Claude Le Roy — Wikipédia

Claude Le Roy
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Claude Le Roy en 2017.
Biographie
Nom Claude Marie François Le Roy
Nationalité Française
Naissance (76 ans)
Bois-Normand-près-Lyre (France)
Taille 1,77 m (5 10)
Période pro. 1968-1980
Poste Milieu de terrain, latéral droit puis entraîneur
Parcours junior
Années Club
1962-1965 Évreux AC
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1965-1968 Évreux AC 049 (13)
1968-1970 FC Rouen 009 0(1)
1970-1973 AC Ajaccio 095 (12)
1973-1977 Olympique avignonnais 123 (15)
1977-1980 Stade lavallois 088 0(5)
1980-1981 Amiens SC 025 0(2)
Parcours entraîneur
AnnéesÉquipe Stats
1980-1983 Amiens SC
1983-1985 FC Grenoble
1985-1988 Cameroun 37v 6n 6d
1988-1992 Sénégal 14v 10n 9d
1992-1993 Al Shabab
1994-1996 Malaisie 2v 3n 6d
1998 Cameroun 5v 3n 2d
1999-2000 RC Strasbourg
2001-2003 Shanghai International
2004-2006 RD Congo 4v 9n 9d
2006-2008 Ghana 17v 2n 3d
2008-2011 Oman 27v 17n 15d
2011 Syrie
2011-2013 RD Congo 8v 4n 3d
2013-2014 Bretagne 1v 0n 0d
2013-2015 Congo 12v 5n 9d
2016-2021 Togo 6v 5n 9d
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
Dernière mise à jour : 15 mai 2023

Claude Marie François Le Roy est un footballeur puis entraîneur français, né le 6 février 1948 à Bois-Normand-près-Lyre dans le département de l'Eure.

Biographie[modifier | modifier le code]

Originaire de Bourbriac, il est fils d'enseignants d'origine bretonne. Il est joueur amateur puis professionnel de 1968 à 1980, et entraîneur à partir de 1980.

Joueur[modifier | modifier le code]

Claude Le Roy en 1975.

Dès 1967, les clubs professionnels s'intéressent à lui puisqu'il a déjà fait un essai à Lille[1]. Il a 18 ans, est ailier droit, et buteur de l'Evreux AC. Il ne passe professionnel qu'à l'âge de vingt ans car ses parents voulaient qu'il passe son bac d'abord[2]. Mesurant 1,77 m et pesant 72 kg, Claude Le Roy jouait au poste de milieu polyvalent. Il ne s'est jamais vraiment imposé comme titulaire au début de sa carrière, perdant facilement son sang-froid. Il a ensuite accompli un honorable parcours, jouant également au poste d'ailier avant de se reconvertir comme défenseur lors de sa dernière saison au Stade lavallois de Michel Le Milinaire, avec qui il avait toujours souhaité travailler[2]. Instruit, il aimait le dialogue tout en demeurant campé sur ses positions. Sur le terrain, c'était un gagneur; son jeu était à l'image de sa personnalité, sûr de lui et sans complexe[3]. Il choisit par la suite le métier d'entraîneur, qui l'amena à de riches rencontres planétaires.

Débuts en tant qu'entraîneur[modifier | modifier le code]

En 1979 il obtient le BEES 2e degré spécifique football, nécessaire pour valider le diplôme d'entraîneur de football (DEF). En 1980, il est reclassé amateur[4] et commence sa carrière en tant qu'entraîneur-joueur au Amiens Sporting Club. À partir de 1981, il range définitivement les crampons pour se consacrer à l'entraînement jusqu'en 1983 mais ne réussit pas à faire monter le club en D2. Il signe ensuite au FC Grenoble qui a pour objectif la montée en D1 mais sa première saison fut un échec puisqu'il ne finit qu'à la 7e place. La seconde saison n'est guère mieux car il est dans le ventre mou du classement et donc ses dirigeants décident de le licencier.

