Chambon-sur-Voueize — Wikipédia

Chambon-sur-Voueize
Chambon-sur-Voueize
L'abbatiale Sainte-Valérie et le village.
Blason de Chambon-sur-Voueize
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Confluence
Maire
Mandat
Cécile Creuzon
2020-2026
Code postal 23170
Code commune 23045
Démographie
Gentilé Chambonnais, Chambonnaises
Population
municipale
859 hab. (2021 en diminution de 7,73 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 24″ nord, 2° 25′ 33″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 510 m
Superficie 33,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Évaux-les-Bains
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Chambon-sur-Voueize

Chambon-sur-Voueize (Chambò en occitan marchois[1]) est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au confluent de la Voueize et de la Tardes, dans le pays de Combraille vallonné et verdoyant, Chambon-sur-Voueize occupe un site agréable à proximité des gorges de la Voueize. Le territoire communal est également arrosé par la Méouze, un affluent de la Tardes.

Communes limitrophes de Chambon-sur-Voueize
Lépaud Viersat Budelière
Lussat Chambon-sur-Voueize
Tardes Sannat Évaux-les-Bains

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auzances à 19 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chambon-sur-Voueize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), forêts (20,8 %), terres arables (2,6 %), zones urbanisées (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chambon-sur-Voueize est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardes, la Voueize et la Méouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2006[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chambon-sur-Voueize.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 17 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 567 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 52 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chambon-sur-Voueize est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une origine toponymique a été proposée par Louis Davillé en 1929 dans la Revue des Études Anciennes. Selon lui, Chambon vient du mot celtique « cambo » qui peut se traduire par « courbe de rivière ». En s'appuyant sur la topographie, il observe que les lieux identifiés par ce vocable et ses dérivés se trouvent généralement à proximité d'une boucle de cours d'eau.

En 1891, la commune, alors nommée Chambon, devient Chambon-sur-Voueize[21].

Les habitants sont appelés les Chambonnais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Capitale des Combrailles, du IXe au XIIe siècle, sous les princes de Chambon, avec le fort de la Motte, ancienne motte seigneuriale partiellement conservée au nord-est de l'église. La seconde moitié du XIIe siècle voit le rattachement de la principauté de Combraille à l'Auvergne par le mariage de Péronnelle de Chambon, fille d'Amiel III de Chambon, au comte Guy II d'Auvergne[22]. Il y eut ensuite un démembrement de cette entité : ainsi, Montaigut et la Combraille bourbonnaise furent pris en 1249 par le sire de Bourbon, dont un descendant, le duc Louis II (proche cousin des Bourbons comtes de la Marche), se fit remettre vers 1390 par Jean II d'Auvergne la Combraille restante — c'est-à-dire la Combraille creusoise qui jusque là avait continué de relever des comtes d'Auvergne.

Chambon reçut aussi une seigneurie particulière, transmise par Marie de Chambon (à la filiation imprécise ; issue d'une manière ou d'une autre des anciens princes de Chambon et de la Combraille ?) à son mari Guillaume II Rog(i)er de Beaufort, frère aîné du pape Clément VI, puis aux descendants issus de leur fils cadet Nicolas : les Roger de Beaufort vicomtes de Turenne. La vicomtesse Anne Roger, petite-fille de Nicolas, transmit en 1444 Chambon et Turenne à son mari et cousin Annet/Agnet IV de La Tour d'Olliergues (famille dite plus tard de La Tour d'Auvergne)[23].

En contrebas, un prieuré fut fondé à la fin du IXe siècle par les moines de l'abbaye Saint-Martial de Limoges. L'endroit servit à garder les reliques de sainte Valérie.

En 857 les moines de l'abbaye Saint-Martial de Limoges fondent un monastère à Chambon-sur Voueize pour mettre à l'abri des incursions normandes les reliques de sainte Valérie, dont le monastère de Saint-Martial garde seulement la tête (). Vers 985, ils font construire une chapelle pour les recevoir. L'église est construite un peu plus tard2. Elle sera rattachée à l'ordre de Cluny, elle devient abbatiale au XIIIe siècle puis paroissiale après la Révolution française. Elle fut pillée et mutilée aux XVe et XVIe siècles avant d'être remaniée au milieu du XIXe siècle.

