Cempuis — Wikipédia

Cempuis
Cempuis
La mairie-école
Blason de Cempuis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Marc Houbigand
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60136
Démographie
Gentilé Cempuisiens
Population
municipale
490 hab. (2021 en diminution de 11,23 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 33″ nord, 1° 59′ 15″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 198 m
Superficie 9,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives [2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Cempuis
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Cempuis
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Cempuis

Cempuis est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de Cempuis.

Localisation[modifier | modifier le code]

Cempuis est un village rural du Plateau picard, jouxtant de Grandvilliers et situé à 27 km au nord-ouest de Beauvais et à 35 km au sud-ouest d'Amiens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Transports et déplacements[modifier | modifier le code]

Cempuis est aisément accessible par le tracé initial de l'ex-RN 1 (actuelle RD 901).

La gare la plus proche est la gare de Grandvilliers. La commune est desservie, en 2023, par les lignes 614, 616, 625, 6103 et 6104 du réseau interurbain de l'Oise[1] et par la ligne 733 du réseau Trans'80[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 808 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cempuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,8 %), zones urbanisées (4,4 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), forêts (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 214, alors qu'il était de 214 en 2013 et de 185 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 7,5 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cempuis en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 93,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cempuis en 2018.
Typologie Cempuis[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 4,7 7,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village a été dénommé Cempuis-le-Grand, Sempuis, Chempuis , Cenpuis en 1230 , Centpuits, Centpuis, Chempuy-le-grand, Cenpuiz en 1167, Cenpuy, Cenpuis (Centum Putei en 1140)[15].

La dénomination du village proviendrait des multiples puits d'aération des muches (souterrains refuges) où se cachaient les habitants lors des guerres d'autrefois[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon Louis Graves, « Cempuis appartenait dans le douzième siècle à une famille qui portait le nom du pays. La terre était une des pairies de Pecquigny et un démembrement de celle de Sommereux. Elle fut possédée pendant les quinzième et seizième siècles par la famille Dufay, et vint plus tard à la famille Gouffier[15] ».

Il indiquait « Le patronage de la cure sous le titre de Saint-Nicolas appartenait à l'abbaye de Saint-Lucien, qui fut confirmée dans ce droit et dans la jouissance, des dîmes en 1159, par Thierry, évêque d'Amiens[15] ».

Au milieu du XIXe siècle, le village comptait quatre moulins à vent et les habitants vivaient de l'agriculture et de la fabrication de bas de laine[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La communauté de communes de la Picardie verte dans le département de l'Oise.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Grandvilliers[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui l'intègre toujours, s'est agrandi, passant de 23 à 101 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1962   Albert Ladoubart    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Jacques Coët[19]    
mars 2014[20] juillet 2020[21],[22], Jean-François Boursier   Fonctionnaire
juillet 2020[23] En cours
(au 2 décembre 2021)
Marc Houbigand   Retraité de l'enseignement

Politique de développément durable[modifier | modifier le code]

En 2019, le maire et le conseil municipal menacent de démissionner si la création d'un parc éolien de deux éoliennes à Sommereux et deux à Cempuis est autorisé, malgré leur avis défavorable et une forte mobilisation des habitants du village lors de l'enquête publique[24]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

L'eau potable du village est distribuée par le syndicat d’eau de la région de Grandvilliers. Selon certains habitants, l'eau provenant du captage du Hamel présenterait en 2018 des taux de déséthylatrazine de 0,122 microgramme/litre alors que la norme sanitaire est au plus de 0,10 microgramme/litre, ainsi qu'un taux excessif nitrate[25],[26].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal rassemblant Cempuis et Sommereux, avec, en 2016, deux classes dans la première et trois dans la seconde, soit 128 élèves inscrits[27]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 490 habitants[Note 3], en diminution de 11,23 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
622636714662734668623595567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
495479454426471402509556589
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
605622582488593594626453547
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
356371363360299383421425499
2017 2021 - - - - - - -
501490-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 257 femmes, soit un taux de 51,5 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,6 
5,0 
75-89 ans
4,3 
18,2 
60-74 ans
16,4 
21,0 
45-59 ans
19,8 
18,1 
30-44 ans
20,9 
17,6 
15-29 ans
12,8 
20,1 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Sports[modifier | modifier le code]

