Cahagnes — Wikipédia

Cahagnes
Cahagnes
L'entrée du bourg.
Blason de Cahagnes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Vire
Intercommunalité Communauté de communes Pré-Bocage Intercom
Maire
Mandat
Guillaume Dujardin
2020-2026
Code postal 14240
Code commune 14120
Démographie
Gentilé Cahagnais
Population
municipale
1 412 hab. (2021 en augmentation de 0,79 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 59″ nord, 0° 46′ 07″ ouest
Altitude Min. 97 m
Max. 268 m
Superficie 24,35 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Monts d'Aunay
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Cahagnes
Liens
Site web cahagnes.fr

Cahagnes est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 412 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Cahagnes se trouve au nord de la région naturelle du Bocage virois, plus précisément dans une région aujourd'hui appelée Pré-Bocage, désignation récente, sorte de seuil du Massif armoricain. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place au sud-est de l'unité du Bocage en tableaux située à l'est de Saint-Lô et caractérisée par « une série de vallées parallèles sud-ouest/nord-est » aux « amples tableaux paysagers »[1]. Son bourg est à 4 km au sud-est de Caumont-l'Éventé, à 9 km à l'ouest de Villers-Bocage, à 9,5 km au nord-est de Saint-Martin-des-Besaces et à 13 km au nord-ouest d'Aunay-sur-Odon[2]. Avec un territoire de 2 435 hectares, elle était la commune la plus étendue du canton d'Aunay-sur-Odon avant la création de Seulline le .

L'autoroute A84, dont l'échangeur no 42 est accessible sur la commune de Coulvain voisine à l'est, emprunte le sud du territoire. Cette autoroute gratuite y longe l'ancienne route nationale 175, aujourd'hui déclassée en départementale 675, à laquelle le bourg est relié par la D 54. Cette dernière continue au sud vers Aunay-sur-Odon et permet au nord de rejoindre Caumont-l'Éventé. La D 71 qui joint Caumont à Villers-Bocage traverse le nord de la commune et est reliée au bourg par la D 292. La D 193 rejoint Sept-Vents à l'ouest et Tracy-Bocage à l'ouest, la D 292 Les Loges au sud-ouest et la D 291 Saint-Pierre-du-Fresne et Jurques au sud.

La plus grande partie du territoire de Cahagnes est dans le bassin de la Seulles qui le parcourt du sud-est au nord-est. Ses affluents le Calichon et la Seullette collectent respectivement les eaux du nord et du sud-ouest de la commune. Seule la partie à l'ouest des hameaux de la Londe et de l'Angotière est dans le bassin de la Vire, par son sous-affluent le ruisseau de la Rosière, affluent de la Drôme.

Le point culminant (268 m) se situe à l'extrême sud, dans l'enclave limitrophe de Saint-Pierre-du-Fresne. Le point le plus bas (97 m) correspond aux sorties de la Seulles (au nord-est) et du Calichon (au nord) du territoire.

La pluviométrie annuelle entre 1970 et 2000 a avoisiné les 1 000 mm[3].

Les principaux lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire : le Grand Boussigny, Lutaine, Mondant, Lotérot, les Prés, Calichon, Canflais, les Bruyères (deux lieux-dits portent ce nom), la Bergerie, le Bourg, la Croix, le Temple, la Caillerie, Gournay, le Quesnay, la Tringale, la Raterie, la Sébillière, le Mesnil, Orval, Greland, Beaumont, Craham, le Pont de Craham, Beaubrière, Hamars, la Rivière, la Campagne, Locqueville, les Bosquets, le Mesnil de Benneville, Benneville, le Haut Pavé, le Saussay, le Grand Parc, le Homme, Canteloup, le Pont Prieur, la Foulerie, la Maison Neuve, Vauvrecy, la Maison Brûlée, la Récussonnière, le Hautes Pâtures, Boussigny, l'Angotière, Aubigny, le Moulin d'Aubigny, Écorigny et la Londe[4].

Le territoire comprend une enclave au sud-ouest, entre les communes de Saint-Jean-des-Essartiers, Saint-Pierre-du-Fresne et Saint-Martin-des-Besaces (commune nouvelle de Souleuvre-en-Bocage). Une partie de l'aire d'autoroute « de Cahagnes » est située sur cette enclave traversée également par la D 107.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 950 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Caumont-sur-Aure à 4 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 914,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cahagnes est une commune rurale[Note 2],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54 %), terres arables (43,5 %), zones urbanisées (1,4 %), forêts (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Chaiines vers 1170 (Wace, Roman de Rou[19]) ; Kahaniis en 1182-1189 (Actes H II, 750) ; ecclesia de Cahannes, Willelmus de Cahaines en 1195 (Stapelton 199, 264)[20] ; Kahaignae en 1203[21],[20].

