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DeutschBreendonk — Wikipédia
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Pour le fort militaire et camp de concentration, voir Fort de Breendonk.
| Breendonk | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | .svg){kind=small} Belgique | ||||
| Région | Région flamande | ||||
| Communauté | Communauté flamande | ||||
| Province |  Province d'Anvers | ||||
| Arrondissement | Malines | ||||
| Commune | Puers-Saint-Amand | ||||
| Code postal | 2870 | ||||
| Démographie | |||||
| Population | 2 948 hab. (1/1/2020[1]) | ||||
| Densité | 458 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 51° 02′ nord, 4° 19′ est | ||||
| Superficie | 644 ha = 6,44 km2 | ||||
| Localisation | |||||
| Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région flamande
Géolocalisation sur la carte : province d'Anvers
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Breendonck[2] (en néerlandais : Breendonk) est une section de la commune belge de Puers-Saint-Amand située en Région flamande dans la province d'Anvers. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le village est tristement célèbre pour son Fort qui a servi de camp de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale[3],[2]. Celui-ci se trouve en fait sur la commune voisine de Willebroeck.
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
- Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre[4].
Personnalités liées[modifier | modifier le code]
- Gaston de Buisseret Steenbecque de Blarenghien (1831-1888), en fut le bourgmestre
- Albert Moortgat, fondateur de la Duvel et bourgmestre collaborateur
- Otto Kropf, photographe
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
- « Vichy conjure son destin métonymique », Le Soir, (lire en ligne) :
« Breendonck, en Belgique, ou Oswiecim (Auschwitz) sont plus connus comme camps concentrationnaires ou d’extermination plutôt que comme des villages ordinaires. »
- « Les souverains sur les traces des 4.200 Belges détenus à Buchenwald pendant la guerre », La Libre Belgique, (lire en ligne) :
« André Simonart... professeur en pharmacologie à l'Université catholique de Louvain, avait été incarcéré au fort de Breendonck avant d'être déporté au camp de Buchenwald. »
- https://bib.kuleuven.be/ebib/project-belgische-historische-tellingen
