Champagnac-le-Vieux — Wikipédia

Champagnac-le-Vieux
Champagnac-le-Vieux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes Auzon Communauté
Maire
Mandat
Évelyne Miche
2020-2026
Code postal 43440
Code commune 43052
Démographie
Gentilé Champagnacois[1]
Population
municipale
186 hab. (2021 en diminution de 12,26 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 21′ 31″ nord, 3° 30′ 13″ est
Altitude Min. 640 m
Max. 980 m
Superficie 20,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brioude
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Florine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Champagnac-le-Vieux
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Champagnac-le-Vieux
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Champagnac-le-Vieux
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Champagnac-le-Vieux

Champagnac-le-Vieux est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Champagnac-le-Vieux se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 66 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, à 16 km de Brioude[3], sous-préfecture, et à 21 km de Sainte-Florine[4], bureau centralisateur du canton de Sainte-Florine dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Saint-Vert (2,8 km), Chassignolles (4,4 km), Agnat (4,5 km), Laval-sur-Doulon (4,6 km), Chaniat (4,8 km), Saint-Hilaire (5,7 km), Saint-Didier-sur-Doulon (6,9 km), Javaugues (7,8 km).

Herri batzuen distantzia eta kokapen erlatiboa
Herri batzuen distantzia eta kokapen erlatiboa
Champagnac-le-VieuxChampagnac-le-Vieux
Saint-Vert (2,7 km)
Chassignolles (4,5 km)
Agnat (4,6 km)
Chaniat (4,7 km)
Saint-Hilaire (5,7 km)

Environnement[modifier | modifier le code]

  • Lac de pêche et baignade.
  • Le ruisseau de l'Auzon prend sa source au nord de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 813,8 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

plaque de cocher sur la Route nationale 588 en centre bourg

Champagnac-le-Vieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[I 2],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brioude, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,4 %), prairies (30,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %), zones urbanisées (1,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et Lieux-dits[modifier | modifier le code]

Hameaux[modifier | modifier le code]

  • Balistre
  • Balistroux
  • le Boucharel
  • Dreins
  • Durbiat
  • Genestoux,
  • Jouret
  • la Chaud (ou Lachaud)
  • les Cluzel
  • le Glial
  • Taix
  • Neyrolles,
  • Olpignac
  • Toirat.
  • Rouret, Villa Roured, XIe siècle.

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • les Prades, les Gondries, ravin de Chave, les Granouillers, Moulin à Vent, la Croix de Taix, Fontaine de la Vache.

Il serait fort utile de constituer ici, la liste des noms de lieux provenant du cadastre napoléonien. Cette liste aura pour intérêt d'aider les toponymistes et historiens qui s'intéressent à ce terroir. La liste ci-dessus concerne le cadastre actuel. (Avis aux chercheurs ou administrateur).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 279, alors qu'il était de 279 en 2013 et de 274 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 41,7 % étaient des résidences principales, 37 % des résidences secondaires et 21,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,5 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Champagnac-le-Vieux en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (37 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,5 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Champagnac-le-Vieux en 2018.
Typologie Champagnac-le-Vieux[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 41,7 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 37 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 21,2 12,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Pierre à Champagnac-le-Vieux.
  • Prior de Champanhac en 1259
  • Champnhac-la-Velh en 1300
  • Champanhacus Vetus en 1385
  • Champaignac-le-Viel en 1401
  • Champaignac en 1456

Histoire[modifier | modifier le code]

Villages fortifiés et fort royal des monts du Livradois.

Bien que nom du village semble venir tout droit de l'antiquité tardive, aucune découverte archéologique importante ne peut encore attester l'étymologie gallo-romaine du nom. Cependant, Les tegula retrouvées sous un arbre ne sont pas dénuées d'intérêt.
Riche en bois, en terres agricoles et en pâtures, une petite communauté s’est largement développée au cours du Moyen Âge. L'église de Campagnaco était dépendante du chapitre de Brioude. Son cartulaire nous en livre une première mention entre 936 et 983.

  • L'église

L'église paroissiale Saint-Pierre est un ancien prieuré qui dépendait depuis 1154 de l'abbaye de la Chaise-Dieu. Avant 1359, ce prieuré était uni avec ceux de Saint-Urcize et de Champagnat-le-Jeune à l'hôstellerie. Fortifié au XIVe siècle puis de nouveau renforcé au XVe siècle, bien que remanié l'édifice actuel conserve une partie romane originelle.

  • Le Fort

À une situation privilégiée près de voies routières, dès le XIVe siècle et sûrement avant, il existe un élément fortifié à Champagnac. Rapidement, le développement de la petite agglomération qui entrave sur la sécurité du point stratégique. Le 29 mars 1375, le sénéchal d'Auvergne demande la démolition de certaines maisons pouvant favoriser l'intrusion dans la muraille.
Vraisemblablement le château royal est devenu trop exigus pour contenir la population. Ainsi pour se défendre des attaques fréquentes de la guerre de cent ans, s'organise l'auto-gestion. L'enclos et la fortification de l'église sont renforcés. C'est seulement en 1456 à la fin de celle-ci que Charles VII signe une autorisation pour édifier la fortification du bourg.

  • Les milites de Durbiat

Durbiac, 1155
Durbiat, 1372

En 1250, Bertrand, miles de Durbiat est vassal d'Alphonse de Poitiers. Il lui rend d'ailleurs hommage pour les bien qu'il possède à Auzon. Ce même Bertrand en 1267, se porte caution pour Bertrand D'Auzon, également vassal du comte. À la même époque nous retrouvons des membres de cette famille au chapitre de Brioude.

