Clairac (Lot-et-Garonne) — Wikipédia

Clairac
Clairac (Lot-et-Garonne)
Vue générale. Au premier plan, le Lot.
Blason de Clairac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Michel Perat
2020-2026
Code postal 47320
Code commune 47065
Démographie
Gentilé Clairacais
Population
municipale
2 568 hab. (2021 en diminution de 1,68 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 21′ 38″ nord, 0° 22′ 47″ est
Altitude 54 m
Min. 27 m
Max. 185 m
Superficie 33,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tonneins
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tonneins
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Clairac
Liens
Site web http://www.clairac.com/

Clairac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine). Clairac fait partie de la Val de Garonne Agglomération[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Commune située sur le Lot entre Aiguillon, Tonneins et Villeneuve-sur-Lot, dans le pays de la Vallée du Lot.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bourran, Grateloup-Saint-Gayrand, Lafitte-sur-Lot, Laparade, Nicole et Tonneins.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Verteuil-d'Agenais à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 821,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Clairac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tonneins, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,8 %), terres arables (28,9 %), prairies (7 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (4,4 %), cultures permanentes (2,6 %), eaux continentales[Note 3] (2,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Clairac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Torgue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1999, 2003, 2006, 2009 et 2021[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clairac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[16].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1482, Louis XI avait accordé des droits au chapitre de la cathédrale du Latran à Rome sur l'abbaye de Clairac. Mais l'essor du protestantisme dans la région empêchait ce dernier de percevoir ces revenus. (Attention, cette information est erronée. Louis XI a accordé un certain nombre de largesses au chapitre de Saint-Jean de Latran, mais pas les revenus de l'abbaye de Clairac).

Le , Henri IV accorde au chapitre de Saint-Jean de Latran les revenus de l'abbaye bénédictine de Clairac. En contrepartie, le chapitre fait ériger par le sculpteur lorrain Nicolas Cordier une statue à l'effigie du roi de France, auquel il attribue le titre de « chanoine d’honneur » ; elle fut installée sous le portique de la basilique. Par ailleurs il fait célébrer une messe pour la prospérité de la France le , jour anniversaire de la naissance d'Henri.

Durant les révoltes huguenotes, après avoir pris la ville de Saint-Jean-d'Angély, Louis XIII prit la décision de se porter vers le sud avec le gros de ses troupes pour soumettre la Guyenne, et assiéger Clairac qui était un bastion du protestantisme et dont la devise est « Ville sans Roy, soldats sans peur ». Après 12 jours de siège, du 23 juillet au 4 août la ville se rendit[24]. À l'issue de ce siège, trois protestants considérés comme meneurs furent exécutés ; Théophile de Viau, lui-même natif de Clairac, rapporte dans un sonnet satirique de nombreux actes de torture. Aujourd'hui encore la place Viçoze porte une plaque commémorative rappelant à la tolérance.

La devise a été gravée sur la place Viçoze lors de sa rénovation en 2008.

En 1729, Louis XV augmente les revenus du chapitre de ceux de deux prieurés dépendant de l’abbaye de Clairac. La Révolution française supprime ces droits en 1792. Louis XVIII, Charles X et Napoléon III les restaureront sous forme d'une rente qui sera définitivement abolie en 1871. Depuis lors, le titre de « chanoine d’honneur de Saint-Jean-de-Latran » est porté par tous les chefs d'État français, y compris par les présidents de la République qui possèdent leur propre stalle "réservée" dans la basilique romaine.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Les mobilisés[modifier | modifier le code]

Les morts[modifier | modifier le code]

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

L’École navale[modifier | modifier le code]

Depuis sa création en 1830, l’École navale a beaucoup voyagé. Pendant la période troublée de la Seconde Guerre mondiale, elle s’est même installée pendant près de deux ans à Clairac, volontiers accueillie par le maire de l’époque, le commandant Maurice Baril, officier d’active[25].

Près de 300 marins se rejoignent à Clairac. L’école est alors composée d’une compagnie de 91 élèves-officiers, un groupe de commandement avec deux officiers supérieurs, un encadrement de deux officiers supérieurs, un ingénieur mécanicien et un médecin principal, ainsi qu’une compagnie d’équipage, d’officiers mariniers et de marins incluant du personnel administratif, des fusiliers-marins et des gendarmes maritimes.

