Championnat de France de football de deuxième division — Wikipédia

Ligue 2
Description de l'image Logo Ligue 2 BKT 2020.svg.
Généralités
Sport Football
Création 1933
Autre(s) nom(s) Division Interrégionale (1933-1970)
National (1970-1972)
Division 2 (1972-2002)
Organisateur(s) LFP
Éditions 84 (2022-2023)
Périodicité Annuelle
Lieu(x) Drapeau de la France France
Participants 20
Statut des participants Professionnel
Site web officiel Ligue2.fr
Hiérarchie
Hiérarchie 2e niveau
Niveau supérieur Ligue 1
Niveau inférieur National

Palmarès
Tenant du titre Le Havre AC
Plus titré(s) Le Havre AC (6)
Pour la compétition en cours voir :
Ligue 2 2023-2024

Le Championnat de France de football de Ligue 2 (ou Ligue 2 BKT pour des raisons de sponsoring avec BKT[Note 1]) est la deuxième division du championnat de football professionnel en France. Cette compétition constituant l'antichambre de la Ligue 1 est organisée, comme cette dernière, par la Ligue de football professionnel (LFP).

Appelée Division 2 (D2) à partir de 1972, la compétition prend le nom de Ligue 2 en 2002,

Le Havre AC est le club le plus couronné de la compétition avec six titres. Il est aussi l'actuel tenant du titre, depuis son sacre lors de l'édition 2022-2023 du championnat, et a disputé le plus grand nombre d'éditions (47 saisons en Ligue 2).

Histoire[modifier | modifier le code]

Les débuts (1933-1939)[modifier | modifier le code]

Palmarès
1933-1934 : Red Star Olympique
1934-1935 : CS Metz
1935-1936 : FC Rouen
1936-1937 : RC Lens
1937-1938 : Le Havre AC
1938-1939 : Red Star Olympique

La Division 2 est créée en 1933, un an après la Division 1. 23 clubs répartis en deux groupes (14 au Nord et 9 au Sud) prennent part à cette première édition. Parmi ces clubs, six sont relégués de la D1 en 1932-1933 qui passe de 20 à 14 clubs tandis que les autres sont des clubs « néoprofessionnels ».

On notera la présence de certains clubs hostiles au statut professionnel un an plus tôt tels le RC Strasbourg, l'Amiens AC, Le Havre AC et le RC Roubaix notamment. Cette première édition est également marquée par le premier abandon ; le FAC Nice déclarant un « forfait général » en cours de championnat. Paradoxalement, le record d'affluence en championnat de France (D1 et D2 confondues) est établi le pour une rencontre de D2 entre le FC Rouen et Le Havre AC : 16 040 spectateurs payants.

Un record de recettes fut aussi établi sur un match de D2 : 114 000 francs déposés aux guichets lors de la rencontre Red Star-FC Rouen le [1]. Cette saison 1933-1934 est d'ailleurs celle de tous les records pour la D2 avec 54 buts inscrits par Jean Nicolas (FC Rouen) en seulement 24 matchs. À l'issue du championnat en deux groupes, des phases finales furent organisées pour désigner un vainqueur du championnat ainsi que pour la promotion en Division 1. Le , le Red Star accueille Alès et s'impose 3 buts à 2 lors de la toute première finale qui décerna le tout premier titre de D2[2]. Ces deux clubs sont directement promus en D1 ; deux autres clubs furent également promus lors cette saison (en raison d'un passage de 14 à 16 clubs en D1).

Quatre clubs (les deuxièmes et troisièmes de chaque groupe) furent invités à disputer les barrages. Le FC Rouen qui jouait pour une promotion directe du deuxième de chaque groupe (le FCR eu terminé deuxième du groupe Nord) décida de ne pas prendre part à ces barrages. Il resta alors trois clubs en lice : le RC Strasbourg, le FC Mulhouse et l'AS Saint-Étienne qui s'affrontèrent entre le 13 mai et le 10 juin en match de poules aller-retour. À l'issue de ces matchs, Strasbourg et Mulhouse reportèrent leur billet pour une promotion directe dans l'élite[2].

Afin d'éviter de possible abandons (en cours de saison), les clubs trop déficitaires à l'issue de la saison 1933-1934 furent exclus des compétitions professionnelles, notamment Hyères FC, AS Monaco, Deportivo Bordeaux et AS Béziers qui quittèrent ainsi l'échelon professionnel et la D2 se retrouva avec 16 clubs, comme en D1. Malgré ces précautions, la saison 1934-1935 fut marquée par l'abandon en cours de saison des Parisiens du Club français (2 décembre) et des Malouins de l'US Saint-Servan (3 février)[3] tandis que le SC Nîmes renonça à son statut professionnel en fin de saison.

La situation se stabilisa la saison suivante avec la création d'une D3 centrée principalement sur la Picardie mais qui se compliqua à la suite de l'arrêt de ce championnat au printemps 1937. 31 clubs se retrouvèrent alors obligés d'évoluer en D2 mais les abandons de cinq d'entre eux limitèrent finalement ce nombre à 26. Au lieu de mettre en place deux groupes, la commission des compétitions de la FFF mit en place une épreuve en deux phases. La première phase consistait à regrouper les 26 clubs en lice dans quatre groupes. Les quatre premiers de chaque groupe furent ensuite qualifiés pour disputer un nouveau championnat à seize clubs en match aller-retour qui débuta fin novembre.