« Le sorcier blanc »[modifier | modifier le code]

En , Claude Le Roy est nommé sélectionneur de l'équipe du Cameroun, championne d'Afrique en titre[V 1]. Il commence son aventure camerounaise par une victoire en Coupe afro-asiatique des nations contre l'Arabie saoudite, vainqueur de la Coupe d'Asie des nations 1984 (4-1, 0-1)[V 2]. Le Roy perd ensuite sa première finale de Coupe d'Afrique des nations en 1986 contre l'Égypte aux tirs au but[V 3]. Après deux victoires en Coupe de l'UDEAC en 1986 et en 1987, les Lions indomptables remportent la Coupe d'Afrique des nations 1988 au Maroc contre le Nigeria (1-0) grâce à un penalty d'Emmanuel Kundé[V 4]. En raison de désaccords avec Joseph Fofé, ministre de la Jeunesse et des Sports du Cameroun, Claude Le Roy refuse les propositions de prolongation de la part du président de la république Paul Biya à l'été 1988[V 5].

Il rejoint ensuite l'équipe du Sénégal en tant que sélectionneur[V 6]. Pour sa première compétition avec les Lions de la Teranga, il ne fait pas mauvaise figure car il atteint les demi-finales de la Coupe d'Afrique des nations 1990 en Algérie qu'il perd contre l'Algérie (1-2)[V 7]. Deux ans plus tard, le Sénégal organise la CAN 1992. Au premier tour, la sélection nationale termine deuxième de son groupe, mais s'incline en quarts de finale par le Cameroun (0-1)[V 8].

Expériences asiatiques et françaises[modifier | modifier le code]

Il entraîne ensuite brièvement un club émirati, Al Shabab Dubaï lors de la saison 1992-1993[V 9], avant un passage à la tête de la modeste équipe de Malaisie de [V 10] à [5].

Début 1996, il rejoint la chaîne de télévision Canal+ pour commenter la Coupe d'Afrique des nations en Afrique du Sud avec Grégoire Margotton et Philippe Doucet[6] puis devient le consultant principal de la chaîne cryptée[7],[8]. En parallèle, il travaille comme recruteur pour l'AC Milan[9].

Fin , Claude Le Roy quitte Canal+ et le Milan AC pour rejoindre le Paris Saint-Germain en tant que directeur sportif[7]. À la fin de la saison, quand Michel Denisot est remplacé par Charles Biétry à la présidence du PSG, Le Roy quitte le club parisien[V 11].

Le , le technicien français est nommé à la tête du Cameroun pour la Coupe du monde en France[10],[11]. Lors du Mondial, les Lions indomptables sont éliminés au premier tour après deux matchs nuls contre le Chili (1-1) et l'Autriche (1-1) et une défaite contre l'Italie (0-3).

Nommé manager général du RC Strasbourg par le président Patrick Proisy en , Claude Le Roy choisit Pierre Mankowski comme entraîneur[12]. Il est également rappelé par Canal+ pour commenter certains matchs de Coupe de l'UEFA[13]. En , devant les mauvais résultats enregistrés, Le Roy succède à Mankowski comme entraîneur d'une équipe dix-septième du championnat. Pour ce faire, le club alsacien demande à Claude Le Roy d'abandonner ses fonctions de consultant à Canal+[14],[15]. Il réussit sa mission et le Racing se redresse sous sa direction, atteignant finalement une neuvième place honorable. Le Roy reste en poste mais est remercié en [16],[17].

En , il effectue un passage de quelques semaines au Nîmes Olympique en tant que manager[18]. Par la suite, Claude Le Roy rebondit en Chine pour entraîner Shanghaï Cosco avec Hervé Renard[V 12]. Il démissionne en [V 13].

En 2003, il fait son retour en tant que consultant sur Canal+ pour commenter le grand match de Ligue 1 du dimanche soir[V 14].

En , Le Roy devient conseiller sportif de Cambridge UFC qui évolue en D4 anglaise toujours accompagné d'Hervé Renard[19].

