Buzet-sur-Tarn — Wikipédia

Buzet-sur-Tarn
Buzet-sur-Tarn
Buzet-sur-Tarn, vue depuis la rive droite du Tarn.
Blason de Buzet-sur-Tarn
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes Val'Aïgo
Maire
Mandat
Gilles Joviado
2020-2026
Code postal 31660
Code commune 31094
Démographie
Gentilé Buzétois, Buzétoises
Population
municipale
2 850 hab. (2021 en augmentation de 7,34 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 47″ nord, 1° 38′ 02″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 247 m
Superficie 30,19 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Buzet-sur-Tarn
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villemur-sur-Tarn
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Buzet-sur-Tarn
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Liens
Site web Site officiel

Buzet-sur-Tarn (en occitan Buset de Tarn) est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Palmola, le ruisseau de Marignol et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Buzet-sur-Tarn est une commune rurale qui compte 2 850 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Buzet-sur-Tarn et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Buzétois ou Buzétoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Martin, inscrite en 1926.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Buzet-sur-Tarn se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 25 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 14 km de Villemur-sur-Tarn[2], bureau centralisateur du canton de Villemur-sur-Tarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bessières[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Mézens (3,1 km), Bessières (3,3 km), Roquemaure (3,9 km), Saint-Sulpice-la-Pointe (4,3 km), Roquesérière (5,0 km), Gémil (5,9 km), Mirepoix-sur-Tarn (6,3 km), Paulhac (6,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Buzet-sur-Tarn fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits[4].

Buzet-sur-Tarn est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Roquemaure, Mézens, Saint-Sulpice-la-Pointe, Bessières, Gémil, Paulhac et Roquesérière.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3 019 hectares ; son altitude varie de 95 à 247 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Buzet-sur-Tarn.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Palmola, le ruisseau de Marignol, le ruisseau de Castagne, le ruisseau de la Sauzière, le ruisseau de Merdayrols, le ruisseau de Panteyot, le ruisseau de Ribatel, le ruisseau des Vergnettes, le ruisseau de Vermas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 37 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

Le ruisseau de Palmola, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune de Montastruc-la-Conseillère et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Mirepoix-sur-Tarn, après avoir traversé 6 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 25 km à vol d'oiseau[12], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[17], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[18].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[19] : les « bois des Costes, des Graves et Grand bois » (491 ha), couvrant 3 communes dont une dans la Haute-Garonne et deux dans le Tarn[20] et la « forêt de Buzet » (921 ha), couvrant 4 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[19] : la « basse vallée du Tarn » (3 623 ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[22].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Buzet-sur-Tarn est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[I 2],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Buzet-sur-Tarn, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 2 850 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), forêts (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones urbanisées (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %), eaux continentales[Note 7] (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), prairies (0,8 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès par l'autoroute A68 (sortie Sortie 4 Gémil, direction Bessières - Buzet-sur-Tarn (demi-échangeur) et depuis sortie Sortie 5 Saint-Sulpice Portes du Tarn), et les routes départementales RD 630 (ancienne RN 630) et RD 988 (ancienne RN 88), ainsi que par le train en gare de Roquesérière.

La ligne express Hop!304 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse ; la ligne 354 relie le cimetière de la ville à la station Borderouge ; la ligne 355 relie le centre de la ville à la gare routière de Toulouse ou la station Borderouge et à Villemur-sur-Tarn ; la ligne 375 relie le cimetière de la ville au lycée de Fronton. La ligne 717 du réseau liO relie la commune à Saint-Sulpice-la-Pointe et à Montauban.

Voir aussi : l'ancienne Gare de Buzet-sur-Tarn sur la Ligne de Montauban-Ville-Bourbon à La Crémade.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Buzet-sur-Tarn est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Palmola. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[28],[26].

Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Buzet-sur-Tarn est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Buzet. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[29],[30]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Buzet-sur-Tarn.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 079 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 079 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Buzet : de l'ancien provençal buza (« bouse »).

Histoire[modifier | modifier le code]

La ville aurait été fondée une première fois en 814, puis rebâtie au XIe siècle. En effet, le cartulaire de Saint-Sernin mentionne la construction d'un pont sur le Tarn pour relier l'Albigeois au Toulousain.

À la suite du traité de Meaux, conclu en 1229 avec le roi de France, Louis IX, pour mettre fin à la croisade des Albigeois, le comte de Toulouse Raimond VII choisit de construire un bourg, protégé par une enceinte, pour contrôler le pont. Le terrain pour construire la bastide est acheté en 1235 à un certain Pilfort de Rabastens. Le , le comte de Toulouse accorde une charte de coutumes aux habitants.