Les clubs non qualifiés pour cette phase disputèrent un autre championnat similaire à une D3. Un nombre record d'abandons fut enregistré à la fin de la saison 1937-38 permettant à la FFF de remettre en place un championnat à poule unique avec 22 clubs en compétition. La Seconde Guerre mondiale mit un terme à ces compétitions entre 1939 et 1945.

Le championnat fermé (1945-1970)[modifier | modifier le code]

Depuis qu'il y a eu la création du professionnalisme en France; jusqu'en 1970, les clubs classés derniers en D2 n'étaient pas relégués à l'échelon inférieur. Professionnels et amateurs évoluaient dans deux mondes séparés. En revanche, pour compenser les abandons qui se multipliaient dans les années 1960, la Ligue vota le statut professionnel pour les quelques clubs issus du monde amateur. Certains clubs refusèrent toutefois de franchir ce cap, comme Dijon ou encore le Gazélec d'Ajaccio.

Le championnat « ouvert » (1970-1993)[modifier | modifier le code]

La séparation entre amateurs et professionnels disparut en 1970 à la suite de la réforme des compétitions opérée par la FFF et la Ligue. La D2 devint ainsi ouverte, c'est-à-dire accessible aux clubs professionnels, semi-professionnels ou amateurs. La D2 prit alors le nom de « National », afin d'éviter l'utilisation de nom étrangers, « Open » étant d'abord envisagé[4]. Les trois premiers de chaque groupe de CFA furent ainsi promus en D2 à l'issue de la saison 1969-1970 ainsi que 19 autres clubs sélectionnés sur dossier par la FFF et la Ligue. Trois groupes régionaux de seize clubs furent ainsi mis en place pour la saison 1970-1971. On conservait à l'époque trois groupes durant deux saisons, puis on réduisait à deux groupes de 18 clubs dès 1973.

Statut professionnel obligatoire (1993-2010)[modifier | modifier le code]

Le trophée du champion depuis 2005.

Une nouvelle réforme des compétitions modifia la donne en D2 à partir de 1993. Le groupe unique et le statut professionnel furent rétablis. Toutefois, les derniers à l'issue de chaque saison furent relégués à l'étage inférieur tandis que les promus issus du National furent dotés automatiquement, après passage devant la DNCG, du statut professionnel.

Un championnat de plus en plus médiatisé (depuis 2011)[modifier | modifier le code]

Lors de la saison 2016-2017, le 3e n'est plus promu directement mais doit passer par des barrages, face au 18e de Ligue 1. Le 18e de Ligue 2 n'est également plus relégué directement, mais il affronte le 3e de National en barrages. Depuis la saison 2017-2018, deux nouveaux matchs de barrage ont lieu auparavant : le premier oppose les équipes placées à la 4e et 5e place de la Ligue 2 en match simple, l'équipe classée 3e affronte ensuite le vainqueur, en match simple également. Le vainqueur de ce match dispute alors le barrage aller-retour contre l'équipe de l'élite.

Lors de la saison 2019-2020, les barrages sont supprimés en raison de la crise du COVID-19, et le championnat est arrêté après 28 journées.

Depuis 2019, de plus en plus de clubs de Ligue 2 sont rachetés par des investisseurs étrangers, car le championnat français est très prisé pour son côté central en Europe, et réputé pour sa formation[5].

Lors de la saison 2022-2023, les barrages sont supprimés en raison du passage de la Ligue 1 à 18 clubs. Pendant les saisons 2022-2023 et 2023-2024, 4 clubs sont relégués en National, pour que la Ligue 2 passe également à 18 clubs[6]. Durant cette même saison, plus de la moitié des clubs participants ont un passé récent en Ligue 1, ce qui montre la difficulté à se maintenir dans l'élite.

Palmarès[modifier | modifier le code]

Le Havre AC est le club le plus titré avec six victoires, suivi de l’AS Nancy-Lorraine avec cinq victoires puis du Lille OSC, de l'OGC Nice, du RC Lens et du FC Metz avec quatre victoires.

Par saison[modifier | modifier le code]