Sélectionneur (deuxième période)[modifier | modifier le code]

En 2004, Claude Le Roy effectue son grand retour en Afrique. Il devient sélectionneur de la République démocratique du Congo[V 15]. Lors de la CAN 2006, dans un groupe relevé avec l'Angola et le Togo qui sont toutes les deux qualifiées pour la Coupe du monde 2006 et le grand Cameroun, la RDC termine seconde du groupe derrière le Cameroun, mais elle s'incline contre l'Égypte pays organisateur et futur vainqueur de la compétition sur le score de 4 buts à 1[V 16].

Après une bonne coupe d'Afrique avec le Congo, Claude Le Roy prend les commandes du Ghana qui vient d'atteindre les huitièmes de finale de la coupe du monde. Le Ghana est désigné pays-hôte de la CAN 2008 où il espère faire un bon parcours. Lors du premier tour, le Ghana bat respectivement la Guinée en match d'ouverture (2-1), puis la Namibie (1-0) et le Maroc (2-0), en quart, il s'impose contre le Nigeria (2-1). En demi, malgré le fait que les Black stars ont dominé tout le match, ils perdirent le match contre le Cameroun (0-1) mais se consolent avec la troisième place en battant la Côte d'Ivoire 4 buts à 2. Le Ghana dans son ensemble a réalisé une bonne CAN. Arrivant en fin de contrat en juin 2008, Claude Le Roy quitte les Black Stars après avoir refusé une prolongation de contrat de la Fédération ghanéenne de football[20],[21].

Claude Le Roy au Caire en 2019.

En juillet 2008, Claude Le Roy devient le sélectionneur de l'Oman[22]. Avec cette sélection, il gagne la Coupe du Golfe 2009 à la surprise générale : Oman bat en finale de l'Arabie saoudite aux tirs au but 6-5[23]. C'est la première fois de son histoire qu'Oman gagne cette coupe du Golfe.

En mars 2011, après la Coupe d'Asie, Claude Le Roy s'engage avec la Syrie. Une aventure qui ne dure que deux mois suite à l'état de guerre que connait le pays[24].

De septembre 2011 à 2013, Claude Le Roy est sélectionneur de la République démocratique du Congo pour la deuxième fois de sa carrière.

En mai 2013 il est le sélectionneur de l'équipe de Bretagne qui bat le Mali en match amical[25].

En décembre 2013, il devient sélectionneur de l'équipe du Congo[26]. Il démissionne en novembre 2015[27]. En avril 2016, il remplace Tom Saintfiet au poste de sélectionneur du Togo en raison des mauvais résultats enregistrés par l'équipe[28].

Il démissionne en avril 2021 après l'échec de la qualification des Éperviers pour la CAN[29].

En mars 2021 il est élu membre du comité directeur de l'UNECATEF[30].

Consultant TV[modifier | modifier le code]

Claude Le Roy a été un des consultants éminents de Canal+ dans les années 1990 et au début des années 2000, pendant les périodes où il était sans club. En 2008, il commente la finale de la Coupe d'Afrique des nations en compagnie de Denis Balbir sur France 2. Il commente les matchs de la Coupe d'Afrique des nations 2010 et 2012 pour Orange sport où il retrouve Denis Balbir. Pour la Coupe du monde 2010, il rejoint L'Équipe TV.

Depuis septembre 1982 il est membre du Variétés Club de France[31], avec lequel il totalise six buts[32].

Carrière[modifier | modifier le code]

Joueur[modifier | modifier le code]

Sélectionneur et manager[modifier | modifier le code]

