Champcevrais — Wikipédia

Champcevrais
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Pierre Denis
2020-2026
Code postal 89220
Code commune 89072
Démographie
Population
municipale
309 hab. (2021 en diminution de 3,74 % par rapport à 2015)
Densité 9,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 47″ nord, 2° 57′ 30″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 206 m
Superficie 32,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cœur de Puisaye
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champcevrais
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Champcevrais

Champcevrais est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Aveyron, affluent du Loing, prend sa source (deux petites branches, dont une naissant à l'étang de Giverlais d'une surface de 1 ha environ) près de l'étang de Châtre au nord de Champcevrais. L'étang de Châtre (presque 6 ha[1]) reçoit aussi les eaux des pièces d'eau du château du même nom, dont l'étang de la Loge (2 ha[1]).

Étang de Bergerie

Le bourg est arrosé par le Beaune[2], également affluent du Loing, qui traverse la commune d'est en ouest. Il alimente le Grand Etang Neuf (1 ha+ sur Champcevrais, 7 ha+ sur Champignelles) ; l'étang des Delétangs (3,5 ha[1]) ; un étang de 40 ares[1] près du Four à Chaux ; et la pièce d'eau du château Claire Fontaine (1 ha[1] plus petites pièces d'eau associées). L'étang de Bergerie (4 ha[1], dont 70 ares environ de zone marécageuse) dans l'ouest de la commune déverse son trop-plein dans le Beaune.
L'étang des Housseaux (1,5 ha[1] plus marais) et l'étang de la Gaudinière (1,4 ha[1]), au centre de la commune, se déversent dans un ru affluent du Beaune provenant de l'étang de la Petite Pogne (cet étang de 20 ares[1] se trouve sur la commune d'Aillant-sur-Milleron ; les maisons associées, maintenant en ruines, sont sur la commune de Champcevrais).

De multiples pièces d'eau de moindre surface et de natures variées (étangs, marais, zones inondables ou humides), et de nombreuses sources, sont présentes sur la commune.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Les lieux-dits suivis d'une astérisque sont situés à l'écart de la route indiquée.

A

B

  • La Bastière*, Rte de Bléneau (D 64)
  • Bélémy, Rte des Étangs
  • La Benoîtière, Rte d'Aillant(-sur-Milleron) (D 364)
  • Les Bézards, Rte des Étangs
  • Bouron*, Rte de Rogny (D 14)
  • Les Brangers, Rte des Étangs
  • Les Mazures Brangers*, Rte des Étangs

C

D

  • Les Delétangs, Rte des Étangs

F

  • La Fontaine, Rte des Étangs
  • Le Four à Chaux, Rte de Bléneau (D 64)
  • La Frémilière*, Rte de Champignelles (D 14)
  • Les Fréminets*, Rte d'Aillant (D 364)

G

L

  • Lignières*, Rte du Charme (D 64)

M

  • La Marche, Rte des Étangs
  • La Motte, Rte de Bléneau (D 64)
  • Le Mousseau*, Rte de Bléneau (D 64)

N

P

R

S

T

V

  • Les Vallées, Rte des Étangs

Le nom Mazure[3] signifie au XVIe siècle une manœuvrerie, de même qu'un mazurier était un manœuvre ou ouvrier, attaché à une ferme ou un domaine tout en en étant indépendant[4][réf. obsolète].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint Privé », sur la commune de Saint-Privé à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 769,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champcevrais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,6 %), forêts (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones urbanisées (0,8 %), prairies (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première indication connue de l'existence de cette paroisse remonte à 1276[18] ou 1282[réf. nécessaire], dans le testament de Guillaume Ier de Courtenay, seigneur de Champignelles et père de l'évêque Robert de Courtenay. Champcevrais y est attesté sous la forme latinisée Campus Sylvestris, ensuite on trouve Champ sevroy en 1453[18].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Champ- « champ », suivi de l'ancien français sevestre, sevest « qui demeure dans les bois », d'où le sens global de « clairière »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Champcevrais commença par une colonie agricole au milieu de grandes forêts.

Le bourg fut pendant plusieurs siècles la propriété de la maison de Prie, maison illustre du Nivernois remontant au Xe siècle (le château de Prye, siège du chef de cette maison, se trouve sur l'ancienne commune de Prye-sur-l'Ixeure, au sud-est de Nevers). Annexé ensuite aux terres de Châtillon-sur-Loing, il entre dans le duché de Châtillon avec Paul Sigismond de Montmorency-Luxembourg, comte de Luxe[19].