Construction de baraquements pour accueillir les cours des élèves. L’état-major et la compagnie d’équipage vivent dans l’abbaye du village. Les élèves logent au domaine de Castille et les officiers au château de Bireboy. Des familles d’officiers, d’encadrants et de professeurs civils s’installent dans le village.

Rien n’est laissé au hasard pour assurer la formation des élèves officiers. Des baraquements démontables sont ajoutés pour accueillir les cours de navigation, d’astronomie, de mécanique, etc. Un barrage en aval du Lot permet même de constituer un plan d’eau pour l’apprentissage des rudiments de la navigation, de la voile et de l’aviron, mais aussi pour l’entraînement physique avec la remontée du Lot sur près de 5 km et des séances de natation.

Après de nombreuses réticences de la part du commandant de l’école, le CV Lacaille d’Esse, une unité combattante composée de 16 officiers, 147 officiers-mariniers, quartiers-maîtres, marins et 91 bordaches est mise sur pied en pour rejoindre le maquis du Néracais et soutenir les alliés qui ont débarqué. Ils se lancent alors dans une marche nocturne de près de 40 km pour passer la Garonne au Mas d’Agenais d’où ils rejoindront le maquis et combattront les troupes allemandes en Charente-Maritime.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Clairac Blason
D'azur au soleil rayonnant d'or.
Devise
"Ville sans roy, soldat sans peur"
Cri de guerre
"Lux clareat"[26]
Détails
Armes parlantes. (soleil/clair)
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1929 1941 Rodolphe Roubet SFIO  
1941 1944 M. Maurice Baril    
mars 1944 1949 Rodolphe Roubet SFIO Agriculteur
Conseiller général (1945-1959)
Président du conseil général de Lot-et-Garonne
mars 1949 1953 Adrien Vidal    
mars 1953 mars 1959 Rodolphe Roubet SFIO  
mars 1959 mars 1977 Franck Bize    
mars 1977 1979 Yves Cazaux    
1979 mars 2001 Roger Guibert   Pharmacien
mars 2001 mars 2014 Françoise Bize PS Retraitée de la Direction générale des impôts
Conseillère générale (2004-2011)
Vice-présidente du conseil général de Lot-et-Garonne
mars 2014 En cours Michel Perat DVD Retraité
Conseiller départemental (depuis 2018)

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 2 568 habitants[Note 6], en diminution de 1,68 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 9004 8495 0685 1234 9494 9254 8424 5564 381
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 3584 3484 4204 1914 1564 0503 8403 5623 203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8802 8502 8242 2142 2992 2492 3782 5052 610
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 5452 5522 3322 3932 3382 3852 5062 5062 432
2014 2019 2021 - - - - - -
2 5922 5942 568------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Beschi (Alain) et Charneau (Bertrand), Clairac. notice de synthèse. « base Mérimée, ministère de la Culture », https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA47002187.

Blois (Guy), Clairac, une cité protestante et républicaine sous Louis-Napoléon Bonaparte (1848-1870). « Éditions du Roc de Bourzac », Bayac, 1994, 118 p.

Blois (Guy), Clairac au temps de la IIIe République : de Sylvestre de Ferron à Rodolphe Roubet (1870-1940). « Éditions du Roc de Bourzac », Bayac, 1994, 212 p.

Caubet (Jean), Histoire de Clairac. « Imprimerie J. Owen », Nérac, 1979, 155 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les 43 communes - Val de Garonne Agglomération », sur Val de Garonne Agglomération (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Clairac et Verteuil-d'Agenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Clairac », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Batailles françaises par le colonel Édouard Hardy de Périni volume 3 (1621-1643)
  25. [1]
  26. Armorial de France
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Fontaine municipale dite Font'Grand », notice no PA47000007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Ancienne abbaye bénédictine », notice no PA47000004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Eglise Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA47000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Ancien couvent dit Maison des Dames de la Foy », notice no PA47000005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Maison à pans de bois », notice no PA00084092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Marquis de Fayolle, La fontaine de Sauvebœuf, p. 57-66, Revue de l'Agenais, 1931, tome 58 (lire en ligne)
  37. « Château de Roche », notice no PA00084091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Église évangélique libre de Clairac ».
  39. « Assemblée chrétienne Clairac ».