Saison Champion Vice-champion Troisième
1933-1934 Nord Red Star Olympique FC Rouen[Note 2] FC Mulhouse
1933-1934 Sud Olympique Alès AS Saint-Étienne AS Monaco FC
1934-1935 CS Metz US Valenciennes-Anzin FC Rouen
1935-1936 FC Rouen RC Roubaix AS Saint-Étienne
1936-1937 RC Lens US Valenciennes-Anzin AS Saint-Étienne
1937-1938 Le Havre AC AS Saint-Étienne Stade rennais UC
1938-1939 Red Star Olympique (2) Stade rennais UC FC Nancy
1945-1946 Nord FC Nancy * Stade français SCO Angers
1945-1946 Sud SO Montpellier * Toulouse FC Olympique Alès
1946-1947 FC Sochaux Olympique Alès SCO Angers
1947-1948 OGC Nice SR Colmar Le Havre AC
1948-1949 RC Lens (2) FC Girondins de Bordeaux FC Rouen
1949-1950 Nîmes Olympique Le Havre AC AS Cannes
1950-1951 Olympique lyonnais FC Metz FC Rouen
1951-1952 Stade français SO Montpellier US Valenciennes-Anzin
1952-1953 Toulouse FC (1937) AS Monaco FC RC Strasbourg
1953-1954 Olympique lyonnais (2) ES Troyes AC RC Paris
1954-1955 CS Sedan-Ardennes Red Star Olympique Audonien (non promu)[Note 3] Stade rennais UC
1955-1956 Stade rennais UC SCO Angers US Valenciennes-Anzin
1956-1957 Olympique Alès AS Béziers Lille OSC
1957-1958 FC Nancy (2) Stade rennais UC Limoges FC
1958-1959 Le Havre AC (2) Stade Français SC Toulon
1959-1960 FC Grenoble FC Nancy FC Rouen
1960-1961 SO Montpellier (2) FC Metz FC Sochaux
1961-1962 FC Grenoble (2) US Valenciennes-Anzin FC Girondins de Bordeaux
1962-1963 AS Saint-Étienne FC Nantes-Atlantique FC Sochaux
1963-1964 Lille OSC FC Sochaux FC Metz
1964-1965 OGC Nice (2) Red Star Olympique Audonien AS Cannes
1965-1966 Stade de Reims Olympique de Marseille Limoges FC
1966-1967 AC Ajaccio FC Metz SC Bastia
1967-1968 SC Bastia Nîmes Olympique Stade de Reims
1968-1969 SCO Angers AS Angoulême AS Nancy-Lorraine
1969-1970 OGC Nice (3) AS Nancy-Lorraine Olympique avignonnais (non promu)[Note 4]
1970-1971 Nord Lille OSC FC Chaumont RC Lens
1970-1971 Centre Paris Saint-Germain FC Rouen Limoges FC
1970-1971 Sud AS Monaco FC Olympique avignonnais AS Aix
1971-1972 Gr. A CS Sedan-Ardennes Troyes AF RC Lens
1971-1972 Gr. B US Valenciennes-Anzin Limoges FC Stade brestois
1971-1972 Gr. C RC Strasbourg Olympique avignonnais SC Toulon
1972-1973 Gr. A RC Lens (3) US Boulogne CO Lille OSC
1972-1973 Gr. B Troyes AF AS Monaco FC Olympique avignonnais
1973-1974 Gr. A Lille OSC (2) US Valenciennes-Anzin FC Rouen
1973-1974 Gr. B Red Star FC Paris Saint-Germain US Toulouse
1974-1975 Gr. A US Valenciennes-Anzin FC Rouen FC Lorient
1974-1975 Gr. B AS Nancy-Lorraine Olympique avignonnais SC Toulon
1975-1976 Gr. A Stade rennais FC Stade lavallois FC Lorient
1975-1976 Gr. B SCO Angers (2) Red Star FC SC Toulon
1976-1977 Gr. A AS Monaco FC FC Gueugnon SC Toulon
1976-1977 Gr. B RC Strasbourg FC Rouen FC Tours
1977-1978 Gr. A SCO Angers RCFC Besançon SC Toulon
1977-1978 Gr. B Lille OSC (3) Paris FC Red Star FC
1978-1979 Gr. A FC Gueugnon (non promu)[Note 5] Olympique avignonnais AS Béziers
1978-1979 Gr. B Stade brestois RC Lens US Dunkerque
1979-1980 Gr. A FC Tours Stade rennais FC EA Guingamp
1979-1980 Gr. B AJ Auxerre Olympique avignonnais AS Cannes
1980-1981 Gr. A Montpellier PSC Toulouse FC RCFC Besançon
1980-1981 Gr. B Stade brestois US Nœux-les-Mines FC Rouen
1981-1982 Gr. A Toulouse FC Thonon Olympique de Marseille
1981-1982 Gr. B FC Rouen (2) FC Mulhouse US Nœux-les-Mines
1982-1983 Gr. A Stade rennais FC (2) Nîmes Olympique US Valenciennes-Anzin
1982-1983 Gr. B SC Toulon Stade de Reims OGC Nice
1983-1984 Gr. A Olympique de Marseille OGC Nice Olympique lyonnais
1983-1984 Gr. B FC Tours RC Paris Le Havre AC
1984-1985 Gr. A Le Havre AC (3) FC Mulhouse Stade rennais FC
1984-1985 Gr. B OGC Nice AS Saint-Étienne Nîmes Olympique
1985-1986 Gr. A AS Saint-Étienne Olympique Alès Olympique lyonnais
1985-1986 Gr. B RC Paris FC Mulhouse EA Guingamp
1986-1987 Gr. A Chamois niortais FC SM caennais FC Mulhouse
1986-1987 Gr. B Montpellier PSC (3) Olympique lyonnais AS Cannes
1987-1988 Gr. A FC Sochaux (2) Olympique lyonnais Olympique Alès
1987-1988 Gr. B RC Strasbourg (2) SM caennais FC Mulhouse
1988-1989 Gr. A FC Mulhouse Stade Brestois Stade rennais FC
1988-1989 Gr. B Olympique lyonnais (3) Nîmes Olympique Le Havre AC
1989-1990 Gr. A AS Nancy-Lorraine (2) RC Strasbourg Nîmes Olympique
1989-1990 Gr. B Stade rennais FC US Valenciennes-Anzin FC Rouen
1990-1991 Gr. A Nîmes Olympique RC Strasbourg US Valenciennes-Anzin
1990-1991 Gr. B Le Havre AC (4) RC Lens Stade lavallois
1991-1992 Gr. A US Valenciennes-Anzin SCO Angers Le Mans UC
1991-1992 Gr. B FC Girondins de Bordeaux RC Strasbourg FC Istres
1992-1993 Gr. A FC Martigues AS Cannes OGC Nice
1992-1993 Gr. B SCO Angers Stade rennais FC FC Rouen
1993-1994 OGC Nice (4) Stade rennais FC SC Bastia
1994-1995 Olympique de Marseille (non promu)[Note 6] EA Guingamp FC Gueugnon
1995-1996 SM Caen Olympique de Marseille AS Nancy-Lorraine
1996-1997 LB Châteauroux Toulouse FC FC Martigues
1997-1998 AS Nancy-Lorraine (3) FC Lorient FC Sochaux
1998-1999 AS Saint-Étienne (2) CS Sedan-Ardennes ATAC Troyes
1999-2000 Lille OSC (4) EA Guingamp Toulouse FC
2000-2001 FC Sochaux (3) FC Lorient Montpellier HSC
2001-2002 AC Ajaccio (2) RC Strasbourg OGC Nice
2002-2003 Toulouse FC (2) Le Mans UC FC Metz
2003-2004 AS Saint-Étienne (3) SM Caen FC Istres
2004-2005 AS Nancy-Lorraine (4) Le Mans UC ES Troyes AC
2005-2006 Valenciennes FC (2) CS Sedan-Ardennes FC Lorient
2006-2007 FC Metz (2) SM Caen RC Strasbourg
2007-2008 Le Havre AC (5) FC Nantes Grenoble Foot
2008-2009 RC Lens (4) Montpellier HSC US Boulogne CO
2009-2010 SM Caen (2) Stade brestois AC Arles-Avignon
2010-2011 Évian Thonon Gaillard FC AC Ajaccio Dijon FCO
2011-2012 SC Bastia (2) Stade de Reims ES Troyes AC
2012-2013 AS Monaco FC EA Guingamp FC Nantes
2013-2014 FC Metz (3) RC Lens SM Caen
2014-2015 ES Troyes AC GFC Ajaccio SCO Angers
2015-2016 AS Nancy-Lorraine (5) Dijon FCO FC Metz
2016-2017 RC Strasbourg (3) Amiens SC ES Troyes AC (promu)[Note 7]
2017-2018 Stade de Reims (2) Nîmes Olympique AC Ajaccio (non promu)[Note 8]
2018-2019 FC Metz (4) Stade brestois 29 ES Troyes AC (non promu)[Note 9]
2019-2020 FC Lorient (1) RC Lens AC Ajaccio (non promu)[Note 10]
2020-2021 ES Troyes AC (2) Clermont Foot 63 Toulouse FC (non promu)[Note 11]
2021-2022 Toulouse FC (3) AC Ajaccio AJ Auxerre (promu)[Note 12]
2022-2023 Le Havre AC (6) FC Metz FC Girondins de Bordeaux (non promu)[Note 13]
Légende
  • Club en gras : club désigné champion, éventuellement vainqueur du match entre premiers des deux groupes.
  • (entre parenthèses) : nombre de titres à cette date.
  • * : Titre partagé entre plusieurs clubs.