En , après l'assassinat de son mari Jean V d'Armagnac à Lectoure, Jeanne de Foix est conduite, enceinte, au château de Buzet-sur-Tarn. Bien qu'elle soit morte après le , un avocat de la famille d'Armagnac prétendra, lors des États généraux de 1484, qu'elle a succombé en 1473 à un poison destiné à son enfant à naître[33]. Au XVIIe siècle, cette fable est reprise par Pierre de Guibours qui en fait un tragique et sinistre épisode du règne de Louis XI. Ainsi, à en croire le père Anselme, après le siège de Lectoure et le meurtre de Jean V d'Armagnac, Jeanne de Foix aurait été dépouillée de ses bijoux et de ses joyaux avant d'être traînée au château de Buzet-sur-Tarn, devenu, pour la circonstance, prison royale. Bien qu'enceinte de sept mois, la veuve y fut enfermée à côté du cadavre de son mari. Là, sur l'ordre de Louis XI qui aurait cherché l'extinction de la Maison d'Armagnac, elle vit entrer le soir dans son cachot le cardinal Jouffroy, évêque d'Albi. Le religieux donna l'ordre aux apothicaires et aux soldats qui l'accompagnaient de contraindre la comtesse à absorber un breuvage pour détruire l'enfant qu'elle portait[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la deuxième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes de Val'Aïgo et du canton de Villemur-sur-Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Buzet-sur-Tarn faisait partie de l'ex-canton de Montastruc-la-Conseillère).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Augustin Pech    
Joseph Constans    
Jean-Pierre Decavèle[37],[38]
(1935-2022)
  Commercial dans l'aluminium
Réélu en 1971
Maurice Thiard   Ancien journaliste à FR3
Réélu en 1983, démissionnaire
Jacques Dorsène DVD Directeur commercial
Réélu en 1989, démissionnaire
Jean-Michel Fauré DVG Ancien premier adjoint
Réélu en 1995 et 2001, démissionnaire
Jean-Claude Carrié DVG[39] Agriculteur retraité, ancien premier adjoint
Réélu en 2008
En cours Gilles Joviado DVG Professeur
Vice-président de la CC Val'Aïgo
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 2 850 habitants[Note 8], en augmentation de 7,34 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9399861 1151 1781 2731 3181 3201 3601 316
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3101 2941 3401 3161 3281 3541 3371 2551 207
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1811 1281 118915912874801784818
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8779451 0601 2781 2811 4101 7441 9062 298
2014 2019 2021 - - - - - -
2 6222 8702 850------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
Rang de la commune dans le département 68 95 96 101 107 97 89 85
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

La commune comptait en 2016 un nombre de 2 716 habitants, population en hausse continue depuis la deuxième moitié du XXe siècle.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Buzet-sur-Tarn fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle Arc-en-Ciel et l'école élémentaire Émile Massio.

Culture[modifier | modifier le code]

Buzet possède une bibliothèque et de nombreuses associations telles que pour la danse la peinture la musique[48]...

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Tennis, cyclisme, pétanque, football, chasse, yoga, golf de Palmola...

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SICTOM (syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères) de la région de Lavaur[49].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 113 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 2 823 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 790 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 55 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 4,4 % 6,7 % 7,3 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 777 personnes, parmi lesquelles on compte 83,6 % d'actifs (76,3 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 16,4 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 378 emplois en 2018, contre 334 en 2013 et 242 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 364, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,5 %[I 14].

Sur ces 1 364 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 172 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

212 établissements[Note 12] sont implantés à Buzet-sur-Tarn au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 212 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
23 10,8 % (5,7 %)
Construction 40 18,9 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
41 19,3 % (25,9 %)
Information et communication 10 4,7 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 12 5,7 % (3,8 %)
Activités immobilières 11 5,2 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
36 17 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
26 12,3 % (16,6 %)
Autres activités de services 13 6,1 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 19,3 % du nombre total d'établissements de la commune (41 sur les 212 entreprises implantées à Buzet-sur-Tarn), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :

  • SARL Faucon, travaux de revêtement des sols et des murs (1 463 k€)
  • Energie Renouvelable Labat, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (438 k€)
  • Aguinet Charpente Et Couverture - Acc, travaux de charpente (332 k€)
  • Youx SOS Pare-Brise Plus, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (178 k€)
  • SARL Innov'confort, commerce de gros (commerce interentreprises) d'appareils sanitaires et de produits de décoration (89 k€)

L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est entre le frontonnais, le midi toulousain et l'albigeois, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 43 31 28 22
SAU[Note 15] (ha) 1 410 1 319 1 579 1 526