Le Football Club de cempuis dispose en 2021 de deux équipes seniors évoluant en A en 3e division du district Oise dans le groupe A et la deuxième équipe est en 5e division. Une équipe de U15 évolue en 2e division[33].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

L'association « I z'on creuqué eun'pomm'» organise à Cempuis sa traditionnelle « Fête de la pomme », dont la 34e édition a eu lieu en 2017[34]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.
Son nom exact était le "collège Marcel-Callo". Il a remplacé l'IDGP (institution départementale Gabriel-Prévost) qui appartenait au département de la Seine, aujourd'hui géré par la Ville de Paris aux termes d'un legs de Gabriel Prévost en vue de la création d'une institution laïque pour l’accueil d’orphelins[35]. Cet établissement fondé par Gabriel Prévost a été le premier établissement mixte de France. À son début, dirigée par Paul Robin, il mettait en œuvre une pédagogie révolutionnaire.
La mairie de Paris délègue en 1988 (sous la mandature de Jacques Chirac) la gestion aux Orphelins Apprentis d'Auteuil, aujourd'hui Fondation d'Auteuil, qui y gère la maison Jacques-Callo, établissement à caractère social et éducatif accueillant des élèves en souffrance scolaire et/ou sociale dans le cadre des principes de la Fondation d'Auteuil : "Accueillir, Eduquer, Former, Insérer"[réf. nécessaire], et qui a renoncé à cette gestion au [36].
Depuis sa fermeture, le site de 10 hectares comprenant de nombreux locaux, notamment d'enseignement est inutilisé et nécessiterait de lourds investissements pour l'adapter à de nouveaux usages, tels que, selon le conseiller régional Alexis Mancel, « un lycée d’enseignement général, un campus universitaire[37]… ». Une rumeur a circulé en 2015-2016, selon laquelle la Ville de Paris aurait envisagé d'y aménager un centre d'accueil dans le cadre de la crise migratoire en Europe[36],[38],[35]. La commune a souhaité, sans succès, acquérir une partie des bâtiments (locaux techniques et bâtiment moderne abritant des classes situé au carrefour de la rue Gabriel-Prévost et de la voie communale traversant le domaine), afin d'y loger ses ateliers municipaux, le centre de première intervention des pompiers et des classes[27].
  • Église Saint-Nicolas : Chœur du XIVe siècle, chapelle Renaissance à voûtes et pendentifs. Boiseries du XVIIIe siècle. Christ en bois du XVe siècle[16],[39].
  • Chapelle Ecce Homo : Construite en 1728, au centre du village[16].
  • Muches (Souterrains-refuges) très fortifiés mais comblés par les éboulements, dont les "100 puits" d'aération seraient à l'origine du nom du village.
  • Puits de Cempuis : La commune compte encore quatre ou cinq puits[16].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Paul Robin, directeur de l'orphelinat Prévost de 1880 à 1894.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cempuis Blason
Tranché : au 1er d'azur à trois fleurs de lys d'or, au 2d d'argent à trois lionceaux léopardés de gueules rangés en bande, à la cotice de sinople brochant sur la partition[40].
Devise
Centum putei in terra faian
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Cempuis » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cempuis - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Cempuis - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Transports en commun à Cempuis », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  2. « Lignes qui desservent Cempuis (Oise) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Cempuis et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 33-34, lire en ligne sur Gallica.
  16. a b c et d « Fins de travaux sur la toiture : L'église Saint-Nicolas régulièrement entretenue », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3434,‎ , p. 7.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Les maires de Cempuis », sur francegenweb.org (consulté le ).
  19. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
  20. Matthias Schweisguth, « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 9.