Par club[modifier | modifier le code]

Rang Clubs Titre(s) Saison(s)
1 Le Havre AC 6 1938, 1959, 1985, 1991, 2008, 2023
2 AS Nancy Lorraine 5 1975, 1990, 1998, 2005, 2016
3 OGC Nice 4 1948, 1965, 1970, 1994
LOSC Lille 4 1964, 1974, 1978, 2000
RC Lens 4 1937, 1949, 1973, 2009
FC Metz 4 1935, 2007, 2014, 2019
7 Montpellier HSC 3 1946, 1961, 1987
Olympique lyonnais 3 1951, 1954, 1989
AS Saint-Étienne 3 1963, 1999, 2004
RC Strasbourg 3 1977, 1988, 2017
Toulouse FC 3 1982, 2003, 2022
12 Red Star FC 2 1934, 1939
Grenoble Foot 38 2 1960, 1962
Angers SCO 2 1969, 1976
Stade rennais FC 2 1956, 1983
FC Sochaux-Montbéliard 2 1947, 2001
AC Ajaccio 2 1967, 2002
Valenciennes FC 2 1972, 2006
SM Caen 2 1996, 2010
SC Bastia 2 1968, 2012
Stade de Reims 2 1966, 2018
ES Troyes AC 2 2015, 2021
FC Rouen 2 1936, 1982
24 Nîmes Olympique 1 1950
Stade français 1 1952
Toulouse FC (1937) 1 1953
CS Sedan Ardennes 1 1955
Olympique d'Alès 1 1957
Paris Saint-Germain 1 1971
FC Gueugnon 1 1979
AJ Auxerre 1 1980
Stade brestois 29 1 1981
Tours FC 1 1984
RC France 1 1986
Girondins de Bordeaux 1 1992
FC Martigues 1 1993
Olympique de Marseille 1 1995
LB Châteauroux 1 1997
Évian Thonon Gaillard FC 1 2011
AS Monaco 1 2013
FC Lorient 1 2020

Organisation[modifier | modifier le code]

Format de la compétition[modifier | modifier le code]

L'organisation et la gestion du Championnat de France de Ligue 2 sont confiées à la Ligue de football professionnel (LFP), qui décerne le titre de champion de France de Ligue 2 au club qui termine en tête du classement à l'issue de la dernière journée du championnat.