La première mention est en dialecte normand méridional, au sud de la ligne Joret avec [ʃ]. La commune se trouvant au nord, seule la forme normanno-picarde avec [k] initial a prévalu. Cahagnes renvoie à un type toponymique attesté presque uniquement en Normandie et dans le Maine. En effet, on y trouve aussi Chaignes (Eure, Cahaniis, non daté) ; Cahaignes (Eure, Cahainnes 1184) et Chahaignes (Sarthe, Chahania s-IXe siècle)[20].

Fernand Lechanteur, Jean Adigard des Gautries, Ernest Nègre et Albert Dauzat ont voulu voir, les uns, le latin catena (> chaine) et, les autres, le latin catanus, « genévrier », dont une variante a donné l'occitan cade, à l'origine du français cade. François de Beaurepaire[22] doute de ces hypothèses. Dans un ouvrage plus récent, ce dernier[20] reprend l'hypothèse de Gérard Taverdet[23] qui considère ce type toponymique comme une évolution du latin tardif capanna / *cavanna (cauanna, VIIIe siècle, Gloses de Reichenau[24]), sans doute d'origine préromane, qui a donné le mot français cabane (issu de l'occitan[24]) et les nombreux toponymes Chavannes / Cabannes[20]. La chute du [b] / [v] à l'intervocalique s'est produite de la même manière que dans tabonem > taon ou pavonem> paon[20].

Remarque : la forme *Kahaines (Quahaines 1233, Kahaignes 1235) a donné le nom d'un village anglais Keynes et le patronyme anglais Keynes.

Le gentilé est Cahagnais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Des fouilles ont révélé un site protohistorique (VIIe siècle av. J.-C.) attestant d'une occupation humaine ancienne à Benneville[25].

Moyen âge[modifier | modifier le code]

Guillaume de Cahagnes est au XIe siècle seigneur du village, et l'un des compagnon de Guillaume le Conquérant lors de la conquête de l'Angleterre. Il reçut du duc de vastes domaines, tant dans le duché de Normandie qu'en Angleterre, où il est à l'origine du village de Keynes[25]. Le nom issu d'une forme de type *Kahaines s'est anglicisé en Keynes. Cela explique le jumelage actuel avec la ville de Horsted Keynes (en) dans le Sussex.

Le prieuré anglais de Merton (Borough londonien de Merton), possession de l'église de Cahagnes, fut fortifié par Radulphe de Cahagnes, fils de Guillaume, qui fit de nombreux dons à plusieurs abbayes[25].

Du XIIe au XVIIe siècle, Cahagnes est dominé par les deux seigneuries de Vauvrecy et d'Aubigny.

Selon Arcisse de Caumont, les chanoines de Merton détenaient dans le village une léproserie qui relevait de l'abbaye Notre-Dame du Val.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Photographie montrant un char de combat dont sortent deux soldats au bord d'une rue en ruine et quatre autres soldats attendant au centre de la rue
Chasseur de chars M10 Achilles traversant Cahagnes au cours de la progression des Britanniques vers Aunay-sur-Odon, le .
L'avance de l'armée britannique vers Aunay-sur-Odon en août 1944 : à l'aide de leur camion Ward Lafrance (6 tonnes, 6x6, 'Heavy Wrecker' M1), les soldats travaillent sur une chenillette qui barre la route dans le centre de Cahagnes.

Le village est très touché par les combats pour libérer la région de l'occupation allemande, fin , au cours notamment de l'opération « trouée de Caumont » (opération Bluecoat). Les nombreux bombardements stratégiques alliés afin de faciliter les percées pour les divisions libératrices ont détruit une grande partie des constructions du village dont l'église Notre-Dame du XIVe siècle. Cahagnes est libérée le par la 43e division d'infanterie britannique[26]. Une nouvelle église dotée d'un clocher élancé en béton vibré est construite d'après les plans d'un architecte suisse, Hermann Baur[27].

Cahagnes est décorée de la Croix de guerre 1939-1945 par décret du [28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[34]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Georges Lévêque    
1959 1969 Fernand Sénécal    
juin 1969 mai 1984 Charles Blin    
juin 1984[35] mai 2020 Marcel Bonnevalle DVD Retraité (comptable)
mai 2020[36] En cours Guillaume Dujardin SE Agriculteur
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[36].