  • 1980-1983 : Amiens SC (entraîneur)
  • 1983-1985 : FC Grenoble (entraîneur)
  • 1985 : Al Shabab Dubaï (entraîneur)
  • 1985-1988 : Cameroun (sélectionneur)
  • 1990-1992 : Sénégal (sélectionneur)
  • 1994-février 1996 : Malaisie (sélectionneur)
  • 1996 : Milan AC (superviseur)
  • 1997-1998 : Paris SG (directeur sportif)
  • 1998 : Cameroun (sélectionneur)
  • 1998-novembre 1999 : RC Strasbourg (manager général)
  • novembre 1999 - novembre 2000 : RC Strasbourg, (manager général et entraîneur)
  • 2001-2003 : Shanghai Cosco (entraîneur)
  • 2004 : Cambridge United (conseiller)
  • 2004-2006 : RD Congo (sélectionneur)
  • 2006-2008 : Ghana (sélectionneur)
  • 2008-2011 : Oman (sélectionneur)
  • 2011-2011 : Syrie (sélectionneur)
  • 2011-2013 : RD Congo (sélectionneur)
  • décembre 2013 - novembre 2015 : Congo (sélectionneur)
  • avril 2016 - avril 2021 : Togo (sélectionneur)

Palmarès[modifier | modifier le code]

Implication dans l'affaire des transferts du RC Strasbourg[modifier | modifier le code]

Claude Le Roy est placé en garde à vue le 26 septembre 2006 et mis en examen le 28 pour abus de biens sociaux, faux et usage de faux, par le parquet de Strasbourg dans le cadre d'une enquête sur la gestion du RCS par le groupe IMG-Mac Cormack[34].

Le cœur de l'affaire concerne une série de transferts de joueurs effectués à l'époque où Le Roy avait la haute main sur la gestion sportive du club strasbourgeois (1998-2000). L'affaire présente de nombreuses similitudes avec celles ayant secoué l'Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain. Dans tous ces cas, les enquêteurs suspectent l'existence d'un système où les indemnités de transferts étaient nettement sur-évaluées afin de financer diverses commissions, primes, ainsi que des compléments de rémunération pour les joueurs, agents et dirigeants. Le Racing a par exemple rémunéré la société Planet's player de l'agent Gilbert Sau à hauteur de 5 millions de francs pour financer le transfert de Pascal Camadini alors que le joueur - qui a touché 2 millions de francs à l'occasion - avait été libéré par son précédent club, FC Sion[35]. Pour sa défense, Claude Le Roy affirme qu'il n'avait pas connaissance des détails administratifs et financiers et que toutes ses décisions ont été avalisées par le président de l'époque, son ancien ami Patrick Proisy.

L'absence de logique sportive de quelques-uns des transferts réalisés à l'époque - certains joueurs n'ont jamais joué un match officiel avec le RCS, d'autres étaient d'un niveau clairement insuffisant - ont fait naître des suspicions d'enrichissement personnel à l'encontre de Le Roy, qui paye l'impôt sur la fortune et dispose de 17 comptes bancaires[35]. Le joueur Pierre Njanka a également révélé que son transfert et celui de Joseph N'Do à Strasbourg avaient été entièrement gérés en juin 1998 par Le Roy - qui était alors le sélectionneur des deux joueurs en équipe du Cameroun - à des conditions nettement inférieures à celles du marché.

Le 13 septembre 2016, le Tribunal correctionnel de Strasbourg condamne Claude Le Roy à 15000 € d'amende pour faux et usage de faux dans le transfert de Per Pedersen. Il est relaxé pour complicité d'exercice illégal de l'activité d'agent de joueurs[36].

Carrière politique[modifier | modifier le code]

En 2001, lors des élections municipales, Claude Le Roy était en cinquième position sur la liste gauche plurielle menée par Élisabeth Guigou à Avignon. Cette liste a rassemblé 31,53% des suffrages au premier tour mais est largement battue au second tour.