À l'issue de la saison 2016-2017, seules les deux meilleures équipes étaient promues en Ligue 1 et les deux dernier du classement étaient rétrogradés en National[7]. Le 3e devait jouer un match de barrage aller-retour contre le 18e de Ligue 1 pendant que le 18e de Ligue 2 affrontait le 3e de National.

À partir de la saison 2017-2018, de nouvelles règles voient le jour : les 3e à 5e disputent les "matchs de barrages" :

  • Le match 1 oppose le 4e au 5e (chez le 4e) ;
  • Le match 2 oppose le 3e au gagnant du match 1 (chez le 3e).

Ces matchs se déroulent en aller simple. Le gagnant du match 2 affronte le 16e de Ligue 1 en match aller-retour (depuis le passage à 18 clubs de la ligue 1).

C'est la commission d’organisation des compétitions (également organisatrice des matchs de Ligue 1) qui assure l’organisation ainsi que l'homologation des matchs.

Barrages de Ligue 2 - Match 1 Barrages de Ligue 2 - Match 2 Barrages Ligue 1
   
 
     
Vainqueur du Match 2 0 0
    16e de Ligue 1 0 0
 
 
3e de Ligue 2 0
    Vainqueur du Match 1 0
4e de Ligue 2 0
5e de Ligue 2 0


Jusqu'en 2020, les clubs de Ligue 2 participent à la Coupe de la Ligue, avec les clubs de Ligue 1 ainsi que les clubs de National sous statut professionnel. A l'issue de l'édition 2019-2020, la compétition est supprimée.

Avec le passage de la Ligue 1 à 18 clubs à partir de la saison 2023-2024, l’exercice 2022-2023 de Ligue 2 va être marqué par un nouveau système des montées-descentes entre la Ligue 1 et la Ligue 2 d’une part et la Ligue 2 et le National de l’autre.

À l’issue de la dernière journée de championnat[8] :

  • Les 2 premiers clubs de Ligue 2 sont promus sous réserve qu’ils satisfassent aux conditions de participation de Ligue 1 fixées au Titre 1 du Règlement Administratif
  • Les 4 derniers clubs de Ligue 2 sont relégués.
  • Les 2 premiers clubs de National 1 sont promus sous réserve qu’ils satisfassent aux conditions de participation de Ligue 2 fixées au Titre 1 du Règlement Administratif.

4 clubs de Ligue 1 étant relégués à l'issue de la saison 2022-2023, la Ligue 2 se maintient à 20 clubs pour la saison 2023-2024.

La saison 2023-2024 verra la Ligue 2 suivre le modèle de la Ligue 1 concernant le nombre de clubs. Les deux derniers de la Ligue 1 seront relégués en Ligue 2 (remplacés par les deux premiers de Ligue 2), tandis que les quatre derniers de Ligue 2 descendront en National 1, ce qui permettra le passage à 18 clubs dans la 2e division française.

À partir de la saison 2024-2025, la Ligue 2 observera à l'issue de chaque saison, 2 promotions et 2 relégations.

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Diffusion du championnat à la télévision[modifier | modifier le code]

Match de ligue 2 entre Lens et Auxerre.

Outre quelques diffusions isolées sur Canal + notamment dès le milieu des années 1980, c'est TV Sport qui diffusa les premiers matchs de D2 de façon régulière en 1991. Eurosport prit le relais en mars 1993. Canal+ diffusa également une rencontre par journée via le paiement à la séance de 1996 à 2000. Eurosport ne souhaita pas monter son offre afin de conserver ses deux matchs par journée.

Numericable a profité d'une l'opportunité pour acheter ces droits et diffuse désormais plusieurs matchs de Ligue 2 à l'occasion de chaque journée de championnat avec un direct et des replays (soit matchs en différés car les parties ont toutes lieu en même temps (généralement le vendredi). Eurosport conserve la diffusion de l'affiche du lundi.

Pour les saisons 2008-2009 et 2009-2010, le championnat fut diffusé sur Ma Chaîne Sport, Ligue 2 Multicanaux et Eurosport. En 2010-2011, la Ligue 2 est diffusée uniquement par Eurosport avec le match du lundi. Lors de la saison 2011-2012, CFoot diffusa 9 des 10 rencontres et Eurosport garda son match du lundi soir à 20h30.

Dès la saison 2012-2013 et pour quatre saisons, c'est BeIN Sports qui s'investit dans le football hexagonal en rachetant des droits pour la Ligue 2. Elle diffuse un match le vendredi à 18h45 (les autres rencontres étant couvertes en multiplex) et un match le samedi à 14h. Eurosport conserve son match pour le lundi soir. Après une réunion entre les présidents des clubs de Ligue 2, la LFP et BeIN Sports, les rencontres du vendredi soir ont été remises à 20 heures après que le Collectif SOS Ligue 2 a manifesté son mécontentement des horaires du vendredi à 18h45 pendant toute la première partie de saison[9].