Chambon fut aussi une des cinq châtellenies de la Combraille creusoise, avec Evaux, Auzances, Sermur et Lépaud.

En 1834, la commune absorbe celles voisines de Chambon-Campagne et de Saint-Sornin[21] ; cette dernière avait porté, durant la Révolution, le nom de Sur-Chambon[Note 2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  2001 Guy Arnault    
mars 2001 2008 Joël Souchal UMP Conseiller général
mars 2008 En cours Cécile Creuzon[25] DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 859 habitants[Note 3], en diminution de 7,73 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1061 4839941 0461 1362 1212 1252 1822 303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2732 2522 2622 1702 1982 2072 5342 3022 257
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2222 3782 3321 6161 6021 6251 6111 4441 350
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4581 3671 2061 2881 1051 0121 0131 014937
2018 2021 - - - - - - -
874859-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

En 2010, Chambon-sur-Voueize est devenu Bouchon, le temps du tournage du téléfilm de Luc Béraud, Bienvenue à Bouchon[29].

En 2014, Chambon-sur-Voueize est désigné pour représenter le Limousin dans l'émission de France 2 Le Village préféré des Français[30] et termine à la troisième place, avec l'aide de la création d'une page Facebook par une de ses habitantes[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le Bourg et ses abords immédiats, ainsi que les gorges de la Voueize sont répertoriés dans les sites inscrits.

  • L'ancien monastère fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [32].
  • L'église abbatiale Sainte-Valérie fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[33],[34]. C'est l'une des plus importantes et intéressantes églises de style roman du Limousin. Après la fondation par l'abbaye de Saint-Martial de Limoges d'un prieuré destiné à conserver les reliques de sainte Valérie, est entreprise la construction de l'église, à la fin du XIe siècle ou au début du XIIe. Pillée et mutilée aux XVe et XVIe siècles, elle a été remaniée vers 1850.
  • Le pont sur la Voueize fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [35].
  • Le château de Marsat, au nord de la commune.
  • Les ruines du château fort de Leyrat, dit de Barbe-Bleue, sur un promontoire dominant les gorges de la Voueize, au nord de Chambon. Détruit à la fin du XIIe siècle, il est l'un des derniers édifices représentatifs du style de construction militaire du Haut Moyen Âge.
  • Les vestiges d'une ancienne villa du Haut Moyen Âge, à Las Lattas, construite sur les bords de la Voueize au Haut Moyen Âge, à proximité des ruines du château-fort de Leyrat.
  • Les vestiges de Château-Guillaume, fortin détruit au XIIe siècle, situé sur les bords de la Tarde, en face du village de Thaury.
  • Plusieurs maisons médiévales.
  • La Fontaine Sainte-Valérie, située le long de la Voueize

Cartes postales anciennes[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Péronnelle de Chambon, dame de Combraille et comtesse-consort d'Auvergne.
  • Jean-François Barailon, (Viersat, 1743 - Chambon-sur-Voueize, 1816), homme politique.
  • George Sand (1804-1876), romancière, dont les actions des romans "Jeanne" et "Le marquis de Villemer" ont pour décors Boussac et Chambon-sur-Voueize.
  • Frédéric Mourlon (1811-1866), jurisconsulte, dont un buste en bronze ornait autrefois le jardin du tribunal.
  • Alfred Tardif (1837-1915), homme politique français, né et décédé dans la commune.
  • Alfred Grand (1860-1937), homme politique français, né dans la commune.
  • Ernest Anselin (1861-1916), l'un des 42 généraux français mort au combat, né dans la commune.
  • Eugénie Fougère (Chambon-sur-Voueize, 1861 - Aix-les-Bains, 1903), demi-mondaine de la Belle Époque surnommée la belle « Fou-Fou » ou « Bâton de réglisse », assassinée par le truand lyonnais Henri Bassot, avec la complicité de Victorine Giriat, sa meilleure amie et confidente attitrée, dans le simple but de lui voler ses bijoux ; Eugénie Fougère n'avait jamais oublié son village creusois où elle revenait parfois. Après le drame d'Aix-les-Bains, elle fut inhumée au cimetière de Chambon-sur-Voueize dans la chapelle de la famille Fougère.
  • Paul-Louis Grenier (1879-1954), poète et écrivain de langue occitane né dans la commune.
  • Pierre Chartier (1894-1980), peintre, décédé dans la commune.
  • Yvon Le Marc'hadour (baryton) né à Chambon-sur-Voueize 19-12-1898 ; Paris, 07-11-1985).
  • Albert Bonneau (1898-1967), écrivain, décédé dans la commune.
  • Jean Jamot (1921 - 2005), enseignant, auteur du livre "Chambon sur Voueize à travers le âges".
  • Frédéric Berthet (1954-2003), écrivain qui fit l'acquisition d'une maison, située 16 rue de la Couture, au cours de l'été 1993[36].
  • Ghislaine Alajouanine (1948), née dans la commune, entrepreneur et personnalité de l'action humanitaire française.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Chambon-sur-Voueize se blasonnent ainsi :

