Carbay — Wikipédia

Carbay
Carbay
Bâtiment du XVe siècle abritant la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Martial Brillet
2020-2026
Code postal 49420
Code commune 49056
Démographie
Gentilé Carbaisiens
Population
municipale
272 hab. (2021 en augmentation de 9,24 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 00″ nord, 1° 13′ 05″ ouest
Altitude 79 m
Min. 54 m
Max. 101 m
Superficie 7,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Carbay

Carbay est une commune française, située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Ancienne villa gallo-romaine, la paroisse de Carbay est créée par donation du comte d'Anjou d'un territoire disputé entre Châteaubriant et Pouancé. Située au sud-ouest de Pouancé, le chef-lieu de canton, c'est une des communes les plus septentrionale de Maine-et-Loire. Elle partage sa frontière avec trois communes de la Loire-Atlantique : Villepot, Soudan et Juigné-des-Moutiers. C'est une commune peu peuplée, à grande dominance agricole.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le Haut-Anjou, à environ 3 km de Pouancé, le chef-lieu de canton, et environ 12 km de Châteaubriant, en Loire-Atlantique. Segré, la sous-préfecture, est distante de 27 km.

Rose des vents Villepot (Loire-Atlantique) Pouancé Pouancé Rose des vents
Soudan (Loire-Atlantique) N Pouancé
O    Carbay    E
S
Soudan (Loire-Atlantique) Juigné-des-Moutiers (Loire-Atlantique) La Prévière

Topographie, géologie, relief[modifier | modifier le code]

Carbay fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Environ un tiers du territoire communal est occupé par la forêt d'Ombrée, au sud. Sur le plan géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.

La commune se situe dans une petite vallée. Au nord, l'altitude est d'environ 90 mètres, et descend progressivement jusqu'au bourg de la commune, à environ 66 mètres. Le sud de la commune remonte ensuite, présentant un relief non homogène qui oscille entre 74 et 92 mètres d'altitude[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 721 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 724,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune voit naître le ruisseau de Carbay, qui coule vers d'ouest en est en direction de La Prévière. Un ruisseau affluent forme la frontière est avec Pouancé. Un second ruisseau, au sud, coulant d'ouest en est, forme la limite avec Soudan, puis, une fois rejoint par le ruisseau de la Blisière de Juigné-des-Moutiers, forme le ruisseau de la Retenue, qui délimite la frontière sud avec Juigné et entre sur la commune de La Prévière[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Carbay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (34,7 %), prairies (15,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Carbai, Cabaiacum et Querbai[15][réf. à confirmer].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Deux haches en pierre dont une en dolérite et un broyeur témoigne du passage de population préhistorique sur le territoire de Carbay[16]. La commune ne compte aucun monument mégalithique. Si rien ne prouve une occupation celtique, en revanche, le territoire de Carbay voit probablement s'installer une villa gallo-romaine, dont les limites dépassent celle de la commune actuelle[17].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1050, des moines de Marcillé, fuyant la guerre entre Briant, seigneur de Châteaubriant, et Robert de Vitré, viennent demander au comte d'Anjou Geoffroy Martel, l'autorisation de s'installer à Carbay. Celui-ci leur fait don de la « villa de Carbay »[17] après s'être assuré que Briant ne dévasterait plus les terres situées entre Châteaubriant et Pouancé[18]. La villa devient un prieuré-cure, relevant de l'abbaye de Marmoutier. En 1198, Richard Cœur de Lion donne aux moines de Marmoutier 3 000 sous à percevoir sur les foires d'Angers en échange du domaine de Carbay. À la suite de sa mort, les moines reprennent leurs droits sur le prieuré, bien que l'évêque d'Angers garde plusieurs droits spirituels, dont la confirmation des enfants[17]. En 1207, Charles Ier d'Anjou, ou plus vraisemblablement le sénéchal Guillaume des Roches, se voit demander par les habitants de Carbay d'alléger les charges de la paroisse. Celui-ci accepte, demandant qu'en échange, les habitants de Carbay élisent un « Roy » pour un jour, qui doit être jeté dans l'étang après la messe, tandis que chaque habitant lui doit deux œufs, et le prieur quinze livres de beurre[19].

Ancien Régime et Révolution[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, un fermier général représente Marmoutier à Carbay. En 1569, une partie des biens du prieuré est aliéné au profit du trésor royal. Le curé de la paroisse obtient l'interdiction de la fête du Roy de Carbay en 1680. Le prieur se dit seigneur de la paroisse, malgré l'interdiction faite en 1764 par Angers de se désigner ainsi. Au XVIIIe siècle, les impositions s'élevaient à 1 800 livres. L'économie tourne autour des bêtes à laine, l'agriculture étant rendu difficile par la mauvaise qualité du sol. La moitié des terres consistait en des landes ou des taillis. Pendant la Révolution, le curé de la paroisse prête le serment, puis se rétracte une fois la Terreur terminée. La paroisse devenue commune est intégrée au canton de Pouancé[17].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le bâtiment de la mairie est acquis en 1846, tandis que l'église est construite entre 1862 et 1864[17]. Pendant la Première Guerre mondiale, 17 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, aucun habitant n'est tué[20].