À partir de la saison 2016-2017 et ce jusqu'en 2019-2020, BeIN Sports garde l'intégralité de la L2 avec un match le samedi après-midi décalé à 15 h au lieu de 14 h et son traditionnel multiplex du vendredi soir (20 h) avec un match directeur. Le match du lundi a été cette fois racheté par Canal+, raflant la mise à Eurosport. La LFP récupère ainsi 22 millions d'euros pour cet appel d'offres.

Dès la saison 2020-2021, Mediapro obtient les droits de diffusion des matchs du samedi 19h en multiplex et en intégralité. beIN Sports rafle ceux des 2 meilleures rencontres du samedi 15h et du lundi 20h45 (auparavant diffusée sur Eurosport puis Canal+Sport). Mais à la suite de l'affaire Mediapro, les droits sont rendus en décembre. Ils seront récupérés par Canal+, qui les sous-licence à beIN Sports en février.

À l'été 2021, Amazon Prime Video récupère les lots de Ligue 1 et Ligue 2 rendus par Mediapro et passe un accord avec la chaîne L'Équipe pour diffuser pendant la saison 2021-2022 le multiplex du samedi 19h en clair[10]. Cet accord concerne également les rencontres du multiplex, proposées en intégralité et gratuitement sur la plateforme OTT L'Équipe live jusqu'à la 10ème journée, où elles seront diffusées ensuite sur Prime Video.

Lors de la saison 2022-2023, la chaîne L'Équipe diffuse la meilleure affiche du samedi 19h[11]. Le multiplex ainsi que l'intégralité de ses matchs, sauf celui de L'Équipe, sont diffusés sur Prime Video.

Stades[modifier | modifier le code]

La Commission des stades de la Ligue de football professionnel demande que chaque club évoluant en Ligue 2 dispose d’enceintes confortables, accueillantes et sûres. Afin de répondre à ces exigences, un certain nombre de règles a été établi[12].

Les vingt-deux stades de Ligue 2 en 2023-2024

Statistiques[modifier | modifier le code]

Évolution du nombre de buts marqués chaque saison[modifier | modifier le code]

En ne prenant en compte que les saisons à 20 clubs (système actuel) :

Total de 20 795 buts en 23 saisons (2021-2022 inclus) soit 866 buts de moyenne chaque saison

Meilleurs buteurs[modifier | modifier le code]

Les équipes qui ont compté le plus grand nombre de meilleur buteur du championnat sont le FC Rouen et Le Havre AC à huit reprises.

Note : En 1970-1971 et 1971-1972, il y eut trois groupes et de 1972-1973 à 1992-1993, il y eut deux groupes.

Année Buts Buteurs Clubs
1934 54 buts Jean Nicolas FC Rouen
1935 30 buts Jean Nicolas FC Rouen (2)
1936 45 buts Jean Nicolas FC Rouen (3)
1937 30 buts Viktor Spechtl RC Lens
1938 29 buts Hugo Lammana CA Paris
1939 39 buts Harold Newell
Fernand Planquès
US Boulogne CO
Toulouse FC
Seconde Guerre mondiale
1946 27 buts Guy Campiglia SCO Angers
1947 45 buts Jozef « Pépi » Humpal FC Sochaux
1948 28 buts Henri Arnaudeau FC Girondins de Bordeaux
1949 41 buts Camille Libar FC Girondins de Bordeaux (2)
1950 27 buts Edmond Haan Nîmes Olympique
1951 23 buts Thadée Cisowski FC Metz
1952 34 buts Egon Jönsson Stade français
1953 27 buts Bror Mellberg Toulouse FC (2)
1954 36 buts Jean Courteaux RC Paris
1955 40 buts Petrus van Rhijn US Valenciennes-Anzin
1956 32 buts Petrus van Rhijn US Valenciennes-Anzin (2)
1957 27 buts Fernand Devlaminck Lille OSC
1958 29 buts Egon Jönsson FC Nancy
1959 31 buts Petrus van Rhijn Stade français (2)
1960 29 buts Claude Corbel FC Rouen (4)
1961 28 buts Casimir Koza RC Strasbourg
1962 21 buts Serge Masnaghetti US Valenciennes-Anzin
1963 24 buts Ernesto Gianella AS Béziers
1964 21 buts Abderrahmane Soukhane Le Havre AC
1965 22 buts Antoine Groschulski Red Star Olympique Audonien
1966 30 buts Pierre Ferrazzi FC Grenoble
1967 23 buts Etienne Sansonetti SEC Bastia
1968 26 buts Jacques Bonnet Olympique avignonnais
1969 55 buts Gérard Grizzetti AS Angoulême
1970 21 buts Robert Blanc AS Nancy-Lorraine
1971 20 buts
20 buts
20 buts
Nord : Yves Triantafilos
Centre : Robert Blanc
Sud : Emmanuel Koum
US Boulogne CO (2)
Limoges FC
AS Monaco FC
1972 20 buts
28 buts
40 buts
Gr. A : Pierre Pleimelding
Gr. B : Joseph Yegba Maya
Gr. C : Marco Molitor
Troyes AF
US Valenciennes-Anzin (2)
RC Strasbourg (2)
1973 21 buts
31 buts
Gr. A : Eugeniusz Faber
Gr. B : Gérard Tonnel
RC Lens (2)
Troyes AF (2)
1974 26 buts
24 buts
Gr. A : Erwin Wilczek
Gr. B : Nestor Combin
US Valenciennes-Anzin (3)
Red Star FC (2)
1975 25 buts
28 buts
Gr. A : Georg Tripp
Gr. B : Joaquim Martínez
Stade lavallois
AS Nancy-Lorraine (2)
1976 22 buts
25 buts
Gr. A : Bojidar Antić
Gr. B : Marc Berdoll
SM Caen
SCO Angers (2)
1977 30 buts
24 buts
Gr. A : Delio Onnis
Gr. B : Albert Gemmrich
AS Monaco FC (2)
RC Strasbourg (3)
1978 19 buts
23 buts
Gr. A : Pierre Giudicelli
Gr. B : Jean-Claude Garnier
Gr. B : Pierre-Antoine Dossevi
Olympique Alès
USL Dunkerque
FC Tours
1979 24 buts
26 buts
Gr. A : Antoine Trivino
Gr. B : Patrick Martet
FC Gueugnon
Stade Brestois
1980 16 buts