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 43 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 31 en 2000 puis à 28 en 2010[53] et enfin à 22 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 49 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[54],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 410 ha en 1988 à 1 526 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 69 ha[53].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Buzet de par son histoire a un monument aux morts (près de la mairie) et un mémorial aux victimes de la Gestapo (près du cimetière).
  • Église Saint-Martin :
    • extérieur :
      • l'église fortifiée de style gothique toulousain est dédiée à saint Martin de Tours. La façade, sans ouverture en dehors de la porte, est renfoncée d'une galerie défensive. L'abside à pans coupés est solidifiée par des piliers intérieurs enchâsses dans les murailles.
    • intérieur :
      • la nef est divisée en quatre travées. Huit chapelles, dont deux ont été murées. La façade, avec une porte terminée en ogive, est surmontée d'une galerie. Du côté nord, s'élève le clocher qui servait de tour de guetteur à l'ancien château, pour la surveillance du pont. Sa base conserve sa forme massive sur 23 mètres. L'extrémité est couronnée par une ceinture de mâchicoulis portés sur des consoles. Sur cette élévation, la tour de guetteur octogonale est divisée en trois étages[55]. L'église est inscrite au titre des monuments historiques[55]. Le plafond de la nef est due au peintre toulousain Damon (vers 1860) de l'école des nazaréens qui voulait retrouver le style de Fra Angelico.
    • œuvres d'art :
      • dans le chœur de part et d'autre du maître autel deux oeuvres de Bernard Bénézet ; Scène de la vie de saint Martin : Messe de saint martin et Saint Martin convertit sa mère Deux huiles sur toiles inscrites au titre des monuments historique. Ces deux toiles de 1896 sont les derniers œuvres du peintre[56] ;
      • dans la chapelle sur une pietà baroque d'un auteur anonyme en bois polychrome et doré, inscrite au titre des monuments historiques[57] ;
      • en 1766 une campagne de réhabilitation de l’intérieur de l'église a été réalisée, elle a intéressé la chaire et les confessionnaux. La chaire est inscrite au titre des monuments historiques[58] ;
      • sur le mur nord de la nef un groupe en bois sculpté polychrome et doré : La gloire de saint Martin du XVIIe siècle. L'œuvre est inscrite au titre des monuments historiques[59] ;
      • Vierge à l'Enfant statue en bois polychrome et dorure par Artus Legoust Artus Legoust. L'oeuvre est inscrite au titre des monuments historiques[60] ;
      • Saint-Roch et son chien statue en bois polychrome et dorure. L'œuvre est inscrite au titre des monuments historiques[61].
      • dans la même chapelle, un reliquaire de la fin du XVIIIe siècle, travail remarquable par l'emploi du papier roulé, inscrit aux monument historiques[62].
  • Pont de Buzet-sur-Tarn (pont suspendu).
  • La forêt de Buzet.
  • La halle construite en 1884.
  • Le poids public du XIXe siècle à l'architecture inhabituelle à colombage et frise en céramique.
  • Le golf de Palmola.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative de Francisco Ponzán Vidal.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Buzet-sur-Tarn

Son blasonnement est : De gueules, à un oiseau essorant d'or posé sur une terrasse de sinople tenant de sa patte dextre une plante ou feuille du même et la becquetant, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or[63].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Françoise Sabatié-Clarac, Buzet-sur-Tarn. Des origines à la Révolution, 2006, 170 p., (ISBN 978-2952707206)
  • Françoise Sabatié-Clarac, Buzet-sur-Tarn. Les tragédies sous l'Occupation, 2010, 210 p., (ISBN 978-2-9527072-1-3)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[16].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Buzet-sur-Tarn » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Buzet-sur-Tarn » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Buzet-sur-Tarn » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Buzet-sur-Tarn et Villemur-sur-Tarn », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Buzet-sur-Tarn », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 309-310.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  9. Sandre, « le ruisseau de Palmola »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Buzet-sur-Tarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  34. Père Anselme, Tome III, p. 424, archives de Rodez.
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  37. Philippe Roy, « Hommage à Jean-Pierre Decavèle, l'ancien maire qui a donné son visage actuel à Buzet-sur-Tarn », La Dépêche,‎ (lire en ligne).
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  53. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Buzet-sur-Tarn - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
  55. a et b Notice no PA00094299, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. Notice no PM31002598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. Notice no PM31002593, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. Notice no PM31002594, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. Notice no PM31002595, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. Notice no PM31002592, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. Notice no PM31002601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. Notice no PM31002597, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  63. Denis-François Gastelier de La Tour, Armorial des États de Languedoc, Paris, Vincent, , 248 p. (lire en ligne).