  21. Pierre-Emmanuel Reger, « Municipales 2020. Jean-François Boursier arrête après 32 années en tant qu'élu de Cempuis : Jean-François Boursier est élu à Cempuis depuis 1988. Maire depuis 2014, il a annoncé ne pas se représenter lors du dernier conseil municipal début novembre », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Pierre-Emmanuel Reger, « Près de Grandvilliers, Marc Houbigand, premier adjoint au maire, sera tête de liste : Marc Houbigand, adjoint au maire de Cempuis (Oise) a décidé de mener une liste avec des membres du conseil municipal sortant », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Je suis élu depuis 1995 et adjoint au maire depuis 2008 (...) J’ai travaillé une vingtaine d’années à l’Institut Gabriel Prévost à Cempuis. Je suis membre du comité des fêtes depuis 1993, dont je suis le secrétaire. J’occupe aussi cette fonction au club des aînés. Je suis vice-président du syndicat intercommunal de regroupement scolaire Cempuis-Sommereux-Laverrière ».
  23. « Le nouveau maire est marc Houbigand : Marc Houbigand est le nouveau maire de Cempuis. S’il a déjà été élu premier adjoint, le nouveau maire est au conseil municipal de sa commune depuis 24 ans », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3668,‎ , p. 17.
  24. « Pétition contre les éoliennes : « Nous ne sommes pas écoutés » : Jean-François Boursier estime que l'Etat ne tient pas compte de l'avis des habitants opposés au projet éolien. Il menace de démissionner de son poste de maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3555,‎ , p. 5.
  25. Pierre-Emmanuel Reger, « À Cempuis, Denis et Patrick se battent pour la qualité de l'eau potable : Y aura-t-il une association pour la défense de la qualité de l'eau potable à Cempuis ? C'est le souhait de Denis Leveillet et Patrick Martin, deux habitants de Cempuis (Oise) », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Pierre-Emmanuel Reger, « Près de Grandvilliers (Oise). Denis et Patrick continuent le combat pour la qualité de l’eau : Denis Leveillet et Patrick Martin, de Cempuis (Oise) dénoncent la présence de déséthylatrazine dans l’eau potable distribuée par le syndicat d’eau de la région de Grandvilliers », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b « Cempuis ne peut pas acheter pour l’école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3402,‎ , p. 6.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cempuis (60136) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  33. Maxime Bouhier, « Les 70 licenciés du FC Cempuis ont reçu un survêtement : Le FC Cempuis vient d'être doté de nouveaux survêtements. Une belle nouvelle pour ce club de football, qui doit faire face à une longue période sans matchs », Le Réveil de Neufchâtel,‎ 21/4/2021 mis à jour le 22/4/2021 (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Grandvilliers : 400 variétés de pommes à découvrir », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. a et b « Un avenir pour le site : Le domaine Gabriel-Prévost à Cempuis est en quête d’un nouvel avenir. La ville de Paris le vendra si un projet viable est présenté », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3402,‎ , p. 6.
  36. a et b « Cempuis : le village redoute un Sangatte bis », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  37. Matthias Schweisguth, « Cempuis : avenir toujours flou pour Callo : Pour les élus locaux, le conseil régional des Hauts- de- France est l’interlocuteur privilégié pour assurer un avenir à l’ancien orphelinat. Reste à trouver un projet », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3415,‎ , p. 7.
  38. Matthias Schweisguth, « Dix associations pour un centre pour réfugiés », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3398,‎ , p. 6 « Dix associations ont écrit à Anne Hidalgo, maire de Paris, pour l’encourager à accueillir des demandeurs d’asile au domaine Gabriel-Prévost à Cempuis dont la capitale est propriétaire. Envoyée le 31 mars, la lettre n’a pas encore reçu de réponse de la mairie de Paris ».
  39. Dominique Vermand, « Cempuis, église Saint-Nicolas », Diocèse : Amiens, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  40. « 60136 Cempuis (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).