Le 19 décembre 2007, douze écoliers de la classe unique de Carbay sont invités au Noël de l'Élysée par Nicolas Sarkozy[21]. En 2008, le comité des fêtes de Carbay décide de faire renaître la « fête du Roy ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Carbay est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 500 habitants, son conseil municipal est constitué de 11 élus.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1803 1807 Primaud    
1807 1807 Jean Mayence    
1807 1817 Louis Frémond    
1817 1828 Pierre Bazin    
1828 1830 Joseph Gaigneux    
1830 1843 Louis-Vincent Galland    
1843 1853 Joseph Gagneux    
1853 1856 René Richard    
1856 1864 Jacques Jallot    
1864 1865 Richard    
1865 1881 Pierre Bazin    
1881 1892 Émile Bodinier    
1892 1919 Jules Bodinier    
1919 1929 Jean Raguin    
1929 1935 Jean Macé    
1935 1939 Henri Hunault    
1939 1963 François Bernier    
1963 1977 Henri Hunault    
1977 1983 Gilbert Berthaud    
1983 1995 André Boussard    
1995 2008 André Neau   Enseignant
mars 2008 mai 2020 Laurent Cadou[22]   Professeur des écoles
mai 2020 En cours
(au 1 juin 2020)
Martial Brillet[23]    

Intercommunalité (1966-1995-2016)[modifier | modifier le code]

La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[24]. Le 14 décembre 2016, elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le 1er janvier 2017 la commune intègre Anjou Bleu Communauté.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population de Carbay sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. En 1720, la paroisse comptait 80 feux. En 1790, elle en comptait 70[17].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 272 habitants[Note 4], en augmentation de 9,24 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
269266265262250251224273272
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
251283291304306302336314301
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
291285273260254233222247252
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
204192181175214208242242252
2021 - - - - - - - -
272--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 147 hommes pour 117 femmes, soit un taux de 55,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,9 
3,6 
75-89 ans
1,8 
16,4 
60-74 ans
17,9 
18,6 
45-59 ans
13,4 
21,4 
30-44 ans
25,9 
12,9 
15-29 ans
15,2 
26,4 
0-14 ans
25,0 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Seule une école publique dépendant de l'académie de Nantes accueille les enfants de maternelle et primaire. Les collèges se trouvent à Pouancé et les lycées se situent à Châteaubriant ou Segré.

Santé[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Carbay. Les plus proches sont basés à Pouancé, de même que l'hôpital. Les cliniques les plus proches se situent à Châteaubriant, de même que le service maternité.

Autres équipements, commerces et tourisme[modifier | modifier le code]

Local de la bibliothèque et du foyer des jeunes.
Local de la bibliothèque et du foyer des jeunes.

La commune dispose pour équipements sportifs d'un terrain de football et d'un terrain de bi-cross, d'une bibliothèque pour équipement culturel et d'une salle de fête d'une capacité de 60 personnes. Il n'y a pas de commerce[31].

Pour le tourisme, la commune est affiliée à l'Office de Tourisme de l'Anjou bleu[32].

La fête du Roy de Carbay se tient chaque année, fin juin.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon l'Insee, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, quatre entreprises dont deux dans la construction et deux dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[33].

Agriculture[modifier | modifier le code]

On comptait 19 exploitations agricoles en 2000[33]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 21 à 19, mais la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 769 hectares (moyenne 37 hectares par exploitation) à 926 hectares (49 hectares par exploitation). Quatorze exploitations élevaient des bovins, le nombre de tête restant stable entre 1988 et 2000 à environ 1 100 têtes, et onze des volailles, dont le nombre baisse de 29 000 à 21 000 sur la même période[33].

Appellations sur le territoire[modifier | modifier le code]

La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[34]:

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La mairie de Carbay est installée dans un bâtiment datant probablement du XVe siècle. Celui-ci, construit entièrement en schiste, possède un coyau au niveau du toit, et des encadrements d'ouvertures en pierre bleue sculptée, dont une fenêtre avec double accolade.
  • Dans le cimetière se dresse encore une croix en schiste de la même époque environ, sculptée au sommet d'un christ crucifié. Une autre tombe date du XVIIe siècle, possédant l'inscription « Cy gît le corps de Jeanne Robin qui décéda le 6e jour d'août 1632 ».
  • L'église paroissiale Saint-Martin, de style néo-gothique, a été construite entre 1865 et 1867, et est formée d'une simple nef avec transept et chœur. Deux chapelles s'y trouvent : celle de Saint-Joseph et celle de la Vierge[F 1].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 588-589.
  • André Neau, Sur les chemins de l'histoire en pays Pouancéen, t. 1, Carbay, A. Neau, , 256 p. (ISBN 978-2-9537488-0-2, BNF 42352327).
  • Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des communes de Maine-et-Loire, .
  1. p. 1021.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 164.
  2. a et b « Carbay », sur geoportail.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Carbay et Ombrée d'Anjou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pouancé_sapc », sur la commune d'Ombrée d'Anjou - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Paul-Alexandre Marchegay, Archives d'Anjou : recueil de documents et mémoires inédits sur cette province. Volume 2,
  16. André Neau 2010, p. 12.
  17. a b c d e et f Célestin Port 1965, p. 588-589.
  18. André Neau 2010, p. 30.
  19. André Neau 2010, p. 40-41.
  20. Memorialgenweb.org - Carbay : monument aux morts
  21. Haut-Anjou : 12 élèves de Carbay reçus à l'Élysée
  22. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  23. « Carbay. Martial Brillet, élu maire, en binôme avec la 1re adjointe », (consulté le ).
  24. « Communauté de Communes de la région de Pouancé-Combrée », sur cc-pouance-combree.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Carbay (49056) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  31. « Carbay », sur Communauté de communes de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
  32. anjou-tourisme.com
  33. a b et c Insee, données 2009.
  34. Carbay sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011