Décorations[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références bibliographiques[modifier | modifier le code]

  1. p. 121
  2. p. 136-137
  3. p. 146-147
  4. p. 160
  5. p. 166-167
  6. p. 169
  7. p. 183
  8. p. 190-191
  9. p. 192-193
  10. p. 204-205
  11. p. 232-233
  12. p. 287
  13. p. 293
  14. p. 295
  15. p. 300-301
  16. p. 307-308

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. in: France Football, page 19, 30 mai 1967.
  2. a et b « Que deviens-tu ? Claude Le Roy », SL match, le journal du match,‎
  3. Michel Jouneaux, Le Stade lavallois, une histoire, Siloë, 1994, p. 217.
  4. FFF, « Demande de reclassement dans les rangs amateurs », France Football Officiel, no 1777,‎ , p. 15
  5. Husin Rahman, « Malaisie. Le Roy s'en va », in France Football, 13 février 1996, n°2601, page 37.
  6. « Claude Le Roy: «J’ai suivi toutes les luttes de Nelson Mandela» », sur RFI, (consulté le )
  7. a et b « Claude Le Roy futur directeur sportif du PSG », sur Le Télégramme, (consulté le )
  8. « Éric Besnard : "Mon premier match à Monaco, c’était avec Thierry Gilardi" », sur AS Monaco, (consulté le )
  9. « Claude Le Roy détectera des espoirs africains pour le Milan AC », sur Libération, (consulté le )
  10. « Foot: Claude Le Roy sélectionneur du Cameroun », sur L'Humanité, (consulté le )
  11. « Claude Le Roy a été nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Cameroun », sur Le Monde, (consulté le )
  12. « Strasbourg : Mankowski nouvel entraîneur, Le Roy nommé manager général », Le Télégramme, (consulté le )
  13. « CANAL + », sur L'Humanité, (consulté le )
  14. « La valse des entraîneurs continue Après Courbis, Mankowski ! », sur Le Télégramme, (consulté le )
  15. « Foot. L'entraîneur du club licencié vendredi. Strasbourg perd la boule et sa tête. », sur Libération, (consulté le )
  16. « Strasbourg licencie Claude Le Roy », sur Le Monde, (consulté le )
  17. « Le Roy finit par payer la note Strasbourg », sur Le Parisien, (consulté le )
  18. « Le Roy manager de Nîmes », sur liberation.fr, Libération, (consulté le )
  19. (en) « Cameroon to Cambridge: Le Roy's the boy », sur The Guardian, (consulté le )
  20. Claude Le Roy : Bye-bye, Ghana, rfi.fr, 9 mai 2008.
  21. Claude Le Roy n’est plus sélectionneur du Ghana, rmc.com, 10 mai 2008.
  22. Claude Leroy nouvel entraîneur d'Oman, fifa.com, 15 juillet 2008.
  23. Victoire d'Oman et Claude Leroy, lequipe.fr, 17 janvier 2009.
  24. « Claude le Roy va quitter la Syrie et s'en prend à la fédération », sur 20minutes.fr (consulté le )
  25. « Football. La Bretagne plus forte que le Mali (1-0) », sur Le Telegramme, (consulté le )
  26. Claude Le Roy passe de la RD Congo au Congo, toutlemondesenfoot.fr, 6 décembre 2013.
  27. Congo-Brazzaville : Claude Le Roy quitte son poste, lequipe.fr, 18 novembre 2015.
  28. Claude Le Roy a été nommé sélectionneur du Togo, lequipe.fr, 6 avril 2016.
  29. « Claude Le Roy démissionne du poste de sélectionneur du Togo », sur L'Équipe (consulté le )
  30. « Claude Le Roy élu membre du comité exécutif du syndicat des entraîneurs » Accès libre, sur Icilome, (consulté le )
  31. « Liste officielle des membres | Variétés Club de France » Accès libre, sur varietes.org (consulté le )
  32. « Classement des buteurs | Variétés Club de France » Accès libre, sur varietes.org (consulté le )
  33. Ils ont entrainé les Lions Indomptables, camlions.com, 21 août 2006.
  34. "Ligue 2 - Strasbourg: Patrick Proisy et Claude Leroy mis en examen", AFP, 28 septembre 2006
  35. a et b L'Équipe magazine du 9 décembre 2006
  36. « Patrick Proisy et Claude Le Roy condamnés dans l'affaire des transferts frauduleux », sur france3.fr,
  37. « George Weah décore Arsène Wenger et Claude Le Roy », sur rfi.fr,

Liens externes[modifier | modifier le code]