19 buts
Gr. A : Alain Polaniok
Gr. A : Bernard Ferrigno
Gr. B : Jacky Vergnes
Gr. B : Robert Pintenat
Stade de Reims
FC Tours (2)
Montpellier PSC
Toulouse FC (3)
1981 32 buts
22 buts
Gr. A : Robert Pintenat
Gr. B : Marcel Campagnac
Toulouse FC (4)
Sporting Club Abbeville
1982 18 buts
25 buts
Gr. A : Marc Pascal
Gr. B : Žarko Olarević
Gr. B : Issicka Ouattara
Olympique de Marseille
Le Havre AC (2)
FC Mulhouse
1983 28 buts
18 buts
Gr. A : Wlodzimierz Lubanski
Gr. B : Christian Dalger
US Valenciennes-Anzin (4)
Sporting Toulon Var
1984 23 buts
23 buts
Gr. A : Mario Relmy
Gr. B : Omar da Fonseca
Limoges FC (2)
FC Tours (3)
1985 27 buts
28 buts
Gr. A : John Eriksen
Gr. B : Jorge Domínguez
FC Mulhouse (2)
OGC Nice
1986 22 buts
29 buts
Gr. A : Jean-Marc Valadier
Gr. B : Eugene N'Goy Kabongo
Montpellier PSC (2)
RC Paris (2)
1987 22 buts
21 buts
Gr. A : Zvonko Kurbos
Gr. B : Gaspard N'Gouete
FC Mulhouse (3)
SEC Bastia (2)
1988 18 buts

26 buts
Gr. A : Jean-Pierre Orts
Gr. A : Stéphane Paille
Gr. B : Patrick Martet
Olympique lyonnais
FC Sochaux (2)
FC Rouen (5)
1989 22 buts
27 buts
Gr. A : Roberto Cabañas
Gr. B : Robby Langers
Stade Brestois (2)
US Orléans
1990 26 buts
21 buts
Gr. A : Didier Monczuk
Gr. B : Jean-Pierre Orts
RC Strasbourg (4)
FC Rouen (6)
1991 23 buts
19 buts
Gr. A : Didier Monczuk
Gr. B : Christophe Lagrange
RC Strasbourg (5)
SCO Angers (3)
1992 22 buts
21 buts
Gr. A : Jean-Pierre Orts
Gr. B : Didier Monczuk
FC Rouen (7)
RC Strasbourg (6)
1993 21 buts
18 buts
Gr. A : Franck Priou
Gr. B : Jean-Pierre Orts
AS Cannes
FC Rouen (8)
1994 27 buts Yannick Le Saux Saint-Brieuc
1995 31 buts Tony Cascarino Olympique de Marseille (2)
1996 30 buts Tony Cascarino Olympique de Marseille (3)
1997 23 buts Samuel Michel FC Sochaux (3)
1998 20 buts Réginald Ray Le Mans UC
1999 20 buts Hamed Diallo Stade lavallois (2)
2000 17 buts Amara Traoré FC Gueugnon (2)
2001 21 buts Francileudo Santos FC Sochaux (4)
2002 18 buts Hamed Diallo Amiens SC
2003 20 buts Cédric Fauré Toulouse FC (5)
2004 17 buts David Suarez Amiens SC (2)
2005 24 buts Bakari Koné FC Lorient
2006 16 buts Jean-Michel Lesage
Steve Savidan
Le Havre AC (3)
Valenciennes FC (5)
2007 18 buts Jean-Michel Lesage
Kandia Traoré
Le Havre AC (4)
Le Havre AC (5)
2008 28 buts Guillaume Hoarau Le Havre AC (6)
2009 18 buts Grégory Thil US Boulogne CO (3)
2010 21 buts Olivier Giroud Tours FC (4)
2011 23 buts Sebastián Ribas Dijon FCO
2012 15 buts Cédric Fauré Stade de Reims (2)
2013 23 buts Mustapha Yatabaré EA Guingamp
2014 24 buts Mathieu Duhamel
Andy Delort
SM Caen (2)
Tours FC (5)
2015 18 buts Mickaël Le Bihan Le Havre AC (7)
2016 21 buts Famara Diédhiou Clermont Foot
2017 23 buts Adama Niane ESTAC Troyes (3)
2018 23 buts Umut Bozok Nîmes Olympique
2019 27 buts Gaëtan Charbonnier Stade Brestois 29 (3)
2020 20 buts Tino Kadewere Le Havre AC (8)
2021 22 buts Mohamed Bayo Clermont Foot 63 (2)
2022 20 buts Rhys Healey Toulouse FC (6)
2023 23 buts Georges Mikautadze FC Metz (2)