D'argent aux quatre champignons de gueules ordonnés en sautoir.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Nom de l'an II d'après EHESS-Cassini[24], avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 11 (pluviôse an III).
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jean Jamot, Chambon-sur-Voueize à travers les âges, éditions Verso, (ISBN 2-903870-75-6, lire en ligne), p. 11 :

    « « Au païs de Combralha

    O l'aspra Tarda chanta [...] La comba de Chambò e sas pradas en flor » Paul-Louis Grenier

    La chanson de Combraille, 1927 »

    .
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Chambon-sur-Voueize et Auzances », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Auzances_sapc » (commune d'Auzances) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Auzances_sapc » (commune d'Auzances) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chambon-sur-Voueize », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chambon-sur-Voueize », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Pierre Rigaud, « Originalité de la zone entre Berry, Bourbonnais, Marche et Auvergne : La Combraille », Médioromanie - Etudes sur la France médiane - Numéro 1 - Acte des 1ères rencontres médioromanes de Souvigny (27-28 Mai 2000),‎ 2000 ; éd. 2001.
  23. « Seigneurs de la Combraille et de Chambon, p. 387-415 », sur Histoire de la Marche et du Pays de Combraille, t. Ier, par Joseph Joullietton, chez Bétoulle à Guéret, 1814.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Sornin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. Source : préfecture de la Creuse
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Un téléfilm sera tourné avec Francis Perrin, lepopulaire.fr
  30. https://www.lamontagne.fr/chambon-sur-voueize/television-medias/2014/05/03/village-prefere-des-francais-une-page-facebook-a-ete-creee-pour-soutenir-chambon_1990517.html 'Chambon-sur-Voueize sélectionnée pour l'émission Le Village préféré des Français sur France 2', La Montagne.fr
  31. « Village préféré des Français : une page Facebook a été créée pour soutenir Chambon », La Montagne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Notice no PA23000021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Notice no PA00100031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Jean Maury, Marie-Madeleine S. Gauthier, Jean Porcher, Limousin roman (collection « La Nuit des temps » n° 11), La Pierre-qui-Vire, Éditions Zodiaque, 1959, pp. 126-166.
  35. Notice no PA00100030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. . Il y reçut ses amis écrivains, notamment Jean Echenoz, Michel Déon, Patrick Besson, Michel Braudeau. Chambon apparaît souvent dans le volume de ses Correspondances 1973-2003, La Table Ronde 2011. Cf. La Montagne, 18 mars 2011.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Farid Abdelouahab (dir.), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, , 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 48 — Photographie de l'église par Séraphin-Médéric Mieusement.
  • Jean-Pierre Larue, Tectonique, érosion et hydrographie sur la bordure nord-ouest du Massif central.
  • Jean Jamot, Chambon sur Voueize à travers les âges, Paris, Le livre d'histoire-Lorisse, 1995 (1re édition) - 2015 (réédition), 374 p
  • Stéphane Bern, Le Village préféré des Français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 249 p. (ISBN 978-2-226-25920-2) — Ce livre est tiré de l'émission Le Village préféré des Français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Chambon-sur-Voueize, pages 153 à 155** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.
  • Louis Davillé, « Le mot celtique « cambo- » et ses dérivés en toponymie », In Revue des Études Anciennes, tome 31, 1929, n°1, p. 42-50 DOI 10.3406/rea.1929.2518

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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