifier | modifier le code]

La commune compte environ 300 logements sociaux en 2019. Le projet de PLU prévoit la construction de près de 400 logements sociaux dans la ville entre 2020 et 2030.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 038 , ce qui plaçait Divonne-les-Bains au 849e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[53].

En 2016, le revenu fiscal médian par ménage était de 46 008 [54]

Emploi[modifier | modifier le code]

La population de Divonne-les-Bains se répartit à 49,7 %[Quand ?] d'actifs, ce qui est légèrement supérieur au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, 14,5 % de retraités, un chiffre inférieur au 18,2 % national. On dénombre également 21,4 % de jeunes scolarisés et 14,4 % d'autres personnes sans activité.

Le taux d'activité de la population des 20 à 59 ans de Divonne était de 82 %, avec un taux de chômage de 7,1 %, en 1999, donc bien inférieur à la moyenne nationale de 12,9 % de chômeurs.

Répartition des emplois par domaine d'activité

  Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
Divonne-les-Bains 0,4 % 8,1 % 18,6 % 20,8 % 35,5 % 16,6 %
Moyenne nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
Sources des données : INSEE[55]

Projets[modifier | modifier le code]

Embouteillage de l'eau minérale de Divonne-les-Bains[modifier | modifier le code]

Initié par l'ancien maire Etienne Blanc, un projet polémique d'embouteillage de l'eau de Divonne-les-Bains est lancé en 2016, soulevant une vague de contestation en France et en Suisse, à partir de 2019 à cause des conséquences environnementales.

Le permis de construire a été accordé par la municipalité en février 2019, occasionnant des recours de dix communes suisses[56].

Le 10 avril 2019, l’hôtel de ville de Divonne-les-Bains est recouverts de tags 'non à la mise en bouteille' 'sabotage' 'résistance'[57].

Le 24 mai 2019, une réunion publique houleuse est organisée[58].

Le 3 septembre 2019, le maire Vincent Scattolin annonce aux Divonnais qu’il met fin à ce projet en raison de « la rupture du rapport de confiance avec le porteur de projet », et car ce projet « devient incompatible avec les politiques menées par la commune et notamment dans le domaine de l’environnement et du développement durable ». Il annonce que l’investisseur a refusé des avenants écologiquement contraignants et a refusé de fournir son plan de financement[59].

Le maire s'engage à « faire le nécessaire pour que la rupture du contrat ne coûte rien aux Divonnais » et propose au conseil municipal de travailler sur un concept de fontaines d’eau minérale afin de rendre « cette richesse plus accessible aux Divonnais »[60].

En 2022, la ville remporte le contentieux relatif à la rupture du contrat d'embouteillage des eaux de Divonne-les-Bains.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'entrée du casino.
Divonne-les-Bains, les hôtels, vers 1920.

Divonne possède une église et un temple protestant  :

  • L'église Saint-Étienne, place de l'Église située au centre-ville ;
  • Le temple de l'Église réformée, rue du Temple, construit en 1870. Il est situé à cinquante mètres de l'église.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Événements[modifier | modifier le code]

  • Entre le 1er et le 18 octobre 2019, la commune organise avec le bureau de l'Organisation des Nations unies à Genève ainsi qu'avec la Fondation pour Genève une exposition sur le développement durable, et les objectifs des Nations unies en la matière. La commune expose aussi ses actions dans le domaine[67].
  • De nombreux évènements prévus autour des Jeux olympiques d'été de 2024, à la suite de l'obtention du label « Terre de Jeux 2024 », le 22 novembre 2019.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune bénéficie d'importants atouts environnementaux et met en place plusieurs actions en faveur de la nature.

Biodiversité[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Divonne-les-Bains

La commune de Divonne-les-Bains porte :

Écartelé : au premier et au quatrième d'argent semé de billettes de sable au lion issant du même brochant sur le tout, au deuxième et au troisième d'azur aux trois morailles d'or rangées en pal et au chef d'argent chargé d'un lion issant de gueules[68].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  2. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Gérard Dous, « Voilà 50 ans que Divonne et Vésenex se sont mariées pour le… Meilleur », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 20 février 1965, le conseil municipal de la ville, présidé par le député maire Marcel Anthonioz, prenait connaissance de l’arrêté préfectoral du 8 février 1965, officialisant le « mariage » entre les deux communes. Du coup, était mis fin à 171 ans d’existence de la commune de Vésenex, née en 1794 ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Divonne » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Divonne » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Divonne-les-Bains (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Mobilité - Ville de Divonne les Bains », sur divonnelesbains.fr (consulté le ).
  19. « Ski bus - Ville de Divonne les Bains », sur divonnelesbains.fr (consulté le ).
  20. « APiCy - Ville de Divonne les Bains », sur apicy.fr (consulté le ).
  21. a et b Henry Suter, « Divonne-les-Bains », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
  22. Jacques Lacroix, Le celtique dēvo- et les eaux sacrées, Mémoires de la société belge d'études celtiques, 32, Bruxelles, 2011
  23. Antoine Élisabeth Cléophas Dareste de la Chavanne, Histoire de France depuis les origines jusqu'à nos jours, Volume 9, Plon, 1879, p. 496.Lire en ligne
  24. « Commune de Vésenex-Crassy (01438) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  25. Les thermes de Divonne-les-Bains fermeront leurs portes en 2023, site officiel-thermalisme.com
  26. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Amélie Vuargnoz, « Municipales 2020 : Vincent Scattolin élu au premier tour à Divonne : Dimanche 15 mars, Vincent Scattolin a été élu au premier tour pour la commune de Divonne-les-Bains, avec un total de 65 % des voix », Le Pays gessien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  29. « Les maires de Divonne-les-Bains », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. Ruth Fiori, « VIDART Charles Albert », Annuaire prosopographique : recherche, Comité des travaux historiques et scientifiques - Institut rattaché à l’École nationale des chartes, (consulté le ).
  31. Catherine Lagrange, « Municipales : à Lyon, déjà deux candidats déclarés contre Gérard Collomb », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Né à Givors, au sud de la métropole, il a effectué la majeure partie de sa carrière dans le département voisin de l’Ain. Professionnellement comme avocat, à Bourg-en-Bresse, politiquement à Divonne-les-Bains, petite commune thermale de 10 000 habitants, proche de la frontière suisse, une ville dont il est maire depuis vingt-sept ans. Mais, il y a quelques jours, Etienne Blanc a annoncé à son conseil municipal son intention de passer la main en janvier prochain… pour mieux s’occuper de la ville aux deux fleuves ».
  32. « L’heure du bilan pour le maire démissionnaire Étienne Blanc : Le 31 janvier, Étienne Blanc a tiré un trait sur les cinq mandats de maire que lui ont confié les Divonnais pour commencer sa campagne lyonnaise. Il se dit fier d’avoir préservé la ville d’une bétonisation outrancière. Rencontre », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Divonne-les-Bains », (consulté le ).
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  44. Titulaires d'un permis frontalier dans le canton de Genève.
  45. Ce chiffre ne comprend que les titulaires d'un permis G et n'inclut donc pas les Suisses et binationaux qui ont leur résidence principale dans la commune ni les employés des organismes internationaux.
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  47. Fonds frontaliers : notre région se taille encore et toujours la part du lion, Le Messager, 07.01.2010
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  65. Odile Pagny, Retraitée, musicien ()ne et mère de star, lyonne.fr, vendredi 16 octobre 2009.
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