Records généraux[modifier | modifier le code]

Record du nombre de montées chez les entraîneurs[modifier | modifier le code]

Voici la liste des entraîneurs ayant cumulé le plus de montées en première division depuis l'instauration de la poule unique en 1993-1994[17] :

Rang Entraîneur Montées Clubs
1 Jean-Marc Furlan 5 ESTAC Troyes (3), Stade brestois 29 (1), AJ Auxerre (1)
2 Christian Gourcuff 3 FC Lorient (3)
3 12 entraîneurs 2

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La Ligue 2 porte les noms successifs de Domino's Pizza (2016-2020) et BKT (2020-2028) dans le cadre de contrats de naming.
  2. Militant pour une promotion directe du second, les dirigeants du FC Rouen refusent de participer aux barrages de montée organisés par la fédération, auxquels Nicolas et Rio, retenus pour la Coupe du monde 1934, ne peuvent participer.
  3. En 1955, le Red Star Olympique n'est pas admis en première division pour cause de tricherie (tentative de corruption sur l'entraîneur montpelliérain Tomazover).
  4. En 1970, l’Olympique avignonnais n’est pas promu car il n'offre pas les garanties financières nécessaires à son accession au niveau supérieur.
  5. Le FC Gueugnon refuse en 1979 le passage au statut professionnel et donc l'accession en Division 1.
  6. La DNCG refuse la montée à l'Olympique de Marseille en 1995 pour raisons financières.
  7. Après les deux matchs de barrage contre Lorient (2-1 puis 0-0).
  8. AC Ajaccio a été battu par le Toulouse FC lors du barrage pour la promotion-relégation entre Ligue 1 et Ligue 2 dans la saison 2017-18.
  9. L'ES Troyes AC a été éliminé lors de la phase de barrages par le RC Lens, lui-même éliminé par le Dijon FCO, 18e de Ligue 1.
  10. Avec la pandémie de Covid-19 en France la LFP a décidé de ne faire monter que les deux premiers de Ligue 2, aucun barrage ne pouvant être disputé.
  11. Toulouse FC a été battu par le FC Nantes lors du barrage pour la promotion-relégation entre Ligue 1 et Ligue 2 dans la saison 2020-21.
  12. Après sa victoire en match play-off contre Sochaux (vainqueur du Paris FC au tour précédent) 5 tirs au but à 4 sur le score de 0-0, puis les deux matchs de barrage contre Saint-Etienne le 26 mai à Auxerre (1-1) et le 29 au stade Geoffroy-Guichard (1-1 après prolongation et 5 tirs au but à 4).
  13. En raison de la réduction du nombre d'équipes en L1, il n'y a que deux clubs promus.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Almanach 1934-1935 du magazine Football, p. 9.
  2. a et b Almanach 1934-1935 du magazine Football, p. 76.
  3. Almanach 1935-1936 du magazine Football, p. 95.
  4. Tony Arbona, « National - Nouveau-né plein de qualités », Football Magazine, no 132,‎ , p. 43-44.
  5. Kévin Veyssière, « Pourquoi la Ligue 2 intéresse t-elle tans les investisseurs étrangers ? », sur footballclubgeopolitics.fr, (consulté le )
  6. « La LFP adopte le passage à 18 clubs en Ligue 2 à partir de la saison 2024/2025 », sur L'Équipe (consulté le )
  7. Romain Lafabregue, « Football : il n'y aura plus que deux descentes de Ligue 1 en Ligue 2 », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  8. « Statuts et Règlements », sur LFP (consulté le )
  9. Communiqué Ligue 2 : Modification des horaires.
  10. « Retrouvez le multiplex de la Ligue 2 sur la chaîne L'Équipe », sur lequipe.fr, (consulté le )
  11. « La chaine L'Équipe diffusera un match en intégralité de L2 par journée la saison prochaine », sur lequipe.fr, (consulté le )
  12. Recommandations de la Commission des stades, sur lfp.fr.
  13. « Actus », sur Clermont Foot (consulté le ).
  14. « Nantes : le but le plus rapide de l'histoire de L2. », sur ouest.france3.fr.
  15. « FC Nantes : Huit secondes pour l'éternité », sur presseocean.fr.
  16. « Caen jubile, Créteil pleure - Ligue 2 - Football », sur Sport24, 2007-08-31cest22:53:44+0200 (consulté le )
  17. Dorian Waymel, « Jean-Marc Furlan recordman des montées Ligue 2 - Ligue 1 », sur maligue2.fr, (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]