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle.
  • École élémentaire.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 1 412 habitants[Note 4], en augmentation de 0,79 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Cahagnes a compté jusqu'à 2 036 habitants en 1800.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8752 0362 0221 8351 9041 9381 8431 8041 764
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6831 6381 6421 5631 5121 5011 4541 4011 312
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2741 2411 1651 1081 1471 0961 0701 0161 092
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0591 0059029459341 0651 2631 3191 392
2018 2021 - - - - - - -
1 3911 412-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose de commerces et services à la mesure de l'importance de sa population. Une épicerie (Proxi) est installée dans le bourg ainsi qu'un salon de coiffure et un cabinet d'assurance. Cahagnes bénéficie d'une pharmacie, d'une maison médicale abritant un médecin généraliste, des infirmiers, un kinésithérapeute et des permanences de spécialistes. Un garage, des artisans et une cidrerie importante, fondée en 1926 par la famille Dujardin, sont également présents sur la commune[41].

L'activité touristique et de loisir est également assurée par un camping jouxtant la base de loisirs du Pont de Craham, et par la présence d'un centre équestre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château d'Aubigny (XVIIe siècle), inscrit aux Monuments historiques[42].
  • Église de la Nativité-de-Notre-Dame, moderne (années 1960, reconstruction), très particulière avec son clocher-beffroi séparé très élancé, mais dont les cloches ont été disjointes et installées cinquante mètres plus loin, près du presbytère. L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le 8 juillet 2010[43].
  • Monument James Cornwall. Le lieutenant britannique James Gerald Marshall-Cornwall, sous-officier au 4th Tanks Battalion Grenadier Guards (6th Guards Tank Brigade), fut tué le 30 juin 1944. D'après ses dernières volontés, il est enterré à l'endroit où il tomba. Cette tombe isolée est située sur la route de Caumont-l'Éventé (D 54).
  • Parc de loisirs de la Vallée de Craham.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Amicale sportive de Cahagnes fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une autre en division de district[44]. Le club a fêté son 60e anniversaire en 2009[45].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Denise Legrix (1910 à Cahagnes - 2010), artiste peintre, écrivain, née sans bras ni jambes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Cahagnes

Les armes de la commune de Cahagnes se blasonnent ainsi :

De gueules au lion d'or supportant un glaive d'argent garni aussi d'or, au chef du même chargé de trois roses du champ[46].

Le lion et la rose sont repris du blason des Novince d'Aubigny et le glaive symbolise l'abbaye Notre-Dame du Val dont dépendait Cahagnes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 4.3.3 : Le Bocage en tableaux » (consulté le ).
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (archive Wikiwix du site www.basse-normandie.ecologie.gouv.fr).
  4. « Cahagnes » sur Géoportail..
  5. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  9. « Orthodromie entre Cahagnes et Caumont-sur-Aure », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Livry » (commune de Caumont-sur-Aure) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Livry » (commune de Caumont-sur-Aure) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Wace, Le Roman de Rou, t. 2, Rouen, Édouard Frères, (1re éd. ca 1170) (lire en ligne), p. 254.
  20. a b c d e et f François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 376
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 129.
  22. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 80 et 119.
  23. Gérard Taverdet, Noms de lieux du Maine, Bonneton, p. 115
  24. a et b cabane sur le site du CNRTL (lire en ligne)
  25. a b et c Le Patrimoine des Communes du Calvados, t. 1, p. 55.
  26. « Normandie 44 La mémoire - Cahagnes en Normandie 1944 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  27. « La Manche libre.fr - Promenades insolites : Le beffroi qui... cloche ! » (consulté le ).
  28. [PDF] « Mémorial Dormans - Communes décorées de la croix de guerre 1939-1945 » (consulté le ).
  29. « Résultats des élections régionales 2015 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. « Résultats des élections européennes 2014 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  31. « Résultats des élections législatives 2012 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  32. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  33. « Résultats des élections européennes 2009 », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  34. « Site de la commune de Cahagnes - Maires successifs de la commune de Cahagnes » (consulté le ).
  35. « Marcel Bonnevalle sera de nouveau candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  36. a et b « Municipales à Cahagnes. Guillaume Dujardin, élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Site de la commune - Artisans - Commerçants - Entreprises - Produits locaux » (consulté le ).
  42. « Château d'Aubigny à Cahagnes », notice no PA00111197, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Église », notice no PA14000088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Am. S. Cahagnes » (consulté le ).
  45. « Site officiel de l'Am. S. Cahagnes - Histoire du club » (consulté le ).
  46. « Cahagnes », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]