Des liens étroits sembles unirent cette famille avec celle d'Auzon et celle des de la Tour. En 1317, Joubert devient légataire de Bernard de la Tour. Il assistera en 1320 au mariage d'un autre Bertrand de la Tour avec Isabeau de Lévis.
En 1320, Dalmas de Durbiat possède des biens à Escurolles.
Le seigneur de Durbiat, de St Eble (commune de Mazeyrat-d'Allier) et Villeveuve serra convoqué au ban de 1543[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Champagnac-le-Vieux est membre de la communauté de communes Auzon Communauté[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Auzon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Sainte-Florine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[17].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Denis Marchand DVG  
mars 2008 2020 Michel Mignot[18]    
2020 En cours Évelyne Miche    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

En 2021, la commune comptait 186 habitants[Note 5], en diminution de 12,26 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8051 0549811 0081 0451 1071 0851 1271 140
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0831 0441 0551 0051 005976978974936
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
920896870721728711702564535
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
520486415340301277252244234
2014 2019 2021 - - - - - -
215193186------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 15,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 49,2 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 102 hommes pour 97 femmes, soit un taux de 51,26 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,2 
10,1 
75-89 ans
14,9 
34,3 
60-74 ans
35,1 
27,3 
45-59 ans
19,2 
13,1 
30-44 ans
10,6 
5,1 
15-29 ans
5,3 
10,1 
0-14 ans
10,6 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 106 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 182 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 830 [I 13] (20 800  dans le département[I 14]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 15] 4,4 % 13,5 % 13,7 %
Département[I 16] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 17] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 98 personnes, parmi lesquelles on compte 82,1 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 13,7 % de chômeurs) et 17,9 % d'inactifs[Note 7],[I 15]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Brioude, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 49 emplois en 2018, contre 58 en 2013 et 76 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 68, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,7 %[I 19].

Sur ces 68 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 83,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église possède un reliquaire-monstrance qui fait l'objet d'un classement au titre objet des monuments historiques depuis le [23].
  • Croix de chemin du XIVe siècle en grès.

Placée au carrefour de la route d'Auzon.

  • L'architecture civile

Une étude publiée en 2007 par Christian de Seauve dans les Cahiers de la Haute-Loire, a révélé que dès le XVIIe siècle plus des deux tiers des maisons qui pour beaucoup sont des chaumières, sont construites, reconstruites ou restaurées par des maçons de la Marche, Haute-Marche et Combraille[24].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Métadonnées de la commune de Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Champagnac-le-Vieux - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Champagnac-le-Vieux - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Champagnac-le-Vieux (43052) », (consulté le ).
  12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Champagnac-le-Vieux » (consulté le ).
  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Haute-Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Champagnac-le-Vieux et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Champagnac-le-Vieux et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Champagnac-le-Vieux et Sainte-Florine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Champagnac-le-Vieux », sur villorama.com (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Champagnac-le-Vieux et Saint-Didier-sur-Doulon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saint Didier sur Doulon », sur la commune de Saint-Didier-sur-Doulon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Noms féodaux, p. 377.-Baluse, p. 571-584.
  16. « communauté de communes Auzon Communauté - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  17. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  18. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Notice no PM43000203, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  24. La construction à Champagnac-le-Vieux et dans ses environs au temps des chaumières et des maçons de la Marche, 1670-1802 in Cahiers de la Haute-Loire, 2007 site
  25. D'après le livre d'obits et terrier, la paroisse relève pour partie de l'abbaye de La Chaise-Dieu, du chapitre de Brioude, vicomté de Lamothe et autres, avec l'enchevêtrement des droits écrit et coutumier. Détails de la vie politique, religieuse, sociale d'une ville close dans ses remparts.
  26. L'analyse de plus de 170 prix-faits (devis de construction) permet de restituer le monde du bâtiment dans un pays de montagne entre 800 et 1100 m d'altitude : matériaux de construction et de couverture (plus de 80 % des maisons sont couvertes à paille), vocabulaire. Les maçons, très tôt et de manière massive, sont originaires de la province de la Marche, département actuel de la Creuse, traditionnellement spécialisé dans cette activité peu étudiée avant le XIXe siècle (liste de noms et de lieux d’origine).
  27. L'art des maçons de la Marche, in La Montagne (journal) le 3 avril 2010: C'est à la salle polyvalente d'Aubusson que s'est tenue samedi dernier une conférence de l'association des Maçons de la Creuse qui avait invité Christian de Seauve. Il a traité du thème « Quand de 1670 à 1791, les maçons de la Marche construisaient des chaumières à Champagnac-le-Vieux ». Une conférence originale sur un aspect inconnu et inexploité de la migration des bâtisseurs limousins
  28. Connue dès 936, l’église est donnée par le chapitre de la Basilique Saint-Julien de Brioude à l’Abbaye de la Chaise-Dieu. Elle restera sous la suzeraineté de l’hôtelier mage jusqu’à la révolution. L’historique des réparations se suit depuis 1649. Auparavant l’église romane a été fortifiée dès le XIIIe siècle. La description archéologique, les plans coupes et photos complètent l’étude.
  29. publication présentée dans La Montagne du 10 septembre 2014 : Depuis 40 ans, les Cahiers de la Haute-Loire font connaître l'histoire du département : (...) Par Christian de Seauve, l'église romane et le bourg fortifié de Champagnac-le-Vieux. Dans son terroir granitique, l'église cédée par Saint Julien de Brioude à La Chaise-Dieu devient un prieuré, noyau d'un bourg fortifié. L'église romane est également fortifiée au XIVe siècle. L'historique des réparations s'établit à partir des constats conservés pour la fin de l'Ancien Régime, jusqu'en 1910.
  30. L’ivrognerie aidant, des énergumènes défient la mise aux enchères des reinages de Champagnac. Cet incident permet de revenir sur les modalités de cette coutume dont la bravade est un moment-clé.

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