Celhia de Lavarène — Wikipédia

Celhia de Lavarène
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Célhia de Lavarène est une journaliste et écrivaine française.

Elle vit depuis 1991 à New York, afin d'assurer la couverture des institutions de l'Organisation des Nations unies pour différents médias, tels que Le Quotidien de Paris, Jeune Afrique, RFI et Mediapart[1].

Outre son travail de journaliste pigiste, elle a participe à sept missions organisées par l'ONU. La première a lieu en Afrique du Sud comme observatrice électorale à l'occasion de ses premières élections multiraciales sud-africaine en 1994. Suivant le Cambodge, et la Bosnie. où elle est embauchée par Jacques-Paul Klein afin de lutter contre le trafic de jeunes femmes[2]. En mars 2004, elle est envoyée pour une mission similaire au Liberia, après 14 années de guerre civile[3]. Durant ses sept missions de l'ONU, elle a aussi exercé la fonction de conseillère politique en Slavonie orientale, et dans le Timor oriental[4].

Elle a publié Un visa pour l'enfer en octobre 2006, et Les étoiles avaient déserté le ciel en 2016.

Elle a également dénoncé les raisons de l'inaction de l'ONU dans une interview donnée par ARTE[5].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « L'ONU peut-elle encore venir au secours des peuples qui le lui demandent ? », sur le site de l'institut Sciences Po, (consulté le )
  2. Rebuffel Catherine, « Célhia de Lavarène, contre le trafic des jeunes filles », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  3. « Célhia de Lavarène : au nom de toutes les gamines », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
  4. « Des résolutions de l'Onu aux bordels de Bosnie », sur La Nouvelle République, (consulté le )
  5. 28 minutes - ARTE, « Celhia de Lavarène dénonce la situation à l'ONU- 28 minutes - ARTE », (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]