Comme à Ostende — Wikipédia

Comme à Ostende

Chanson de Léo Ferré
extrait de l'album Paname
Sortie décembre (?) 1960
Enregistré novembre 1960
Durée 3:35
Genre chanson française
Auteur Jean-Roger Caussimon
Compositeur Léo Ferré
Label Barclay-Universal

Pistes de Paname

Comme à Ostende est une chanson de Léo Ferré et Jean-Roger Caussimon, figurant sur l'album Paname, premier album de Ferré à paraître chez Barclay à l'hiver 1960.
Caussimon l'interprète à son tour dans son premier album, en 1970, année où il commence une carrière de chanteur.

Cette chanson, devenu un classique du répertoire de Léo Ferré, est considérée par d'aucuns comme un des sommets de la collaboration entre Ferré et Caussimon.

Historique[modifier | modifier le code]

Les paroles sont de Jean-Roger Caussimon, la musique de Léo Ferré, l'arrangement de Jean-Michel Defaye.

La collaboration de Léo Ferré avec Jean-Roger Caussimon remonte à la fin des années 1940, avec la méconnue « À la Seine »[1] et le désormais classique « Monsieur William » (1950-53). Elle se poursuit en 1957 avec toutes une brassée de chansons (« Mon Sébasto », « Mon Camarade », « Les Indifférentes »[2] et « Le Temps du tango », cette dernière devenant un succès).

Après les titres enregistrés en octobre 1954 pour la firme Odéon, qu'il avait orchestrés lui-même (voir album Le Piano du pauvre), c'est ici la deuxième fois que Léo Ferré se fait accompagner par un effectif symphonique.

Forme[modifier | modifier le code]

Enregistrement[modifier | modifier le code]

Musiciens[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Reprises[modifier | modifier le code]

Cette chanson a été chantée notamment par Serge et Sonia (1961), Anne Gacoin (1962), Catherine Sauvage (1965), Jean-Roger Caussimon (1970), le chanteur belge Arno (1996), Michel Hermon (1998), Joan-Pau Verdier (2001), Morice Benin (2002), Sapho (2006), Bernard Lavilliers (2009).

Liens internes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Texte mis en musique par Ferré dès 1946 mais enregistré au disque en 1954, sur l'album Le Piano du pauvre.
  2. Cette chanson est interprétée sur scène à Bobino en janvier 1958 mais ne sera jamais enregistrée en studio par Ferré.