Économie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération[20]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1961 André Couzon    
1961 1977 Hubert Commeau    
1977 1983 Jean Dizien    
1983 2001 Hubert Commeau DVD  
2001 en cours Pierre Denis[20],[21]   Retraité agricole

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 309 habitants[Note 3], en diminution de 3,74 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
625488565623638719739812843
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9281 0001 0251 0721 0459761 0331 061915
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
877874810696707721613562544
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
514501466359343344318347312
2021 - - - - - - - -
309--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain dépendait du diocèse de Sens et du doyenné de Courtenay. Le chœur et la tour du clocher datent du XIIIe siècle, et la nef du XVIIe siècle. En effet, comme l'indique une plaque commémorative, la nef a été entièrement détruite par « foudre & tourbillon » le , tuant ou blessant 25 personnes ensevelies sous les décombres ; elle a été rebâtie en 1681 grâce à une quête à la cour commandée par Louis XIV, quête qui leva 1 282 livres auxquelles le roi ajouta 600 livres prélevées sur le trésor royal. La procession promise par la paroisse en reconnaissance de ces dons, a toujours lieu de nos jours ; elle part de l'église et rejoint la Croix de l'Orage près de la ferme de la Benoîtière au nord du bourg (sur la D 364)[19].
L'église contient plusieurs objets inscrits aux Monuments Historiques[26], dont la chaire, un ciborium (XVIIIe s.), une dalle funéraire (troisième quart du XVIe s.), la dalle funéraire du curé Thomas Pourcel (premier quart du XVIIIe s.), la plaque commémorative de la destruction et reconstruction de l'église (quatrième quart du XVIIe s.), et 11 statues[27]. La cloche est également protégée au même titre.

La commune est dotée de trois châteaux : celui de Prie (de nos jours appelé « Prix »), celui de Châtres, et celui de Bouron.

Le château de Prie, à 1 km à l'ouest du village, a été construit au XIIe siècle, probablement pour un membre cadet de la maison de Prie. Entre les remaniements au cours des temps et la restauration du XVIIe siècle, il ne reste plus grand-chose de l'ensemble originel.

Le château de Châtres date du XVIIe siècle. Il se trouve à 4,5 km au nord-est de Champcevrais. Les façades et les toitures du château et des communs, les douves, le parc et ses éléments construits : deux bassins et un pavillon dit de la chapelle, font l'objet d'une inscription aux monuments historiques par arrêté du . Son étang du même nom, de plus de 6 hectares, est alimenté par l'Aveyron et touche la limite de commune du Charme dans le Loiret.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune inclut une ZNIEFF :

La ZNIEFF des étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin, 11 699 ha répartis sur 12 communes[28], vise particulièrement les habitats d'eaux douces stagnantes ; les autres habitats présents dans cette ZNIEFF sont des eaux courantes, landes, fruticées, pelouses, prairies humides et mégaphorbiaies, tourbières, marais, bocages et bois[29].
Sur la commune, elle couvre une bande de terres d'environ 135 ha sur 4 km de long, en bordure des communes de Bléneau, Saint-Privé et Champcevrais. Elle inclut la partie sud du Grand Etang Neuf, le bois de la Chênaie y attenant et le bois Colas à la pointe sud de la commune, et les lieux-dits les Vallées, Bélémy et la Capitière.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le champion cycliste Alcide Rousseau est né à Champcevrais le . Il devient le , à 41 ans, le détenteur du record du monde sur piste des 100 km en 2 h 30 min 39 s 2/5, et aussi 31e de Paris-Roubaix 1912. Il participa aux Six jours de Paris 1914. D’Australie en Allemagne, il courut sur la plupart des grands vélodromes du début du XXe siècle. Un square de Champcevrais porte son nom[30].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i Toutes les surfaces données ici sont des approximations à + ou - 1/2 ha pour les plus grandes, et un peu plus précises pour les plus petites pièces d'eau.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Beaune (F4105000) ».
  3. « Position des Mazures sur la carte de Cassini » sur Géoportail..
  4. M. Déy, Histoire de la Ville et du Comté de Saint-Fargeau, Auxerre, 1856. p. 409.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Champcevrais et Saint-Privé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint Privé », sur la commune de Saint-Privé - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint Privé », sur la commune de Saint-Privé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [1]
  19. a et b Déy., « Champcevrais », Bulletin de la société des sciences historiques et naturelles de l’Yonne, 1850, p. 55.
  20. a b c d et e Les maires de France à travers le temps. Source : L'Yonne vue du Ciel - supplément à l'Yonne Républicaine du 4.7.2002
  21. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 15 décembre 2013.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Liste d'objets classés aux Monuments Historiques dans l'église de Champcevrais.
  27. Statues classées monuments Historiques dans l'église : un Christ en croix, une Vierge à l'Enfant, une statue de Saint Edme, une de Saint Germain et une de Sainte Femme (dates inconnues) ; statues de Saint Jean-Baptiste, de Sainte Barbe, de Saint Fiacre et de Saint Eloi (XVIe s.) ; statues de Sainte Catherine et de Sainte Marthe (XVIIe s.
  28. Les communes concernées par la ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sont : Bléneau, Champcevrais, Champignelles, Mézilles, Moutiers-en-Puisaye, Saint-Fargeau, Saint-Martin-des-Champs, Saint-Privé, Saints, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Tannerre-en-Puisaye, Villeneuve-les-Genêts.
  29. ZNIEFF 260014941 - Étangs, bocages, landes et forêts de Puisaye entre Loing et Branlin sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN.. Cette ZNIEFF rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes.
  30. « À Champcevrais, un futur square portera le nom d'un champion cycliste né en 1881 », sur lyonne.fr, .